Au début de ce siècle, la réforme de l'ordre des Prémontrés, dite aussi Réforme de Lorraine, initiée par l'abbé Servais de Lairuelz se propage en France.
25 octobre : à Condé-Sainte-Libiaire (Seine-et-Marne), Bossuet préside une procession organisée pour célébrer la reconnaissance des reliques de Sainte Libaire envoyées de Toul et prononce le panégyrique de la sainte.
Le duc Léopold Ier de Lorraine, arrivant à Lunéville, choisit de bâtir un palais moderne : c'est le château actuel. Neveu et filleul de l'empereur, il a épousé diplomatiquement une princesse française Élisabeth-Charlotte d'Orléans, nièce du roi Louis XIV. Le mariage donnera le jour à quatorze enfants dont six seulement passeront le cap de l'enfance et quatre atteindront l'âge adulte.
Au début de la guerre de Succession d'Espagne, Louis XIV, connaissant l'austrophilie de son neveu par alliance Léopold Ier, dont l'un des frères est généralissime des armées impériales et un autre archevêque d'Olmütz, fait de nouveau occuper les duchés et la ville de Nancy tout à fait illégalement, mais cette fois-ci sans violences. Léopold et sa cour se retire définitivement à Lunéville. Un projet d'échange de la Lorraine et du Barrois (qui seraient annexés par France) contre le duché de Milan (possession impériale qui serait donnée à Léopold) est évoqué, ne prend pas forme mais choque les sujets du duc.
Publication du Code Léopold qui définit unilatéralement les relations du gouvernement avec le clergé. Ce texte fait très mauvaise impression à Rome et les relations entre le pape et le duc se tendent. Quand Léopold veut donner à sa fille aînée l'illustrissime abbaye de Remiremont, le pape s'y oppose.
Le prince Joseph de Lorraine, frère cadet du duc, général dans l'armée impériale, meurt des suites d'une blessure à la Bataille de Cassano à l'âge de 19 ans.
Léopold Ier s'éprend d'Anne-Marguerite de Ligniville qu'il marie au marquis de Beauvau-Craon afin de détourner les soupçons. La duchesse, sur les conseils de sa mère, la duchesse-douairière d'Orléans, reste digne.
Début d'activité des faïenceries de l'Argonne, qui perdureront jusqu'en 1880. Elles étaient idéalement situées dans la forêt d'Argonne qui leur procurait toutes les ressources dont elles avaient besoin : le bois, l'eau et la terre.
Le ban d’Anould comprend, outre le territoire de la commune actuelle, le finage de Sainte-Marguerite et fait partie du bailliage et de la prévôté de Saint-Dié.
Mai : L'épidémie de variole qui s'étend sur l'Europe emporte l'empereur et le Dauphin mais aussi trois des enfants ducaux, la princesse Elisabeth-Charlotte, abbesse de Remiremont, âgée de 11 ans, la princesse Marie-Gabrielle, 9 ans et le prince héritier Louis âgé de 7 ans.
Française mais lointaine parente du duc puisque membre de la Maison de Lorraine, Béatrice Hyéronyme de Lorraine-Lillebonne, fille de François-Marie de Lorraine-Guise (1624-1694), prince de Lillebonne, duc de Joyeuse, est élue abbesse de Remiremont.
Mort à 26 ans de François de Lorraine, dernier frère vivant du duc, abbé de Malmedy et de Stavelot
L'avènement sur le trône de France du jeune Louis XV détend les relations franco-lorraines : le régent Philippe d'Orléans (1674-1723) est le propre frère de la duchesse.
Lors d'une sécheresse persistante, la ville de Neufchâteau décide de s'en remettre à saint Élophe et sainte Libaire. Leurs châsses portées en procession depuis les villages de Soulosse et de Grand attirent 20 000 personnes venues de cent paroisses[5].
Léopold Ier décide d'envoyer son fils aîné Léopold-Clément terminer son éducation à Vienne dans l'espoir qu'il y épouse la fille et héritière de l'Empereur, l'archiduchesse Marie-Thérèse.
Le duc Léopold ordonne aux familles juives dont l'établissement en Lorraine ne remonte pas à 40 ans de s'en éloigner.
Pour dégager ses sujets de l'influence spirituelle des prélats français dont ils dépendent (Metz, Verdun et Toul), le duc songe à fonder un évêché purement lorrain. Le pape est d'accord mais le régent de France s'y oppose. Léopold se rapproche alors de l'empereur.
Le duc de Lorraine rédige un édit destiné à « prévenir la communication de maladies contagieuses », ce texte prévoyait une limitation des déplacements de personnes et de marchandises, en particulier en provenance de Provence ou une épidémie de peste a fait de nombreux morts dès 1720.
25 octobre : couronnement à Reims du roi de France Louis XV, âgé de 12 ans, en présence de la famille ducale. Les princes lorrains sont remarqués pour leurs bonnes manières et leur beauté.
