Depuis 1996, la commune est connue pour son domaine skiable installé sur un ancien terril, la station de ski artificielle la plus basse de France et une des plus vastes d'Europe.
Localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais, Nœux-les-Mines est un centre urbain situé à 6 km au sud-sud-est de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement).
La commune est traversée par la Loisne amont, cours d'eau naturel de 10,52 km, qui prend sa source dans la commune de Hersin-Coupigny et se jette dans le canal de Beuvry au niveau de la commune de Beuvry[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Au , Nœux-les-Mines est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[Insee 2],[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est la commune-centre[Note 5],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[Insee 4],[Insee 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (45,5 %), zones urbanisées (37,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,2 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Nuet vers 1000 ; Nuez en 1104 ; Nouz en 1118 ; Nue, Noum de 1154 à 1159 ; Nouth en 1163 ; Noue de 1169 à 1191 ; Noe en 1171 ; Neu, Nueu en 1201 ; Nueh en 1210 ; Nuee en 1226 ; Noee en 1257 ; Neue en 1257 ; Noeue en 1304 ; Nonne [lire : Nouue] en 1321 ; Neuwe en 1331 ; Neue en 1429 ; Newe en 1469 ; Nooues en 1520 ; Noeuwe, Noeve en 1530 ; Noche de 1589 à 1590 ; Neux en 1720 ; Noeu en 1750 ; Nœux-les-Béthune au XVIIIe siècle[12] ; Noeux en 1793 et 1801 ; Nœux-les-Mines depuis 1887[1], après la découverte du charbon dans son sous-sol en 1850.
Du pluriel de l'oïlNoe « prairie marécageuse, marais »[13].
Nœux-les-Mines s'est appelé Vitris au IVe siècle, c'est le premier nom qu'on lui connaisse. Ce village fut détruit en 882 par les Normands, avant d'être reconstruit au Xe siècle et de devenir Noewe « ville nouvelle »[réf. nécessaire].
Il faisait partie d'une petite province, la Gohelle, appartenant elle-même à la province d'Artois.
L'activité y était essentiellement agricole. Mais on y trouvait aussi de petites activités annexes à l'agriculture : meuneries, sucreries, brasseries…
Des erreurs de transcriptions successives transformeront Noewe en Nœux-lez-Béthune puis en Nœux-les-Mines en 1887, après la découverte du charbon dans son sous-sol en 1850. La commune compte alors 1 100 habitants. Les travaux de percement de la première fosse ont débuté en 1851. La ville connut alors une forte poussée démographique jusqu'à compter 14 070 habitants en 1962. Toutes les fosses ont été fermées entre 1956 et 1968.
Pendant la Première Guerre mondiale, le , une revue de troupes a été effectuée à Nœux par le général commandant la 10e armée française. À l'issue de celle-ci, la croix d'officier de la Légion d'honneur a été remise au général Brezet commandant la 26e brigade d'infanterie[14].
En mars 1915, des troupes ont stationné sur la commune[15]. Ce fut également le cas en mai 1915[16].
L'ancien maire Albert Versquel est médecin, résistant et adhérent du Parti communiste français. Lors de la grève des mineurs de 1948, il soigne un mineur blessé, et est pour cela arrêté, emprisonné et condamné à quatre mois de prison et à la dégradation de ses grades militaires obtenus dans la Résistance. Médecin libéral, il s'attache à la lutte contre la silicose (il y consacre son livre Les poumons de pierre) et il promeut les méthodes d’accouchement sans douleur à partir de 1955[32].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 7].
