L’École nationale des eaux et forêts (ENEF) est une école forestière fondée à Nancy en sous l’appellation École royale forestière. Elle change de nom en suivant les différents régimes politiques et devient École nationale des eaux et forêts par décret du . En elle fusionne avec l’École nationale du génie rural pour créer la grande École nationale du génie rural, des eaux et des forêts (ENGREF), devenue en école interne d'AgroParisTech.
Historique
L’école forestière est une nécessité demandée par les forestiers de renom comme Jacques-Joseph Baudrillart[1] afin de recenser les pratiques forestières, avoir une culture générale supérieure, un vocabulaire forestier commun et enfin pratiquer scientifiquement la recherche[2].
Création
L’École royale forestière est créée le par ordonnance[3], dans une région forestière bénéficiant des vastes forêts de Nancy, des Vosges lorraines et saônoises ainsi que de la proximité des forestiers allemands accomplis qui ont déjà des écoles forestières[4] (dont l'académie forestière créé en à Tharandt[5] par Heinrich Cotta puis installée à Dresde) et des publications professionnelles[6].
Le premier directeur de l’école forestière, Bernard Lorentz (1774-1865), est nommé le . Son ami Adolphe Parade (1802-1864) lui succède de à [7].
L’école commence dans la rue bien-nommée rue des Jardins, actuellement rue Drouin, puis déménage en rue Girardet où l’on peut encore voir le portail de l'École nationale des eaux et forêts.
En , son nom devient École impériale forestière[8] ; en , École nationale forestière[9] puis à la fin du XIXe siècle, par décret du , École nationale des eaux et forêts[10].
Durant la même année, la recherche forestière française voit le jour par un arrêté du qui crée la Station de recherche et d’expériences. La station de recherche s’installe à Nancy, dans l’École forestière[13].
La collaboration entre l'école forestière et la station de recherche aboutit en à la création de l’Union internationale des instituts de recherches forestières (IUFRO) avec les forestiers allemands, suisses et autrichiens. De nos jours la recherche forestière de l’IUFRO est devenue mondiale et l’institut affiche ses racines datant de [14].
Impact international
L’école forestière est sollicitée pour former des étudiants étrangers[15] et participe également dans les pays étrangers en envoyant en tant qu'experts ses professeurs et anciens élèves[16]. L'école a, de plus, formé un important contingent de futurs dirigeants forestiers internationaux. En effet, la scolarité était gratuite pour les élèves libres étrangers[17] :
Afrique du Sud : Médéric de Vasselot de Régné, formé à l'école de Nancy, premier superintendant du « Water en Bosbou Direktoraat » sud-africain (Direction des Eaux et Forêts).
Australie : Charles Lane Poole(en), formé à l'école fut le créateur du Code Forestier d'Australie Occidentale, le premier superintendant du Département des Forêts d'Australie Occidentale, le créateur de l'Australian Forestry School à Canberra et le premier inspecteur général des forêts de la fédération d'Australie.
Belgique : Des élèves belges sont inscrits à l'école forestière avant la création de l'école forestière belge[18],[19].
Empire britannique : David Hutchins(en), servit successivement en Inde (10 ans), Afrique du Sud (23 ans), Afrique de l'Est britannique (3 ans, où il prit sa retraite après avoir servi comme Conservateur en chef des forêts). Pendant sa retraite, il explora les forêts de la région du Mont Kenya, celles de Chypre, d'Australie, ainsi que de Nouvelle-Zélande.
Indes anglaises[26] avec James Sykes Gamble, botaniste anglais spécialisé dans la flore du sous-continent indien.
Expositions universelles : l’école participe à plusieurs expositions universelles, avec le concours actif du professeur Auguste Mathieu (1810-1890)[27], en [28], [29], [30] et [31].
Lors du centenaire de l'École nationale des eaux et forêts, de nombreux témoignages écrits parviennent d'Italie, Norvège, Suisse[32]...
Enseignement
L'enseignement défini en va évoluer en fonction des techniques et des références forestières. Ainsi l'allemand est obligatoire pour consulter les ouvrages professionnels à la création de l'école par la suite les langues étrangères sont plus variées[33].
