Les Visages, « série de petits tableaux de caractère[4] » d'une durée moyenne d'exécution de neuf minutes environ, consistent en quatre portraits musicaux[1],[5] :
La Californienne ;
The Wisconsonian, ou Wisconsinian[1] (La Wisconsinienne[5]), mouvement dans lequel la tonalité principale de do majeur« est constamment mise en relation avec une gamme mineure naturelle à l'alto (mes. 5) et une gamme de blues en do avec mi bémol et si bémol (mes. 5 et 6 au piano)[6] ».
La Bruxelloise, où l'on entend quelques notes de La Brabançonne[7] ;
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Paul Collaer, Darius Milhaud : Nouvelle édition revue et augmentée, accompagnée du catalogue des œuvres et d'une discographie, Genève-Paris, Éditions Slatkine, , 617 p. (ISBN2-05-100375-0).
François-René Tranchefort, « Darius Milhaud », dans François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique de chambre, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 995 p. (ISBN2-213-02403-0), p. 597–610.
Michel Duchesneau, « La musique de chambre de Darius Milhaud », Canadian University Music Review / Revue de musique des universités canadiennes, no 13, , p. 15–39 (lire en ligne).