En 2021, la commune comptait 11 520 habitants[Note 8], en évolution de −5,48 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 613 hommes pour 6 200 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 7]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
2,0
5,7
75-89 ans
10,2
17,4
60-74 ans
18,7
18,6
45-59 ans
17,8
18,5
30-44 ans
17,9
18,6
15-29 ans
16,7
20,6
0-14 ans
16,6
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[37]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,6
5,6
75-89 ans
8,9
16,7
60-74 ans
18,1
20,2
45-59 ans
19,2
18,9
30-44 ans
18,1
18,2
15-29 ans
16,2
19,9
0-14 ans
17,9
Sports et loisirs
Domaine skiable
Nœux-les-Mines a transformé l'un de ses terrils en piste de ski artificielle, la deuxième plus vaste d'Europe, derrière celle d'Edimbourg en Ecosse. Inaugurée le , la « station la plus basse de France » - comme le rappelle son site internet - fonctionne ainsi toute l'année. Elle était constituée d'une sorte de paillasson en plastique vert fluo, arrosé en permanence par des buses automatiques pour faciliter la glisse et pour éviter l'échauffement de la piste. Elle a subi un important lifting en 2006, car son premier revêtement l'empêchait d'accueillir les planches de surf.
Depuis le bâtiment d'entrée, une vue directe est permise sur le domaine skiable. Celui-ci offre une hauteur de 74 mètres, la longueur de la piste est de 320 mètres pour 35 mètres de large, avec une inclinaison qui va jusquʼà 28°. La piste est desservie par deux téléskis du constructeur Montaz-Mautino, dont un pour débutants, ce qui permet des rotations de quatre minutes pour un skieur rapide. La piste offre trois tremplins, une corniche de 2 m de haut, un champ de 21 bosses, un half pipe de 44 m, trois rails de 5 m, un quarter pipe, et la possibilité de pratiquer du ski ou du snowboard[38]. L'originalité du site a permis l'apparition d'une discipline : le skiathlon, qui mélange la course à pied, le VTT et le ski.
La piste attire plus de 30 000 skieurs par an (tendance décroissante depuis les années 2010), avec un pic de fréquentation (près de 20 000) entre décembre et mi-mars quand elle sert à la population locale notamment de terrain d'entraînement en préparation d'un séjour aux sports d'hiver dans les stations de montagne. Le revêtement permet une glisse plus rapide quand les températures sont inférieures à 12 °C.
Près de ce terril se trouve une base nautique, ouverte généralement entre avril et fin septembre. Elle accueille un téléski nautique, une plage, des locations de pédalos et canoës, un minigolf et divers terrains de sports. L'ensemble est appelé Loisinord (inauguré en 1994).
En 2002, puis en 2003, la commune a accueilli la finale du Trophée Andros sur son circuit automobile, le premier ovale de glisse d'Europe.
La fédération anglaise y a organisé ses championnats nationaux de ski freestyle deux années de suite[39].
Pump track
En ouvre, au pied du domaine skiable, le « NœuXtreme park », un circuit de pump track pour les amateurs de BMX, skateboard, trottinette et roller. Le circuit est constitué d'une butte de départ de 4 m, de 584 m de pistes, d'une ligne droite de 60 m, de 63 bosses et de 24 virages. il présente deux parcours en miroir : la piste rouge de 220 m pour les confirmés et la piste bleue de 190 m pour les intermédiaires, avec à côté de ces deux parcours, la piste verte de 100 m pour les débutants[40].
Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 88 de Nœux-les-Mines comprend les vestiges de la fosse no 1 - 1 bis des mines de Nœux, le terril conique no 36, 1 de Nœux, les Grands Bureaux de la Compagnie de Vicoigne-Nœux-Drocourt, la cité pavillonnaire no 1 ancienne, l'église Sainte-Barbe et le groupe scolaire, la coopérative minière, la cité-jardin de la Résidence du Fond de Sains, la cité pavillonnaire rue de Moussy, les cités modernes du Stade et du Chemin perdu, la pharmacie de la Société de Secours Minière, et la cité-jardin no 1 nouvelle[41],[42].
La fosse no 1 - 1 bis.
Le terril no 36.
Les grands bureaux.
L'église Sainte-Barbe.
La cité-jardin.
La cité moderne.
