De forme ternaire[2], la Pastorale dénote, pour Alexis Kossenko, une « préoccupation [...] descriptive et narrative ; sous le chant aisé du hautbois, la clarinette évoque le bruissement des feuilles dans la brise, tandis que le basson déambule tranquillement, un rien pataud. [...] La partie centrale donne pour un temps de la pertinence au débat, mais décidément, l'humeur est plutôt à flâner, et c'est sur ce ton que s'achève la pièce après une réexposition[4] ».
↑ abc et dJames Ernest Gillespie, The reed trio: an annotated bibliography of original published works, Detroit, Information Coordinators, (lire en ligne), p. 53
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Livres
Paul Collaer, Darius Milhaud : Nouvelle édition revue et augmentée, accompagnée du catalogue des œuvres et d'une discographie, Genève-Paris, Éditions Slatkine, , 617 p. (ISBN2-05-100375-0)..
François-René Tranchefort, « Darius Milhaud », dans François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique de chambre, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 995 p. (ISBN2-213-02403-0), p. 597–610.