Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le 15 et 16 avril 1860 se tient le plébiscite concernant le rattachement de Nice à la France. Le Oui l'emportant, la quasi-totalité de l'ancien comté de Nice et rattachée officiellement le 14 juin, et le département des Alpes-Maritimes est recréé le 23 juin, avec l'ajout de l'arrondissement de Grasse. Jules Lescuyer d'Attainville (élu en 1857, en tant que député du Var) en devient ainsi le premier député.
Dès 1860, les élections législatives (partielle en 1860) se tiennent afin de déterminer la représentation du département au sein du Corps législatif (tous les 5 ans). Les deux autres élections sont les élections cantonales et municipales (respectivement tous les 3 et 5 ans). Jusqu'en 1965 ces élections demeurent les seules au suffrage direct, auxquels d'ajoutent à partir de 1875 des élections sénatoriales au suffrage indirect, dont les sénateurs sont élus par les élus des départements ou par la Chambre des députés. À partir de 1965 se tient la première élection présidentielle au suffrage universel direct. Par la suite de nouvelles élections apparaissent : les européennes en 1979 et les régionales en 1986.
La représentation du Comté de Nice a dans sa majorité, depuis son annexion à la France, toujours appartenu à des courants de républicains radicaux (en opposition aux royalistes) puis de droite et de centre-droit. Depuis les débuts de la Cinquième république en 1958, 95 mandats de député ont été obtenues par la droite parlementaire (dont 53 mandats obtenus sur 54 entre 1988 et 2017), pour 10 mandats pour la gauche parlementaire. Depuis 1951, le Conseil général (puis départemental) des Alpes-Maritimes est détenu par les forces politiques de droite ou du centre. Néanmoins la partie orientale, le long du Paillon, a une orientation politique différente. Surnommée la « vallée rouge », elle comprend notamment les communes de Lucéram, Contes, Drap, La Trinité et également en aval les quartiers populaires niçois de l'Ariane, Pasteur ou Saint-Roch, et fut durant toute la seconde moitié du XXe siècle un bastion communiste. Elle est la seule incarnation du Midi rouge dans le département, avec dans une moindre mesure la vallée du Var (Carros, Saint-Martin-du-Var, Gilette)[1]. Les transformations du tissu productif horticole et floricole, la désindustrialisation affectant les industries lourdes et donc une diminution de la part des ouvriers dans la population active, entraina l’érosion de l’électorat communiste[2].
Depuis 1958, diverses périodes peuvent être soulignées. De 1958 à 1981, le département penche ouvertement vers le gaullisme (l'élection du communiste Virgile Barel est la seule exception lors de l'Après-guerre, dans une période où le Groupe communiste à la Chambre des députés représentait alors jusqu'à 25% des élus à l'échelle national), bien que la ville de Nice demeure avec Jean puis Jacques Médecin un bastion de centre-gauche. La période de 1981 à 2008 est marquée par l'affrontement politique entre le RPR puis l'UMP et le Parti socialiste, ainsi que par les percées par intermittence du Front national. Cette ère est également marquée par de nombreux scandales de corruption du personnel politique, aboutissant notamment aux condamnations pénales des maires de Nice (Jacques Médecin), de Cannes (Michel Mouillot) et d'Antibes (Pierre Merli). La période actuelle, à partir de 2008, est marquée par la disparition progressive de l'électorat envers les partis de gauche, et au décentrage de l'affrontement politique entre les divers courants de la droite.
Actuellement, six circonscriptions des Alpes-Maritimes sont tenues par la droite du parti Les Républicains et trois par le parti centriste de la majorité, et les cinq sénateurs appartiennent au parti LR. Enfin, sur les cinquante-quatre conseillers généraux, cinquante-deux sont de droite, deux sont de gauche ou apparentés.
La préfecture des Alpes-Maritimes est localisée à Nice. Le département possède en outre une sous-préfecture à Grasse. Jusqu'en 1926, un arrondissement supplémentaire était situé à Puget-Théniers.
La droite qui possède une inébranlable majorité absolue voit tous ses sortants réélus et gagne un siège avec la victoire de Jean-Pierre Leleux dans le Canton de Grasse-Nord sur le sortant socialiste Thierry Lautard. Cependant, les conseillers socialistes et communistes sont réélus largement, notamment à Nice où les députés UMPJérôme Rivière et Muriel Marland-Militello sont battus.
Avec 41 sièges sur 52, l'UMP renforce sa majorité absolue d'un siège (Jean-Pierre Leleux), une avancée qu'elle perdra en 2005 avec l'élection de Dominique Boy-Mottard (PS) dans le Canton de Nice-7 à la suite de la cantonale partielle entrainée par l'annulation de l'élection de Jean Hanot (UMP), et qu'elle regagnera en 2007 avec l'élection de Daniel Benchimol (UMP) dans le Canton de Nice-11 lors de la cantonale partielle entrainée par le décès de Jean-François Knecht (PS).