Les relations entre les cours de Versailles et de Lunéville sont de nouveau glaciales. Cherchant une épouse pour Louis XV, le duc de Bourbon, premier ministre depuis la mort du Régent, à l'issue d'intrigues courtisanes et contre tout sens politique et dynastique, préfère marier le roi de France à une obscure princesse polonaise (Marie Leszczyńska) plutôt qu'à la fille de Léopold, Elisabeth-Thérèse.
27 mars : mort de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar. En mars, le duc Léopold contracte une fièvre en se promenant au château que Craon était en train de construire à Ménil, près de Lunéville. Il meurt quelques jours plus tard, âgé de 49 ans. En l'absence de son fils, la duchesse se fait octroyer la régence.
François III de Lorraine, à 20 ans, succède à son père et doit rejoindre sa patrie qu'il a quittée à quinze ans. Quittant la cour impériale pour une plus modeste cour, il rentre à Lunéville mais, affichant une certaine froideur, il devient vite impopulaire.
L'Autriche et la France établissent une convention en vertu de laquelle François renonce à la Lorraine en échange de la Toscane, tandis que la France accepte alors la Pragmatique Sanction.
Création de la généralité de Nancy, circonscription administrative de la Lorraine, son ressort concernant la Lorraine et le Barrois. Elle se composait de 36 bailliages, 29 subdélégations, soit 15 subdélégations correspondant à leurs bailliages.
Stanislas Leszczynski reçoit les duchés de Lorraine et de Bar à condition qu'à sa mort, ils reviennent à la couronne de France. Les duchés sont en réalité administrés par un chancelier désigné par la France, La Galaizière.
Août : En route pour le front d'Alsace , le roi Louis XV de France tombe malade à Metz.
23 décembre : Mort d' Élisabeth-Charlotte d'Orléans, duchesse douairière de Lorraine et de Bar, princesse souveraine de Commercy. La principauté est réunie au Barrois. La princesse Anne-Charlotte de Lorraine quitte Commercy pour Vienne. Le chancelier La Galaizière interdit toute manifestation de deuil.
Maréville et la rente d'Anne Fériet sont cédés aux frères des Écoles chrétiennes, à la condition qu'ils remettent l'institution en l'état et qu'ils s'engagent à interner, contre paiement d'une pension, tous les sujets que le duc leur adressera par lettre de cachet.
Le ban d’Anould est composé d’Anould, La Hardalle, Develine, Les Granges, Chalgoutte, Les Gouttes, Braconcel, Sainte-Marguerite, Le Paire, Gerhaudel, Le Souche, Vachères et Le Vic en partie.
Le duché de Lorraine acquiert Badonviller et l'ouest du territoire de la principauté de Salm, tandis que l'essentiel de l'ancien comté était attribué en pleine propriété aux princes de Salm-Salm, dont le bourg de Senones qui devient capitale de la principauté et la résidence des princes.
Stanislas convoque à Lunéville Nicolas Durival, lieutenant de police de Nancy, pour lui annoncer son projet de construire une nouvelle place. Le projet de Stanislas est de rassembler les services administratifs de la cité, ainsi que des lieux de divertissements[14], au croisement de deux axes majeurs[15].
Édit de juin 1751[16] par lequel le duc Stanislas Leszczynski modifie de manière importante l'organisation administrative des duchés de Lorraine et de Bar.
Le chancelier Chaumont de La Glaisière décide la création d'une route prenant à Flavigny sur celle de Nancy-Mirecourt, pour rencontrer celle de Bayon-Charmes[18].
Le monument initial de François Maximilien Ossolinski est placé dans l'église Notre-Dame de Bonsecours.
Création à Toul du 7e régiment d'artillerie (7e RA), unité de l'armée française actuellement dissoute. Au cours de ses 237 années d'existence, il aura été engagé aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Espagne, en Pologne, en Russie, en Algérie, en Crimée, en Chine, au Mexique et plus récemment en Bosnie, en Centre-Afrique, en ex-Yougoslavie, en Géorgie, en Côte d'Ivoire et en Polynésie.
Louis XV autorise la création d'une verrerie à Baccarat, à l'instigation de l’évêque de Metz soucieux d'écouler l'importante production locale de bois de chauffage. Un verrier du nom d'Antoine Renaut répond alors à ses sollicitations.
Établissement d'un haut fourneau à Azerailles pour Jean Closse, exploitant d'une forge située à 1 200 mètres en aval. Il pourvoyait à l'alimentation en fonte de cet établissement à partir de minerai extrait dans les environs. Désaffecté avant 1822, le bâtiment qui l'abritait existait encore en 1876
Fondation de la Verrerie-cristallerie de Vannes-le-Châtel, par la comtesse de Mazirot de Reims, désireuse de valoriser l'exploitation de bois lui appartenant. Elle s'en sépare dès 1788, au profit de Nicolas Griveau[25].
