le 2e bataillon de marche, formé à Rouen le [6] d'un détachement de 600 hommes (et trois officiers) du 41e de ligne[7], de deux détachements d'au total 660 hommes (et cinq officiers) du 93e de ligne[8] et des 5e et 6e compagnies du IVe bataillon du 94e de ligne (429 hommes et quatre officiers)[9] ;
le 5e bataillon de marche, formé le au Havre[5],[10] d'un détachement de 400 hommes (et un officier) du 19e de ligne[11],[12] et de la 5e compagnie du IVe bataillon du 62e de ligne (390 hommes et cinq officiers)[13].
Opérations des 2e et 5e bataillons de marche avant la formation du 76e régiment
Le 2e bataillon de marche combat à la victoire d'Étrépagny le (six tués et vingt-sept blessés)[15].
Le 5e bataillon de marche fait partie du corps d'armée de Rouen[10],[16]. Il quitte Le Havre le [17] et combat les Allemands au succès de Formerie le (trois tués et seize blessés)[18], à la déroute de Buchy le (quelques blessés et prisonniers[19]) et au succès de Bolleville le (un tué)[20].
Combats contre les Prussiens
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Combats contre la Commune
Le 76e régiment de marche est au Havre lorsqu'il reçoit début mars l'ordre d'aller rejoindre la division Susbielle de l'armée de Paris, armée rassemblée face aux troubles révolutionnaires consécutifs au siège de Paris[21]. Le , après l'éclatement de la Commune de Paris, la division Susbielle devient partie intégrante de la nouvelle armée de Versailles. À partir du , le régiment fait partie de la 2e division Susbielle du 2e corps de la 2e armée de Versailles[22]. Le régiment participe à la Semaine sanglante.
Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne).