Elle est la fille de Jean Trogneux (1909-1994) et de son épouse Simone Pujol (1913-1998). Le couple a six enfants dont Brigitte Trogneux est la benjamine.
À l'âge adulte, elle se définit comme étant « catholique, croyante non pratiquante »[5].
Elle est âgée de 8 ans lorsque sa sœur Maryvonne Trogneux meurt dans un accident de voiture avec son époux en 1961[6].
Son frère aîné, Jean-Claude Trogneux, dirigeant de la chocolaterieTrogneux, meurt en 2018, à 85 ans[7],[8].
Une autre de ses sœurs, Monique Trogneux, est l'épouse de Jean-Claude Gueudet depuis 1963[9]. Ce dernier, membre de la famille Gueudet, est un des plus importants concessionnaires automobiles du pays. Le magazine Challenges le classe dans le top 500 des plus grandes fortunes de France[10].
Ses deux autres frère et sœur sont Jean-Michel et Anne-Marie Trogneux[11].
Patrimoine
Brigitte Macron est propriétaire d'une maison au Touquet, estimée à 1,4 million d'euros[12].
Près de cette maison, Brigitte Macron possède des locaux commerciaux qu'elle loue à une agence immobilière et une boutique de prêt-à-porter[13]. Elle a hérité ces biens de son père[12].
Selon la biographie Il venait d’avoir dix-sept ans de la journaliste Sylvie Bommel, relatant le fait qu'André-Louis Auzière refuse d'assister à l'enterrement de sa mère pour éviter de voir son ancienne épouse, la séparation est conflictuelle[19]. Le divorce est officiellement prononcé le . Elle décrit également un homme particulièrement discret[20]. Après la médiatisation du couple de Brigitte et Emmanuel Macron, André-Louis Auzière est sollicité mais refuse toute interview. Il meurt le à l'âge de 68 ans[16],[21].
Brigitte Macron est grand-mère de sept petits-enfants[22],[23].
Durant l'année scolaire 1992-1993, elle anime un atelier de théâtre au lycée de la Providence. Parmi ses élèves, elle remarque Emmanuel Macron, alors âgé de 15 ans et élève de seconde dans la même classe que sa fille Laurence Auzière[40],[41],[42],[43],[44]. Une représentation théâtrale de fin d'année est organisée où Emmanuel Macron joue un épouvantail dans l’adaptation du recueil de pièces de théâtre La Comédie du langage, de Jean Tardieu. À propos de leur première rencontre, elle déclare avoir été « totalement subjuguée par l’intelligence de ce garçon »[45]. L'année scolaire suivante, elle travaille à nouveau en commun avec Emmanuel Macron, scolarisé en classe de première pour réécrire la pièce L'Art de la comédie d'Eduardo De Filippo, où participe également sa fille aînée Laurence Auzière. À Paris Match, Brigitte Macron déclare a posteriori que « l'écriture nous réunissait chaque vendredi et a déclenché une incroyable proximité »[46]. Dès lors, ils entament une relation amoureuse.
La différence d'âge (de plus de vingt-quatre ans) entre les deux amants provoque un scandale dans la famille Trogneux, d'autant que leur relation pourrait tomber sous le coup de l'article 227-27 du Code pénal, qui consacre le délit d'atteinte sexuelle sur mineur, et qui dispose aujourd’hui qu’un enseignant qui a des relations sexuelles avec un élève mineur âgé de plus de 15 ans encourt jusqu’à trois ans de prison[2],[43],[36]. Leur relation se poursuit discrètement à Paris, où Emmanuel Macron entre en classe de terminale, puis en classes préparatoires littéraires au lycée Henri-IV[14].
En 2012, Emmanuel Macron se lance en politique. Le couple attire alors l'attention des médias, qui voient dans l'intérêt suscité par leur différence d'âge une preuve de l'évolution de l'opinion en la matière[49].
Durant le printemps 2016, l'homme d'affaires Xavier Niel recommande Mimi Marchand, dirigeante de l’agence photo Bestimage travaillant en partenariat avec Paris Match, à Brigitte Macron ; elle deviendra par la suite une conseillère informelle du couple Macron[56],[57],[58].
