La commune a été un grand centre d'exploitation du charbon. La Compagnie des mines de Lens y a ouvert sa fosse no 5 - 5 bis, et la Compagnie des mines de Liévin les fosses nos 4 - 4 bis et 7 - 7 bis. Enfin, le Groupe de Liévin a ouvert le puits d'aérage no 8. L'exploitation du charbon cesse en 1988, mais Gazonor y exploite toujours le grisou sur les puits nos 5, 5 bis et 7 bis.
Géographie
Localisation
La commune, située près de l'autoroute A21, est limitrophe au nord de la commune de Lens, chef-lieu d'arrondissement.
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
La commune est traversée par la Souchez, un cours d'eau naturel et un canal de 13,6 km, qui prend sa source dans la commune d'Ablain-Saint-Nazaire et se jette dans le canal de Lens au niveau de la commune de Lens. Les communes traversées par la Souchez sont : Ablain-Saint-Nazaire, Angres, Avion, Éleu-dit-Leauwette, Lens, Liévin et Souchez[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le terril de Pinchonvalles (ou « terril des Pichonvalles »), un grand terril plat à trois plateaux échelonnés (le plus long d'Europe et le second terril du département en volume) culminant à 119 mètres sis sur les communes d'Avion, mais aussi de Givenchy-en-Gohelle et de Liévin. Il est classé en arrêté de protection de biotope (APB)[11] depuis 1986[12].
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Au , Avion est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (59,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (36,8 %), terres arables (31,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %), prairies (0,9 %), forêts (0,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est desservie par la route nationale 17, prolongée vers l'autoroute A21, aussi appelée rocade minière, par l'antenne urbaine numérotée A211[20].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aviuns (1104) ; Aviunum (1115) ; Aviouns (1257) ; Avions (1275) ; Avio (1275) ; Avyons (1485) ; Avion (1720)[21].
Avion, ce toponyme a le sens de « hors du chemin », du latina (hors) et via (chemin), le village se trouvait à distance du chemin d'Arras[22].
Peut-être de la préposition latine ad + Wigo(n) (nom de personne germanique)[23].
Histoire
Du Moyen Âge au XVIIe siècle
L'église Saint-Denis est construite en 1150. Le village qui l'entoure est dominé par le clocher de cette église et par le moulin à vent. Au XVIIe siècle, le territoire d'Avion s'étend sur 1 075 ha. Les cultures étaient principalement le blé, le seigle, l'orge, l'avoine et l'œillette (céréale dont on extrayait de l'huile).
Cette partie du Pas-de-Calais s'est trouvé sous domination espagnole jusqu'en 1659. C'est lors d'une des batailles où s'affrontaient Espagnols et Français que l'église fut détruite. Elle fut reconstruite en 1680 par Matthias Leroy, lieutenant d'Avion, le cimetière se trouve autour de l'église.
Le marais d'Avion (l'actuel parc de la Glissoire) s'étendait sur au moins 20 hectares. Sa partie centrale est une vaste et ancienne tourbière où l'on extrayait la tourbe qui, une fois sèche, servait au chauffage domestique, avant que du charbon, plus calorique, ne soit extrait des couches plus profondes du sous-sol.
XVIIIe siècle
Le à Arras (la Madeleine), Marie-Marguerite Enlart, dame d'Avion, épouse Charles Roergas, seigneur d'Armolis, officier, d'une famille originaire de Béziers. Par la suite, leur fils Antoine-Guillaume Roergas (1714-1790) sera seigneur d'Avion[24].
En 1759, pour faciliter l'impôt surnommé le vingtième, Avion est divisé en douze cantons, ce sont les principaux lieux-dits.
En 1771, la seigneurie est érigée en marquisat par lettres patentes du roi Louis XV sous le nom d'Armolis en faveur d'Antoine-Guillaume Roergas, capitaine aux Gardes du Corps du Roi ; le nouveau marquis épouse l'année suivante (à l'âge de 58 ans) Marie-Euphrosine d'Imbert (âgée d'environ 19 ans), fille d'un contrôleur des États de Lille, dont il eut quatre enfants[24]. Le marquis possède le Château Blanc à Avion et un hôtel particulier à Arras. Le château Blanc est dénommé ainsi en raison des pierres calcaires utilisées pour sa construction. Le moulin à vent utilisé pour moudre les céréales appartient à Pierre-François Sénéchal censier d'Avion. Un second moulin servait à presser de l'huile.
