promulgation de l’Édit de pacification d’Amboise : amnistie des crimes et liberté limitée de culte[4] (le culte protestant n'est autorisé que dans les chapelles des seigneurs haut-justiciers et dans les faubourgs d’une ville par bailliage). Fin de la première guerre de religion. Condé retourne à la cour.
13 avril : huit évêques français font l’objet d’une citation à comparaître devant l’Inquisition romaine comme coupables de compromission avec les calvinistes[6].
26 avril : Claude d’Aumale, tuteur du nouveau duc de Guise, de la poursuit Coligny en justice devant le Parlement de Paris[7].
11 mai : l’amiral de Coligny tente de se rendre à la cour. La reine craint de voir la guerre se rallumer[8].
rencontre à Essonne entre Coligny et Condé venu à la rencontre du premier pour le dissuader de se rendre à la cour[8]. Coligny retourne chez lui à Châtillon.
↑Jacques Vivent, La tragedie de Blois : le roi de France et le duc de Guise, 1585-1588, Hachette, (présentation en ligne)
↑ a et bArchives des missions scientifiques et littéraires, vol. 2, Paris, Delahaye, (présentation en ligne)
↑Anselme de Sainte-Marie, Ange de Sainte-Rosalie, Histoire de la Maison Royale de France, et des grands officiers de la Couronne, vol. 6, Paris, Libraires associés, (présentation en ligne)