En , les époux Macron font la une de l'hebdomadaire, auquel ils ont accordé photos privées et entretien exclusif. Ils considèrent après coup cette surexposition comme une maladresse et démentent qu'il y ait eu de leur part une stratégie délibérée de médiatisation[59],[60]. En comparaison avec d'autres candidats, les photos du couple font régulièrement la couverture de Paris Match pendant la campagne électorale de 2017, soit six couvertures en un an, permettant de plébisciter des valeurs conjugales et familiales consensuelles[61]. De même, selon la journaliste Nathalie Funès, cette stratégie de communication est destinée à ancrer le candidat dans une normalité conjugale dans l’esprit du grand public, alors que des rumeurs sur la prétendue homosexualité d'Emmanuel Macron auraient pu constituer un frein à son élection[61],[62].
Après la victoire d’Emmanuel Macron, Mimi Marchand continue de conseiller Brigitte Macron à l’Élysée et seuls les photographes de Best Image sont autorisés de prendre des photos du couple. Selon Le Figaro, les contours de l’action de Michèle Marchand autour du couple présidentiel restent flous, entre communication et photojournalisme[63].
Selon Mediapart, des écoutes téléphoniques révèlent une discussion entre les deux femmes où Brigitte Macron critique la justice concernant les affaires judiciaires visant Nicolas Sarkozy et lui propose les services d'un garde de corps[64]. À la suite de cette révélation, l’entourage de Brigitte Macron évoque une « surinterprétation politique » d'une « conversation banale »[65]. À l'issue du premier mandat présidentiel d'Emmanuel Macron, Michèle Marchand perd l'exclusivité sur les reportages du couple au profit de l'agence Abaca Press[66].
Campagnes électorales
Lors de la campagne présidentielle de 2017, Brigitte Macron joue un rôle particulièrement actif et polyvalent au sein du mouvement En Marche !, sans fonction attitrée au sein de l’organigramme du parti politique[67]. Selon le livre Emmanuel Macron, en marche vers l'Élysée, publié en 2016 par le journaliste Nicolas Prissette, elle aurait encouragé Emmanuel Macron à se lancer dans cette élection présidentielle en déclarant : « Il faut qu'il y aille en 2017. Parce qu'en 2022, son problème, ce sera ma gueule »[68]. Pour Le Vif/L'Express, Brigitte Macron nie avoir prononcé ces propos. À la veille des élections présidentielles en mai 2017, le site d’information parodique SecretNews relaye que Brigitte Macron mentirait sur son âge et qu'elle serait née le 13 avril 1943 et non le 13 avril 1953, en se basant sur un document supposément révélé par WikiLeaks[69],[70]. En octobre 2018, le site de « divertissement » Ici L’Info relaye cette parodie en toute connaissance de cause en la présentant comme une information. Jugeant cette information absurde, Brigitte Macron ne porte pas plainte[71].[pertinence contestée]
Lors de la campagne présidentielle de 2022, Brigitte Macron est moins omniprésente mais bénéficie d’une popularité croissante si l'on en juge par l'augmentation régulière des courriers qui lui sont adressés[72].
Brigitte Macron affirme vouloir être « une et indivisible » aux côtés du président de la République, lequel souhaite initialement qu'un cadre officiel soit défini pour la fonction de « Première dame », qualifiant d’« hypocrisie » la situation actuelle[74]. Durant l'été 2017, une pétition contre la création de ce statut, lancée par le futur Gilet jaune Thierry-Paul Valette, rassemble 300 000 signatures[75].
Statut de Première dame
Finalement, une « charte de transparence » est présentée. Celle-ci reconnaît à Brigitte Macron un « rôle de représentation » de la France aux côtés du président, notamment lors des réunions internationales. Elle pourra « prendre part à des actions nationales et internationales, mises en place avec d'autres conjoints de chefs d’État, notamment pour lutter contre le changement climatique ou encore les violences faites aux femmes et aux enfants ». Elle devra également répondre aux « sollicitations » des personnes souhaitant la rencontrer. Par son parrainage ou sa présence, elle apportera son soutien à « des manifestations à caractère caritatif, culturel ou social ou qui participent au rayonnement international de la France ». Elle sera également chargée de « maintenir un lien continu d'écoute et de relations avec les acteurs de la société civile dans les domaines du handicap, de l'éducation, de la santé, de la culture, de la protection de l'enfance ou encore de l'égalité homme-femme ». Le président de la République pourra en outre la charger de « missions de réflexion et de propositions » qui seront rendues publiques à chaque fin du mois, tout comme son agenda. La charte indique que les moyens pour sa fonction seront pris sur le budget de la présidence et qu'elle pourra compter sur deux conseillers présidentiels mis à sa disposition et sur un secrétariat[76]. Un budget de 440 000 euros est mis à sa disposition[77].
