Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain
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Cérémonie ou récompense | Catégorie / Récompense | Nommé(es) / Lauréat(es) | |
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Association argentine des critiques de cinéma (Argentinean Film Critics Association Awards) |
Meilleur film étranger | Jean-Pierre Jeunet | Nomination |
Grand prix du cinéma brésilien | Meilleur film en langue étrangère | Jean-Pierre Jeunet | Nomination |
Prix Aigle d'Or (Golden Eagle Awards) |
Aigle d'Or du meilleur film étranger | Jean-Pierre Jeunet | Lauréat |
Prix exclusifs DVD (DVD Exclusive Awards) |
Meilleur documentaire rétrospectif original, nouvelle version (pour le film à la maison : dans les coulisses d'Amélie) |
Jean-Pierre Jeunet | Nomination |
Meilleur design de menu | - | ||
Prix Guaraní (Prêmio Guarani) |
Meilleur film en langue étrangère | Jean-Pierre Jeunet | Nomination |
Roberts - Prix du cinéma danois | Robert du meilleur film non américain | Jean-Pierre Jeunet | Lauréat |
2010
Cérémonie ou récompense | Catégorie / Récompense | Nommé(es) / Lauréat(es) | |
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Prix du Derby Or | scénario original de la décennie | Guillaume Laurant et Jean-Pierre Jeunet | Nomination |
Autour du film
- Jean-Pierre Jeunet raconte dans les commentaires DVD que l'idée de l'album photo (des photos d'identités jetées) lui vient de l'auteur français Michel Folco qui avait tenu un tel album[31]. Le droit à la propriété intellectuelle en France a empêché Jeunet d'utiliser ledit album, ce qui l'a contraint à embaucher des figurants (et des personnes du tournage) pour être pris dans ces clichés.
- Le personnage d'Amélie Poulain est librement inspiré du personnage principal du court-métrage Lucille et le Photomaton (1993) de Sébastien Nuzzo qui partage la même intrigue autour des photomatons. Jean-Pierre Jeunet s'est aussi inspiré du court-métrage Agathe tricote (1998) de Catherine Lecoq pour l'intrigue du nain de jardin globe-trotteur.
- Jeunet avait à l'origine écrit le rôle d'Amélie pour l'actrice britannique Emily Watson[32], dont il avait adoré l'interprétation dans Breaking the Waves[33] ; dans le script original, le père d'Amélie est un Britannique vivant à Londres. Cependant, le français d'Emily Watson se révéla insuffisant pour le film et à cause d'un emploi du temps incompatible avec le tournage de Gosford Park, Jeunet réécrivit le script pour une actrice française.
- C'est en voyant l'affiche de Vénus Beauté (Institut) que Jeunet eut envie de faire faire des essais à Audrey Tautou pour le rôle d'Amélie[33]. Jeunet assure avoir été convaincu « au bout de trois secondes »[33], tout en précisant : « j'adore ça quand, pendant le casting, on ressent ce frisson de l'évidence »[33]. « J’ai alors commencé le casting en France. Emily est devenue Amélie. Vanessa Paradis a refusé le rôle. Puis, un jour, je suis passé devant l’affiche de Vénus Beauté (Institut). J’ai découvert Audrey Tautou avec ses grands yeux sombres, un éclat d’innocence. C’était une évidence »[34].
- Au départ, Jean-Pierre Jeunet avait pensé au comédien Jacques Thébault, jadis voix française de Steve McQueen, pour faire le narrateur. Mais le timbre de ce dernier ayant trop vieilli avec les années, Jeunet porte finalement son choix sur André Dussollier.
- Le film ne fut pas sélectionné au Festival de Cannes. L'absence d'Amélie Poulain souleva une controverse à cause de l'accueil enthousiaste du public et des médias français en comparaison. Un précédent film de Jeunet, La Cité des enfants perdus, avait reçu un accueil plutôt mauvais à Cannes[35]. Gilles Jacob, le président du festival jugea le film « inintéressant »[36], bien qu'il n'eût vu qu'une version incomplète, notamment sans musique d'accompagnement.
- Un autre film avec Audrey Tautou, Le Battement d'ailes du papillon de Laurent Firode, sorti l'année précédente, s'est vendu en Corée et en Russie sous le titre de Amélie 2. Le film n'ayant aucun rapport avec l'original, il s'agissait d'une simple stratégie marketing de la part des distributeurs locaux.
- Devant la façade de la gare du Nord, le narrateur André Dussollier dit « Amélie arrive au photomaton de la gare de l’Est ». Le mot « NORD » sur la façade a été remplacé numériquement par le mot « EST ».
