Création du régiment le à Romans-sur-Isère. Le régiment ne comporte que 2 bataillons : le 5e avec 4 compagnies (17e, 18e, 19e, 20e) et le 6e avec aussi 4 compagnies (21e, 22e, 23e, 24e). Il est composé de 36 officiers, 104 sous officiers, 2 122 caporaux et soldats sous le commandement du lieutenant-colonel Rousson.
Regroupement des réservistes à Romans-sur-Isère jusqu'au , puis reprise de l'instruction militaire jusqu'au dans la région d'Embrun.
À la suite de la percée allemande sur Saint-Mihiel, le régiment est envoyé en Woëvre. il combat le à Rambucourt et les 29 et 30 à Beaumont avec de nombreuses pertes.
À partir du alternance de montées au front pour un bataillon et stationnement à l'arrière de l'autre.
1915
le le lieutenant-colonel Lagier remplace le lieutenant-colonel Rousson.
Du 5 au le régiment participe à diverses attaques autour de Flirey, ceci sans grands résultats malgré de nombreux tués et blessés.
Le le régiment est cité à l'ordre de la brigade.
Le 1er octobre le régiment part en Champagne. il s'installe à la ferme Navarin près de Souain. Il y reste jusqu'au . Il est alors dirigé dans la banlieue de Toul où l'instruction est reprise.
Le le lieutenant-colonel Gardin remplace le lieutenant-colonel Lagier.
Le le régiment quitte Flirey pour le sud-est de Nancy.
Le régiment est dissous le , le 5e bataillon et la 1re compagnie de mitrailleuses passent au 261e RI, le 6e bataillon et la 2e compagnie de mitrailleuses passent au 340e RI.
L'entre-deux-guerres
Seconde Guerre mondiale
De 1945 à nos jours
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[2] :