13 mai : le chancellier Chaumont de la Glaisière quitte la Lorraine[27].
Le château de Lunéville échoit au roi Louis XV qui, n'osant le détruire à l'instar d'autres châteaux lorrains de son beau-père, le fit transformer en caserne.
10 mai : sur la route de Vienne à Versailles, l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche, dauphine, s'arrête à Nancy[27] et se recueille devant les tombeaux de ses ancêtres en la chapelle des cordeliers.
Création de la chancellerie de la cour souveraine de Lorraine, région qui était la seule à en être dépourvue jusqu'alors[27].
novembre : Marie-Christine de Saxe, sœur de la Dauphine Marie-Josèphe, elle est la tante du futur Louis XVI de France, Princesse allemande mais apparentée à la Maison royale de France, d'abord coadjutrice de l'abbaye de Remiremont, en est élue abbesse à l'unanimité.
Louis XVI accepte l’édification d’un établissement destiné à la protection des enfants abandonnés en Lorraine : création de l’Hôpital des enfants trouvés de Nancy[32].
Construction de la chapelle Sainte-Anne de Baccarat, destinée à l'usage du personnel de la verrerie. Érigée en succursale de la paroisse de Deneuvre en 1802 ; actuellement utilisée pour des expositions estivales organisées par la manufacture Baccarat.
8 août : Gilbert du Motier de La Fayette, soldat au régiment des dragons-Noailles de Metz, rencontre le frère du roi d'Angleterre. Lors de cette entrevue il s'enflamme pour la cause des révolutionnaires américains[34].
La faim consécutive aux mauvaises récoltes conduit à des révoltes dans plusieurs villes de Lorraine, dont Dieuze, Lunéville, Nancy…[34]
29 juillet : une tornade de classe EF3, soit des vents estimés entre 220 km/h et 270 km/h, affecte plusieurs dizaines d'habitations et l'église à Froville[35].
(Ou peut-être en 1782) La réalisation du cristal est maîtrisée par la Verrerie Royale de Saint-Louis[34]., un siècle après son invention en 1676 par George Ravenscroft.
4 juin : le Régiment du Roi est stationné à Nancy jusqu'à sa dissolution, logé au quartier royal aussi appelé caserne Sainte-Catherine puis caserne Thiry.
Juin : la communauté juive de Nancy reçoit l'autorisation de Louis XVI pour construire une synagogue[34].
Décembre: la communauté juive de Lunéville reçoit l'autorisation de Louis XVI pour construire une synagogue[34].
Construction, sur permission de Louis XVI, de la synagogue de Lunéville. C'est la première construite dans le royaume depuis le Moyen Âge, et l'une des plus anciennes subsistant à ce jour[37]. Elle est inaugurée le 15 septembre[36]
Les assemblées composées de notables des 3 ordres discutant d'améliorations fiscales et administratives, pour le Lorraine et le Barrois ainsi que pour les évêchés et le Clermontois, ne débouchent sur rien[36].
Récoltes catastrophiques entraînant l'augmentation des prix et des difficultés pour les paysans et le peuple des villes[36].
Août 1788 : états généraux. En Lorrains la fidélité au roi n'est pas remise en cause. Les demandes portent sur une meilleur répartition des impôts[36].
À Portieux : Dom Ambroise Pelletier, bénédictin mort en 1755 à Senones, dont il était le curé. Auteur du "Nobiliaire ou Armorial général de la Lorraine et du Barrois" au milieu du XVIIIe siècle[38].
Claude Parisot (ou Parizot) est né vers 1704. Il apprit son art d'abord du facteur lorrain Christophe Moucherel, puis, en 1727, chez Louis-Alexandre et Jean-Baptiste Clicquot à Paris. Il mourut à Étain le .
Playcard de Raigecourt (né à Nancy vers 1708 et mort à Aire le ), ecclésiastique, fut évêque d'Aire de 1757 à 1783.
8 décembre à Nancy : l'empereur François Ier, mort le à Innsbruck, fut successivement duc de Lorraine, de Bar (1729-1737) sous le nom de François III, également duc de Teschen (1729-1765), il est aussi grand-duc de Toscane (1737–1765) sous le nom de François II. En 1732, il avait été nommé vice-roi de Hongrie (1732-1765) par son futur beau-père l'empereur Charles VI.
À Lunéville : Jean Girardet, mort à Nancy en 1778, peintre lorrain, puis français à la suite de l'annexion du duché de Lorraine par la France en 1766.
À Nancy : Jean Galli de Bibiena (version française de Galli da Bibbiena), écrivain d'expression française (mais d'ascendance italienne), qui serait mort en 1779 en Italie. Il est le fils de Francesco Galli da Bibiena, de la célèbre famille des Bibiena.
À Nancy : Joseph Uriot, mort à Stuttgart en , professeur et homme de théâtre et franc-maçon. Plus connu en Europe pour ses Lettres d'un franc-maçon en 1742.