À la veille de la Révolution, 80 % de la population vivait encore du produit de la terre. Avion comptait alors 850 habitants et 347 ont moins de 18 ans, seuls vingt savaient lire.
En 1790, le marquis meurt et sa veuve est contrainte de quitter le pays avec ses enfants ; son fils aîné meurt à Jersey en 1803. Du fait de la Révolution, le château est vendu et confisqué. Le curé à cette époque est le personnage le plus important du village, c'est l'abbé Fossiez qui tient cette place depuis 1781, il est aidé dans sa tâche par un bedeau. Cette année-là Joseph Leroy est élu maire de la première municipalité, et c'est faute de place que la première réunion du conseil se fit dans l'église.
XIXe siècle
À la fin du XIXe siècle, Avion entre dans la vie minière ; en 1872, avec le premier coup de pioche du premier puits qui n'atteindra son charbon que quatre ans plus tard. En 1890, deux autres puits suivirent. Tout autour du bourg des groupes de maisons sont construits pour abriter les mineurs ; les fameux corons du Nord, à l'époque ils n'avaient pas encore cette appellation on les appelait des « pits ». Mais au sein de ces corons on y retrouve une chaleur, une camaraderie et une solidarité caractéristique de la région et des corporations où le travail est plus dur, plus difficile qu'ailleurs.
Le , est inauguré à Avion un monument aux victimes du travail[25].
Au XXe siècle, Avion subit les violences de deux guerres mondiales qui ensanglantent la région et tout le bassin minier. Les obus de la Première Guerre mondiale rasent la ville évacuée de ses habitants et l'église est totalement détruite.
C'est en 1860 que fut fondée l'Harmonie d'Avion. L'inscription aux registres de la Fédération musicale du Nord et du Pas-de-Calais eut lieu deux ans plus tard, en 1862. Au tout début, les vingt musiciens qui la composaient se réunissaient dans la petite salle de l'école des garçons. Elle compte désormais une soixantaine de musiciens. En 1902 eut lieu la scission qui fit naître « l’Harmonie municipale socialiste », et « l’Harmonie d'Avion » devint « l’Harmonie libre d'Avion » : les deux entités fusionnèrent en 1944.
Le goût de la fête populaire et de l'importance de la musique s'illustrent encore à Avion en 1936 et 1938 : en pleine vogue de l'accordéon sont organisés dans la ville, ces deux années-là, deux concours gigantesques rassemblant un millier d'accordéonistes[26].
Proche du centre, le parc de loisirs de la Glissoire, sur une superficie de 60 hectares, est un lieu privilégié de détente, de promenades et de loisirs. il a été construit sur une friche minière.
Le lycée Pablo-Picasso d'Avion se situe dans le quartier de la République. Il fut ouvert à des élèves pour la première fois en septembre 1967. C'est le que le lycée portera officiellement le nom de Pablo Picasso.
Aujourd'hui ce lycée compte environ 600 élèves qui viennent principalement des environs.
Deux établissements forment le lycée Pablo-Picasso d'Avion : un lycée d'enseignement général et technologique et un lycée professionnel.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 7].
En 2022, la commune comptait 17 571 habitants[Note 8], en évolution de −1,84 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 8 295 hommes pour 9 288 femmes, soit un taux de 52,82 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[49]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
1,2
5,1
75-89 ans
8,1
13,8
60-74 ans
15,5
18,4
45-59 ans
17,7
20,4
30-44 ans
18,5
21,1
15-29 ans
18,8
20,9
0-14 ans
20,2
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[50]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,6
5,6
75-89 ans
8,9
16,7
60-74 ans
18,1
20,2
45-59 ans
19,2
18,9
30-44 ans
18,1
18,2
15-29 ans
16,2
19,9
0-14 ans
17,9
Sports et loisirs
La commune abrite également le sentier des Glissocrêtes.