Dans son ouvrage Emmanuel Macron, vérités et légendes sorti en mai 2021, le journaliste du Figaro Arthur Berdah relate le « rapport de confiance » qu’Emmanuel Macron entretient avec son épouse Brigitte Macron. Malgré son absence de statut juridique, elle intervient dans le cadre de son travail, notamment sur les discours et les allocutions télévisuelles. Selon le journaliste, « il avoue qu'elle a un rôle et une influence sur lui. Ce qui était une légende qui se raconte beaucoup et qui en fait s'avère être une vérité, c'est que Brigitte Macron a bel et bien un rôle et une influence sur lui »[78],[79].
Durant le second mandat d'Emmanuel Macron, son influence politique est également soulignée par Le Monde[80],[81].
Budget de fonctionnement
Le cabinet de Brigitte Macron emploie deux collaborateurs et deux postes d'assistanat à temps plein et temps partiel. Selon la Cour des comptes, le volume croissant de courriers adressés implique sept emplois à temps complet pour la gestion de la correspondance, tandis que les frais de sécurité et de représentation (coiffure, maquillage hors vêtements) sont partagés avec le budget des frais de la Présidence[82],[83]. En comparaison avec ses prédécesseures, l’AFP souligne qu’elle dispose de moyens financiers moins importants, soit 440 000 € annuels en 2018[84],[85].
Fin , le président brésilien Jair Bolsonaro publie sur Facebook un commentaire offensant envers le physique de Brigitte Macron[90]. Par la suite, le ministre brésilien de l'Économie Paulo Guedes réitère des propos insultants à son encontre en déclarant qu’elle est « vraiment moche »[91],[92]. Ces attaques inédites marquent une tension diplomatique supplémentaire entre Brasilia et Paris à la suite des précédentes prises de parole d'Emmanuel Macron mettant en question l’engagement écologique de Jair Bolsonaro. Face à la polémique, Brigitte Macron reçoit le soutien d’artistes brésiliens comme Paulo Coelho, ainsi que du quotidien brésilien Extra, qui publie la photo de Brigitte Macron avec le titre écrit en français : « Pardon Brigitte ». Sa fille Tiphaine Auzière se déclare « très en colère » et affirme que défendre sa mère, « c'était défendre toutes les femmes victimes de violences »[93]. Brigitte Macron déclare avoir été « très touchée » par les messages de soutiens venus du Brésil. Lors d'un déplacement à Azincourt dans le Pas-de-Calais, Brigitte Macron lance « Muito obrigada ! » (« Merci beaucoup » en portugais) et déclare : « Les choses changent, il faut que tout le monde en prenne conscience. Il y a des choses qu'on ne peut plus dire et des choses qu'on ne peut plus faire »[90]. Afin de calmer les tensions diplomatiques, lors d’une interview, l'ambassadeur du Brésil en France, Luis Fernando Serra, déclare qu'elle est « belle, élégante et charmante »[94]. Par la suite, le porte-parole de la présidence brésilienne déclare : « Afin d'éviter une mauvaise interprétation, le commentaire a été retiré du réseau social »[95].
Proche de la famille de Bernard Arnault, elle se fait habiller gratuitement par Louis Vuitton lors de ses sorties officielles, ce qui crée la polémique[99],[100].
Décoration à l'Élysée
Par ailleurs, elle participe à la décoration de l'Élysée, en y introduisant des artistes contemporains, dont un tapis réalisé par Christian Jaccard et des fauteuils signés Éric Jourdan dans le salon Murat[101]. Après la salle des fêtes du palais, elle lance la rénovation d'un salon par an, travaux que la Cour des comptes juge indispensables[5].
Plaintes
En , le cabinet du palais de l'Élysée porte plainte pour usurpation d'identité après avoir découvert que le nom de Brigitte Macron était utilisé pour obtenir des traitements de faveur dans des établissements de luxe à travers une fausse adresse mail[102]. L'objet de la plainte est, selon le cabinet, « une tentative très claire de nuire à [la] réputation [de Brigitte Macron] »[103]. En , l'homme de 35 ans qui se prétendait être le neveu de Brigitte Macron est condamné à 30 mois d'emprisonnement, dont 18 assortis de sursis, renforcé pour usurpation d'identité, tentatives d'escroquerie, escroquerie, en récidive légale[104].
