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L'Armorial des familles de Picardie recense les armoiries des familles nobles et bourgeoises de l'ancienne province et de l'ancienne région de Picardie, sous forme de figures et de blasonnements, ainsi que les devises des familles y ayant possédé des fiefs. Certaines familles figurant dans cet armorial remontent au haut Moyen Âge, d'autres sont de noblesse beaucoup plus récente (XIXe siècle).
Blasonnement de la famille Campdavaine : D’azur, à la gerbe d’avoine d’or.[7],[8]
Blasonnement de la famille de Châtillon-Saint-Pol : De gueules à trois pals de vair ; au chef d'or chargé d'un lambel d'azur.[9]
Blasonnement de la famille de Luxembourg-Saint-Pol : D'argent au lion de gueules, la queue nouée, fourchée et passée en sautoir, armé, couronné et lampassé d'or.[2]
Blasonnement : « Écartelé : aux 1 & 4, d’or, à un vol de gueules (Poix); aux 2 & 3, de gueules à la bande d’argent, accompagnée de six croisettes recroisettées d’or, rangées en orle. »
On trouve également : D'argent, à la croix de gueules frettée d'or[14].
Blasonnement : Écartelé au 1 d'or à trois fasces de gueules à une branche de gui de chêne de sinople brochant sur les fasces (Walbert) au 2 d'or à trois bandes de gueules (Ponthieu ancien) au 3 d'argent à trois écussons de gueules (Boubers) au 4 d'or à la croix de sable ch de cinq coquilles d'argent (Rayneval-Bernâtre) Sur le tout d'or à trois écussons de gueules (Abbeville-Boubers-Tune)[2]
Supports : deux tritons sonnant de la conque marine au naturel.
Blasonnement : D'azur, au chevron d'argent, accompagné en chef de deux étoiles ou roses d'or (alias : 2 roses d’argent) et en pointe d'une coquille du même[30].
Blasonnement : D'or, au lion léopardé de gueules, armé d'or et lampassé d'azur, à la bordure du deuxième[31].
Comté de Valois
Figure
Nom de la famille et blasonnement
Famille de Creil
Blasonnement : D’azur, à un chevron d’argent (d'or), chargé de trois molettes d’éperon de sable, accompagné de trois roses du second (d’or), deux en chef et une en pointe
Blasonnement : Écartelé au 1 et au 4 d'azur, à la bande d'argent, chargée de trois défenses de sanglier de sable, accompagnée de deux roues à quatre rais du second émail; au 2 et au 3, coupé d'or et d'argent, à l'aigle de sable languée, membrée et couronnée de gueules, brochante
Pierre des Friches (1472) - Preuve de noblesse depuis Arnaud des Friches, écuyer, lieutenant-général au bailliage de Senlis (1498).
Artus des Friches, seigneur de Brasseuse épousa, en 1609, Catherine Doria[33].
Blasonnement : Fascé d'argent et de gueules de huit pièces.
Autre blasonnement : Écartelé, aux 1 et 4 d'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel d'argent ; aux 2 et 3 fascé d'argent et de gueules de huit pièces.
Devise : FURIBUNDI CALVIMONTENSES.
Guillaume de Chaumont, chevalier, fait prisonnier par les Anglais en 1119
Blasonnement des seigneurs et comtes de Guise : coupé et parti en 3, au premier fascé de gueules et d'argent, au second d'azur semé de lys d'or et au lambel de gueules, au troisième d'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même, au quatrième d'or aux quatre pals de gueules au cinquième parti d'azur semé de lys d'or et à la bordure de gueules, au sixième d'azur au lion contourné d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, au septième d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, au huitième d'azur semé de croisettes d'or et aux deux bar d'or. Sur le tout d'or à la bande de gueules chargé de trois alérions d'argent le tout brisé d'un lambel de gueules[46].
Adrien d’Abancourt, seigneur d’Abancourt et de Courcelles († 1455) - Claude d'Abancourt, chevalier, seigneur de Rouvre, gentilhomme de la Maison du roi, brigadier des armées de Sa Majesté (1655)[42].
Blasonnement : D'argent à la croix ancrée de sable[2]
Autre blasonnement : D'argent à une croix ancrée de sable, parti aussi d'argent à une aigle au vol éployé de sable.
Louis d'Acheux (fin XVe siècle) - Jacques d'Acheux, écuyer, seigneur de Plouich, mort en 1581 - Anne d'Acheux, écuyer, seigneur de Saint-Maixent (1646) - Geoffroy d'Acheux, écuyer, seigneurr de Saint-Maixent, maintenu dans sa noblesse par jugement en 1698 - Louis-Paul d'Acheux, écuyer, seigneur de Saint-Maixent. né en 1767[50].
Blasonnement : Tiercé en fasce, au 1 de gueules à un lys de jardin au naturel senestré d'un chien couché d'argent moucheté de sable ; au 2 d'azur au chevron d'or accompagné de 3 cloches du même ; au 3 d'or à 2 épées de sable posées en sautoir'[51].
Famille anoblie par lettres de Louis XVIII en 1814, et créé baron avec majorat en 1821.
Guillaume d'Aigneville, chevalier, mayeur de Maisnières (1218)[54] - Pierre d’Aigneville (1460) - Jean d’Aigneville, écuyer, seigneur de Millencourt, épouse en 1516 Antoinette Le Ver dont sont issues deux branches :
branche aînée, seigneur de Millencourt jusqu'au XVIIIe siècle et branche cadette, seigneur de Flamecourt (XVIe siècle) puis de Boisville et de Romaine (XVIIe siècle)
Blasonnement : De gueules à deux branches d'alisier d'argent passées en double sautoir, au chef échiqueté d'argent et d'azur[55].
Waldemar d'Ailly, chevalier, seigneur de Brich (XVe siècle) - Robert III d’Ailly (v. 1305-1384), chevalier, seigneur d'Ailly-le-Haut-Clocher, Boubers et Fontaine-sur-Somme, seigneur de Picquigny, vidame d'Amiens.
La famille d'Ailly d'Annebaut est une branche cadette de la famille d'Ailly qui disparut par le mariage, le 14 janvier 1620, de Claire Charlotte Eugénie d'Ailly avec Honoré d'Albert'[56].
Blasonnement : D'argent à un chef émanché de gueules et une bande d'azur accostée de deux cotices du même brochant sur le tout, accompagnée en chef d'une molette d'éperon aussi d'azur reposant sur l'argent'[57].
Claude d'Ainval, écuyer, seigneur de Domfront (1550) - Jacques d’Ainvai, Chevalier, seigneur de Fretoy, capitaine d'infanterie (1710) - Louis d'Ainval de Braches, page de la Petite Écurie du roi en 1730 - Jean-Frédéric d’Ainval, écuyer, seigneur de Beaulieu, capitaine au régiment de la Tour (1745) - Charles-Félix d’Ainval, chevalier, seigneur du Fretoy, capitaine au régiment d'Abbeville (1778).
Blasonnement : D'argent à trois fasces de gueules[Note 9]
Godard d'Airaines, chevalier (1100) - Raoul d'Airaines, chevalier, seigneur d'Airaines (1209) - Hues d'Airaines, sire de Saint-Maxent (1279) - Jean d'Airaines (dit Lionel), chevalier, servant en 1369 dans une compagnie d'hommes d'armes sous le commandement du maréchal de Sancerre - Lionel d'Airaines, seigneur de Rambures (pour partie), chargé de la garde des frontières du Boulonnais et de l'Artois en 1405[59].
Blasonnement (armes anciennes)[Note 10] : burellées d'argent et de gueules de dix pièces[2].
Blasonnement selon Henri Jougla de Morenas : Écartelé aux 1 et 4 d'or au lion de gueules, armé, lampassé, couronne d'azur; aux 2 et 3 de gueules à 9 mascles d'or posées 3, 3, 3.
Armes modernes : Écartelé aux 1 et 4 d'azur, 4 chaînes d'argent posées en sautoir et aboutissant en abîme à un anneau d'argent; aux 2 et 3 d'or au lion de gueules. armé, lampassé, couronné d'azur; sur le tout d'or à 4 pals de gueules et 3 chevrons d'argent brochant sur le tout'[60].
seigneurs de Luynes, de Chevreuse et de Montfort : d'or au lion couronné de gueules.
seigneurs de Luynes, de Chevreuse, de Dunois et de Noyers : écartelé, au 1 et 4 d'or au lion couronné de gueules (sui est de Chevreuse) et au 2 et 3 contre écartelé au 1 et 4 d'azur aux trois fleurs de lys d'or et au baton de gueules péri en bande et à la bordure de gueules (qui est de Bourbon-Soissons), au 2 et 3 d'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, sur le tout d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or (qui est de Montmorency-Luxembourg) et sur le tout du 2 et 3 de gueules au pal d'argent chargé de trois chevrons de sable (qui est de Neuchatel).
seigneurs d'Ailly, de Chaulnes et de Picquigny : de gueules à deux branches d'alizier d'argent passées en sautoir, chargé du haut d'un écusson d'or au lion couronné de gueules, au chef échiqueté d'argent et d'azur de trois traits.
Blasonnement : Coupé : d'argent à un chêne de sinople devant lequel passe un lion léopardé d'azur ; et d'azur à une étoile à dix rais d'or ; à la bordure d'or chargée de dix têtes de dragons d'azur, lampassées de gueules[61].
Supports : deux léopards lionnés.
Cimier : un panache de six plumes d'autruche d'or et d'azur'[62].
En 1878, Marie-Thérèse de Gaudechart, épouse du comte Alvar d'Alcantara, hérita de la propriété et du château de Querrieu.
Branche aînée : Jean d'Amerval, dit Maillet, écuyer, seigneur de Doingt et Amerval (1407) - Philippe d'Amerval, chevalier, seigneur d'Asservilliers, capitaine de Cavalerie (1680) - Alexandre d'Amerval, chevalier, seigneur d'Asservilliers, capitaine des dragons, chevalier de l'ordre de Saint-Louis dit « marquis d'Amerval » - Jean-Louis d'Amerval, dit « baron d'Amerval », capitaine au régiment de Calmis, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, vivant en 1789[65].
Branche cadette : Jean d'Amerval dit « Maillefer », écuyer, seigneur de Cerfontaines (1403), branche éteinte au XVIIIe siècle.
Blasonnement : De sable à la bande d'or accompagnée de six billettes du même en orle.[67]
Antoine d'Anvin, écuyer, seigneur de Hardentun (1637) - Jean-Baptiste-Philippe d'Anvin de Hardentun, écuyer, seigneur de Hardentun, Coudées, etc., lieutenant des armées du Roi en 1789 - famille maintenue noble en 1671 et 1699.
Blasonnement : D’argent à trois fasces de sable et une bande de gueules brochant sur le tout'[69].