Les étudiants de l’École des Eaux et Forêts de Nancy étaient tous issus de familles aisées car l'inscription à l'école était subordonnée jusqu'en au paiement d'une pension annuelle comprise entre 1 200 et 1 500 francs et à l'achat de l'uniforme[34]
En , pendant la Restauration une ordonnance[35] règle l'uniforme des élèves :
rang de garde à cheval ;
chapeau français avec ganse en argent ;
habit de drap vert boutonné sur la poitrine, deux légers rameaux de chêne de la longueur de 5 cm et un gland brodé en argent de chaque côté du collet ;
boutons de métal blanc portant les mots « École royale forestière » ;
gilet blanc ;
pantalon de drap vert ;
couteau de chasse (dague) à quillons contrariés et à tête de lion, d'un modèle identique à celui de la Vénerie royale de Charles X, mais avec l'inscription « École forestière » sur la lame.
L'année du coup d'état et pendant le cours de l'année suivante instituant le Second Empire, le Ministre des finances institua une commission pour déterminer l'uniforme de tous les fonctionnaires de son département. Cette commission prévoyait des changements considérables dans l'uniforme. Le décret règlementaire[36] fut rendu et publié par une circulaire[37] qui contenait comme annexe une planche indiquant la forme de la poignée d'épée et une autre donnant le dessin des broderies.
Pour tous les services sont édictés des dispositions générales pour les agents (officiers) avec des spécificités pour l'École impériale des forêts :
habit de drap vert foncé, coupé droit sur le devant en forme de frac, et garni de neuf boutons en métal bombés, portant un aigle en relief sur un fond mat, et au-dessus l'indication spéciale du service (métal argent portant l'aigle couronné avec l'exergue « École Imple forestière ») ;
broderies en argent (composées de branches de chêne) ;
gilet blanc, coupé droit, garni de 6 boutons en argent ;
pantalon en casimir blanc pour la grande tenue et en drap vert pour la petite tenue, avec galon de 4 cm en argent broché sur les côtés ;
couteau de chasse à deux quillons à têtes d'aigles, avec l'abeille sur le pommeau[38].
La Velléda[39] ou Fanfare des Forestiers, composée en par les élèves officiers de l'École forestière de Nancy est sonnée de nos jours pour commémorer les chasseurs forestiers tombés pendant la 1re guerre mondiale ou à l'occasion de la Saint-Hubert (saint patron des forestiers), ainsi que pour commémorer les sapeurs-forestiers lors de la 2e guerre mondiale, qui, bien que relevant du Génie portaient un cor de chasse écarlate sur fond noir au col.
Lors du passage des élèves officiers (les « fagots ») devant le jury de fin d'études, on sonnait La Royale. Il est à noter la grivoiserie des paroles que tous les élèves se devaient de connaître :
La Royale (chant, fanfare forestière)
Voyez donc comme il bande,
C'est un vieux dix-cors qui a sailli bien des fois.
En passant sur les brandes,
Avec ses deux biches ou bien trois.
Ah ! Que je voudrais être
Aussi bon que lui aujourd'hui, au déduit.
Je ne fais que paraître,
Je bande mou quand je tire mon petit coup.
En , la tenue de ville des élèves de l'École forestière de Nancy est réglée ainsi qu'il suit[44]:
tunique-jaquette : en drap vert foncé, collet droit avec cor de chasse brodé en cannetille d'argent à chaque angle, 2 rangées de 5 boutons chacune sur le devant, en argent uni, de forme sphérique, pattes à la soubise marquant la taille par derrière, attentes en argent sur les épaules ;
pantalon : drap gris en hiver et de satin de laine de même couleur en été, garni d'une double bande, avec sous-pieds, conforme au modèle prescrit pour l'uniforme des agents ;
képi : monté sur carcasse en plume, avec visière carrée et doublée, ou képi souple avec visière rabattue et doublée, cor de chasse brodé sur le bandeau et fausse jugulaire en argent, le haut du bandeau garni d'un galon d'argent en lézarde de 15 mm sur les coutures verticales du turban, nœud hongrois d'un seul brin sur le calot ;
sabre : droit à fourreau et garde d'acier, dragonne en cuir verni, ceinturon à bélière en cuir verni noir, doublé en maroquin vert et piqué avec boucle argentée, se portant sous la jaquette ;
gants de castor.