Battue au niveau régional, la liste UMP de Renaud Muselier sauve l'honneur de justesse dans le département avec 50 voix d'avance devant Michel Vauzelle (PS). Les Alpes-Maritimes sont le seul département de la région à résister à la vague rose régionale et nationale.
Placé en tête au premier tour, Jean-Marie Le Pen illustre la poussée du Front national dans le département (et dans toute la France également). Jacques Chirac arrive quand même largement en tête au second tour, mais avec 10 % de moins qu'au niveau national.
Contrairement aux précédentes élections municipales en 1995, celles de 2001 n'ont pas apporté de changement notable à la tête des grandes villes du département : hormis Cannes, toutes les villes de plus de 20 000 habitants ont reconduit l'équipe et le maire sortants, toujours de droite.
Les élections municipales de 1995 se sont déroulées le 11 et 18 juin et ont été marquées par le renouvellement des maires des plus grandes villes des Alpes-Maritimes (Michel Mouillot, maire de Cannes, démissionne moins de deux ans plus avec sa réélection, entrainant l'élection de Maurice Delauney (RPR)).
Les élections législatives se déroulent le 2 janvier 1956. La représentation est proportionnelle suivant la règle de la plus forte moyenne dans le cadre départemental.
Les élections législatives se déroulent le 17 juin 1951. La représentation est proportionnelle suivant la règle de la plus forte moyenne dans le cadre départemental.
Le 12 octobre 1947, il est demandé à la population concernée de ratifier les dispositions du traité de Paris signé le 10 février de la même année, qui prévoit le transfert de 709 km2 de territoire comprenant notamment Tende et La Brigue de l'Italie à la France, et ainsi des Alpes-Maritimes.
Les élections législatives se déroulent le 10 novembre 1946. La représentation est proportionnelle suivant la règle de la plus forte moyenne dans le cadre départemental.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Les élections cantonales françaises se sont déroulées les 23 et 30 septembre 1945. Les Alpes-Maritimes sont l'un des quatre département avec la Seine-et-Oise, la Seine et la Corrèze un des quatre départements[9] dirigés par un élu communiste.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Les élections municipales se déroulent les 29 avril et 13 mai 1945. Ce sont les premières élections depuis la libération de la France et les premières où les femmes peuvent voter.
Troisième République
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Les élections législatives se tiennent le 26 avril et . Il s'agit de la dernière élection au scrutin d'arrondissement, rétablis par la loi du (excepté en 1885 et de 1919 à 1927).
Dans l'optique d'une mobilisation massive, les mandats des députés sont prolongés de deux ans supplémentaires par un décret du jusqu'au 31 mai 1942. Les députés communistes sont déchus de leur mandat le 21 janvier 1940.
Les élections législatives se tiennent les 22 et 29 avril 1928. Contrairement à l'édition précédente de 1924, le scrutin uninominal à deux tours par arrondissements.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le mode de scrutin utilisé est toujours le système mixte majoritaire-proportionnel dans le cadre du département, adopté par la loi du et déjà utilisé pour le scrutin précédent. Les députés sont élus le 11 mai 1924.
Par la loi du , le mode de scrutin utilisé est un système mixte majoritaire-proportionnel dans le cadre du département. Les députés sont élus le 16 novembre 1919.
Les élections législatives se déroulent les 22 septembre et 6 octobre 1889. Face à la popularité du général Boulanger entraînent une poussée de l'opposition, le scrutin de liste adopté en 1885 est abandonné, au profit du scrutin d’arrondissement.
Les élections législatives de 1876 ont eu lieu les 20 février et 5 mars 1876. Par loi du , le scrutin d'arrondissement (uninominalmajoritaire à deux tours) est rétablis. Il s'agit du mode de scrutin des élections législatives jusqu'en 1936, excepté en 1885 et de 1919 à 1927.
L'élection de Marc Dufraisse est invalidée, et Giuseppe Garibaldi démissionne aussitôt élu. Le 6 mai 1874, le député Constantin Bergondi se suicide et Louis Piccon démissionne, entrainant une seconde élection partielle.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Élections municipales de 1865
Le maire sortant de Nice François Malausséna est reconduit à ses fonctions. Il s'agit de sa première élection, puisque celui-ci avait été nommé en janvier 1861.
Une élection partielle se tient les 9 et 10 décembre afin de déterminer le député de la 1re circonscription (de Nice), Jules Lescuyer d'Attainville, député de la circonscription de Grasse, ayant été élu en 1857.