Adam d'Athies (1171) - Guy d'Athies, vice-chancelier de France (1201) - Hugues d'Athies, grand pannetier de France (1224-1233), participa à la septième croisade - Jean d'Athies, mayeur de Péronne (1259) - Gérard d'Athies, archevêque de Besançon (1391-1404) - Guérard d'Athies, capitaine du duc de Bourgogne (1421) - Famille éteinte au XVe siècle (Cf. famille de Nesle)[70].
Blasonnement : De gueules à huit losanges d'argent posés en croix'[71].
Quentin Aubé, seigneur de Bracquemont (1440) - Florent Aubé, écuyer, seigneur de Bracquemont, Damery, Parvilliers, etc., capitaine au régiment de Longueval, épousa en 1628 Catherine du Toc, première femme de Chambre de la reine-mère en 1643 - Louis Aubé, chevalier, seigneur de Braquemont, Damery, Parvillers, capitaine au régiment de Navarre, maintenu dans la noblesse en 1667, gouverneur de Montreuil en 1700 - Louis-Alexandre Aubé de Bracquemont, chevalier, seigneur de Bracquemont, Damery, Parvilliers, La Chavatte, mousquetaire du roi (1764) - Philippe-Honoré Aubé de Bracquemont (1740-1808), chevalier, capitaine au régiment des grenadiers en 1778, colonel en 1791 - chevalier de l'ordre de Saint-Louis.
Blasonnement : D'argent à la bande de gueules chargée de trois besants d'or'[72].
Cimier : Une aigle essorante d'argent de profil couronnée d'une couronne fermée d'or.
Supports : une licorne d'argent et un lion d'or
Emeri d'Aumale, écuyer, seigneur d'Herselein, mort en 1425 - Philippe d'Aumale, chevalier, vicomte du Mont-Notre-Dame, tué à la Bataille de Pavie en 1525 - Jacques d'Aumale († 1708), chevalier seigneur de Moreuil, maintenu dans sa noblesse en 1699 - Charles d'Aumale (1688-1750), chevalier, Comte d'Aumale, seigneur de Moreuil, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, capitaine au régiment de Navarre, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, directeur des fortifications de Lorraine, brigadier des armées du roi, lieutenant général en 1748.
Blasonnement : D'or à un croissant de gueules à huit merlettes du même rangées en orle'[73].
Jean, sire d'Aumont, chevalier croisé (1248) - Jean d'Aumont, chevalier, sire d'Aumont, échanson du roi, tué à la Bataille d'Azincourt en 1415 - Jean d'Aumont, chevalier, sire d'Aumont, comte de Châteauroux, maréchal de France, mort au service du roi en 1595 - Antoine d'Aumont de Rochebaron, duc d'Aumont, pair et maréchal de France, capitaine des Gardes du corps du roi, mort en 1667 - Luis-Marie-Joseph d’Aumont, chevalier, duc d’Amont et de Villequier (1809-1888)
Philippe d'Auxy, sire d'Auxy, pair du Ponthieu, armé chevalier par Louis IX (Saint Louis), croisé en 1267 - Jean d'Auxy, sire d'Auxy, chevalier, sénéchal du Ponthieu, tué à la Bataille de Crécy, en 1346 - David d'Auxy, chevalier, sire d'Auxy, tué à la Bataille d'Azincourt en 1415 - Jean d'Auxy, chevalier, sire d'Auxy, seigneur des Fontaines, chambellan de Philippe le Bon, duc de Bourgogne ; maître des arbalétriers du roi de France en 1461, mort en 1474 - Jean d'Auxy, chevalier, seigneur de Warelles, maître d'Hôtel du duc de Clèves Jean III (1529) - Philippe d'Auxy, écuyer, seigneur de Launois, bourgmestre de Bruges (1594) - Charles-Emmanuel d'Auxy de Neufville, chevalier, né en 1752, membre de l'état noble du Hainaut, lieutenant de la reine de Hongrie en 1774, retiré du service en 1783'[74].
Blasonnement : D'or au chevron de gueules, accompagné de trois coquilles du même.
Supports : Deux loups
Devise : Hardi Loup.
Ancienne famille bourgeoise de Corbie : Jean-Claude Baudoult, sieur d'Hautefeuille, officier aux chevau-légers - Claude Baudoult d'Hautefeuille (1649)[79].
Famille de Beauvarlet et de Beauvarlet de Moismont
Blasonnement des seigneurs de Drucat : De sable à la fasce d'argent accompagné de trois étoiles d'or en chef et d'un croissant d'argent en pointe[82]
Blasonnement des seigneur de Bomicourt : De sable au chevron d'or accompagné de deux étoiles d'or en chef et d'un croissant d'argent en pointe[81]
Cimier : un chien naissant de sable avec un collier de gueules bordé d'or
Supports : deux griffons d'or
Hue de Beauvarlet (1330) - Charles de Beauvarlet, écuyer, seigneur de Drucat, obtint des lettres de noblesse en avril 1676
Eustache Beauvarlet, échevin d'Abbeville en 1569 - Nicolas Beauvarlet, chevalier, seigneur de Vaconssins, échevin d'Abbeville, maître d'hôtel du roi -Charles-Antoine de Beauvarlet, écuyer, seigneur de Humel, de Bomicourt, confirmé anobli par lettres de 1700 et 1717 - Nicolas de Beauvarlet, écuyer, seigneur de Moismont, maître des eaux et forêts - Louis-François de Beauvarlet de Moismont (né en 1767), écuyer, page de la comtesse d'Artois.
Blasonnement : de sable semé de fleurs de lis d'or[85]
Cri : Bernemicourt !
Famille héritière de la famille de Soyécourt par le mariage de Françoise de Soyécourt, en 1580 avec Ponthus de Belleforière, gouverneur de Corbie. Famille maintenue noble en 1667. Famille éteinte par le mariage de Marie Renée de Belleforière, marquise de Soyécourt, le 5 février 1682 avec Thimoléon Gilbert de Seiglière.
Variante : Losangé d'argent et de gueules et un écusson d'azur brochant sur le tout, chargé d'un chevron d'or accompagné de trois besants du même.[90].
Pierre Bertin, premier lieutenant-général du bailliage de Montdidier, en 1534. Famille anoblie en 1588. Famille divisée ensuite en trois branches : Bertin d'Avesnes, Bertin des Trois Fontaines, Bertin de Saint-Maurice. Membres de la famille présents à l'assemblée de la noblesse du bailliage de Montdidier en 1789.
Supports : deux lions ayant chacun un casque sur la fête sommé d'un pélican qui se perce le sein pour nourrir ses petits.
Devise : ET VlRTUS ET SANGUIS.
Jean, chevalier, seigneur de Béthisy (1375) - François de Béthisy, seigneur de Mézières (1558) - Eugène de Béthisy, marquis de Mézières (fin XVIIe siècle)
Blasonnement : De sable au lion d'argent, armé, lampassé et couronné d'or.
Famille connue depuis le XIe siècle ; filiation prouvée depuis Colinet de Biencourt, seigneur de Poutrincourt (XIVe siècle) - Michel-Charles de Biencourt, chevalier, dit le marquis de Poutrincourt, capitaine au régiment de Bourbon (1768) - Adam-Séraphin de Biencourt, chevalier, dit le « Comte de Biencourt », page du roi en 1789 - Armand de Biencourt (1802-1862), chevalier, titré marquis de Biencourt[93]
Blasonnement : D'azur, au chevron d'or, surmonté de la croix de Lorraine d'or, à la pointe du chevron, accompagnée de 2 croissants d'argent[94]
Autre blasonnement : D'azur au chevron d'or surmonté d'une croix de Lorraine d'or, et accompagnée en pointe de deux croissants d'argent.
Ancelot Billard, gouverneur de Nesle au milieu du XVIe siècle - Michel Billard, capitaine des chevau-légers du duc de Lorraine, noblesse reconnue par lettres de 1600 - Henri Billard de Salins, créé chevalier par lettres du duc de Lorraine en 1634, colonel de deux régiments - Jean-Louis Billard de Cheville, chevalier, maintenu dans son titre par arrêt de 1787, capitaine de cavalerie[95].
Blasonnement : D'argent à trois trèfles renversés de sable surmontés de trois merlettes du même rangées en chef[2].
Supports : deux lévriers au naturel
Jean Blin (ou de Blin), écuyer, seigneur de Rainvillers et de Blin (XIIIe siècle) - Antoine Blin, écuyer, seigneur de Rainvilliers, épousa en 1638 Madeleine Bertin, dame de Bourdon (Somme) - Claude Blin, écuyer, seigneur de Bourdon, maintenu dans sa noblesse en 1670 - Pierre-Louis dit le « Vicomte de Bourdon » - Marie-Louis-Charles Blin de Bourdon (1782-1849), gentilhomme de la chambre du roi, colonel des Gardes nationales de la Somme, officier de la Légion d’Honneur, créé vicomte héréditaire par lettres de 1817[97].
Famille éteinte en 1940 par la mort d'Alexandre Blin de Bourdon ; sa fille, Madeleine Blin de Bourdon (1896-1975), épousa Charles de Vassart d'Andernay.
Armes anciennes : D'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable[98].
Blasonnement : D'argent à la croix d'azur. Sur le tout d'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable [2].
Jacquemart Blocquel (1416) - François Bloquel de Croix (marié en 1626) - René Antoine Blocquel de Croix de Wismes (1656-1705), écuyer - Héracle-Olivier de Blocquel de Croix de Wismes (1815-1887), baron de Wismes[99].
Blasonnement : D'azur à trois serpettes d'argent emmanchées d'or, posées en pal 2 et 1 ; au chef chargé de trois roses de gueules.[106]
Famille bourgeoise connue en 1508, anoblie par l'achat de charges anoblissantes : Trésorier de France (1764), Secrétaire du roi (1706). Plusieurs branches seigneurs de Bouchoir, Fay, Maignelay… Louis Bosquillon de Jenlis assista en 1789 aux assemblées de la noblesse de Montdidier.
Blasonnement : D'or à la croix de sable chargée de cinq coquille d'argent[108].
Autre blasonnement : D'argent à trois écussons de gueules[109],[107].
Filiation prouvée depuis Jean de Boubers, chevalier, seigneur de Motte-lès-Auxy (1320) - Henry-Louis de Boubers maintenu dans la noblesse en 1699[110].
Blasonnement : Écartelé au 1 d'or à trois fasces de gueules à une branche de gui de chêne de sinople brochant sur les fasces (Walbert) au 2 d'or à trois bandes de gueules (Ponthieu ancien) au 3 d'argent à trois écussons de gueules (Boubers) au 4 d'or à la croix de sable ch de cinq coquilles d'argent (Rayneval-Bernâtre) Sur le tout d'or à trois écussons de gueules (Abbeville-Boubers-Tunc)[2]
Autre blasonnement : D'or à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'argent[111].
Armes modernes : Écartelé au 1 d'or à trois fasces de gueules, et une branche de gui de chêne de sinople brochant sur le tout; au 2 d'or, à trois bandes de gueules, au 3 d'argent à trois écussons de gueules, au 4 d'or à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'argent; sur le tout d'or à trois écussons de gueules[108].
