Première mention, à Calne, dans le Wiltshire en Angleterre, d'un hôpital placé sous l'invocation de saint Jean-Baptiste et de saint Antoine[2].
Fondation au Rœulx, en Hainaut, par Baudoin, bailli de la ville, de l'hôpital Saint-Jacques, voué à l'origine à l'accueil des pèlerins, mais qui recevra par la suite les pauvres et les malades[3].
Création d'une aumônerie à Pouzauges, en Vendée[4].
Construction d'un hôtel-Dieu à l'intérieur des remparts de Falaise, en remplacement de l'ancien hospice que de nombreux sièges ont contraint de laisser à l'abandon[5].
Première mention de l'hôpital Saint-Antoine, dit « de la Cadoule », du nom de la rivière qui le traverse, dans le Languedoc, sur le territoire actuel de la commune de Vendargues[6].
Ouverture, à Paris, de l'hôpital de la Croix-de-la-Reine, qui deviendra hôpital de la Trinité en 1207 puis, en 1545, hospice des Enfants-Bleus, voué à l'accueil des orphelins[7].
1202 ou 1224[15] : Aboul Fadl El Mohandes (né vers 1132 ?), astronome et médecin arabe, mort à Damas[16].
Références
↑Joseph Roman, Tableau historique du département des Hautes-Alpes, Paris, Alphonse Picard, Grenoble, F. Allier père et fils, (lire en ligne), partie 1, « État ecclésiastique, administratif et féodal antérieur à 1789 : Histoire, biographie, bibliographie de chacune des communes qui le composent ».
↑(en) « The Hospital of St. John the Baptist and St. Anthony, Calne », dans R. B; Pugh et Elizabeth Crittal (dir.), A History of the County of Wiltshire, vol. 3, Londres, Victoria County History, (lire en ligne), p. 224-335.
↑(en) Eddy E. Felix et John Parkinson, Strategic Change at the Hospital Saint-Jacques at le Rœulx (Belgium) , in the 17th Century, form the Account Book of Sister Magedelaine Delcourt, , 26 p. (lire en ligne), p. 4.
↑Jean Vincent, Chapelle Saint-Jean de l'Aumônerie, Pouzauges : Recherches préliminaires, , 30 p., dact. ill. (lire en ligne).
↑« Votre hôpital : D'hier à aujourd'hui... », sur le site du Centre hospitalier de Falaise (lire en ligne).
↑Richard Pouget, La Baronnie de Castries, chez l'auteur, s. d., 109 p. (lire en ligne), p. 91.
↑Jules de Gaulle (préf. et notes Charles Nodier), Nouvelle histoire de Paris et de ses environs, vol. 1, Pourrat frères, , 631 p. (lire en ligne), p. 571-573.
↑ a et bJoseph Franck, Encyclopédie des sciences médicales ou Traité général, méthodique et complet des diverses branches de l'art de guérir, 2e division (« Médecine : Pathologie médicale »), Pathologie interne, Paris, Bureau de l'Encyclopédie, , 558 p. (lire en ligne), p. 259.
↑ a et bJean-Noël Biraben, « La Peste noire en terre d'islam », L'Histoire, no 11, (lire en ligne).
↑Jean Volckringer, Contribution à l'étude de l'évolution et de l'unification des formulaires et des pharmacopées (thèse de doctorat en pharmacie de l'université de Paris), Brandouy, , 486 p. (OCLC459877245), cité dans « Formulaires et pharmacopées par ordre chronologique (d'après Jean Volckringer, 1953) : Ier au XIVe siècle », sur le site de la Société d'histoire de la pharmacie (lire en ligne).
↑(en) Frances Garrett, « Buddhism and the Historicising of Medicine in Thirteenth-Century Tibet », Asian Medicine, vol. 2, no 2, , p. 205 (lire en ligne).
↑(en) « Gʹyu-thog Yon-tan-mgon-po, 1126-1202 », Library of Congress, [lire en ligne (page consultée le )].
↑(de) Ferdinand Wüstenfeld(de), Geschichte der arabischen Aerzte und Naturforscher [« Histoire des médecins et naturalistes arabes »], Gœttingue, .
↑Lucien Leclerc, Histoire de la médecine arabe, vol. 2, livre 6e : « XIIIe siècle », Paris, Ernest Leroux, (lire en ligne), p. 162 : « Aboul Fadl ben Abd el Kerim el Mouhandes ».