Il est nommé à Paris en 1879 et en 1881, il prend une retraite anticipée de son emploi d'ingénieur en chef de la marine et consacre son temps, comme chercheur bénévole, à la recherche au laboratoire de paléontologie du Muséum National d'Histoire Naturelle. Il se fait envoyer des sédiments de provenances diverses par des officiers de marine[7].
Vers 1882, Il commence sa collaboration avec Ernest Munier-Chalmas, avec qui il décrit le dimorphisme des foraminifères en 1883, notamment, ceux de l'ordre des miliolida . Il a également réalisé des études sur l'histoire évolutive des genres de foraminifera éteints : Orbitoides , Lepidocyclina et Miogypsina. Après la mort de Munier-Chalmas et pendant les dernières années de sa vie, il reprend ses études sur les miliolida.
Œuvres et publications
Note sur un foraminifère nouveau de la cote occidentale d'Afrique, 1890.
Révision des biloculines des grands fonds, 1891.
Note sur les foraminifères des mers arctiques russes, 1894.
↑Adolphe Dupuy, Bénédiction du mariage de M. Charles Schlumberger avec Mlle Mélanie Zuber, dans la chapelle de Rixheim, le samedi 17 avril 1852, (lire en ligne)
↑Jean Koechlin, Tableaux généalogiques de la famille Koechlin, 1460-1914, (lire en ligne)
↑ a et bGaudant, Jean, « Présence d’un Osmeridae : Enoplophthalmus schlumbergeri Sauvage, 1880 dans l’Oligocène inférieur des environs de Céreste (Alpes-deHaute-Provence, France) », Publications Scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle, , p. 345-357 (lire en ligne, consulté le ).
↑Vénec-Peyré, Marie-Thérèse et Bartolini, Annachiara, « Histoire de la Collection de micropaléontologie du Muséum National d’Histoire Naturelle », Publications Scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle, (lire en ligne, consulté le ).