Cultes
La ville d'Avion comprend trois lieux de culte catholiques qui dépendent de la paroisse Saint-Jean-XXIII du diocèse d'Arras (doyenné de Lens-Liévin)[51]. Ce sont l'église Saint-Denis, l'église Saint-Éloi de la cité des Cheminots et la chapelle Sainte-Thérèse.
Le culte musulman est représenté par la présence de deux mosquées : la Mosquée Badr, dans le quartier de la république, et la mosquée El Fath à la cité Montgré.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 7 026 ménages fiscaux qui comprennent 17 141 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 9] de 16 900 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros. La part des ménages fiscaux imposés est de 37 % (57,6 % en France métropolitaine)[52],[53].
Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 76 d'Avion est composé du terril no 75, Pinchonvalles, issu des fosses nos6 - 6 bis et 7 - 7 bis des mines de Liévin, d'un cavalier reliant ce terril à la fosse no 7 - 7 bis, de la cité-jardin du Bouvier et de son école, et de la cité de corons des Pinchonvalles[54],[55].
La place des droits de l'enfant comporte une aire de jeux agrémentée de sculptures, et une fresque en graffiti.
Le Centre Culturel Jean Ferrat.
La place des Droits de l'Enfant.
Personnalités liées à la commune
François Blin (1910-1987), coureur cycliste français, y est né.
Paul-Émile Javary (1866-1945), directeur de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il joue un rôle important dans la reconstruction après les bombardements de la Première Guerre mondiale. Un stade et un passage d’Avion portent son nom en sa mémoire.
Rosine Picquart (1872-1953), infirmière du Tour de France, y est née.
Écartelé : au 1er de gueules au groupe de trois immeubles d'or, ajourés de sable et terrassés du même, au 2e d'azur à deux pics de mineur d'or passés en sautoir et à la lampe du même, brochant sur le tout, sommée d'un casque de mineur d'or, au 3e d'azur au pal ondé d'or et à la colombe essorante d'argent brochant sur le tout, au 4e de gueules à la tierce alésée ondée d'or; à la fasce, brochant sur la partition, partie au I d'azur à la locomotive d'or, et au II d'azur à la lyre d'or accostée de deux gerbes de blé du même[57].
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑
Définition de l’unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d'unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante :
1 UC pour le premier adulte du ménage,
0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus,
0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.
Cette échelle d'équivalence (dite de l'OCE) tient compte des économies d'échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Le puits artésien : revue du Pas-de-Calais, , p. 409.
↑Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
↑ a et bWoelmont de Brumagne, Notices généalogiques, 2-888.
↑↑Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 53
↑Bruno Dewaele, « Au Nord, c'était l'accordéon », dans Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 65
↑« - « Avion, la belle, la rebelle, la passionnée », Jean-Marc Tellier présente sa liste pour les municipales », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Maxime Pruvost, « Jean-Marc Tellier veut poursuivre l’œuvre de Jacques Robitail », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Jean Létoquart élu maire d’Avion: «la relève» de Jean-Marc Tellier «assurée» : Ce jeudi soir, la population avionnaise était invitée à la salle Mouloudji pour assister à l’élection du nouveau maire. Pas de suspense. Jean Létoquart, le premier adjoint, a reçu l’écharpe des mains de son prédécesseur, le député Jean-Marc Tellier. Une passation tout en continuité », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Emmanuel Crépelle, « Le bilan du maire d’Avion, Jean-Marc Tellier: « Nous allons continuer à développer la démocratie participative » : Il est arrivé il y a quatre ans à la tête de la mairie « dans des conditions un peu bizarres ». Jacques Robitail avait décidé de lui passer le flambeau, mais la démission d’une partie de l'opposition avait obligé Jean-Marc Tellier à repasser par les urnes avant de devenir réellement maire. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Emmanuel Crépelle, « Avion: action sociale, rénovation des quartiers... Les priorités de Jean-Marc Tellier : La continuité dans la méthode et de nouveaux projets lancés en fonction des ressources financières de la ville. Pour Jean-Marc Tellier, le mandat s’inscrit dans la droite ligne du précédent : réunions publiques et toujours priorité à la jeunesse et à la citoyenneté. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).