Supports : deux tritons sonnant de la conque marine au naturel.
Devise: SANS AYDE et FIDELIOR IN ADVERSIS.
Cri : ABBEVILLE !
La famille de Boubers est une branche cadette de la Maison d’Abbeville éteinte au XVe siècle[112].
Pierre de Boubers, écuyer, seigneur de Bernâtre (1375)[113].
Blasonnement : D'argent à trois molettes de gueules. posées 2 et 1, accompagnées de neuf croix recroisées du même, posées trois en chef, trois en fasce, trois en pointe, ces dernières posées 2 et 1[116].
Maison connue depuis Enguerand de Boufflers (1150).
Blasonnement : De sable au lion d'argent, couronné d'or, armés et lampassé de même, la queue fourchue passée en sautoir.[119]
Famille de Boutteville
Blasonnement ancien : D’azur au vol d’argent chargé d’un cœur du même accompagné en chef de trois étoiles et en pointe d’un croissant le tout d’argent.
Blasonnement moderne (1699 et 1824) : De sinople à la bande d'argent chargée d'un croissant de sable[120]
Jean Boutteville, mayeur de Péronne en 1698 - Louis-Ghislain Boutetville, écuyer, seigneur du Metz, avocat en Parlement, député du tiers état du bailliage de Péronne en 1789 - Eugène-Marie-Robert Boutteville, baron de Boutteville par lettres de 1824.
Blasonnement ancien : De sable, à un chevron engrêlé d’or.
Blasonnement moderne : D'argent au chef de gueules chargé d'un lion léopardé d'or[122].
Adrien de Bray (1664), marchand bourgeois d'Amiens. François-Alexandre de Bray, seigneur de Flesselles par achat de cette seigneurie en 1744 ; conseiller en la Cour des monnaies de Paris et anobli par cette fonctions, en 1755.
Gilduin (Gelduinus) († 18 mai 1060), vicomte de Chartres (1019), comte de Breteuil en 1048 - Hugues de Breteuil, évêque de Langres de 1031 à 1049 -Gautier de Breteuil, chevalier croisé 1096, otage de Nicétas, prince des Bulgares - Erard III, comte de Breteuil, à la seconde croisade tué en janvier 1148 à la Bataille du défilé de Pisidie. Famille éteinte à la fin du XIIe siècle.
Blasonnement : D'argent à un sautoir de sable cantonné de hui perroquets de sinople, becqués et membrés de gueules[124]
Autre blasonnement : De gueules à la croix d'argent chargée de cinq mouchetures d'hermine de sable[125].
Devise : MALO MORI QUAM FOEDARI
François Briet, écuyer, seigneur de Hallier, ses deux fils Charles et Antoine Briet furent maintenus dans la noblesse en 1667 - Pierre Briet, écuyer, seigneur de Rainvilliers et d'Hallencourt - Philippe Briet de Rainvilliers, chevalier, seigneur de Saint-Elier (1757)
Blasonnement : D'argent au chevron d'azur accompagnée en chef et à dextre d'une étoile, à senestre d'un croissant, le tout d'azur; en pointe d'un mouton de sable[129].
Blasonnement : D'argent à la fasce de gueules chargée de trois fermaux d'or[132]
Cimier : un chien ailé issant.
Supports : deux lévriers d'argent colletés de gueules bordé d'or.
Devise : ATTENTE NUIT BUISSY
Thibaut de Buissy, seigneur de Buissy-Baralle (1102) - Plusieurs branches : seigneur de Long (XVIIe siècle); seigneurs de Fontaine-le-Sec; seigneur du Mesnil[133].
Autre blasonnement : D'or au chef d'azur emmanché de deux pièces et deux demies écartelé de gueules à trois coupes ouvertes d'or posées 2 en chef et 1 en pointe[136].
Famille remontant au XIe siècle : Hervé Walter (de Montmorency ?) [~1095- ~1150] ; Theobald Ier Butler, grand bouteiller d'Irlande (vers 1155 - après le 4 avril 1206) ; Jacques Butler, premier comte d'Ormond (1305-1337). Jean Butler (de Butler) né en 1677 à La Rochelle, maire de La Rochelle ;
Branche des Butler de France, branche aînée de Picardie, reconnue noble en France en 1744. Jean-Baptiste Butler dit le comte de Butler (Haïti 1717- Saint-Domingue 1755) ; Jean Pantaléon de Butler, Charles Edouard de Butler (1791-1872), conseiller général de La Somme, châtelain de Remaisnil ; Charles Fernand de Butler (1855-1915) ; Raymond de Butler d'Ormond (1889-1993).
Blasonnement : Écartelé : au 1 et au 4 d'or à un chevron d'azur accompagné en pointe d'un lion de gueules, au chef de même chargé d'un croissant d'argent accosté de deux étoiles de même ; aux 2 et 3 contre-écartelé, aux I et IV d'argent à trois bandes de sable au chef d'or chargé d'une aigle à deux têtes de sable* ; au II et au III d'or à une bande d'azur ; sur le tout du tout fascé de vair et de gueules[138].
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sur le contre-écartelé aux I et IV : Or/Ag).
Support : à dextre, un lion ; à senestre, un porc-épic
Devise : Fortior in adversis
Claude-Alexis de Caix épousa en 1727 Marie-Jeanne Arnaut (ou Arnauld)[139], fille du seigneur de Saint-Amour[140].
Charles Louis Marie Oswald Decaix (1812-1867), patronyme modifié en de Caix en 1858, puis en de Caix de Saint-Aymour en 1860[141], conseiller général et maire de Corbie, baron de Caix de Saint-Aymour (1816) et comte romain en 1865[142].
Les liens avec la famille de Caix ne reposent que sur des présomptions[143].
Cette famille ne doit pas être confondue avec la famille normande de Canteleu.
Blasonnement : d'argent, à la fasce de gueules, chargée d'une gerbe d'or.
La terre de Canteleu était sise au comté de Saint-Pol, aujourd'hui nommée "Canteleux".
La famille d'origine chevaleresque qui en prit le nom eut de l'illustration. Eustache de C. suivit le comte Baudouin dans sa croisade de Constantinople en 1202[148]. Baudouin II de C. fût sénéchal de Béthune en 1206. Anseau de C., Seigneur de Canteleu, de Bouquemaison et de Warlincourt paraît en 1414, un an avant sa mort, avec son frère Jacques Porrus de C. dit Douvrin, comme Agniaux de C. sur la liste des 121 gentilhommes aux États d'Artois. (Dict. Univ. Nobl. par Courcelles). Maistre Jehan de C., receveur des aides ordonnéz pour le fait de la guerre ès cité et diocèze de Sens, fût padre de Pierre de C., Seigneur de Gisy lès Sens, maître en la Chambre des Comptes de Paris et Trésorier de France & Général des Finances depuis 1424. Guillaume de C., docteur en décrets, fils dudit Pierre (Bibl. nat., ms. Clairambault 763, fol. 137 et 159) donna vers 1467 la maison dit "la couronne de fer" en la rue de Rats (aujoud'hui l'angle de la rue de la Bûcherie avec la rue de l'Hôtel Colbert) aux religieux Chartreux, à condition de fonder un obit en faveur de Guillaume de C. après sa mort. Le 20 mars 1469, la Faculté de Médicine de l'Université arrêta "qu’elle achepteroit des Chartreux une vieille maison size en la ruë de la Bûcherie..., joignant une aultre maison acquise par ladicte Faculté longtemps auparavant sçavoir l’an 136x, le 24 may, tenant vers la ruë des Rats." Entre 1472 et 1475 la faculté y construit une amphithéatre de section nommée "de Winslow" avec une bibliothèque et enfin une chapelle. Dans cette superbe ensemble de maisons subsiste une salle du XVe siècle qui servait de lieu d’enseignement aux étudiants.
Plusieurs preuves de noblesse.
Famille éteinte dans le XVIIIe siècle avec sa dernière branche en Hollande.
Blasonnement : D'argent à un mont de six coupeaux de sinople, accosté de deux lions de gueules ; au chef d'azur chargé d'un soleil d'or accosté de deux étoiles d'argent.[153]
Blasonnement : D'azur à cinq cinq cotices d'argent et un chef d'hermine.[160]
Famille dont l'origine connue remonterait au XVe siècle. Certains de ses membres furent officiers au bailliage de Montdidier[161]. Elle fut anoblie en 1821.
Victor Cauvel de Beauvillé (1817-1885), historien de la ville de Montdidier, bienfaiteur de la ville d'Amiens où un boulevard porte son nom.
Blasonnement : Parti d'or et d'azur à la croix ancrée de gueules brochant sur le tout[2].
Autre blasonnement : Parti de gueules et d'argent à la croix ancrée de l'un en l'autre[2].
Anseau de Cayeu, chevalier, seigneur de Cayeux (1128) - Jean de Cayeu prit part à la bataille de Crécy, le 26 août 1346. Famille éteinte avec Jeanne de Cayeu qui épousa en secondes noces Jean de Monchy au XVe siècle[165].
Blasonnement : Fascé d'argent et de gueules à huit pièces.
Autre blasonnement : Écartelé, aux 1 et 4 d'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel d'argent de trois pendants ; aux 2 et 3 fascé d'argent et de gueules de huit pièces.
Devise : FURIBUNDI CALVIMONTENSES.
Guillaume de Chaumont, chevalier, fait prisonnier par les Anglais en 1119
Blasonnement : De gueules, à deux bars adossés d'or, l'écu semé de trèfles du même, au lambel à trois pendants d'argent posés en chef et brochanf sur le tout[171]
Famille issue de la Maison de Clermont-en-Beauvaisis : Raoul Ier de Clermont, seigneur d’Ailly, Paillart et Tartigny épousa en 1200 Gertrude, dame de Nesle.
Connétable de France en 1240 - Chevalier croisé en 1270[172].
Famille éteinte en 1524 à la mort de Louise de Clermont-Nesle ; ses biens passèrent par contrat à la famille d'Humières.
Blasonnement : De gueules à deux clefs d'argent passées en sautoir[173].
Seigneur de Bertangles par le mariage de Jacques de Clermont-Tonnerre, chevalier, avec Gabrielle de Glisy, en 1611 ; il devint comte de Thoury par lettre de 1629[174].