La tenue de travail est réglée ainsi qu'il suit :
veston demi-ajusté, passepoilé couleur du fond, croisant sur la poitrine et garni de 10 boutons demi-grelots en argent, 5 de chaque côté, collet droit, pattes d'épaules en drap ;
pantalon comme pour la grande tenue ;
casquette d'uniforme, avec cor de chasse au bandeau ;
col liseré de blanc ;
vêtement de dessus : capote-manteau en drap vert, collet rabattu, avec cor de chasse brodé en argent (modèle des officiers de d'infanterie) ; rotonde à capuchon, ayant la longueur des manches de la capote.
La tenue de travail ne sera jamais portée en dehors de l'école, sauf dans les excursions sur le terrain d'instruction.
Les élèves doivent se montrer constamment revêtus de l'uniforme.
Le décret de [45] énonce que « le personnel de l'Administration des forêts entre dans la composition des forces militaires du pays ».
Les élèves de l'École forestière reçoivent donc une instruction militaire pendant leur séjour à l'école. Un officier désigné par le Ministre de la guerre est chargé de cet enseignement. À leur sortie de l'école, et s'ils sont admis dans l'Administration des forêts, ils sont nommés sous-lieutenants de réserve d'infanterie et accomplissent en cette qualité dans le corps auquel ils sont affectés, le stage prévu[46].
Le directeur de l'école forestière fournit aux commandants des bureaux de recrutement les noms des hommes faisant partie des élèves de l'école. Les commandants des bureaux de recrutement n'affectent à aucun corps de l'armée active ou territoriale les officiers ne comptant pas au moins 6 mois de fonction dans l'Administration comme garde général stagiaire.
À partir de donc, les élèves de l’École forestière durent signer un engagement de trois ans en entrant à l’École : deux ans d’école durant lesquels leur était donnée une formation forestière et une instruction militaire de base et une troisième année comme sous-lieutenant dans une unité d’infanterie. Cette mesure permettait d’augmenter la capacité opérationnelle des futurs cadres des unités de chasseurs forestiers et de préparer des officiers de réserve pour l’infanterie où étaient affectés, pour la mobilisation, ceux qui ne trouvaient pas place dans les chasseurs forestiers (50 % environ).
Seuls les gardes généraux et les inspecteurs adjoints encadraient les chasseurs forestiers. Les inspecteurs et conservateurs étaient affectés dans les états-majors. Ceci explique bien les pertes très importantes que subirent les officiers forestiers subalternes pendant la Grande guerre durant laquelle ils combattirent en première ligne dans l’infanterie. On relève en effet sur le monument aux morts de l’École les noms de 96 anciens élèves de l’École des Eaux et Forêts de Nancy qui furent tués de à .
En , un cahier des charges ayant été approuvé, l'habillement[47] des chasseurs forestiers est le suivant en ce qui concerne l'habillement des adjudants de surveillance des 2 écoles des Eaux et Forêts (Les Barres et Nancy) :
capote-manteau vert finance avec galons ;
rotonde capuchon ;
tunique vert finance avec galons ;
pantalons gris de fer bleuté avec deux bandes vert finance sur le côté ;
Henri Vicaire (1802-1865), élève de la deuxième promotion de l'école et sorti major. Administrateur des Domaines et Forêts de la Couronne en ; son portrait en pied, par Richomme appartient à l'École Forestière de Nancy ; puis en , directeur général des Forêts jusqu'à sa mort, il joua un rôle important dans le reboisement dans les zones montagneuses, dans les Landes de Gascogne et en Sologne.
Eusèbe Galmiche (1841-1913) conservateur des eaux et forêts missionné en par le ministre des Finances en Turquie pour reconnaître les ressources du patrimoine forestier notamment des forêts côtières de la Mer Noire, décoré de l'Ordre du Médjidié.
François Alexandre Alfred Gérardin (1841-1905), garde des forêts vosgiennes puis de la région de Carcassonne, devenu peintre et graveur.
