Petit port de pêche jusqu'au XVIIIe siècle, la ville se développe à partir de la première moitié du XIXe siècle et devient associée aux bains de mer et aux peintres qui la fréquentent. C'est une des principales stations balnéaires de Normandie aujourd'hui, comme sa rivale historique Deauville.
Géographie
Trouville se situe à l'est du département du Calvados dans le pays d’Auge, à l'embouchure de la Touques, sur sa rive droite, en face de Deauville.
Les limites communales de Trouville-sur-Mer et celles de ses communes adjacentes.
Notre Dame des Victoires, la rue Guillaume le Conquérant et, sur les hauteurs, le parc d'Hautpoul et le Beauregard : quartiers centraux et plus résidentiels.
L'Aguesseau, quartier de l'hôpital, du cimetière et de l'église Saint-Jean, à la frontière de Trouville et de Touques
Le quai Kennedy et l'ancienne route de Touques. Ancien quartier du Quernet et de l'usine à gaz.
Hennequeville, du nom de l'ancienne commune du même nom absorbée par Trouville en 1847, recouvre l'extrémité est de la ville, plus rurale et sauvage
La Corniche, sur les hauteurs entre Hennequeville et Trouville
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deauville à 1 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
Typologie
Au , Trouville-sur-Mer est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est la commune-centre[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
prairies (45,8 %), zones urbanisées (39,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), zones humides côtières (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme à finale latinisée Torouvilla en 1220 - 1223[15].
François de Beaurepaire, quant à lui, préfère identifier dans les deux autres Trouville, un premier élément Turol- / T[h]orou- qui reflète l'évolution phonétique du nom de personne Turold, d'origine anglo-scandinave. Il inclut également Trouville (Calvados) dans cette série[17],[18].
Le premier anthroponyme Thorulfr ou plutôt ÞórulfR / Þorólfr est composé des éléments Thor, le dieu, et ulfr « loup », que l'on retrouve dans les patronymes en -ouf (et certains -ou(t)) de Normandie. ex. : ouf, Ingouf (variante Ygout), Gounouf (variante Gounout), Osouf (variante Auzou(t)), etc.
Le second, Turold est une variante (anglo-scandinave [?]) du vieux norrois Þórvaldr (autre forme Þóraldr) « Thor-dirigeant ». Cet ancien prénom, commun dans le duché de Normandie (cf. Turold), est devenu un patronyme fréquent en Normandie sous les formes Théroude, Touroude, Thouroude, Throude et Troude. On le retrouve de manière manifeste dans Thérouldeville (Seine-Maritime, Thourodi villaXIIe).
Les Trouville étant attestés par des formes anciennes latinisées du type Turolvilla ou Thorouvilla, cela rend complexe l'identification du second élément -ol / -ou du nom de personne ; c'est-à-dire anciennement -ulfr ou -old.
Ainsi, Jean Renaud mentionne de surcroît le hameau de Trouville à Bois-d'Ennebourg qui serait attesté sous la forme Turulfi villa vers 1025[19]. Cette forme conforterait la première hypothèse dans certains cas.
En revanche, François de Beaurepaire identifie nettement Turold dans Trouville-la-Haule (Turoltvilla, forme supplémentaire transcrite à côté de Turolvilla de la charte de 1025)[18].
Histoire
L'histoire de Trouville remonte au Moyen Âge. La ville était alors un petit port de pêche.
Le , Henri V débarque à l'embouchure de la Touques sur la plage de Trouville, avant sa conquête de la Normandie[20].
Découverte de la station balnéaire
Au XIXe siècle, l'ancien village de pêcheurs devient une destination touristique de Normandie, notamment prisée par les habitants de l'Île-de-France. L'essor de la station balnéaire, qui a débuté au XIXe siècle avec la mode des bains de mer, est sûrement dû à sa fréquentation par un petit groupe de peintres : Charles Mozin[21] le « découvreur de Trouville » en 1825[22],[23], Paul Huet, A. G. Decamps et son élève Louis Godefroy Jadin, Eugène Isabey, Corot, dont le musée d'Orsay fournit au moins une preuve Trouville bateaux de pêche échoués dans le chenal et aussi Eugène Boudin (Sur la plage de Trouville). Claude Monet s'y rend régulièrement dans les années 1870 et y peint plusieurs tableaux.
