Cet article présente les faits marquants de l'année 1257 en santé et médecine.
Événements
Par un acte tenu pour fondateur de l'hôtel-Dieu de Toulouse, le prieur de Notre-Dame de la Daurade[1] confie à la confrérie Saint-Jacques le bâtiment de l'hôpital Novel, construit entre et [2].
Fondation de l'hôtel-Dieu de Saint-Gilles, dans le Bas-Languedoc, dédié aux « malades défavorisés et [aux] aliénés » et confié aux Hospitaliers qui conserveront cette charge jusqu’au XVIIIe siècle[4].
Constantinus Pisanus, médecin, alchimiste et théologien qui aurait étudié à Bologne et Padoue, rédige son Liber secretorum alchimiae (« Livre des secrets de l'alchimie[8] »).
↑« Prieuré Notre-Dame la Daurade. Toulouse. 1077-1624 » BNF14509620.
↑« L'Hôtel-Dieu Saint-Jacques : Dix siècles d'évolution architecturale », sur le site du CHU de Toulouse (lire en ligne).
↑(it) « Spedali Riuniti di Santa Chiara », Itinerari scientifici in Toscana, Museo Galileo : Istituti e Museo di Storia della Scienza, mercredi 18 octobre 2017 [lire en ligne (page consultée le 27 septembre 2019)].
↑Élisabeth Blanc, Sophie Aspord-Mercier et al., Saint-Gilles (Gard), secteur de sauvegarde : Rapport de présentation, direction régionale des Affaires culturelles de Languedoc-Roussillon, , 289 p. (lire en ligne), « L'Hôpital des pauvres ou l'Hôtel-Dieu », p. 84.
↑« Histoire [du centre hospitalier] », Présentation, sur le site du centre hospitalier de Haute Gironde, s. d. [lire en ligne (page consultée le 27 septembre 2019)].
↑Dr Ozanne, « L'Hôpital Saint-Nicolas-du-Pont », Bulletin de la Société historique de Compiègne, vol. 20, , chap. 2 : « Saint Louis et l'Installation des trinitaires », p. 131 (lire en ligne).
↑François Mugnier, Les Savoyards en Angleterre au XIIIe siècle et Pierre d'Aigueblanche, évêque d'Hereford, Chambéry, impr. Ménard, , 324 p. (lire en ligne), p. 138-139.
↑Constantinus Pisanus et Barbara Obrist (trad. et éd.), The Book of the Secrets of Alchemy, Leyde, E. J. Brill, (lire en ligne), p. 2-9.
↑ ab et cErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), « Ponce de Alzona », p. 668, « Richard », p. 694, « Seincardus », p. 734, « Nicolas de Farnham », p. 570.
↑ ab et cErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « G. de Viridario », p. 160, « Geoffroi de Plorgaznou », p. 180, « Guillaume de Collogrières », p. 234.