Monuments historiques
L'église Sainte-Barbe. On ne peut dissocier l’histoire de la paroisse et de l’église Sainte-Barbe à celle de l’exploitation minière. En 1857, avec la construction de nombreux corons pour accueillir les mineurs de la fosse no 1, on nomma un vicaire, Élisée Dussart, pour s’occuper des fidèles. Il célébrait la messe dans trois maisons de la rue Saint-Arnaud (12,14,16) qu’on faisait communiquer pour contenir toute la foule. Le , la paroisse est officiellement érigée et c’est l’abbé Marquant qui a l’honneur d’ouvrir le premier registre. En 1868, on construit un presbytère et en 1875, le conseil d’administration des mines de Vicoigne vote un budget de 100 000 francs pour la construction d’un édifice religieux. La tâche est confiée à l’architecte M. Moyaux qui termine les travaux en 1878. En hommage à la patronne des mineurs, on lui donne le nom de Sainte-Barbe et on inscrit sur son portail : « HAEC EST DOMUS DEI ET PORTAE CAELI (Ici est la maison du seigneur et la porte du ciel) ». Le , on bénit la cloche « Julie » et le , c’est Fernand Lesert qui inaugure les orgues. Le , on tirera même un feu d’artifice du sommet du clocher.
Au cours de la grande guerre, les obus ne font que l’effleurer. Chapelle ardente, elle accueille les soldats tués à Notre-Dame-de-Lorette, comme le général Moussy. Le , dans l’église et dans la ville se déroule un événement marquant : le congrès eucharistique diocésain, en présence des plus hautes autorités religieuses et de plus de 15 000 fidèles. Un cortège de 80 groupes français et polonais défila sur plus d’un kilomètre jusqu’au stade.
Les anciens grands bureaux et ateliers centraux de la compagnie des mines de Vicoigne-Noeux-Drocourt. Ils font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43].
L'ancien carreau de la fosse n° 1 de la compagnie des mines de Vicoigne-Noeux-Drocourt. Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [44].
L'ancienne pharmacie centrale de la Compagnie des Mines de Vicoigne-Noeux-Drocourt. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [45].
L'ancienne coopérative des ouvriers mineurs de la Compagnie des Mines de Vicoigne-Noeux-Drocourt. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [46].
Autres lieux et monuments
L'église Saint-Martin. Elle est construite à une date inconnue, on sait que ce sont les Vikings qui l'ont détruite en 882. Reconstruite à l’identique par ordre du pape Adrien III, elle sera de nouveau rasée en 1550. Treize ans plus tard, un nouvel édifice est érigé, sous lequel seront enterrés les notables entre 1678 et 1708. Cette année-là, les soldats espagnols mettent le feu au clocher dans lequel se sont réfugiés des soldats français et des villageois. L’incendie fera neuf victimes. Sept ans après, on bâtit une quatrième église qui tombera en ruines.
En 1790, elle est fermée et transformée en atelier de salpêtre. C’est une grange située dans une rue derrière, qui sert pour les offices. Le , on lance une souscription publique et en 1822, Louis XVIII donne l’autorisation du début des travaux qui s’achèvent en 1827. Cette nouvelle église, fabriquée à faible coût, est trop petite et vite délabrée. Il faut la rénover en 1845. Puis on l’agrandit en 1876 grâce à une somme conjointe de l’État, la commune et la population.
Après la foudre en 1910, c’est ensuite au tour des conflits de s’attaquer au bâtiment. Le , un obus autrichien s’abat dans l’édifice au moment où aurait dû se dérouler un cortège funèbre. Heureusement, la prudence de l’abbé Roussel permet d’éviter un carnage. En 1940, un autre bombardement fit heureusement peu de dégâts. Le dernier aléa de la vie tourmentée de l’église Saint-Martin est dû au modernisme et remonte en 1993. Le chauffage, installé depuis quelques décennies avait provoqué une condensation propice au développement d’un champignon appelé mérule. Il en coûtera 1,7 million de francs et plusieurs mois de travaux pour que les Nœuxois retrouvent leur lieu de prières.
L'artiste Ladislas Kijno passe une partie de son enfance à Nœux-les-Mines, où son père travaille aux Houillères. En souvenir de ces années, il fait don à la ville de dizaines d'œuvres. Ces œuvres sont rassemblées dans un bâtiment administratif ouvert au public[48].