À Nancy : Louis Sébastien Jacquet de Malzet, mort le à Vienne, prêtre séculier, inventeur et écrivain lorrain. Il a peut-être ses racines dans l'ancien village de Malzey situé entre Toul et Nancy. Il n'a pas eu l'occasion d'exercer sa fonction de prêtre car il a été bibliothécaire du Duc de lorraine et Duc de Bar François III Étienne (1709 † 1765). Il a suivi le départ du Duc qui est devenu ainsi François Ier du Saint-Empire en Autriche.Des écrits attestent sa présence dans la capitale autrichienne car il a été professeur d'histoire et de géographie à l'académie militaire de Vienne. Il a été auparavant chanoine du collège Saint Jean à Varsovie.
À Nancy : François Antoine Etienne de Gourcy-Pagny, mort en 1805, religieux et un intellectuel français du XVIIIe siècle. Il fut chanoine de la cathédrale primatiale de Nancy.
28 juin à Nancy : Étienne-François de Choiseul-Beaupré-Stainville, comte puis duc de Choiseul (1758) et duc d'Amboise (1764), homme d'État français mort le au château de Chanteloup. Il fut le premier ministre de Louis XV entre 1758 et 1770 sans en avoir le titre officiel.
9 février à Nancy : François Senémont, baptisé le même jour dans l'église des Pénitents de la Ville-Neuve, appelée alors la Petite-Chapelle et servant de succursale à la paroisse Saint-Sébastien, peintre lorrain puis français (à partir de 1766). Marié le à Catherine Ruynat fille d'un conseiller de l'Hôtel de Ville. Mort le à Nancy. Ami du graveur Dominique Collin, qui reproduisit plusieurs de ces œuvres. Le , il fut nommé peintre ordinaire de la ville de Nancy.
18 octobre à Nancy : Charles-Arnould Hanus, mort le sur l'Île d'Aix, prêtre et martyr catholique français. Curé et doyen du chapitre de Ligny-en-Barrois, il est condamné à la déportation après avoir refusé de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Âgé de 70 ans, il est enfermé dans le Washington jusqu'à sa mort deux semaines plus tard. Il est béatifié en 1995 par le pape Jean-Paul II, en même temps que les soixante-trois autres martyrs des pontons de Rochefort.
6 novembre à Ribeaucourt (Meuse) : Joseph Paignat, mort le à Ligny-en-Barrois (Meuse), général français de la Révolution et de l’Empire.
24 octobre à Baudricourt (duché de Lorraine, aujourd'hui dans le département des Vosges) : Joseph Hugo († - Nancy), maître-menuisier-charpentier à Nancy.
1 décembre à Nancy : Jean-Antoine Le Bègue, comte de Germiny et du Saint-Empire, mort le à Landerneau (Finistère), officier de marine français du XVIIIe siècle. Il termine sa carrière avec le grade de chef d'escadre des armées navales. Il est l'auteur de la « branche » bretonne des Le Bègue de Germiny.
18 septembre à Nancy : Richard Mique, dont la famille est originaire d'Alsace, devenu seigneur d'Heillecourt, architecte français, guillotiné le à Paris.
3 janvier à Nancy : Charles Palissot de Montenoy, mort à Paris le , auteur dramatique français, admirateur et disciple de Voltaire comme Antoine de Rivarol, mais dénoncé paradoxalement souvent comme opposant anti-lumières au parti philosophique notamment pour sa critique de Diderot et des Encyclopédistes. Il est l'auteur de la comédie, Les Philosophes, qui eut un énorme succès et fit scandale en 1760.
23 avril à Rupt-en-Woëvre : Antoine-Hubert Wandelaincourt (mort à Belleville-sur-Meuse le ), ecclésiastique français qui fut évêque constitutionnel du diocèse de la Haute-Marne de 1791 à 1801, membre de la Convention nationale (1792-1795) et du Conseil des Cinq-Cents (1795-1798).
27 mars à Metz : Louis-Marie Fouquet de Belle-Isle mort en 1758, comte de Gisors, militaire français du XVIIIe siècle. Colonel d'infanterie, il fut nommé gouverneur de Metz et du pays Messin en 1756.
27 juin à Nancy : Joseph Ducreux, mort le sur la route de Paris à Saint-Denis, portraitiste, pastelliste, miniaturiste et graveur lorrain, puis après 1766, français.
17 avril à Saint-Aubin-sur-Aire : Jean-Baptiste Aubry (mort à Commercy le ), ecclésiastique, fut député du clergé aux États généraux de 1789 puis évêque constitutionnel de la Meuse de 1791 à 1801.
3 décembre à Toul : Jean Colombier, mort à Paris le , médecin militaire, chirurgien et hygiéniste français. Il est surtout connu pour son rôle dans la réforme de l'organisation médicale en France.
