variante Löwenthal ou Lasker-Pelikan : 4...e5 5.Cb5 a6 6.Cd6+ Fxd6 7.Dxd6 Df6. Cette suite n'est plus très à la mode de nos jours, car les Blancs gardent un avantage à l'issue de l'ouverture.
variante Kalashnikov (ou néo-Svechnikov) : 4...e5 5.Cb5 d6. Cette variante a connu un regain d'intérêt dans les années 1980, et présente des idées similaires à celles de la variante Svechnikov : les Noirs acceptent un pion arriéré en d6 et l'affaiblissement de la case d5, mais gagnent des tempi en chassant le cavalier blanc. La différence entre les deux variantes est que les Noirs n'ont pas encore développé leur cavalier en f6, et que les Blancs n'ont pas joué Cc3, ce qui laisse plus de possibilités aux deux joueurs. Les Noirs peuvent préférer ...Cge7 à ...Cf6, par exemple après 6.C1c3 a6 7.Ca3 b5 8.Cd5 Cge7, ce qui évite le plan blanc de jouer Fg5 et Fxf6 pour créer des pions doublés sur la colonne f. D'autre part, les Blancs peuvent jouer 6.c4, ce qui renforce le contrôle de la case d5, et freine ...b5, mais affaiblit légèrement d4.