Alexandre Dumas contribue aussi à la découverte de Trouville, qu'il visite en 1831. Il en parle aussi dans ses mémoires[24]: « […] Arrivé au Havre, je me mis en quête d'un endroit où passer un mois ou six semaines ; je demandai un village, un coin, un trou, pourvu qu'il fût au bord de la mer ; on me nomma Sainte-Adresse et Trouville. […] et ayant appris que Trouville était encore plus isolé, plus perdu, plus solitaire que Sainte-Adresse, j'optai pour Trouville. […] Puis je me rappelai, comme on se rappelle un rêve, que mon bon ami Huet, le paysagiste, le peintre des marais et des grèves, m'avait parlé d'un charmant village au bord de la mer où il avait failli s'étrangler avec une arête de sole, et que ce village s'appelait Trouville. […] ll y avait au Havre infiniment plus d'occasions pour Rio de Janeiro, pour Sydney ou pour la côte de Coromandel qu'il n'y en avait pour Trouville. Trouville, comme latitude, était alors à peu près aussi ignoré que l'île de Robinson Crusoé ».
La ville suscite l'intérêt des écrivains : l'écrivain Alphonse Karr[25] a contribué à sa renommée. Gustave Flaubert y connaît ses premiers émois sentimentaux avec la rencontre d'Élisa Schlésinger durant l'été 1836, rencontre qui nourrira Mémoires d'un fou. Son nom reste aujourd'hui encore attaché à la ville[26].
Louis-Philippe participe au lancement de Trouville, qu'il oppose à Dieppe la légitimiste, et c'est de cette station qu'il tente sans succès de partir pour l'Angleterre lors de la révolution de 1848[27], avant de finalement trouver un bateau au Havre.
Le développement touristique met rapidement la ville à l'étroit et, en 1847, la commune absorbe Hennequeville, village voisin devenu un quartier de Trouville. L'inauguration de la gare de Trouville-Deauville en 1863 accélère le développement de la station balnéaire grâce à sa proximité avec Paris, désormais à 4 heures. Une jetée-promenade est construite en 1890 pour faciliter l’accostage des bateaux britanniques[28].
Surnommée la « reine des plages », la station devient à la fin du XIXe siècle une villégiature de « grande bourse » selon un classement des guides Joanne[29]. Largement promue par la publicité qui se développe alors, Trouville est présentée comme « la plus belle plage du monde »[30]. De nombreux grands hôtels sont construits sous le second Empire, comme l'hôtel des Roches Noires ou le Trouville Palace, ainsi que de grandes villas normandes. En 1847, un premier casino est construit, avant d'être agrandi en 1912. Un des premiers rallyes automobiles relie ainsi Paris et Trouville, première course des frères Renault en 1899[31].
Elle attire toujours de nombreux artistes, comme Marcel Proust, qui séjournait régulièrement à l'hôtel des Roches Noires avec sa grand-mère entre 1880 et 1915, et Marguerite Duras qui y acquiert en 1963 un appartement mitoyen de celui qu'occupait Proust et y passera tous ses étés jusqu’à sa mort.
XXe siècle
Trouville est cependant bientôt concurrencée par Deauville. Village d'une centaine d'habitants au milieu du XIXe siècle, celle-ci se développe rapidement sous l'impulsion du duc de Morny[32] et s'impose comme « ville de plaisirs » au début du XXe siècle[29]. Dans le premier quart du XXe siècle, Trouville perd des habitants au profit de sa nouvelle rivale.