31 mai, Nancy : Stanislas Jean de Boufflers, marquis de Remiencourt, plus souvent appelé le chevalier de Boufflers (mort le à Paris en France), poète lorrain puis français.
20 décembre à Nancy : Clodion, pseudonyme de Claude Michel, mort le à Paris, sculpteur lorrain, puis, à partir de 1766, français, représentatif du style rococo.
26 avril à Metz : Jean-Louis Claude Emmery, comte de Grozyeulx (mort à Metz le , château de Grozyeulx), magistrat et homme politique français. Il fut président de l'Assemblée Constituante du au , puis du 4 au .
19 août à Vaucouleurs : Jeanne Bécu de Cantigny, dite aussi Mademoiselle de Vaubernier, devenue par mariage comtesse du Barry, morte guillotinée le à Paris, fut la dernière favorite du roi Louis XV de 1768 à 1774.
25 mars à Nancy : Louis Verdet (mort le à Sarreguemines), prêtre et homme politique français, député aux États généraux de 1789.
20 juillet, à Jouy-sous-les-Côtes (Meuse) : Étienne Mollevaut, mort à Nancy (Meurthe), le , député de la Meurthe à la Convention nationale, au Conseil des Anciens, au Conseil des Cinq-Cents et au Corps législatif de l'an VIII à 1807.
31 janvier à Metz : Le marquis François Barbé-Marbois, mort le à Paris, diplomate et homme politique français qui fut l'un des ministres de Napoléon Ier et premier président de la Cour des comptes.
14 août à Nancy : Louis-Pierre-Joseph Prugnon, mort à Nancy le , avocat et homme politique français, député aux États généraux de 1789 et à l'Assemblée constituante.
6 avril à Blâmont (alors duché de Lorraine, actuellement Meurthe-et-Moselle) : Claude Ambroise Régnier, mort à Paris le , est un homme politique français.
18 juin à Nancy : René Bernard Chapuis, dit Chapuy, mort le à Étain (Meuse), général français de la révolution française.
28 mars, à Toul : Joseph Carez, (mort le à Toul), imprimeur français exerçant à Toul. Il fait aussi, durant la Révolution, une brève carrière politique au service des habitants de l'ancien département de la Meurthe.
13 novembre à Toul : Baron Joseph-Dominique Louis, également appelé l’abbé Louis ou le baron Louis, homme politique et diplomate français mort à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) le
9 décembre à Nancy : Adélaïde Edmée Prévost, épouse Lalive de La Briche, morte à Paris le , salonnière lorraine, puis, après, 1766, française.
17 mars : François Nicolas Anthoine (parfois nommé François-Paul-Nicolas Anthoine), né à Boulay (Moselle), mort à Metz, le , député du bailliage de Sarreguemines aux États généraux de 1789 et de la Moselle à la Convention nationale.
18 mai : Louis Victor Aubert de la Mogère, ou de Lamogère, né à Montpellier (Hérault), mort le à Metz (Moselle), général français de la Révolution et de l’Empire.
20 octobre à Lorry-les-Metz : Mansuy Dominique Roget de Belloguet, mort le à Rémelfing (Moselle), général français de la Révolution et de l’Empire. Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, et commandeur de la légion d’honneur.
13 septembre à Thionville : Antoine Merlin, dit Merlin de Thionville pour le distinguer de Merlin de Douai, mort à Paris le , député de la Moselle à la Convention nationale. C'est l'un des plus fameux représentants en mission de la Convention.
3 juillet à Metz : Louis Charles Folliot de Crenneville (mort à Vienne, le ), général de corps d'armée de l’empire d'Autriche. Actif pendant les guerres napoléoniennes, il fut nommé commandant de la Garde impériale autrichienne en 1835.
30 décembre à La Petite-Raon : Dom Joseph Fréchard, mort à Vézelise (Meurthe) le , prêtre réfractaire des Vosges qui entreprend par la suite une œuvre fondatrice pour généraliser l'éducation enfantine et former maîtres et maîtresses d'école, à partir du diocèse de Nancy jusqu'en 1830 et en particulier de sa paroisse de Colroy-la-Roche qu'il anime de 1808 jusqu'en 1822.
28 juillet à Craon : François René Cailloux, dit Pouget, fils du chirurgien ordinaire du roi de Pologne, mort le à Nancy (Meurthe-et-Moselle), général français de la Révolution et de l’Empire.
20 décembre, à Toul : Louis Thomas Gengoult, mort le à Toul, général français de la Révolution et de l’Empire dit le baron Louis, ancien ministre des Finances.
3 août : Charles Claude Jacquinot, mort à Metz le , militaire français ayant commencé sa carrière en 1791 en tant que volontaire dans les armées de la Révolution. Lieutenant et aide de camp auprès du général Beurnonville en 1795, il commande par intérim le 1er régiment des chasseurs à cheval avec lequel il combat à la bataille de Hohenlinden.