Famille de Contay puis Le Josne de Contay - Contay
Blasonnement :
Origines : De gueules fretté d’argent, les claires-voies remplies de lys d’or - alias : De gueules fretté d'argent semé de fleurs de lys d'or[175] - alias : De gueules, à un créquier d’argent (Dansaert).
puis : Écartelé : aux 1 & 4, de gueules fretté d’argent, les claires-voies remplies de lys d’or ; aux 2 & 3, fascé d’argent et de gueules de six pièces, à la bordure d’azur ; sur le tout, de gueules, au créquier d’argent - alias : Écartelé : aux 1 & 4 de Le Josne (fretté aux lys) ; au 2, de gueules, au lion d'or ; & au 3, d'argent à trois fasces d'azur semées de fleurs de lys d'or (Chevillard) - alias : Écartelé aux 1 & 4, Le Josne comme dessus ; au 2, de gueules, semé de billettes d'or au lion d'argent brochant ; & au 3, d'or, à trois fasces de sable chargées de six coquilles d'argent 3 2 & 1 (Daire) »[176].
Raoul de Contay (~1115 - ~1167) chevalier - Bernard de Contay (~1224 - ~1286) épouse en 1251 Marie Le Josne.
D'azur, au lion d'argent [armé et lampassé de gueules], portant au col l'écu de Flandre, d'or au lion de sable attaché par un collier de gueules.[179],[180]
Blasonnement : D’azur, à un chevron d’argent (d'or), chargé de trois molettes d’éperon de sable, accompagné de trois roses du second (d’or), deux en chef et une en pointe.
Blasonnement : D'azur à deux tierces d'or, au chef aussi d'or[183].
Anseau de Crésecques, chevalier, seigneur de Crésecques en 1150 - Jean de Crésecques, chambellan du roi (1301) - Louis-Henri de Querecques, marquis de Quérecques (Cresecques), seigneur de Forceville (1758).
Armes tardives - en partition : Écartelé, aux 1& 4, de gueules, semé de trèfles d’or, à deux bars adossés du même ; aux 2 & 3, de gueules, à trois chevrons d’or (Lettres Patentes, 1775)[184].
Branche de la famille de Breteuil : Hugues III de Breteuil (~ 1116 - ~ 1168 / 79), seigneur de Crèvecœur.
Famille éteinte par le mariage de Louise de Crèvecœur et de Guillaume Gouffier, en 1517.
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D
Figure
Nom de la famille et blasonnement
Famille de Dampierre et de Dampierre de Millancourt[185]
Blasonnement : D'argent à trois losanges de sable.
Guillaume de Dampierre, chevalier, participa à la Quatrième croisade en 1202, ses armes figurent dans la deuxième salle des croisades du château de Versailles - Jourdain de Dampierre, panetier du roi en 1405 - Hector de Dampierre, maître d'hôtel du roi - Adrien de Dampierre, écuyer, seigneur de Sainte-Agathe - Pierre de Dampierre, en 1585 épousa Marie de Loisel, dame de Millancourt - Henri de Dampierre, écuyer, seigneur de Millancourt, maintenu dans sa noblesse en 1667 - Élie-Eymar de Dampierre (1787-1847), chevalier, marquis de Dampierre[186].
Blasonnement : D'azur à un daim contourné, passant et ailé d'or.
Supports : deux lions.
Cimier : tête de léopard dans un vol banneret palé d'or et d'azur[188].
Jean Danzel, écuyer, seigneur de Beaulieu (1543)
Antoine Danzel épousa en 1609 Claude de Boffles
Branche d'Aumont : François Danzel, frère cadet d'Antoine ; son fils Charles épousa en 1659 Catherine-Marie de Ponthieu, leurs deux fils, auteurs des rameaux de Trionville et d'Aumont[187].
Branche de Maigremont : Jean-Charles Dehaussy, écuyer, seigneur de Maigremont, maïeur de Péronne en 1756 - Jean Dehaussy de Maigremont, Secrétaire du Roi, maïeur de Péronne en 1783 - Jean Dehaussy de Maigremont (1761-1834), maire de Péronne en 1790
Blasonnement : D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules[196].
Nicolas de Dompierre, échevin (1647) puis mayeur d'Abbeville en 1683 - Nicolas de Dompierre de Fontaine, trésorier général de France à Amiens (1738) - Alexandre de Dompierre, seigneur de Fontaine et d'Hornoy († 1828), président du Parlement de Paris
Famille Douville de Franssu et Douville de Maillefeu
Blasonnement : Ecartelé; aux 1 et 4 d'argent à trois étoiles d'or; aux 2 et 3 de gueules à la tour ouverte d'argent, crénelée, ajourée et maçonnée de sable, surmontée de deux guidons d'or[198].
Jean Douville. sr de Quincampoix, maître des requêtes de Gaston d'Orléans (XVIIe siècle) ; Jean-Nicolas Douville, maire d'Abbeville, puis Secrétaire du Roi en la Chancellerie d'Artois en 1775 épousa de Catherine de Ponthieu, dame de Maillefeu ; Nicolas Douville, Chevalier de l'ordre de Saint-Louis, capitaine au Régiment de Bourgogne, marié en 1789 avec Adrienne Blonda, dame de Franssu ; Jean-Baptiste de Franssu ; Gaston de Douville Maillefeu
Blasonnement de la Maison d'Estrées : D'argent fretté de sable, au chef d'or chargé de trois merlettes du deuxième.
Blasonnement Antoine IV d'Estrées : Écartelé au I et IV d'Estrée, au II de Bourbon-Ligny et III de la Cauchie ou Écartelé au I et IV d'argent fretté de sable, au chef d'or chargé de trois merlettes du deuxième, au II d'azur à trois fleurs de lys d'or chargé de deux bâtons de gueules péris l'un en bande, l'autre en barre et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.
Blasonnement François-Annibal d'Estrées : Écartelé au I et IV d'Estrée et au II et III de la Cauchie ou Écartelé au I et IV d'argent fretté de sable, au chef d'or chargé de trois merlettes du deuxième et au II et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.
Blasonnement François-Annibal d'Estrées : Écartelé : au I de Lauzières au II de Thémines au III de Cardaillac au IV d'Amielh de Pennes ; sur-le-tout écartelé I et IV d'Estrée et au II et III de la Cauchie.
Ou : Écartelé : au I d'argent au chêne de sinople glandé d'or, au II de gueules à deux brebis d'argent passantes l'une sur l'autre accornées de sable, au III de gueules au lion d'argent, la bordure semée de besants d'argent, au IV burelé d'or et de sable au chef d'hermine; sur-le-tout écartelé I et IV d'argent, fretté de sable, au chef d'or, chargé de trois merlettes du deuxième, au II et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.
Blasonnement : D'argent au chevron d’or, accompagné de 3 demi-vols d’argent, posés 2 et 1, ceux du chef adossés.[211]
Support : deux sirènes.
Devise : INPROCELLIS IMPAVIDÆ. (Intrépide dans les tempêtes).
Louis Eudel qui mena une action d'éclat au siège d'Amiens (1597) et aurait obtenu d'Henri IV ses armoiries, avec chevron d'or, en récompense. Au XVIIe siècle une branche de la famille s'établit à Péronne. L'un de ses membres fit l'acquisition du fief du Gord à Brie (Somme)
Blasonnement : D'azur au chevron d'or accompagné de trois trèfles du même surmonté d'un cor de chasse aussi d'or : écartelé d'argent à la fasce de gueules chargé d'une gerbe d'avoine d'or[212].
Blasonnement : D'or à dix losanges de gueules ordonnés : 3, 3, 3, 1.
Gilles de Folleville, écuyer du roi Louis X le Hutin[218] - Jean de Folleville, prévôt de Paris en 1388.
Famille éteinte par le mariage de Jeanne de Folleville avec Antoine de Poix, seigneur d'Ignaucourt au XVe siècle. Leur fille Jeanne de Poix épousa Raoul de Lannoy, en 1478[219].
Seconde Famille de Folleville (les liens entre les deux familles ne reposent que sur des présomptions)
Filiation établie depuis Raoul de Folleville, écuyer, seigneur de Campaigne (1495) - Charles-Gabriel de Folleville, marquis de Folleville (XVIIe siècle).
Blasonnement : D'argent à la fasce de gueules, chargé de trois besans d'or.
Jean de Fransures, seigneur de Tilloy, décédé en 1480 ; Louis Roger de Fransures, chevalier, seigneur de Villiers-Tournelles, chef d'Escadre des Armées navales de Sa Majesté (1718)
Blasonnement : Écartelé au 1 et au 4 d'azur, à la bande d'argent, chargée de trois défenses de sanglier de sable, accompagnée de deux roues à quatre rais du second émail ; au 2 et au 3, coupé d'or et d'argent, à l'aigle de sable languée, membrée et couronnée de gueules, brochante.
Pierre des Friches (1472) - Preuve de noblesse depuis Arnaud des Friches, écuyer, lieutenant-général au bailliage de Senlis (1498) - Armand des Friches-Doria.
Artus des Friches, seigneur de Brasseuse épousa, en 1609, Catherine Doria[33].
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G
Figure
Nom de la famille et blasonnement
Famille Gaillard de Ferré d'Auberville
Blasonnement : D'azur au chevron d'argent accompagné de trois croix pattées du même[230].
Jean Gaillard (1360) - Alexandre Gaillard, écuyer, seigneur de Ferré, capitaine d'une compagnie de gens de pied au château d'Abbeville en 1485 - Charles Gaillard, écuyer, seigneur de Gapennes, conseiller du roi en la sénéchaussée de Ponthieu, maintenu dans sa noblesse en 1716 sur preuves remontant à 1485[231] - Louis Gaillard, chevalier, seigneur de Framicourt, maire d'Abbeville en 1738, marié à Angélique d'Auberville - Louis de Gaillard de Ferré d'Auberville (1824) - Marie-Amélie Gaillard de Ferré d'Auberville épousa en 1847, Louis Juchault de Lamoricière[230].
Blasonnement : D'or à trois fasces de gueules[239]
Cimier : Un demi-corps de femme échevelée au naturel[240]
Thierry de Grouches, écuyer. seigneur de Grouches (1290) - Jean de Grouches, porte- enseigne du duc de Bourgogne (1415) - Hubert de Grouches, maître d'hôtel du roi Louis XI - Augustin de Grouches, créé marquis de Gribauval par lettres de 1681 - Nicolas de Grouches (1668-1751), maréchal des camps et armées du roi, maintenu dans sa noblesse en 1697, confirmé dans le titre de marquis de Chépy en 1748 - Antoine de Grouches, marquis de Chépy (1738-1834)
Blasonnement : D'azur à la bande d'or accompagnée de trois besants de même, deux en chef et un en pointe[242]
Timbre : Couronne de comte.
Supports : deux lévriers.
Cimier : un lévrier issant.
Devise : J'attends, je prétends et j'espère en tout temps.
Jean Le Thoillier dit Guillebon, écuyer, seigneur d'Angivilliers (1464) - Antoine Le Thoillier, seigneur de Beauvoir (1555) - Louis Le Thoillier, chevalier père d'Antoine de Guillebon, écuyer (1699) et de François-René de Guillebon (1729)
Famille maintenue noble en 1666 et 1697 sur preuves de 1555[243].