Personnalités liées à la commune
Jacques Alleman (1882-1945), architecte, y a vécu et y est mort.
Ladislas Kijno (1921-2012), artiste peintre contemporain, y demeura.
Raymond Kopa (1931-2017), footballeur français, il emmène, en 1958, l'équipe de France en demi-finale de la Coupe de monde pour la première fois de son histoire, né à Nœux-les-Mines.
Daniel Lenoir, (1955-), fils d’Émile Lenoir (1931-1989) qui fut secrétaire général de la mairie de Nœux-les-Mines, y a vécu son enfance et son adolescence.
Stéphane Lefebvre (1992-), pilote de rallye, champion du monde junior WRC en 2014, né à Nœux-les-Mines.
D'azur aux attributs de mineur, au casque d'argent sur un piquet d'or, à la masse d'argent ombrée de sable et emmanchée d'or, brochant en bande, au pic et à la rivelaine de sable emmanchés d'or passés en sautoir et brochants, à la lampe de mineur de sable ouverte d'argent et allumée d'or appendue à l'ensemble, la rivelaine soutenue d'une hache d'argent emmanchée d'or, posée en barre et surbrochant, le tout en-travaillé avec une cordelette de sable, accompagné de deux barres d'argent, celle du chef haussée et celle de la pointe abaissée, chacune chargée d'une cotice en barre ondée de gueules, et délimitant des angles de sinople[49].
↑Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑« Lensois-Héninois : le RN dévoile sept candidats pour les municipales de 2020 », La Voix du Nord, (lire en ligne).
↑« Nœux-les-Mines: depuis 120 ans, la mairie en a vu passer des mariages : L'an prochain, le bâtiment qui est encore utilisé pour les mariages et autres cérémonies officielles, fêtera ses 120 ans. Si les murs pouvaient parler, ils vous raconteraient ce qu'ils ont vu au cours de toutes ces décennies. », La Voix du Nord, (lire en ligne).
↑« L'ancien maire de Nœux-les-Mines, Jacques Villedary est décédé ce lundi soir : L'ancien homme fort de la commune de Nœux-les-Mines, dont il fut maire durant 36 ans, Jacques Villedary s’est éteint, ce lundi soir, à son domicile, rue Jean-Jaurès. Il avait 82 ans. », La Voix du Nord, (lire en ligne).
↑David Cierniak, « Nœux-les-Mines : Serge Marcellak décroche l’investiture socialiste pour les élections municipales de 2014 : Coup de tonnerre dans la maison socialiste nœuxoise, jeudi soir alors qu’il tombait des cordes à l’extérieur. En empochant l'investiture, Serge Marcellak devient l’homme fort du PS local. Le jeune conseiller municipal est désormais incontournable pour ceux et celles qui souhaitent se présenter aux élections municipales à Nœux sur une liste portant le logo à la rose. Une sacrée épine pour Jacques Villedary ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Nœux-les-Mines: Serge Marcellak tourne sans la froisser la page Jacques Villedary : Rarement alternance se sera déroulée dans un climat aussi serein. En l'absence de Gérard Dhesse, qui a démissionné, et de Jacques Villedary, qui avait donné procuration, Serge Marcellak a été élu maire par 26 voix contre 7 à Hervé Machut ce dimanche matin. Impeccablement soudée la coalition a accordé le même nombre de suffrages à chacun des neuf adjoints dont le premier Jacques Switalski que l’on finissait par croire condamné à siéger dans l’opposition jusqu’à la fin des temps », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stéphane Degouve, « Avis aux fans de BMX, skate et trottinette : le NœuXtreme park ouvre ce samedi ! », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Christian Canivez (photogr. Séverine Courbe), « Journées du patrimoine: dix coups de cœur dans le Nord et le Pas-de-Calais :
La 37e édition des Journées du patrimoine est programmée samedi 19 et dimanche 20 septembre. Thème de l’année : « Patrimoine et éducation, apprendre pour la vie ». Malgré la crise sanitaire, des centaines de sites ouvrent leurs portes dans le Nord et le Pas-de-Calais. Focus sur dix lieux à découvrir. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).