16 juin à Metz : Jean-Baptiste Pierre de Semellé, mort le à Courcelles-Chaussy, en Moselle, général français de la Révolution et de l'Empire. Il est député en 1822 et de 1830 à 1837.
21 août : Jean-Baptiste Joseph de Lardemelle, mort le , administrateur militaire et homme politique français. Intendant militaire sous le Premier Empire, il est député de la Moselle sous la Restauration, de 1822 à 1831. Siégeant d'abord au centre droit, il est légitimiste à la fin de sa vie.
28 septembre à Metz : le Général Baron Jean Gougeon (mort en 1836), officier supérieur du Premier Empire et sous la Restauration, Commandeur de la Légion d'honneur, il deviendra baron et Maréchal de camp sous la Restauration.
29 janvier à Metz : François Joseph Henrion, mort le à Paris, officier supérieur français de la Révolution et de l’Empire, et général de la Seconde Restauration.
14 février à Nancy : Louis-Joseph Hugo, mort le à Tulle (France), oncle de Victor Hugo, colonel du Premier Empire français. Officier général en retraite, il devint maire de Tulle.
9 novembre, Nancy : Joseph Charles Bailly, mort en 1844, minéralogiste français qui participa à l'expédition vers les Terres australes que conduisit Nicolas Baudin au départ du Havre à compter du .
28 septembre à Nancy : Jean Girardet, né à Lunéville en 1709, peintre lorrain, puis français à la suite de l'annexion du duché de Lorraine par la France en 1766.
22 janvier à Metz, dans les Trois-Évêchés : Henri-Joseph Paixhans[93], homme politique et général d'artillerie français. Il fut député de la Moselle de 1830 à 1848. Il est connu pour le type de canons qu'il a introduit dans l'armée (Canon Paixhans) et pour ses théories sur la guerre navale.
6 juillet à Metz : François Aubertin[95] (mort en 1821), graveur français[96]. Actif sous le Ier Empire, il est connu pour avoir amélioré le procédé de gravure en taille-douce mezzo-tinto.
27 août à Metz : Jacques Emmery de Grozyeulx (mort le à Paris), militaire et homme politique français de la Restauration, membre de la Chambre des pairs de 1823 à 1839.
31 décembre à Nancy : Nicolas François Sylvestre Régnier, comte de Gronau et de l'Empire (1811), duc de Massa et pair de France (1816-1848), mort le au Château de Moncontour, à Vouvray (Indre-et-Loire), haut fonctionnaire et homme politique français.
19 septembre à Metz : Moïse Cahen (ou Moyse Cahen) (mort en 1852 à Paris), médecin français, président du Consistoire israélite de Paris de 1832 à 1852. Il est le père de Mayer Cahen, médecin-chef de la Compagnie des chemins de fer du Nord, médecin en chef de l'Hôpital Rothschild et beau-père de la philanthrope Coralie Cahen.
10 février à Nancy : Élise Voïart, née Élise Petitpain, morte le à Nancy, écrivaine française, traductrice, romancière et auteure d’ouvrages pour la jeunesse.
Metz : Louis Buchoz-Hilton, célèbre sous la monarchie de Juillet pour ses excentricités, son opposition constante à Louis-Philippe et les nombreux procès que ses frasques et écrits lui valurent.
Metz : Eugénie Charmeil (morte à Paris en 1855), aquarelliste française, active dans la première moitié du XIXe siècle.
Décès
1709, 27 janvier à Nancy : Dominique Bazelaire, en religion père Célestin de Saint-Dié (né à Saint-Dié, le ), capucin, fut provincial de Nancy à trois reprises.
1723, 14 janvier à Nancy : Charles-Henri de Lorraine-Vaudémont (né à Bruxelles le ), comte puis prince de Vaudémont, de Commercy, etc., est le fils légitimé de Charles IV de Lorraine et de Bar et de sa maîtresse Béatrix de Cusance. Il servit dans les armées de l'Empire romain germanique et fit entièrement reconstruire le château de Commercy[103].
1724, 19 septembre à Metz : Glikl bas Judah Leib (Glikl fille de Judas Leib) de Hamelin, plus connue sous le nom de Glückel von Hameln (parfois Gluckel, "Glikl fun Hemln", ou Glikl de Hamelin) (née en 1646 à Hambourg) était une commerçante juive, connue pour son Journal intime qui contient un tableau fort détaillé de la vie juive en Allemagne de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle.
1733 à Metz : Jacob Reicher (Yaakov ben Yoseph Reischer) est un des premiers rabbins de Metz dans les temps modernes. Il est né à Prague en 1661. Il est le fils de Rabbi Joseph, auteur de « Givot Olam », et un élève de Rabbi Aaron Shimon Spira (Wedeles) (de) de Prague et de son fils Rabbi Benjamin Wolf, qui lui donna en mariage sa fille Jutlé.