- La mort accidentelle d'Amandine Poulain, mère d'Amélie, s'inspire d'un fait divers réel, mais où les rôles sont inversés. En effet, c'est une touriste canadienne qui a été tuée par une désespérée française dans des conditions similaires en 1983[37].
- Le , Jean-Pierre Jeunet poste, sur sa chaine Youtube, le court-métrage « La véritable histoire d'Amélie Poulain »[38]. Le film démontre qu'Amélie Poulain est un agent du KGB[38].
Extraits vidéo et citations artistiques utilisés dans le film
- Extraits vidéo
- Une représentation télévisée de la chanteuse de gospel à la guitare sœur Rosetta Tharpe interprétant Up Above My Head.
- Un extrait des images du Critérium international de la route de 1997 où l'on voit un cheval courant au milieu du peloton.
- Un extrait méconnu d'un spectacle, où l'on voit un homme danser avec son chien.
- Un extrait du documentaire Born for Hard Luck de Tom Davenport, montrant Peg Leg Sam avec une jambe de bois.
- Un extrait du documentaire de 1998 Seventeen Seconds to Sophie (Dix-sept secondes pour Sophie) de Bill Cote.
- Les images des funérailles d'Amélie Poulain, bienfaitrice des pauvres, sont en fait des images de l'enterrement de Sarah Bernhardt, dont on reconnait la tombe au Père-Lachaise.
- Trois extraits du film Jules et Jim de François Truffaut :
- Jules, Jim et Catherine courant sur un pont.
- La scène du baiser pendant laquelle se trouve un insecte, apparemment non remarqué des créateurs du film, rampant le long de l'écran derrière les deux amoureux et semblant entrer dans la bouche de la femme. Ce passage est détaillé par la voix off et un cercle met en évidence l'insecte durant son déplacement.
- Un bref extrait de Catherine (Jeanne Moreau) chantant sa chanson Le Tourbillon de la vie
- Un extrait d'un flash spécial présenté par Benoît Duquesne sur France 2 et qui annonce la mort de la princesse Diana[39].
- Citations artistiques
- Le tableau que peint Dufayel est Le Déjeuner des canotiers d'Auguste Renoir ;
- Le père de l'épicier Romain Colignon poinçonne les lauriers de sa femme la nuit dans le jardin et dit qu'il préfèrerait poinçonner les lilas, en référence à la chanson Le Poinçonneur des Lilas de Serge Gainsbourg.
- La référence aux « jours d’orange », leitmotiv des lettres d’amour d’Adrien, mari de la concierge d’Amélie Poulain, est tirée du poème militant anti-fasciste écrit par Louis Aragon, Un jour viendra, chanté par Jean Ferrat dans son disque Un jour, un jour : Jean Ferrat chante Aragon.
Titre en langues étrangères
Dans les autres langues, le film prend les titres suivants[40] :
- Allemand : Die fabelhafte Welt der Amélie (« Le Fabuleux Monde d'Amélie »)
- Anglais : Amélie/Amélie from Montmartre (« Amélie de Montmartre »)
- Arabe : اميلي (Āmīlī)
- Bulgare : Невероятната съдба на Амели Пулен (Neveroyatnata sădba na Ameli Pulen)
- Chinois : 天使爱美丽 (Tiānshǐ Àiměilì : « L'Ange Amélie » (« amour-beau-beau » avec les caractères utilisés))
- Catalan : Amélie
- Coréen : 아멜리에 (Amélié)
- Croate : Amelie
- Espagnol : Amélie
- Espéranto : La Fabela Destino de Amélie Poulain
- Finnois : Amélie
- Gallois : Tynghedfen Anhygoel Amélie Poulain
- Grec : Αμελί (Amelí)
- Hébreu : אמלי (Amily)
- Hongrois : Amélie csodálatos élete (« La Vie fabuleuse d'Amélie »)
- Islandais : Hin stórkostlegu örlög Amélie Poulain
- Italien : Il favoloso mondo di Amélie (« Le Fabuleux Monde d'Amélie »)
- Japonais : アメリ (Ameri)
- Lituanien : Amelija iš Monmartro (« Amélie de Montmartre »)
- Norvégien : Amelie fra Montmartre
- Persan : آملی (ʾĀmīlī)(سرنوشت شگفت انگیز آملی پولن)
- Polonais : Amelia
- Portugais : O Fabuloso Destino de Amélie
- Portugais brésilien : O Fabuloso Destino de Amélie Poulain
- Roumain : Amelie
- Russe : Амели (Ameli)
- Slovène : Nenavadna usoda Amélie Poulain
- Suédois : Amelie från Montmartre[41]
- Tchèque : Amélie z Montmartru (« Amélie de Montmartre »)
- Turc : Amélie
- Ukrainien : Амелі (Ameli)
Influences et postérité
Publicité
Au Québec, en 2002 - 2003, les restaurants McDonald's ont utilisé, pour accroître la vente de leurs nouvelles languettes de poulet, le slogan : « Le délicieux festin d'Émilie Poulet » sur des panneaux publicitaires. Les ayants droit du film ont réclamé 200 000 $ de dommages et intérêts pour cette allusion non autorisée au titre du film[42].