Blasonnement : coupé et parti en 3, au premier fascé de gueules et d'argent, au second d'azur semé de lys d'or et au lambel de gueules, au troisième d'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même, au quatrième d'or aux quatre pals de gueules au cinquième parti d'azur semé de lys d'or et à la bourdure de gueules, au sixième d'azur au lion contourné d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, au septième d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, au huitième d'azur semé de croisettes d'or et aux deux bar d'or. Sur le tout d'or à la bande de gueules chargé de trois alérions d'argent le tout brisé d'un lambel de gueules[46].
Wautier Ier, sire du Hamel (1202) - Jacques du Hamel, gentilhomme de la Maison du roi Henri II, participa au siège de Metz en 1552 - Jacques du Hamel, gouverneur de Saint-Dizier assiégée par les Impériaux, en 1642 - André-Victor du Hamel, maire de Bordeaux sous la Restauration[229].
Guy de Hauteclocque, chevalier croisé en 1218, dont les armes et le nom figurent dans la deuxième salle des croisades du Palais de Versailles - Jean de Hautecloque, écuyer, seigneur d’Havernas (1511) - Charles François de Hauteclocque, seigneur de Wail et de Quatreveaux, créé chevalier par lettres de 1752, avec permission de timbrer ses armes d’une couronne de comte[255].
Blasonnement : De gueules, à la bande fuselée d'or.
Blasonnement, branche de Pisseleu : Ecartelé ; aux 1 et 4 d'argent à trois lionceaux de gueules ; aux 2 et 3 de gueules à la bande fuselée d'or de cinq pièces[258].
Blasonnement : D'argent aux trois maillets de sable.[261]
Florent d'Hénencourt, chevalier en 1337 ; Hesselin d'Hénencourt vivait en 1350. Famille éteinte par mariage de Jacqueline d'Hénencourt avec Antoine de Lameth, en 1460[262].
Blasonnement : D'argent, à un chevron de gueulle, accompagné en chef de deux mollettes de mesme, et en pointe d'une teste de loup [264]
Nicolas d'Herissart Sr de Clamecy, Capitaine Exempt de la Compagnie des cent Suisses de la garde ordinaire du Roi, et Lieutenant de Louveterie dans le Laonnois [264]
Blasonnement : De sable au chef d'argent chargé de trois oiseaux de sable becqués et membrés de gueules[265].
Variante : De sable au chef d'argent, chargé de trois poules d'eau de sable (ou de cinq merlettes de sable), becquées et membrées de gueules.
Gilles de Hinnisdal, chevalier croisé (1190). Filiation depuis Daniel d'Hinnisdal seigneur de Heurne, chevalier banneret, décédé en 1298[258].
Famille passée en France à la fin du XVIIe siècle - Herman d'Hinnisdal épousa Catherine de Seiglières de Soyécourt dans la seconde moitié du XVIIIe siècle (avant 1779).
Blasonnement : D’or à un daim au naturel passant sur une terrasse de sinople adextré d’un arbre au naturel et senestré d’un nuage d’azur mouvant de l'angle senestre et chargé d‘une étoile d’argent ; au chef de sinople chargé d’une croix ancrée d’or.
Robert Jourdain négociant, marié avec Marie Hoschédé d’Attencourt, leur fils, Léopold Jourdain de L’Éloge, épousa en 1757 Marie-Ursuline Lasnier de L’Éloge (1741-1799) et devint écuyer de L’Éloge.
François Jourdain, seigneur de Thieulloy, conseiller secrétaire du roi en 1737. Jean-Baptiste Jourdain, maire d'Amiens en 1766. Jean Baptiste Jourdain, écuyer, seigneur de Thieulloy (1747-1826). Jean Baptiste Edmond Jourdain de Thieulloy, comte romain en 1856 marié en 1827 à Henriette de Rouvroy de Libessart,
Charles Louis Jourdain, écuyer, seigneur de Muizon (1715-1779).
Philippe Nicolas, écuyer, seigneur d’Héricourt.
Ambroise Léopold Jourdain, écuyer, seigneur de L’Etoile[271].
Blasonnement : Écartelé : au premier et au quatrième d'or au chevron de sable accompagné de trois merlettes du même, au deuxième et au troisième d'or à trois fasces de gueules.
Guermon ou Vermond de La Boissière, évêque de Noyon (1250-1272)[274].
Famille éteinte eu XVe siècle
Famille de La Chaussée d'Eu
Blasonnement : D'azur semé de croissants d'argent à trois besants d'or brochant sur le tout[275].
Cimier : une tête de licorne bouclée d'or.
Supports : deux lions d'or lampassés de gueules
Hugues de La Chaussé d'Eu (1036) - Noblesse prouvée (1489) : seigneur de La Chaussée, vicomte d'Eu, comte d'Arrest (1705)
Blasonnement : D'azur à une fontaine d'or soutenue par deux lions affrontés du même (Alias : écartelé d'argent à trois molettes de sable 2 et 1)[276].
Pierre de La Fontaine, marchand à Château-Thierry, Charles de La Fontaine, maître particulier des Eaux et Forêts. Jean de La Fontaine (1621-1695) gentilhomme de la duchesse d'Orléans, membre de l'Académie française en 1684.
Blasonnement : Écartelé au premier et quatre d'azur à trois aigles d'or, au vol abaissé, diadémées, becquées et membrées de gueules, posées deux et un : au deux et trois d'or à la bande de gueules, surmontée de trois merlettes de sable et accostée de deux tourteaux d'azur, aux angles de l'écu à senestre en chef, et à dextre en pointe[285].
Filiation établit depuis Pierre Miri (avant 1378)[286]
Seigneurie de Davenescourt acquise vers 1682
Antoine de La Myre, (1676-1747), chevalier, lieutenant pour le Roi en Picardie, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, maintenu noble en 1715.
Famille connue depuis 1097 ; filiation prouvée depuis Jean de Lancry, chevalier, né vers 1356
Claude de Lancry, écuyer. seigneur de Pronleroy (1575) - Louis Maximilien de Lancry, chevalier, titré marquis de Pronleroy, lieutenant-général des Armées du Roi, chevalier de l'ordre de Saint-Louis (1764)
Blasonnement : D'or à une aigle déployée de sable, becquée membrée de gueules, chargée sur son estomac, d'un écusson d'azur[287].
Variante : D'or à une aigle déployée de sable, becquée membrée de gueules, chargée, d'un écusson d'azur bordé d'or, surchargé de trois fusées du même rangées en pal[288].
Filiation établie depuis 1525 ; maintenue dans la noblesse en 1697 ; banche aînée éteinte en 1750.
Branche cadette : marquis de Raray en 1654, page du Roi en 1679 ; éteinte au début du XIXe siècle
Antoine Langlois, écuyer, seigneur de Louvre (1601) - Michel Langlois, écuyer, seigneur de Septenville - Pierre Langlois maintenu dans la noblesse en 1716 ; Pierre Langlois de Septenville, directeur des Postes royales (1712-1770) - Louis Léon Langlois de Septenville, baron de Septenville et de l'Empire (1813) ; confirmé baron héréditaire en 1817[292].
Blasonnement : De gueules à trois fasces d’argent - Alias : D’argent à trois fasces de gueules[295]
Plusieurs branches : de La Motte, de Quevauvilliers, d’Héricourt, de Gournay et de Bernapré
Jean de La Rue (début XVe siècle) - Louis de La Rue, auteur de la branche de Quevauvilliers, maintenue noble en 1697 - Adrien de La Rue, auteur de la branche d’Héricourt (preuves pour les écoles militaires en 1756)
Blasonnement : D'azur à la fasce d'or accompagnée en chef de trois étoiles d'argent rangées en chef et de trois canettes toutes d'argent, posées en fasce, rangées en pointes, becquées et membrées de gueules[297].
Blasonnement : D'argent à trois tours ou portes de gueules à deux manteaux ouverts, posées 2 et 1, crénelées de sable et herselées en sautoir, aussi de sable[300],[301].
La photographie d'une pierre gravée du blason de cette famille, derrière l'autel de l'église de L’Étoile, semble plutôt montrer un fretté et trois moulins sans ailes.
Famille Le Blond du Plouy - Vismes (hameau du Plouy)
Blasonnement : D'azur au chevron d'argent accompagné de trois roses du même[132]
Famille maintenue dans la noblesse le 30 juillet 1717 - Charles François Antoine Marie Le Blond du Plouy, lieutenant-colonel du régiment de Bourgogne, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, maréchal de camp en 1761[303].
Blasonnement : D'argent au chevron de gueules accompagné en pointe d'un trèfle de sinople[304].
Jean Le Caron, seigneur de Bouillancourt (1501) - Jean Le Caron, écuyer, seigneur de Fontaine, conseiller d'État, déclaré noble par arrêt de 1664 - Jean-Baptiste Le Caron, écuyer, seigneur de Chocqueuse, conseiller du roi au bailliage et siège présidial d'Amiens (1659) - Famille maintenue dans la noblesse en 1704.
Blasonnement de la famille d'Hervilly puis de la famille Le Cat d'Hervilly : De sable semé de fleurs de lys d'or[305].
Blasonnement de la famille Le Cat : de gueule à la tour d'argent[305].
Arthus Le Cat, écuyer, acquit la seigneurie d'Hervilly par mariage en 1501 avec Jehanne d'Hervilly[306].
Branche Le Cat d'Hervilly, seigneur de Devise, puis de Leschelle, éteinte en 1795 - Branche cadette, seigneur de Canisy, puis de Deniécourt, éteinte en 1853.
Blasonnement : Écartelé au 1 et au 4 d'argent à trois bandes d'azur, au 2 et au 3 à la bande d'argent chargée de trois hermines de sable, et sur le tout d'argent au lion de gueules à la bordure de même[312].
Autre blasonnement : De gueules au souci d’or, figé et feuillé de sinople[313].
Cimier : une licorne naissante.
Supports : deux licornes.
Famille anoblie le 20 juin 1388 - Pierre Le Prévost, écuyer, seigneur d'Himmerville en 1400 - François Le Prévost, chevalier, seigneur de Glimont, Ribauville, Tours-en-Vimeu, maintenu dans la noblesse le 27 mars 1700[314].
Blasonnement : D'azur à l'aigle bicéphale d'or, le vol étendu accompagné de trois roses du même, deux en chef et une en pie[315].
Nicolas Le Roy, écuyer, seigneur d'Argilliers (1548) - Jean Le Roy aumônier du Roi en 1594 et Philippe, écuyer, seigneur du Quesnel (1593) -
Branche aînée : de Jumelles - autres branches : d'Ambreville, du Quesnel, de Cauchois, de Franclieu et de Forestel ; toutes maintenues nobles en 1708 et 1716.
Vincent Le Roy de Jumelles, conseiller d'État (1646) ; Henri Le Roy de Jumelles, chevalier, créé marquis de Jumelles par lettres patentes de 1678
Blasonnement : D’azur au chevron d’or accompagné en chef de deux besants d’argent et en pointe d’une licorne naissante du même, et au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d’or.[321].
