Arrêtée pour faits de résistance, horriblement torturée[4], elle est déportée par le convoi n°72, en date du [5], du camp de Drancy vers Auschwitz[6] puis Ravensbrück[7], après avoir donné naissance à un enfant mort-né.
Après-guerre
Elle crée plusieurs associations dont Revivre, pour aider les enfants de déportés morts dans les camps, et l'association Mémoire des déportés et des résistants d'Europe, qu'elle préside[8].
Yvette Farnoux meurt le à Vanves[7]. Les honneurs militaires lui sont rendus aux Invalides le [10].
Vie privée
Yvette Farnoux est l'épouse de Jean-Guy Bernard (adjoint de Frenay, arrêté en même temps qu'Yvette et assassiné durant sa déportation), puis d'Abel Farnoux (1921-2008), dont elle a trois enfants[3].
↑ ab et cIrène Toporkoff et Sylviane Farnoux-Toporkoff, « Yvette Baumann-Bernard-Farnoux. Résister, Témoigner », Revue d’Histoire de la Shoah 2017/1 (N° 206), , p. 319 à 346 (lire en ligne)
↑Ordre de la Libération - Base des Médaillés de la Résistance française, « Fiche Yvette Bernard » (consulté le )