Début , lors des vacances du couple présidentiel au fort de Brégançon, des manifestants « Gilets jaunes » se réunissent sur la plage à proximité et mettent à l'eau plusieurs homards gonflables sur lequel l'un d’entre eux écrit des insultes à l'encontre de la « Première dame ». Le , devant le tribunal correctionnel de Toulon, la personne est jugée pour « injure publique envers le président de la République » et « injure publique et diffamation envers particulier(s) ». Selon Var-Matin, la procédure est annulée pour un vice de forme. Selon MeJuan Branco, c’est un salarié de l'Élysée qui a déposé plainte sans mandat de représentation et en l’absence de signature de Brigitte Macron. Par conséquent, le tribunal donne une suite favorable aux conclusions de nullité soulevées par Me Juan Branco selon les dispositions de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse[105],[106].
Le , le Gilet jaune Thierry-Paul Valette dépose une plainte contre Brigitte Macron[107] au commissariat de Lisieux dans le cadre de la charte de transparence. Les motifs de la plainte sont : délit de trafic d’influence passif, délit de corruption passive et complicité de conflit d’intérêt passif par personne chargée d’une mission de service public. Elle sera classée sans suite en août 2019[108].
L'image de Brigitte Macron est également exploitée illégalement par plusieurs escrocs sur internet, afin de vendre et de promouvoir des marques de crème antirides dont elle serait l'égérie ou la créatrice[109].
Rumeur Jean-Michel Trogneux
En , Natacha Rey, une internaute proche des milieux d’extrême droite et des sphères complotistes, et qui se présente comme une journaliste indépendante[110], publie plusieurs messages sur Facebook insinuant que Brigitte Macron serait née de sexe masculin sous le prénom de son frère, Jean-Michel Trogneux. La théorie, relayée par une youtubeuse et six numéros de Faits et Documents, enfle et se retrouve propagée sur des sites conspirationnistes et d'extrême droite ainsi que sur Twitter. Natacha Rey appelle à une campagne de harcèlement par envoi de messages sur le site de l'Élysée. Malgré un procès en diffamation condamnant en février 2023 les deux femmes à l'origine de cette rumeur, et un autre dont l'issue est prévue en mars 2025, la rumeur refait surface dans les milieux complotistes et d'extrême droite américains[111],[112],[113]. Pour des observateurs, cette diffusion à large échelle résulterait d'une défiance vis-à-vis du pouvoir et des médias et d'un rejet des élites, pouvant utiliser la figure d'Emmanuel Macron comme défouloir, et fait craindre une « Trumpisation » des débats[114],[115],[116].
Prises de position
En , lors de son premier entretien à la presse, paru dans le magazine Elle, Brigitte Macron déclare souhaiter « lutter contre les exclusions, notamment ce qui touche au handicap, à l’éducation et à la maladie »[117].
En , alors que, dans la foulée de l'affaire Harvey Weinstein, des milliers de femmes harcelées commencent à publier sur Twitter, avec le hashtag#balancetonporc, le récit d'agressions sexuelles dont elles déclarent avoir été victimes, Brigitte Macron apporte son soutien à ces victimes présumées. Elle encourage les personnes n'ayant pas encore dénoncé les abus qu'elles auraient subis à « briser le silence »[118],[119],[120],[121].
Elle soutient en 2018 l'action de Stéphane Bern, proche du couple présidentiel chargé d'une mission sur le patrimoine[122].
En , elle lance et prend la présidence de l’Institut des vocations pour l’emploi (Live) : financé par LVMH, celui-ci vise à créer des centres de formation pour jeunes adultes sans emploi[123]. Elle compte intervenir comme enseignante au sein de la première école de l'Institut, inaugurée en [123],[124].
En , à l'occasion des accusations d'agressions sexuelles d'Adèle Haenel, elle exprime sa solidarité à l'actrice et salue le « courage » de « ceux qui parlent »[125]. En , à l'occasion de l'affaire Olivier Duhamel, accusé d'inceste, elle s'exprime en faveur d'une réforme judiciaire lors d'un entretien accordé à TF1[126],[127].
En , elle participe à un débat sur l’enfance en danger animé dans le cadre de la projection du film de Jacques DoillonCE2, qui traite du harcèlement scolaire dans une école primaire[128]. À plusieurs reprises durant le mandat présidentiel, elle accompagne le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, pour sensibiliser au problème du harcèlement scolaire et engager des actions contre ce phénomène[129],[130],[131].
En 2018, Le Parisien annonce que l'auteure Gaël Tchakaloff prépare une bande dessinée illustrant une journée de la vie de Brigitte Macron[137].