Président Trésorier de France en Picardie en 1777.
Blasonnement : D'azur à un vase d'or accompagné en chef de deux têtes d'aigle d'argent arrachées et affrontées et en pointe d'un croissant montant d'argent.[322]
Alias : D'argent au chevron d'azur accompagné en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant de gueules.[322]
Blasonnement (branche aînée) : D'argent à la fasce de sable surmonté d'un lion naissant et accompagné en pointe de trois croissants le tout de sable.
Autre blasonnement : D'argent à la fasce accompagnée en chef d'un lion naissant, mouvant de la fasce[Note 15], et en pointe de trois croissants, le tout de sable[2].
Blasonnement (branches cadettes) : De sable à la fasce d'argent surmonté d'un lion naissant et accompagné en pointe de trois croissants le tout d'argent[323]
Supports : deux lions armés
Cimier : un bras armé tenant une épée nues.
Jean et Thomas Le Vasseur (1241) - Filiation établie depuis 1581 - Seigneur de Neuilly-le-Dien
Blasonnement : D'azur, portant trois têtes de loups[334].
Blason de Charles de Louvencourt : D’azur à la fasce d’argent (d’or) chargée de trois merlettes de sable et accompagnées de trois croissants du second 2 et 1.
Robert de Louvencourt, marchand, bourgeois d’Amiens (1411). Famille anoblie en 1586 - Seigneurs de Blangy-Tronville[331].
Blasonnement : D'azur à la fasce d'or, accompagné de trois étoiles d'or 2 et 1[339].
Famille anoblie en 1594, maintenue noble en 1704. Seigneur de La Ferrière, du Camp, de Framicourt, de Belleville, de Fontaine, de Beaulieu. Page de la Grande Ecurie en 1712.
Blasonnement : De pourpre à l'aigle de sable accompagné de cinq étoiles d'or, une en chef, deux de chaque côté de l'aigle en pal ; à la champagne d'azur chargée d'une flèche d'argent en pal, la pointe en haut *
Vincent Massaro (1495) - Vincent Massaro ou de Massart (1613-1693), verrier, fixé avec son frère en Picardie. Pierre de Massary (1657-1705), écuyer, verrier, anobli en 1705[341].
Robert Ier de Milly (1128) - Salagon de Milly, mourut à la troisième croisade, le 23 juillet 1191 - Famille éteinte en 1373 à la mort de Jeanne de Milly épouse de Jean de Picquigny[352].
Blasonnement : D'argent à trois rencontres de buffles de sable 2 et 1[29].
Étienne Morgan (1590) ; Jacques Morgan (1619-1687), échevin d'Amiens ; Jean-Baptiste Morgan (1709), écuyer, seigneur de La Londe ; Jacques Morgan (né en 1677), écuyer, seigneur de Frucourt et de Doudelainville.
Jean-Baptiste Morgan, né en 1722, épousa en 1764 Marie-Joséphine Roussel de Belloy. Leur fils Adrien Morgan de Belloy, maire d'Amiens, créé baron héréditaire en 1816[359].
Blasonnement : D'argent à la fasce d'azur accompagnée en chef de trois fleurs de lys de gueules et en pointe d'une molette de sable[365].
Jean de Noyelles, anobli en juin 1388 par lettres du roi Charles VI - Jean de Noyelles, mayeur d'Abbeville en 1478 - Jean de Noyelles († 1524), avocat en Parlement - Famille éteinte au XVIe siècle[366].
Seigneurie de Feuquières acquise, en 1320, par mariage entre Jean de Pas et Jeanne de Feuquières - Filiation établie depuis 1527 - Achat de la seigneurie de Rosières-en-Santerre en 1528[374] - Marquis de Feuquières (1646)[43].
Blasonnement : D'azur, à une bande d'or, chargée de trois merlettes de sable, surmontées d'un croissant de gueules pour brisures[379]
Famille connue depuis la fin du XVe siècle : gouverneur de Boves, bailli du Quesnoy-en-Airaines, seigneur du Quesnel, du Chaussoy, de Beauchamps de Noyencourt puis d'Hérissart, lieutenant de bailliage et siège au présidial d'Amiens
Adrien Picquet, sieur d'Avelesges en 1533 dont sont issues plusieurs branches[380].
Blasonnement : D’argent au chêne (pin) arraché de sinople fruité d’or, écartelé d’argent à trois trèfles de sables posés 2 et 1, et une étoile de gueules chargée d‘une rose d’or en abîme[383].
Seigneur d'Ambreville, anobli en 1698
Famille Pingré de Fricamps
Blasonnement : D’argent au pin de sinople fruité d’or[383].
Branche des seigneurs de Fricamps, Viage : trésoriers généraux à Amiens en 1637, 1651 et 1695
Branche des seigneurs de Foucaucourt, Gouy-l’Hôpital : trésorier général de France à Amiens en 1657 ; Conseiller-Secrétaire du Roi en 1739
Branche des seigneurs de Sourdon : Conseiller-Secrétaire du Roi en 1691
Blasonnement : D'azur au chevron d'or accompagné en chef d'un croissant d'argent entre deux anémones tigées et feuillées du même et en pointe d'un lion aussi d'argent lampassé de gueules[385].
Variante : D'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux têtes de pavot (anémones) d'argent et en pointe d'un lion d'or[386].
Blasonnement : Ecartelé aux 1 et 4 : de gueules au chevron d'or accompagnés de trois croissants d'argent ; aux 2 et 3 : de sable au chevron d'argent chargé de trois roses de gueules ; sur le tout d'or à 3 fasces de gueules[387].
Girard de Pont-Remy, chevalier (1160) - Godefroy de Pont-Remy, écuyer, seigneur de Dreuil-lès-Airaines (1295) - Eustache de Pont-Remy, seigneur de Coquerel (1337) - Guillaume de Pont-Remy (1383) - Famille disparue avant le XVe siècle[389].
Blasonnement : D'or aux trois bandes d'azur à la bordure de gueules[6].
Variante : D'azur au chevron accompagné en chef de deux roses et en pointe d'un croissant le tout d'or[119]. Ces armoiries sont en fait celles d'une branche de la famille de Vismes qui prétendait en descendre par ses males[390].
Famille Prévost d'Arlincourt
Blasonnement : D'azur au lion d'or soutenu d'un croissant renversé d'argent et accompagné en chef de deux étoiles du même[313].
Conseiller Secrétaire du Roi en 1772 - Baron d'Empire en 1814
Blasonnement : D'hermine à trois fleurs-de-lis au pied coupé de gueules[194]
Hugues Quiéret, seigneur de Dourier (1209) - Hugues Quiéret, seigneur de Tours-en-Vimeu, amiral de France, tué à la Bataille de l'Ecluse le 22 juin 1340 - Pierre Quiéret, seigneur de Haucourt, prisonnier à la Bataille d'Azincourt en 1415, capitaine d'Airaines en 1422 - Guy Quiéret, chevalier, seigneur de Tours-en-Vimeu, prisonnier à la bataille d'Azincourt - Jacques Quiéret, chevalier, seigneur d'Heuchin, prisonnier à la bataille de Pont-Audemer (1449)
Blasonnement : De sinople aux trois pals d’or remplis de gueules au canton d’or chargé d’une fleur de lys d’azur[400] ou De sinople aux trois pals d’or remplis de gueules au canton d’or (d'azur) chargé d’une fleur de lys d’azur (d'or)[401].
Blasonnement : D'argent aux trois fasces de gueules frettées d'or[406].
Famille connue depuis 1066. Filiation établie depuis 1193. Maintenue dans la noblesse en 1701 sur preuve depuis Thomas, seigneur de Riencourt en 1206. Roger Adrien de Riencourt - Amaury de Riencourt[407].
Blasonnement : D’or, au lion d’azur, armé & lampassé de gueules[413]
La première maison féodale de Roucy, qui donna un Archevêque de Reims, s’éteignit à la fin du XIe siècle
La deuxième maison de Roucy, issue de la première, s’éteignit au XIIIe siècle. Le comté de Roucy passa ensuite par mariage à la Maison de Saarbruck (Sarrebriicke), puis à la Maison de Roye et à celle de La Rochefoucauld, enfin à celle de Béthune.
Le nom de Roucy fut également porté par les seigneurs du Bois, de Thosny et de Manre (jugement de 1485) - Plusieurs branches toutes éteintes[30].
Blasonnement : De sable à trois aigles éployées d’or[414]
Famille anoblie en 1391[415] - Jacques Roussel, écuyer, seigneur de Miannay, bailli de Bailleul, mayeur d'Abbeville à plusieurs reprises de 1409 à 1424 - Daniel Roussel, chevalier, seigneur de Miannay, Vironchaux et Monchaux, maréchal de camp, député général des protestants - Famille éteinte en 1659 par le mariage de Suzanne Roussel avec Daniel de Boubers[414]
Blasonnement : Écartelé: aux 1 et 4, de sable, à la croix d'argent, ch. de cinq coquilles de gueules (de Rouvroy) ; aux 2 et 3, échiqueté d'or et d'azur, au chef d'azur, ch. de trois fleurs-de-lis d'or (de Vermandois)[2].
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S
Figure
Nom de la famille et blasonnement
Famille de Sachy
Blasonnement : Échiqueté d'argent et de sable, à la bordure d'azur.
Autre blasonnement : D'azur aux trois chassis d'or, 2 et 1, surmonté d'un soleil du même posé au milieu du chef[421].
Seigneurs de Carouge, Fourdrinoy, Belliveux, Saint-Aurin, etc. - Famille anoblie ou confirmée noble en 1698 - Trésoriers généraux de France à Amiens en 1695 et 1745 - Conseiller au Parlement de Paris en 1771 - Preuves pour le service en 1781.
Blasonnement : De sinople à l'aigle d'or (becquée et membrée de gueules), tenant de son bec une épée d'argent en bande, la poignée d'or, l'épée tirée d'un fourreau de sable et brochée sur le tout[421].
Famille, anoblie en 1376, maintenue noble en 1518 - deux branches au XVe siècle : Jean Sacquespée, auteur des marquis de Thézy (branche éteinte en 1790) - Guillaume Sacquespée, auteur de la branche de Voipreux en Champagne[421].
Blasonnement : D’or au sautoir engrêlé de sable[421].
Jean de Saint-Blimond, écuyer, seigneur de Saint-Blimont (1292) - Nicolas de Saint-Blimond, chevalier, marquis de Saint-Blimont (1682), maintenu dans la noblesse en 1699 et 1716 sur preuves de 1493 - Famille éteinte en 1820.
