À la mobilisation, chaque régiment d'active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200.
Création et différentes dénominations
: 368e Régiment d'Infanterie
: Dissolution. La revue de dissolution du régiment est passée par M. le surintendant Bourdaire, chef des services administratifs de la 73e Division d'Infanterie à 10 heures du matin à Villers-en-Haye (Meurthe-et-Moselle). Le lieutenant-colonel passe la revue des troupes du régiment sur le terrain de manœuvres de Griscourt (Meurthe-et-Moselle). Il leur présente une dernière fois le drapeau du 368e et leur fait ses adieux.
Chefs de corps
- : Lieutenant-colonel Duchêne[1] (mortellement blessé le )
Le 368e régiment d'infanterie est formé à Sens, au dépôt du 168e régiment d'infanterie, le . Il comprend outre l'état-major du régiment, 2 bataillons, 8 compagnies[2] représentant 2 055 sous-officiers et hommes de troupe.
Du 10 au , conformément à la mission confiée à la 146e brigade le régiment doit maintenir la liaison établie avec les corps voisins et interdire à l'ennemi l'accès du plateau de Saizerais en tenant le secteur situé entre les routes 4 Vents et Dieulouard et 4 Vents-Marbache.