Sous l'impulsion de Fernand Moureaux élu maire en 1934, la ville connaît un nouveau souffle dans les années 1930. Créateur de la Suze, il met au profit du développement de la ville une partie de sa fortune ; Fernand Moureaux voit dans la création des congés payés par le Front populaire une occasion de réorienter la station une nouvelle clientèle populaire et familiale[33]. Il initie de nombreuses constructions[34]. « Maire bâtisseur »[35], il s'illustre par de nombreuses constructions dans le style normand, comme la halle aux poissons sur les plans de l'architecte Eugène-Maurice Vincent ou une piscine olympique à l'eau de mer[36] et des établissements de bains.
Affiche[37] pour le Casino de Trouville dans les années 1890.
Avec la Seconde Guerre mondiale, elle souffre de destructions. Les Allemands démantèlent la jetée-promenade des Anglais[28], et une dizaine de bunkers sont créés sur la plage. La ville reprend progressivement sa vocation balnéaire à l'issue de la guerre. Son nom est alors associé à celui du dessinateur Raymond Savignac, qui conçoit de nombreuses affiches de promotion de la ville. Il y réside les 25 dernières années de sa vie[38] jusqu'à son décès en 2002.
Ville essentiellement touristique, elle voit une hausse forte des résidences secondaires et une baisse de sa population. De nombreuses personnalités y ont ainsi des résidences secondaires, comme Gérard Depardieu, Antoine de Caunes ou Patrick Rambaud.
Ségolène Royal fit ses premières armes politiques à Trouville après un parachutage. Elle fut conseillère municipale (PS) d'opposition 1983 à 1986. En 2007, les électeurs trouvillais lui préfèrent Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle, avec 62 % des voix[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2021, la commune comptait 4 622 habitants[Note 4], en évolution de −1,13 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le tourisme est la principale activité économique de la ville, avec un camping de 200 places, 14 hôtels, dont un cinq étoiles et quatre trois étoiles, un casino Barrière (le 21e de France par le produit des jeux), employant 110 salariés, des restaurants, dont les brasseries du quai (50 salariés) et un centre de thalassothérapie[48].
Trouville conserve également une petite activité de pêche (25 à 30 chalutiers)[49].
Le BTP est représenté par les maçonneries Lambert (35 salariés) et Lemétayer (30 salariés), les revêtements Laîné (30 salariés) et les charpentes Santos (20 salariés)[48].
Tourisme
Trouville-sur-Mer est une station balnéaire populaire, en particulier pour sa proximité de Paris (environ deux heures de route ou de train). Elle attire, en particulier pour sa plage longue de 1,2 kilomètre et ses planches, un tourisme assez familial et « cultive son patrimoine architectural et culturel ainsi qu'une certaine douceur de vivre »[50]. Elle développe également une clientèle de curistes.
Marché aux poissons.
Plage de Trouville en automne.
Promenade des planches.
Le port vu du pont des Belges.
Médias
Plusieurs journaux[51] ont été publiés à Trouville-sur-Mer[52] :
Journal de Trouville et de ses environs puis Journal de Trouville et de Deauville (1858-1868)
La poissonnerie normande (1936), due aux architectes Maurice Vincent (concepteur), Marcel Davy et Maurice Halley (constructeurs). Gravement endommagée par un incendie le 24 septembre 2006, elle a été reconstruite à l'identique. Inscrite par arrêté du 14 septembre 1992[56].
Le château d'Aguesseau, situé sur les hauteurs de la ville. Construit au XVIIe siècle à la demande de Robert de Nollent, seigneur de Trouville. Il a été profondément remanié en 1853 à la suite des travaux entrepris par le prince Murat. Inscrit par arrêté du 24 février 1995[57].