Georges Fabre (1844–1911) ingénieur des eaux et forêts français, connu pour son rôle dans la reforestation de la forêt domaniale du mont Aigoual,
James Sykes Gamble (1847–1925) botaniste anglais spécialisé dans la flore du sub-continent indien ; il devint directeur de la British Imperial Forest School(en),
Sir David Ernest Hutchin (1850–1920), fut un expert forestier qui travailla dans l'Empire britannique,
Auguste-Eugène Muterse (1851- 1922) Inspecteur des eaux-et-forêts. Bâtisseur des routes et maisons forestières de l'Estérel[55].
Augustine Henry (1857–1930) botaniste et sinologue irlandais,
Hippolyte de La Hamelinaye (1861-1935), ingénieur forestier français, le premier à recourir à la carte de Cassini et à la photographie, fournissant ainsi de riches albums de plusieurs centaines de clichés sur l'évolution des forêts françaises,
Paul Boudy (1874-1957), Inspecteur général des eaux-et-forêts. Créateur et organisateurs du service des eaux-et-forêts du Maroc. Proche du Maréchal Lyautey,
Louis Lavauden (1881-1935), zoologue et forestier français.
Charles Edward Lane Poole (1885-1970), Conservateur des Forêts de Sierra Léone puis d'Australie Occidentale, Inspecteur Général des Forêts et Directeur de l'École Forestière Australienne.
Croix de guerre 1914-1918 avec une citation à l'ordre de l'Armée du : « Grâce à ses traditions patriotiques et à l'instruction militaire de ses élèves, a fourni au pays de nombreux officiers qui, au cours de la grande guerre, dans l'infanterie, l'état-major ou les services, ont généralement donné leur sang, leur activité et leurs forces pour le triomphe définitif de la France. »[56]
L'ancien élève de l'École nationale des eaux et forêts Aristide Frézard a créé la Revue des eaux et forêts, publication de référence en foresterie de à [10].
Notes et références
↑Jacques-Joseph Baudrillard et Joseph Antoine Bosc, Dictionnaire De La Culture Des Arbres Et De L'Aménagement Des Forêts, (lire en ligne)
↑Jacques-Joseph Baudrillart, Bosc et Quingery, Traité général des eaux et forêts, chasses et pêches : composé d'un recueil chronologique des règlemens forestiers, d'un dictionnaire des eaux et forêts, et d'un dictionnaire des chasses et pêches; avec un atlas contenant un grand nombre de tableaux et de figures, Agasse, (lire en ligne)
« P 11 La science était dans les livres et la routine aveugle administrait les forêts ; l’instruction, toujours si lente à se répandre quand on en fait point un devoir, n’allait point jusqu’aux forestiers... »
↑Charles Guyot, L'enseignement forestier en France : L'École de Nancy, Nancy, passage du Casino, Crépin-Leblond, , 440 p. (lire en ligne), p. 8, 12
↑Jean Pardé, « Les relations franco-allemandes au XIXe siècle », Revue forestière française, vol. XXIX, no spécial « Eléments d'histoire », , p. 145-149 (lire en ligne)
↑[IUFRO is open to all individuals and organizations dedicated to forest and forest products research and related disciplines. It is a non-profit, non-governmental and non-discriminatory organization with a long tradition dating back to 1892.] « IUFRO: The Organization / Discover IUFRO », sur www.iufro.org (consulté le )
↑BOIVIN, Emmanuel : Le congrès foretier international de 1913 in HIRBEC, P., HANNEQUART, F., TAILLARDAT, J. coord., 2013. Histoire et traditions forestières - 2e Colloque - 2013 - Les Dossiers Forestiers no 26, Office national des forêts, 243 p. (ISBN978-2-84207-377-0).
↑Revue des eaux et forêts, Lucien Laveur, (lire en ligne), p. 230 La création d’une École forestière en Belgique réponds à un besoin qui se faisait sentir depuis longtemps.
↑Societé forestière de Franche-Comté et des Provinces des lE̓st, Bulletin trimestriel : Societé forestière de Franche-Comté et des Provinces des l'Est, Impr. Bené, (lire en ligne)
↑« Revue des eaux et forêts : économie forestière, reboisement... / dir. : S. Frézard ; réd. en chef : A. Frézard », sur Gallica (consulté le ) : « On nous annonce le prochain départ pour Constantinople, de MM. Godchaux, de Montrichard et Galmiche. Il retourne en Turquie avec le nouveau personnel de la commission forestière mise par le gouvernement français à la disposition de la Porte Ottomane.