Une série de spots télévisés pour Groupama (compagnie d'assurances et services financiers) met en scène une jeune femme brune prénommée Cerise. Le style de ces publicités (réalisées par Sébastien Drhey) est une référence visiblement au film[43].
En 2009, les publicités télévisées de l'Agence nationale des services à la personne, imaginées par Fred & Farid, utilisent également un ton rappelant le film[44].
Autres
Dans le roman Monsieur Quincampoix de Fred Bocquet (2006), le narrateur est un bouledogue français que sa maîtresse a appelé Quincampoix à cause du film. Il a une écuelle à son nom décorée de flèches bleues, allusion à une réplique du film, lorsque Amélie Poulain dit au téléphone à Nino Quincampoix : « Suivez les flèches bleues, Monsieur Quincampoix »[45].
En 2007, le groupe français Les Fatals Picards a composé une chanson intitulée Moi je vis chez Amélie Poulain dans son album Pamplemousse mécanique, chanson parodiant avec humour le monde trop parfait et trop gentil (donc ennuyeux) du film. Ils évoquent néanmoins la controverse concernant l'absence des « minorités » dans le film : « Enfin marron, façon de parler parce que si on fait un peu attention / On voit bien que les couleurs foncées, y en a pas des masses dans les environs ».
En 2007, à la télévision aux États-Unis, Bryan Fuller s'inspire de ce film, qui est son préféré, pour écrire la série Pushing Daisies ; le président de la chaîne ABC, Stephen McPherson, qui avait également beaucoup aimé le film, cherchait justement un contenu qui en reprendrait l'esprit[46].
En 2007, deux chercheurs ayant découvert en Équateur une nouvelle espèce de grenouilles qu'ils placent dans le genre Cochranella, la baptisent Cochranella amelie en l'honneur d'« Amélie, la protagoniste de l'extraordinaire film Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, un film dans lequel les petits détails jouent un rôle important pour parvenir à la joie de vivre, comme le rôle important que les grenouilles Centrolenidae et tous les amphibiens et reptiles jouent dans la santé de notre planète », d'après l'article qu'ils font publier dans la revue scientifique Zootaxa pour faire part de leur découverte[47]. Cette espèce est maintenant placée dans le genre Teratohyla et est nommée Teratohyla amelie.
Le film In the Air (2009) fait référence au nain de jardin voyageur du père d'Amélie Poulain.
En 2013, le feuilleton Plus belle la vie s'inspire de l'histoire le temps d'une intrigue estivale, avec le personnage de Mélanie (Laëtitia Milot)[48].
En 2017, le Fabuleux destin d'Amélie Poulain est adapté en comédie musicale au Walter Kerr Theatre à Broadway sous le nom Amélie. A new musical[49].
En 2017, la chanson de Gauvain Sers intitulée Pourvu, fait référence deux fois au film. Par ailleurs, le clip a été réalisé par Jean-Pierre Jeunet[50]. La même année, le shortcom télévisé Cocovoit rend hommage au film dans la totalité d'un épisode, intitulé Amélie.
En 2018, l'épisode Maman travaille de la série animée Les Simpson s'inspire du film : Lisa tente, après avoir vu le film, d'aider les habitants de Springfield sans qu'ils ne s'en doutent, sa quête suit le même chemin qu'Amélie, avec le même type de voix off.
En 2023, le réalisateur du film, Jean-Pierre Jeunet, publie sur sa chaine Youtube un court métrage intitulé « La véritable histoire d'Amélie Poulain »[38], donnant une vision nouvelle (et parodique) des évènements du film.
Notes et références
- Institut National de l'Audiovisuel (Antenne 2), « L'inconnu du photomaton », (consulté le )
- « Die Fabelhafte Welt der Amélie », sur encyclocine.com (consulté le )
- « Die fabelhafte Welt der Amélie », sur filmportal.de (consulté le )
- « « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain - Société de Production / Sociétés de distribution » » ((en) sociétés de production et de distribution), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain - Société de Production / Sociétés de distribution », sur Unifrance.org (consulté le ).