1738, 10 janvier à Nancy : Ferdinand de Saint-Urbain, né en 1654 ou en 1658 à Nancy, est un dessinateur, graveur et architecte lorrain ayant œuvré à Rome, à Nancy et ayant travaillé pour d'autres princes des cours d'Europe.
16 mars à Verdun : Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil, comte de Verdun, prélat et prince du Saint Empire, fils d'Emmanuel Joseph d'Hallencourt, marquis de Dromesnil, et de Magdeleine Françoise Anne Louise de Proisy, est né à Neuville-sur-Ailette (Picardie) le .
à Senones : Dom Ambroise Pelletier, bénédictin né à Portieux en 1703. Auteur du "Nobiliaire ou Armorial général de la Lorraine et du Barrois" au milieu du XVIIIe siècle[38].
à Lunéville : Léopold Emmanuel Héré de Corny (né le à Nancy, architecte baroque lorrain.
12 janvier à Nancy : Pierre-André d'Héguerty, comte de Magnières, né en 1700 à Dinan, magistrat et économiste français. D'origine irlandaise, il francise son nom d'origine O'Heguerty orthographié aussi Haggerty.
1771, 20 juin à Nancy : Jean Lamour (né le à Nancy), serrurier et ferronnier lorrain au service du roi de Pologne, duc de Lorraine, Stanislas Leszczynski.
1782, 28 mars à Nancy : François Senémont, peintre lorrain puis français (à partir de 1766), né à Nancy le , baptisé le même jour dans l'église des Pénitents de la Ville-Neuve, appelée alors la Petite-Chapelle et servant de succursale à la paroisse Saint-Sébastien. Marié le à Catherine Ruynat fille d'un conseiller de l'Hôtel de Ville. Ami du graveur Dominique Collin, qui reproduisit plusieurs de ces œuvres. Le , il fut nommé peintre ordinaire de la ville de Nancy.
1784, 3 mars à Étain : Claude Parisot (ou Parizot) est né vers 1704. Il apprit son art d'abord du facteur lorrain Christophe Moucherel, puis, en 1727, chez Louis-Alexandre et Jean-Baptiste Clicquot à Paris.
à Metz : Aryeh Leib Gunzberg[107] (hébreuאריה ליב גינסבורג), officiellement connu en France sous le nom de Lion Asser, est un rabbin lituanien du XVIIIe siècle, devenu rabbin de Metz vers la fin de sa vie (Pinsk, Lituanie, 1695 - Metz, 1785). Il est principalement connu pour son grand-œuvre de Loi juive, le Shaagas Aryeh (hébreuשאגת אריה, « Le rugissement du lion »)[108], auquel il doit son surnom.
8 mai : Étienne-François de Choiseul-Beaupré-Stainville, comte puis duc de Choiseul (1758) et duc d'Amboise (1764), est un homme d'État français né le à Nancy. Il fut le premier ministre de Louis XV entre 1758 et 1770 sans en avoir le titre officiel.
↑« Meurthe-et-Moselle / Le « Savez-vous » du jour. Savez-vous pourquoi le château d’Haroué compte 365 ... », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
↑J. Guillaume, F. Roussel, «La passion et le culte de sainte Libaire»
↑Jérôme ESTRADA (Service documentation), « Incendie de Notre-Dame de Paris. Toul, Strasbourg, Reims… Ces cathédrales détruites puis… », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
↑Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, no 1, janvier, Crépin-Leblond, Nancy, 1907 (note p. 7)
↑Annales agricoles de la Lorraine, p. 143, éd. Grimblot, Raybois, 1841.
↑Abel Mathieu, Histoire du Saint-Mont, Dommartin-lès-Remiremont, Imprimerie Girompaire à Cornimont, , 104 p.
p. 90 : Le tremblement de terre se fit sentir pendant un temps assez court, mais assez violemment pour jeter l'épouvante dans Remiremont et faire sortir les Dames de leur maison
.
↑Les Cahiers du Château de Lunéville, vol. 7, Lunéville/Nancy, Site départemental du château de Lunéville / Conseil général de Meurthe-et-Moselle, , 55 p. (ISBN978-2-9524424-6-6 et 2-9524424-6-0), « L'ancienne ménagerie du Duc Ossolinski », p. 60-63
↑HUMBERT (Bernard), "Productions touloises : artisanat et industrie (Industrie) (partie 1/2)" in Revue des Études Touloises, Toul, 1978, Cercle d'Études Locales du Toulois, n° 13, art. 3, p.47-48]
↑ a et bLaurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN9782355780387), p. 146
↑ abcdefghij et kLaurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN9782355780387), p. 147
↑Alexandra Michaud, « Le tombeau de Stanislas Ier, roi de Pologne, et le mausolée du cœur de Marie Leszczynska », Académie de Stanislas, (lire en ligne)
↑ abcdefgh et iLaurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN9782355780387), p. 148
↑ abcd et eLaurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN9782355780387), p. 149
↑Archives départementales des Yvelines, état-civil numérisé de Saint-Germain-en-Laye, acte de décès no 147 de l'année 1807, dressé le 7 juillet : « acte de décès de Jean-François Mamel dit Bernard, maître ès arts demeurant rue de Paris n°11, natif de Nancy, âgé de 57 ans, époux de Louis Adélaïde Huard, mort hier à six heures du soir ».