Blasonnement : De gueules à trois coupes (calices) d’or accompagnées de trois trèfles du même.[422]
Autre blasonnement : : D’argent à la fasce d’azur chargée de 3 billettes d’or
Autre blasonnement : D’argent au pal de gueules chargé d’un anneau d‘or.
un mayeur d’Amiens en 1451 dont pensait descendre la famille du même nom établie à Montdidier qui donna des mayeurs de Montdidier au XVIIIe siècle et un Conseiller-Secrétaire du Roi en 1752
Famille de Saint-Saulieu ou de Saint-Sauflieu - Saint-Sauflieu
Blasonnement : D’azur à la croix d’or cantonnée aux I et IV de quatre croisettes du même, 2 et 2 et aux II et III de trois autres croisettes aussi d’or, 2 et 1[425].
Dreux (Drogonis) puis Adam "de Sessoliu" son fils (1145) - Famille convertie au protestantisme maintenue noble en 1667[426].
Blasonnement : D'azur à trois épis de seigle d or[438].
Famille anoblie en 1643 ; héritière de la famille de Belleforière-Soyécourt par le mariage de Marie Renée de Belleforière, marquise de Soyécourt, le 5 février 1682 avec Thimoléon Gilbert de Seiglière, Secrétaire du Roi en 1648, Conseiller au Parlement de Paris en 1674, Maître des Requêtes en 1676, marquis de Soyécourt, comte de Tilloloy[438]. Joachim Adolphe de Seiglière et Joachim Charles de Seiglière, son fils, successivement marquis de Soyécourt. Camille de Soyécourt. Famille éteinte en 1794.
Cimier (XVIe siècle) : un évêque de carnation, la mitre et la chape de gueules, bordées et ornées d'or.
Supports (XVIe siècle) : deux maures au naturel, tortillés d'argent, vêtus, celui à dextre d'argent, celui à senestre d'or.
Devise : MODERATA DURANT (les choses modérées durent)[445].
Seigneur de Soyécourt, de Mouy ; Président de la Chambre des comptes de Paris au XIVe siècle - marquis de Soyécourt, comte de Tilloloy[444]. Famille éteinte par le mariage de Françoise de Soyécourt, en 1580 avec Ponthus de Belleforière. Le nom de Soyécourt fut accollé au nom de Belleforière et se transmit par mariage à la famille de Seiglière de Soyécourt en 1682.
Blasonnement : Écartelé aux 1 et 4 de sable, à la bande d'argent, chargée de trois coquilles de gueule, et au chef d'or, aux 2 et 3, à trois aigles éployées de sable, becquées et membrées de gueule[446].
Alias : Écartelé aux I et IV, de sable à la bande d'argent chargée de trois coquilles de gueules et au chef d'or; aux II et III, d'argent aux trois ailes éployées de sable, becquées et membrées de gueules[447].
Famille Tillette de Mautort puis Tillette de Mautort de Clermont-Tonnerre
Blasonnement : D'azur au chevron d'or, au chef du même, chargé d'un lion léopardé de sable, lampassé et armé de gueules[450].
Variantes : D'azur au chevron d'argent, au chef du même, chargé d'un lion léopardé de sable, lampassé et armé de gueules.
Les branches de Buigny et de Woirel portent les mêmes armes, mais le chevron est accompagné de trois trèfles d'or ou de deux trèfles en chef et une coquille en pointe ;
La branche de Clermont-Tonnerre porte : écartelé. aux I et IV : TILLETTE DE MAUTORT, aux II et III : CLERMONT-TONNERRE[451].
Support : deux lions
Famille bourgeoise d'Abbeville connue depuis le début du XVe siècle - Mathieu Tillette, argentier d'Abbeville en 1527, auteur des différentes branches - Mathieu Tillette, seigneur de Buigny (1597) - Jean Tillette, seigneur de Saint-Maclou, anobli par Lettres patentes de 1668, maintenue noble en 1699 ; branche éteinte en 1926 - Pierre Tillette, écuyer, seigneur de Mautort, mayeur d'Abbeville, anobli en 1577 - Prosper-Abbeville Tillette de Mautort, baron de Mautort, député de la Somme et Eugène Tillette de Mautort, adoptés en 1816 par leur oncle maternel, Louis-François de Clermont-Tonnerre[451].
Blasonnement : D'or à trois daims (alias : cerfs) de sable.
Alias pour la branche de Tartigny : D'argent au saut. d'azur ch. de cinq billettes d'or[453].
Jean Trudaine, orfèvre, bourgeois de Paris (1518) - Jehan Trudaine, marchand tanneur à Amiens mort vers 1534 - Antoine Trudaine, seigneur de Roberval, Dreuil-lès-Amiens et Oissy par achat en 1609 - Antoine Trudaine, trésorier de France à Amiens en 1614[454].
Blasonnement : De gueules, à la bande d’argent de six croix recroisettées et fichées d’or, posées 3 et 3
Autre blasonnement : Écartelé : aux 1 & 4, d’or, à un vol de gueules (Poix); aux 2 & 3, de gueules, à la bande d’argent, accompagnée de six croisettes recroisettées d’or, rangées en orle.
Devise : « Sine Timore »
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Famille Vaillant ou Vaillant de Villers-sous-Ailly et de Caumondel
Blasonnement : D’argent à un lion de sable armé et lampassé de gueules.[460]
Blasonnement (branche de Crèvecœur) : D'argent à trois têtes de Maure de sable tortillées du champ.[460]
Filiation établie depuis 1457. Famille reconnue noble en 1517. La branche de Caumondel s'est éteinte au XVIIIe siècle. La branche de Favières fit ses preuves pour les Chevau-Légers en 1753 et pour les Écuyers du roi en 1759. La branche de Crèvecœur, de Romainville et de La Pasture donna un Trésorier de France à Amiens au XVIII" siècle[460].
Blasonnement : De gueules fretté de six lances d’or, accompagnées de douze écussons du même semis dans les interstices ; sur le tout un écusson d’azur chargé d’une fleur de lys d’or[468].
En 1857, Gabrielle Marguerite de La Myre héritière du domaine de Davenescourt épousa le marquis Elzéas de Villeneuve-Bargemont
Blasonnement : D'azur à la croix ancrée d'or, cantonnée de quatre ancres d'argent.[469]
Variante : De gueules à la croix ancrée d'or, cantonnée de quatre ancres d'argent.[470],[471]
Famille connue depuis Jean de Villepoix, chevalier (1234)[472], fils de Gautier de Brettencourt[473]. Filiation suivie depuis Colart dit Piot de Villepoix (1423)[474].
Écartelé aux 1 et 4 d'or à trois bandes d'azur au chef du second semé de fleurs-de-lis du champ au 2 d'azur fretté d'or semé dans les claires-voies de fleurs-de-lis du même au 3 d'argent au chevron de gueules acc en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même.[476],[28]
D'azur Fretté d'or au lambel de gueules de trois pendants chaque pendant chargé de trois fleurs-de-lis d'or[477],[24].
de Vismes d'Airaines-Abbeville
Blasonnement : D'azur aux chevrons d'or accompagnés en chef de deux étoiles d'or (ou d'argent) et en pointe un cep de vigne au naturel[478]
Blasonnement : D'azur à la main dextre appaumée d'argent posée en pal - Alias : Ecartelé aux I et IV ; aux II et III : d'argent à trois fleur de lys au pied nourri de gueules .
Filiation qui remonterait à 1240. Louis de Waroquier épousa Marie de Wignacourt et mourut en 1482. Leur fils Wast de Waroquier, seigneur de Méricourt marié à Anne du Molinet, mourut en 1537. François, écuyer, Secrétaire de la reine mère en 1577. René de Waroquier, secrétaire ordinaire de la Chambre du roi, épousa, en 1608 Françoise Hardy. Leur fils, François de Waroquier, écuyer, seigneur de Méricourt-l'Abbé, Président-Trésorier de France à Paris en 1636.
Blasonnement : Écartelé aux I et IV : d'or à l'aigle bicéphale de gueules; aux II et III : d'or à l'ours de sable rampant contre un bâton écoté de gueules[481].
Pierre Witasse, seigneur de Hauteloge (1548) - Famille maintenue noble en 1700 sur preuves de 1530 - Jacques-Joseph de Witasse, admis aux écoles militaires en 1762, marié en 1780 à Henriette-Julie de Sacquespée, héritière du marquisat de Thézy[483].
il assiste à la septième croisade, descendance éteinte[493]
d'Auxy, Hugues, Eustache, Philippe
Échiqueté d'or et de gueules
Sires et barons d'Auxy, chevalier.
Hugues assiste à la troisième croisade Eustache sires d'Auxy et Philipe barons d'Auxy, assistent à la première croisade de saint Louis en 1267
de Bailleul, Enguerran
D'hermine, à l'écusson de gueules.
Chevalier.
Il figure dans certains actes comme chevaliers de l'hôtel du roi.
de Canteleu, Eustache
"D'argent, à la fasce de geules, chargée d'une gerbe d'avoine d'or."
Chevalier
Eustache donne en 1200, avant de partir en croisade, la dîme du fief de Duisans à l'Église d'Arras. Il mort en 1204 à Constantiople, et en 1205 Gaucher de Châtillon, comte de St.-Pol, et Elisabeth, sa femme, approuvent la donation de la dîme de Duisans, faite par Eustache de Canteleu à l'Église d'Arras. La seigneurie de Canteleu, aujourd'hui la commune de Canteleux en Pas-de-Calais, mais en 1200 beaucoup plus grand et au moitié en Picardie.
de Caumont, Guy.
De gueules, semé de croix recroisettées au pied fiché d'or, à trois molettes d'éperon, de même, ou d'azur à deux lions d'or lampassés de gueules (alias lions léopardés).
ecuyer, sire de Caumont.
Il participe à la troisième croisade
de Caux, Engerran .
D'azur à trois lions d'or.
chevalier.
Il participe à la troisième croisade
de Cayeux, Anseau, Eustache.
Parti d'or et d'azur, à la croix ancrée de gueules.
chevaliers, sires de Cayeux, de Senarpont, du Hourdel.
Eustache, chevalier. Il prit part à la Croisade des Albigeois et fut tué devant Toulouse, en 1218. Anseau, chevalier. Il était au nombre des chevaliers qui assistèrent à la prise de Constantinople en 1202, leurs descendance continue aujourd'hui
de Cresecques, Robert et Jean.
D'azur, à deux tierces d'or ; au chef aussi d'or.
chevaliers
Robert, tué en Palestine en 1249, Jean, chevalier, maréchal de l'armée de Hongrie, tué à Nicopolis, en 1396
de Domart, Robert, Gautiers, Bernard et Anseau.
D'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable. .
chevaliers, sires et barons de Domart et de Saint-Leger
Anseau, accompagne le comte de Nevers en Hongrie, et assiste à la bataille de Nicopolis
d'Esquincourt, Regnier.
De gueules à trois tours d'or.
chevalier
Croisé en 1291
de Fontaine, Raoul, Aleaum, Eustaches.
D'or à trois écussons de vair.
chevaliers, Sires de Fontaine
Aléaume assiste à la troisième Croisade ; Raoul assiste au siège d'Antioche en 1098 ; quant à Eustache, chevalier, il assiste à la première croisade.
de Franqueville, Jean.