Les choix faits témoignent du haut intérêt que l’administration forestière met à envoyer à l’étranger des agents dignes, à tous les points de vue, de la représenter. », p. 69
↑Emile Gallé et François Le Tacon, Émile Gallé : nature & symbolisme, influences du Japon : catalogue d'exposition, Vic-sur-Seille, Musée départemental Georges de La Tour, 5 mai-30 août 2009, S. Domini, (ISBN978-2-35475-010-7, lire en ligne)
↑Léon Dabat, Ministère du Commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes. Exposition universelle internationale de 1900, à Paris. Rapports du jury international. Classe 5. Enseignement spécial agricole. Rapport de M. Léon Dabat,.... Tome 1, Impr. nationale (Paris), (lire en ligne), P431
↑Anne-Marie Lelorrain et Marigold Bobbio, L'enseignement agricole et vétérinaire de la Libération à nos jours : Textes officiels avec introduction, notes et annexes, Educagri Editions, , 1053 p. (ISBN978-2-7342-0995-9, lire en ligne)
↑Ordonnance pour l'exécution du Code forestier du 1er août 1827.
↑Décret du Président de la République du 17 novembre 1852 fixant le costume des fonctionnaires et agents du ministère des Finances et des administrations qui en dépendent.
↑Circulaires No 717 du 8 juin 1853 et No 730 du 8 août 1853 fixant le costume des fonctionnaires et agents du ministère des Finances et des administrations qui en dépendent.
↑Lavauden, Louis, Recherches rétrospectives sur les insignes et les marques distinctives de l'Administration des eaux et forêts en France, Revue des eaux et forêts.
↑Velléda fut une druidesse et prophétesse gauloise qui contribua à l’insurrection de la Gaule du Nord contre l’empereur Vespasien (en 70). Elle est devenue la patronne des forestiers et elle a donné son nom à leur fanfare sonnée à la trompe et écrite en 1870 par les élèves forestiers de Nancy.
↑ a et bCharles Jacquot, Les codes de la législation forestière comprenant le code forestier, l'ordonnance réglementaire du 1er août 1827, le code de la pêche fluviale, le code de la chasse, et les règlements concernant la louveterie, avec les changements survenus dans la législation et la corrélation des articles entre eux, (lire en ligne)
↑Andrée Corvol, Les forêts d'occident du Moyen Âge à nos jours : actes des XXIVes Journées internationales d'histoire de l'abbaye de Flaran, 6, 7, 8 septembre 2002, Presses Univ. du Mirail, , 300 p. (ISBN978-2-85816-717-3, lire en ligne)
↑Circulaire no 813 du 10 mars 1913 de la Direction Générale des Eaux et Forêts, définissant l'habillement des chasseurs forestiers de la France.
↑ a et bAnne-Marie Lelorrain et Marigold Bobbio, L'enseignement agricole et vétérinaire de la Libération à nos jours : Textes officiels avec introduction, notes et annexes, Educagri Editions, , 1053 p. (ISBN978-2-7342-0995-9, lire en ligne)
↑portrait des anciens directeurs Guyot 1898, p. 48
↑Lelouvier, « Nécrologie de M. de Salomon (1783-1854) », Annales forestières, vol. 13, , p. 185-190 (lire en ligne, consulté le )
↑J. Pardé, « Il y a 100 ans le traité de sylviculture de L. Boppe », Revue forestière française, vol. XLII, no 3, , p. 370-372 (lire en ligne, consulté le )
Charles Guyot, L'Enseignement forestier en France : L'École de Nancy (monographie imprimée), Nancy, Crépin-Leblond, , 400 p. (lire en ligne)
Gustave Huffel, Les débuts de l'enseignement forestier en France par Bernard Lorentz, 1825-1830, Nancy, coll. « Annales de l'École nationale des Eaux et Forêts, vol. III », , 135 p. (lire en ligne) ;
Gérard Buttoud, « Les élèves de l'école des eaux et forêts (1825-1964) : Contribution à une sociologie historique de l'administration forestière française », Revue forestière française, vol. XXXIV, no 1, , p. 6-14 (lire en ligne, consulté le )