↑Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiale. T25 : , ouvrage de plusieurs jurisconsultes, publié... par M. G****,..., J. Dorez (-Panckoucke), 1775-1783 (lire en ligne)
↑Bosquet (01) Auteur du texte, Dictionnaire raisonné des domaines et droits domaniaux. Tome 2 : ; des droits d'échanges, & de ceux de contrôle des actes de notaires & sous-signatures privées..., impr. de J.-J. Le Boullenger, (lire en ligne)
↑Jean François Eugène Robinet, Adolphe Robert et Julien Le Chaplain, Dictionnaire historique et biographique de la révolution et de l'empire, 1789-1815. Ouvrage rédigé pour l'histoire générale, Paris Librairie historique de la révolution et de l'empire, (lire en ligne), p. 349
↑Gustave (1863-1923) Auteur du texte Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne)
↑Catalogue des gentilshommes de Lorraine et du duché de Bar qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 : publié d'après les procès-verbaux officiels : par MM. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, E. Dentu, (lire en ligne)
↑Gustave (1863-1923) Auteur du texte Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne)
↑Procès-verbal de la cérémonie du sacre et du couronnement de LL. MM. l'empereur Napoléon et l'impératrice Joséphine, Imp. impériale, (lire en ligne)
↑Antoine Vincent (1766-1834) Arnault, Étienne-François (1782-186 ?) Bazot, Antoine (1770-1854) Jay et Étienne de (1764-1846) Jouy, Biographie nouvelle des contemporains ou Dictionnaire historique et raisonné de tous les hommes qui, depuis la Révolution française, ont acquis de la célébrité par leurs actions, leurs écrits, leurs erreurs ou leurs crimes, soit en France, soit dans les pays étrangers. Tome 1 / ; précédée d'un tableau par ordre chronologique des époques célèbres et des évènements remarquables, tant en France qu'à l'étranger, depuis 1787 jusqu'à ce jour, et d'une table alphabétique des assemblées législatives, à partir de l'assemblée constituante jusqu'aux dernières chambres des pairs et des députés. Par MM. A. V. Arnault,... A. Jay, E. Jouy,... J. Norvins... [et E.-F. Bazot], Librairie historique, 1820-1825 (lire en ligne)
↑Mort le 28 décembre 1815 à Paris selon le site de l'Assemblée nationale, ou le 18 janvier 1816 à Thionville selon le Dictionnaire des parlementaires français de A. Robert et G. Cougny.
↑L'essentiel du détail de la vie du baron Dupin provient de la Notice biographique sur M. le baron C.F.E. Dupin, rédigée par son fils Gabriel et placée en tête de l'édition posthume de l'Histoire administrative des communes de France, issue de la plume de son père ; [lire en ligne].
↑En place du courant « Pixérécourt », un certain nombre d’ouvrages écrivent « Pixerécourt » sans le premier accent. Entre autres, deux font autorité. L'un comprend un passage autobiographique paru du vivant de l'auteur, l'autre d’Henri Lepage indique de plus que la prononciation est : « Pisserécourt ». Cf. G. de Pixerécourt 1841, t. 2 « Souvenirs de la Révolution » p. I-XXVIII et Henri Lepage, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, Imprimerie impériale, , XXVII-213 p., in-4° (lire en ligne), p. 109 col. 1-2.
↑Émile Auguste Nicolas Jules Bégin: Biographie de la Moselle: Histoire par ordre alphabétique de toutes les personnes nées dans ce département, Volume 3, Veronnais, Metz, 1831 (pp. 526-528).
↑Tous les documents officiels d'état civil (dont actes de naissance), tous les états de services militaires de Bazoche (voir références ci-dessous) portent les prénoms « Charles Louis Joseph ». Cependant, certains documents indiquent comme prénoms « Charles Léon Joseph ». Nous conserverons donc les prénoms confirmés par les documents officiels : « Charles Louis Joseph » .
↑Dossier de légionnaire (cote LH/2195/37) sur Base Leonore.
↑Félix Raugel, « Les Orgues de Notre Dame d'Avioth », L'Orgue, no 128, , p. 59
↑Ses documents personnels intégraux, conservés à la bibliothèque nationale de France (256 volumes), ne font toutefois pas état de cette reconstruction.
↑Ministère de l'éducation nationale, Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, vol. 20, France, (présentation en ligne)
↑Registres paroissiaux (AD Haute Marne E0064 0077 0078)
↑Mémoires de l'Académie de Stanislas, Grimblot et Veuve Raybois, (lire en ligne)