Œuvre de jeunesse, la partition sera par la suite reniée par le compositeur[5].
Structure
La Sonate, d'une durée moyenne d'exécution de vingt minutes environ[6], est constituée de trois mouvements[1],[6] :
Lent et robuste. Animé ;
Très lent ;
Très rythmé, joyeux.
Pour Colin Mason et Edwin Evans, « cette sonate est immature, pas très adroite dans sa construction ni riche d'invention, mais elle regorge de vitalité et de passion, et possède la vigueur qui caractérise tant les dernières œuvres de Milhaud[2] ».
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Paul Collaer, Darius Milhaud : Nouvelle édition revue et augmentée, accompagnée du catalogue des œuvres et d'une discographie, Genève-Paris, Éditions Slatkine, , 617 p. (ISBN2-05-100375-0).
François-René Tranchefort, « Darius Milhaud », dans François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique de chambre, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 995 p. (ISBN2-213-02403-0), p. 597–610.