D'argent à trois forêts de gueules, au lambel d'azur en chef.
chevalier
Jean, assiste à la troisième croisade
de La chaussé d'Eu, Guillaume.
D'azur semé de croissants d'argent à trois besants d'or.
chevalier
…
de La Haye, Guillaume et Jean.
D'argent à une haie d'épine de sable
Guillaume, chevalier ; Jean écuyer
Leur descendance continue aujourd'hui
Le Roy, Guillaume.
Tiercé en fasce, au 1 d'or au lion léopardé de gueules, au 2 de sinople et au 3 d'hermine
Guillaume, ecuyer, chevalier, seigneurs de Moyenneville et de Valanglart
il est de la famille des Le Roy de Moyenneville, cette famille est d'extraction chevaleresque, à la différence des Le Roy de Valines qui fut anoblie en 1587, Guillaume fut chevalier et est de retour après la septième croisade, postérité inconnue
de Vismes, Raoul I et Guillaume I, Raoul II, Odon[508]
D'azur fretté d'or entre-semé de fleurs de lys du second, ou D'azur fretté d'or entre-semé de fleurs de lys du second et d'argent, au chevron de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même (cette dernière variante est celles des armes de la seigneurie de Vismes)[509],[510]
chevaliers, sires de Vismes, seigneurs de Longvilliers, de Lomprez, Guillaume sire de Vismes seigneur d'Humbercourt[511].
Raoul et Guillaume, chevaliers, assistent à la cinquième croisade, seule leurs descandance continue de nos jours[512]
de Yaucourt, Mathieu, Thomas, Regnier,
D'or à trois aiglettes de sable, becquées et membrées de gueules[513].
Mathieu, figure avec cinq compagnons parmi vingt et un chevaliers et écuyers qui, avec soixante-dix-sept compagnons, louent à André Pignolo et Franceschini Spirolo, Vénitiens, patrons du vaisseau la Sainte-Croix[500]
De pourpre, au château d'or, flanqué de deux tours du même, maçonné, ouvert et ajouré de sable, la tour à dextre sommée d'un mât d'or portant un pavillon de sinople, chargé des lettres N L G (Napoléon Le Grand) d'or ; au canton des Baronsmilitaires de l'Empire brochant.[515]
Coupé : au I, d’or chargé à dextre d’un canton d’azur à une tour d’or, ouverte et maçonnées de sable, et à senestre au franc-quartier des Baronsmilitaires de l'Empire ; au II, de gueules à une croix pattée d’or accompagnée en chef de deux molettes d’argent et en pointe d’un croissant de même.[516]
Sous l'Ancien Régime : Coupé: au 1, d'azur, à la fasce d'argent, chargée de trois roses de gueules ; au 2, d'or, à trois écrevisses de gueules, posées en pals, rangées en fasce.[2]
Armes de Comte de l'Empire : Écartelé : au I, du quartier des comtes militaires de l'Empire ; au II, coupé : a) de gueules, b) d'azur à trois roses d’or rangées en fasce ; au III, d’or à la pyramide de sable, surmontée d’une étoile d’azur ; au IV, d’or à trois écrevisses de gueules posées en pal et rangées en fasce. Toque de comte de l'Empire, insignes de Commandant de la Légion d’honneur et de Commandeur de l’Ordre de la Couronne de Fer.
Sous la monarchie de Juillet : Écartelé : aux 1 et 4, d'or, à trois écrevisses de gueules, posées en pals, rangées en fasce ; au 2, coupé, de gueules plein, sur azur à trois roses rangées d'or; au 3, d'or, à une pyramide de sable, surmontée d'une étoile d'azur[2]. Couronne et manteau de comte-pair, insignes de Grand-croix de la Légion d'honneur.
D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux colombes affrontées d'or et en pointe d'un croissant du même, au chef de gueules, chargé de trois étoiles d'argent[2] ; au canton des comtes militaires brochant.[517]
D'azur, à la fasce d'or, chargée d'un cœur de gueules, et accompagnée en chef d'une épée d'argent la pointe en bas, accostée de deux gerbes d'or, liées du même, et en pointe d'une ancre d'argent[2] ; au canton des comtes militaires brochant.
Coupé: au 1, parti du quartier des comtes militaires de l'Empire et de gueules, à une pyramide d'or, maçonnée de sable; au 2, de sable, à quatre têtes de cheval d'argent, 2 et 2.[2],[518]
Coupé : au 1, parti du quartier des comtes militaires de l'Empire et d'or, au croissant de gueules, accompagné de trois merlettes mal-ordonnées de sable ; au 2, d'hermine, à la barre de gueules, chargée de trois molettes (ou étoiles à cinq rays) d'argent.[2]
D'argent au cheval cabré de sable ; à la fasce de gueules, chargée d'une étoile rayonnante d'or, brochant sur le tout ; au canton des comtes militaires brochant.
Armes de Chevalier de l’Empire : Tiercé en fasce : de sable à une tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'azur au cheval galopant d'or.
Armes de Baron de l’Empire : Écartelé : au 1er, de sable à la tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules ; au 2e, du quartier des Baronsmilitaires de l'Empire, au 3e, d'azur au cheval galopant d'or; au 4e, d'or à deux lances polonaises de sable en sautoir, au pennon coupé d'argent et de gueules, cantonnées en chef et en flanc de trois molettes de sable, et en pointe d'un fer à cheval d'azur clouté du champ.
Coupé : au I parti, a, de sable à deux écots, passés en sautoir, accompagnés en chef de trois étoiles, le tout d'or, et en pointe d'un croissant d'argent, le tout de gueules, b, du franc-quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II d'azur, à une main d'or, ailée d'argent, tenant une épée du même en pal.[réf. nécessaire] (Trois sources donnent : De sable coupé d'or, le coupé d'or chargé d'un sauvage de gueules appuyé sur une massue de sable et portant sur le poing dextre un coq de sable, franc quartier de baron sorti de l'armée.)
Sous le chef des Ducs de l'Empire : Coupé de sable et d'or, l'or chargé d'un sauvage de gueules, armé d'une massue de sable et tenant sur sa main droite un coq du même.
Armes de comte de l'Empire : Coupé de sable et d'or, l'or chargé d'un sauvage de gueules, armé d'une massue de sable et tenant sur sa main droite un coq du même ; au canton brochant des ComtesSénateurs.[518]
D'azur semé d'étoiles d'argent, à la barre de même chargée de trois tourteaux de sable ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant sur le tout[519].
Armes de Chevalier de l'Empire : De sable à la fasce de gueules chargée du signe des Chevaliers, accompagnée en chef d'étoiles d'argent sans nombre et sans ordre, parmi lesquelles deux plus grandes, dont l'une est cantonnée à dextre au chef ; et en pointe d'un globe terrestre d'or et d'argent, ceint d'un méridien de sable ; et pour livrées les couleurs de l'écu.[520]
Armes de Baron de l'Empire : De sable, semé d'étoiles d'argent en chef, et un globe terrestre du même en pointe, ledit globe entouré d'un annelet de sable en direction verticale ; au canton des Barons tirés des Corps Savants brochant.[2],[518]
Armes : Parti, au premier d'or à l'épée haute en pal d'azur au comble du second, chargé de deux étoiles d'argent ; au deuxième coupé des barons pris dans notre Conseil d'État ; et d'azur à un tube de canon en pal entre deux bombes, le tout d'or.[520]
Écartelé : au I, du quartier des ComtesSénateurs ; au II, d'or à la tête de cheval de sable ; au III, d'or au pont à trois arches mouvant des flancs, soutenu d'une mer d'argent, la deuxième arche chargée d'un écusson d'or à la lettre "L" de sable ; au IV, d'azur au sabre de cavalerie d'argent garni d'or en pal.[2],[518]
D'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même, au canton des BaronsSous-préfets brochant[523].
Parti le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même ; le deuxième d'azur à la fasce d'or, somé d'une pyramide de gueules maçonnée de sable accostée de deux étoiles d'or accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent tenant une bannière de même sur le penon sur laquelle une croix de sable, champagne de gueules aux insignes des Chevalierslégionnaires et pour livrée les couleurs de l'écu[28]
Blasonnement : D'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même, au canton des BaronsSous-préfets brochant[526].
Écartelé, au premier et quatrième de sinople au lévrier rampant d'or, accolé d'argent ; au deuxième des barons membres de collège électoral ; au troisième d'argent au chevron d'azur accompagné de trois mouchetures d'hermines, de sable.[528]
Livrées : les couleurs de l'écu, le verd en bordure seulement[528]
Parti, le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un croissant montant le tout d'or ; le deuxième d'azur à la fasce d'or sommée d'une pyramide de gueules maçonnée de sable, accostée de deux étoiles d'or et accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent, tenant une bannière de même sur le pennon de laquelle est une croix de sable ; champagne de gueules au signe des chevaliers.[530]
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↑D'abord dans la mouvance du comté de Flandre puis de l'Artois, le comté de Boulogne fut rattaché à la couronne de France en 1477 et intégré à la Picardie.
↑Les comtes de Saint-Pol possédèrent plusieurs seigneuries en Picardie : Lucheux, Beauval, Encre, Ham, Marle, etc.
↑Armes identiques aux anciennes armes de la famille de Vismes – voir le nobiliaire de Ponthieu du Marquis de Belleval et le Dayre de Mailhol 2001, p. 778
↑Armes identiques aux anciennes armes de la famille de St Vallery – voir le nobiliaire de Ponthieu du Marquis de Belleval et Dayre de Mailhol 2001, p. 778
↑Blason d'Anselme d'Airaines, chevalier qui, avant de partir pour la Terre-Sainte, donna à l’abbaye du Gard la moitié d’un manoir à Airaines, en février 1231. (Arch. de l’abbaye. du Gard, A, trés. général. de D. Villevieille, t. 1, Bibl. imp.)
↑Il s'agit en fait du blason de la ville d'Albert, présent sur un sceau de 1277, conservé dans les archives de la Chambre des Comptes de Lille (cf. Demay, Sceaux de la Flandre no 3845)
↑En 1927, Juan d'Alcantara obtint le droit d'ajouter « de Querrieu » à son patronyme (décret du 18 août 1927)
↑Pour l'année 1581, le maire d'Amiens était Philippe du Beguin (Cf. Paul Roger, Histoire des cathédrales, abbayes, châteaux-forts et villes de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Éditions Duval et Herment, 1842 - réimpression Éditions La Découvrance, 2003)
↑Plusieurs branches fixés en Picardie notamment dans l'Aisne
↑Les seigneurs de Beaucamps-le-Vieux seraient des descendants des Le Vieux d’Yvetot. Les Levieux Roy d'Yvetot possédaient cette petite contrée de Normandie, dans le Pays de Caux.
↑Douteux, sources caduques, Rietstap indique une famille originaire de Berne, Genève, Augsbourg
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