Le , il est réélu pour la XIIe législature (2002-2007) en battant au deuxième tour Isabelle Gérard (FN) avec 71,00 % des suffrages. Il fait alors partie du groupe parlementaire UDF. Au cours de ce mandat, il fut vice-président de l'Assemblée nationale du au .
Le , il est réélu dès le premier tour pour un cinquième mandat de député avec 56,65 % des suffrages. Il siège depuis dans le groupe Nouveau Centre. Le , il est élu vice-président de l'Assemblée Nationale. Il est membre de la commission des affaires étrangères. Il est également Président de la Délégation chargée de l'informatique et des nouvelles technologies et membre des délégations suivantes : délégation chargée de l'application du statut du député, délégation chargée de la communication audiovisuelle et de la presse et délégation chargée des activités internationales.
Élu sur la liste de Christian Estrosi aux élections municipales de 2008 à Nice, il est adjoint au maire, chargé du tourisme et des affaires internationales[1].
Il est à nouveau réélu député en . Il siège alors dans le groupe UDI comme l'ensemble des élus du Nouveau Centre[2].
En 2016, il est chargé par Manuel Valls, en compagnie de Jérôme Durain, de « définir un cadre législatif et réglementaire favorisant le développement des compétitions de jeux vidéo en France ». Le rapport remis par les deux parlementaires en préconise notamment de « définir un vrai cadre pour les compétitions online et offline », « créer une commission spécialisée rattachée au CNOSF », « donner un vrai statut aux joueurs » à travers un CDD sportif, « protéger les jeunes joueurs » à travers diverses mesures et « favoriser le recrutement de joueurs étrangers »[3]. Cette mission débouche sur une participation au projet de loi pour une République numérique, qui est adopté en première lecture au Sénat le , avec 323 voix pour et 1 voix contre[4],[5]. La loi reconnaît officiellement dans son chapitre 4 section 2 la pratique du jeu vidéo en compétition en France, ainsi qu'un statut officiel aux joueurs professionnels[6].