Le bureau de poste (1929), dû à l'architecte Pierre Chirol et inscrit par arrêté du 5 juillet 2010[58]. Il a été fermé puis réaménagé en meublé de tourisme[59]
Le casino de Trouville-sur-Mer, construit sur le thème de la Louisiane et premier casino à thème d'Europe, construit en 1912 par Alexandre Durville, rénové et décoré par Jacques Garcia[60]. Il est inscrit depuis le 22 décembre 2016[61].
le Trouville-Palace ouvert en 1910, premier hôtel de cette époque à disposer d'un ascenseur et à équiper ses 200 chambres de sanitaires individuels[63].
Les villas du bord de mer aux styles architecturaux variés :
Le chalet Mozin et la tour Malakoff, résidences de Charles Mozin[64] ;
La villa Sidonia ou Villa Honoré, de style Renaissance, seule villa du front de mer à ne pas avoir été divisée en appartements[65]. Elle fut construite pour le banquier parisien Alfred Honoré par l'architecte Désiré Devrez en 1868[66] ;
Villa Thénard, construite par la famille de Louis Jacques Thénard, qui donna aussi son nom à la place Thénard voisine.
L’hôtel de ville de 1911, par l'architecte Laurent Farge.
La jetée promenade construite en bois.
La statue de Gustave Flaubert (d'une hauteur d'1,84 m) est située place Foch. Inaugurée en 1954, il s'agit d'une reproduction d'une pièce en bronze réalisée par Léopold Bernstamm en 1907 sur la place des Carmes à Rouen. Flaubert avait le regard tourné vers la fenêtre d'Elisa Schlesinger au 2e étage de l'hôtel Bellevue. Une plaque en cuivre, apposée à l'occasion du bicentenaire de la naissance de l'écrivain, évoque son lien avec la ville.
La mairie.
Phares de Trouville-sur-Mer (en rouge) et de Deauville (en vert).
Trouville accueille chaque année depuis 2000 un festival de cinéma consacré aux courts-métrages « Off-Courts ». Trouville accueille aussi depuis 2016 les Rencontres internationales géopolitiques de Trouville-sur-Mer organisées par Frédéric Encel. Un Prix Marguerite Duras est décerné à Trouville, ainsi qu'un Prix de Trouville, fondé par Pierre Bergé et Stéphane Héaume.
Claude Monet (1840-1926), peintre, y séjourna souvent et y peignit de nombreux tableaux.
Valerien Ostroga (1840-1889), photographe, y exerce de 1872 à 1889.
XXe siècle
Marcel Béalu (1908-1993), poète, écrivain y posséda un appartement.
Nadia (1887-1979) et Lili Boulanger (1893-1918), musiciennes et compositrices, passèrent une partie de leur enfance à Trouville, et y chantèrent[75]. Une salle de concert du conservatoire local porte le nom de Nadia Boulanger
Louis Pauwels (1920-1997), journaliste et écrivain, comme sa fille Marie-Claire Pauwels (1945-2011), journaliste, y possédait chacun une résidence secondaire.
Antoine de Caunes (né en 1953), animateur de télévision et acteur de cinéma, y réside avec Daphné Roulier, journaliste, après qu'ils se sont mariés à Trouville en 2007. La fille d'Antoine de Caunes, Emma de Caunes (née en 1976), actrice, habite aussi Trouville depuis 2020[80]
Gérard Depardieu (né en 1948), acteur de cinéma, y possède une maison.
José Garcia (né en 1966), acteur de cinéma, y possède une résidence secondaire.
Karl Zéro (né en 1961), animateur de télévision, y possède une maison.
Héraldique
Les armes de la commune de Trouville-sur-Mer se blasonnent ainsi :
D'azur à la barque trouvillaise contournée, équipée, habillée et flammée d'argent, voguant sur une mer de sinople, au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
↑Né Leclercq est autorisé en 1867 à ajouter de Lannoy. On lui doit l'installation d'une promenade de planches sur la plage en 1867.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944 , l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998. (ISBN2911855132).
↑« Composer en tant que catholique : une relecture de la musique vocale de Lili Boulanger », Annegret Fauser et Marie-Hélène Benoit-Otis, Canadian Journal of Music, Volume 26, numéro 1, 2005