À partir de 1932, il enseigne la philosophie dans différents collèges[6].
Années 1930 et 1940
Pierre Morhange annonce un certain néo-réalisme dès son premier recueil La vie est unique, publié en 1930. Gaëtan Picon parle dans son Panorama de la nouvelle littérature française (1949) de « précurseur du réalisme poétique »[7].
Réfugié dans le Sud-ouest, il participe à la Résistance au sein du Front national[2].
Profondément troublé par l'Holocauste, il rend hommage aux personnes persécutées et assassinées dans son recueil de poèmes Le Blessé paru en 1951[9].
Années 1950 à 1970
Réintégré comme professeur de collège en novembre 1944, il enseigne au collège Théophile Gautier de Tarbes, puis au collège de Courbevoie de début 1950 à 1965. Il termine sa carrière au lycée Condorcet à Paris en 1966[2].
Le Sentiment lui-même, Pierre-Jean Oswald, 1966 - Ce recueil rassemble Le blessé, Autocritique suivie de pièces à conviction, La robe, et une série de poèmes inédits : L'estafette dans le vestibule...
Le désespoir clamant, Monsieur Bloom, 1983
Voir aussi
Bibliographie
Mort du poète Pierre Morhange. Le Monde [des Livres], no. 8552, , 10.