Dans le troisième épisode de la première saison de la série télévisée américaine Emily in Paris, Carla Bruni envoie à Brigitte Macron une photo postée sur les réseaux sociaux par Emily Cooper, que la « Première dame » partage ensuite, ce qui permet à Emily de se démarquer au sein de sa société de marketing. Durant cet épisode, une scène montre Brigitte Macron au palais de l'Élysée, de dos et interprétée par une doublure, au moment où elle reçoit la photo[138]. Elle fait une courte apparition dans le septième épisode de la quatrième saison : Emily, déjeunant dans un restaurant, aperçoit Brigitte Macron. Après une interaction entre les deux personnages et une courte réplique de la Première dame, la scène se conclut par un selfie[139].
2018 : Vestiaires d'Adda Abdelli et Fabrice Chanut : Brigitte Macron apparaît dans son propre rôle, dans un épisode de la saison 8 ; elle termine ce caméo par la phrase « Merci pour ce moment », empruntée au livre de Valérie Trierweiler[140].
Notes et références
Notes
↑Valérie Trierweiler était la conjointe du président de la République, François Hollande, et non son épouse.
« Leur attirance réciproque menace de tomber sous le coup de l'illégalité. La loi du dispose qu’un enseignant qui a des relations sexuelles avec un élève de moins de dix huit ans encourt jusqu’à trois ans de prison. »
« À 16 ans, élève de première, lauréat du concours général de français, Emmanuel Macron est tombé amoureux de sa professeure de français, Brigitte Trogneux, mère de trois enfants et de vingt-quatre ans son aînée. »
↑Tiphaine Lévy-Frébault, « Qui est Brigitte Trogneux, l'épouse d'Emmanuel Macron ? », L'Express, (lire en ligne) :
« Professeure de français passionnée de littérature, Brigitte Trogneux enseignait au lycée de la Providence, à Amiens, lorsqu'elle a eu Emmanuel Macron comme élève de première. Elle a alors 36 ans et lui 17. »
↑ a et b« Vidéo : rencontre, mariage, les films souvenirs du couple Macron », Femme Actuelle, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bSolenn de Royer et Vanessa Schneider, « Compagne présidentielle », Le Monde, no 22476, , p. 12 (lire en ligne).
Dans la version en ligne, publiée le 17 avril 2017, l'article est titré « Brigitte Macron, la compagne présidentielle ».
↑Géraldine Catalano, « Mon aînée, mon aimée/Quand la femme est l'aînée du couple », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
↑Tiphaine Lévy-Frébault, « Qui est Brigitte Trogneux, l'épouse d'Emmanuel Macron ? », L'Express, (lire en ligne) :
« Professeure de français passionnée de littérature, Brigitte Trogneux enseignait au lycée de la Providence, à Amiens, lorsqu'elle a eu Emmanuel Macron comme élève de première. Elle a alors 36 ans et lui 17. »
↑« Législatives : Tiphaine Auzière, belle-fille d’Emmanuel Macron, sera suppléante », Le Parisien, (lire en ligne).
↑« EXCLU – Brigitte Macron évoque sa différence d’âge d'avec son mari », Gala, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Présidentielle, ça roule pour Macron », Paris Match, semaine du 9 au , p. 36-41.
↑« Emmanuel Macron : on a préféré écarter sa femme, Brigitte, de sa campagne… », Public.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑Solenn de Royer et Vanessa Schneider, « Brigitte Macron, la compagne présidentielle », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
Caroline Derrien et Candice Nedelec, Les Macron, Paris, Fayard, coll. « Documents », , 234 p. (ISBN978-2-213-70462-3).
Joëlle Chevé, L'Élysée au féminin, de la IIe à la Ve République : Entre devoir, pouvoir et désespoir, Monaco, Éditions du Rocher, , 525 p. (ISBN978-2-268-09048-1)
Maëlle Brun, Brigitte Macron l'affranchie, Paris, éditions de l'Archipel, 2017.
Fabienne Cassagne, Brigitte Macron, la confidente, City Édition, 2018.
Caroline Derrien et Candice Nedelec, Les Macron. Enquête sur un couple au sommet, Fayard/Pluriel, 2018.
Ava Djamshidi et Nathalie Schuck, Madame la présidente, Plon éditions, 2019.
Sylvie Bommel, Il venait d'avoir dix-sept ans, JC Lattès, 2019.
Renaud Dély et Marie Huret, Les Macron du Touquet Élysée-plage, Seuil, 2020.
Gaël Tchakaloff, Tant qu’on est tous les deux, Flammarion, 2021.