- « Budget du film Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », sur JP box-office.com (consulté le )
- « « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain - Spécifications techniques » » (spécifications techniques), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain - Guide Parental » » ((en) guide parental), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain s’offre une nouvelle bande-annonce pour sa ressortie », sur Premiere.fr, (consulté le )
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- Serge Kaganski, « Rebonds : «Amélie» pas jolie », Libération, (lire en ligne).
- Serge Kaganski, « Pourquoi je n'aime pas Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », Les Inrockuptibles, (lire en ligne).
- (en) The Best 1,000 Movies Ever Made, sur le site du New York Times.
- « 50 Greatest Romantic Comedies of All Time », RollingStone Magazine, (lire en ligne, consulté le )
- « Top 250 », IMDb (consulté le )
- Le cinéma français à l'étranger : Résultats de l'année 2009 et de la décennie - Unifrance [PDF]
- Voir page 8 du rapport 2012 " Le Fabuleux destin d'Intouchables et de Taken 2 " d'Unifrance http://www.unifrance.org/actualites/8594/PJ/medias/94462
- « Amelie », Mojo Box Office (consulté le )
- « « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain - Distinctions » » ((en) récompenses), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « Palmares du film Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », sur Allociné (consulté le ).
- Archive INA
- (en) contactmusic
- « Le Paris de Jean-Pierre Jeunet », Studio, no 158, , p. 13
- Etienne Sorin, « Amélie Poulain, icône planétaire depuis 20 ans », Le Figaro, no 23831, , p. 30 (lire en ligne)
- (en) Janet Maslin, « Wistful, Uneasy Days at Cannes », The New York Times, (lire en ligne).
- (en) « avclub » (version du sur Internet Archive)
- Le Quotidien, page 2, « Notre-Dame de Paris: Une désespérée provoque la mort d'une touriste québécoise »,
- [vidéo] Jean-Pierre Jeunet Officiel, « "La véritable histoire d'Amélie Poulain", un court métrage de Jean-Pierre Jeunet (2023) (HD) », sur YouTube, (consulté le )
- [1]
- (en) « Release dates for Le fabuleux destin d'Amélie Poulain (2001): Also Known As (AKA) », sur l'Internet Movie Database.
- (sv) "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain = Amelie från Montmartre". Smdb.kb.se. Accédé 18 octobre 2012.
- Réjean Bourdeau, « Le détenteur des droits d'Amélie Poulain réclame une part du fabuleux festin », La Presse, , E1, reproduit dans l'entrée « Poulain, Amélie » d'une « liste d'aptonymes » (version du sur Internet Archive), sur le site du Centre canadien des aptonymes.
- « Groupama relance vertement sa « Cerise » » (version du sur Internet Archive) Par Pascale Caussat, Stratégies, no 1483, 10 janvier 2008.
- Ingrid Zerbib, « Les Services à la personne s'emploient à créer du lien », Stratégies, no 1539, (lire en ligne).
- Bocquet, Fred., Monsieur Quincampoix : roman, Editions Faim de siècle & Cousu mouche, (ISBN 2-940295-14-X et 978-2-940295-14-2, OCLC 428075093, lire en ligne)
- (en) Bill Carter, « A Touching Romance, if They Just Don't Touch », The New York Times, (lire en ligne).
- (en) Diego Francisco Cisneros-Heredia et Paúl Meza-Ramos, « An enigmatic new species of Glassfrog (Amphibia: Anura: Centrolenidae) from the Amazonian Andean slopes of Ecuador », Zootaxa, no 1485, , p. 33–41 (lire en ligne)« The specific name—a noun in apposition—of this new species of Glassfrog is for Amelie, protagonist of the extraordinary movie “Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain”; a movie where little details play an important role in the achievement of joie de vivre; like the important role that Glassfrogs and all amphibians and reptiles play in the health of our planet. »
- Thomas Robert, « Plus belle la vie s'inspire du Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », sur programme.tv,
- Seize ans après le film, Amélie Poulain revient en comédie musicale à Broadway, France Info, 6 avril 2017
- Clément Cuyer, « Jean-Pierre Jeunet signe le premier clip décalé de Gauvain Sers » sur Allociné, 4 mai 2017
Voir aussi
Bibliographie
- Storyboard - du dessin au film, no 1, septembre-, interviews et storyboard complet du film, p. 25 à 191.
- Jean-Pierre Jeunet, Je me souviens... 500 anecdotes de tournage, éditions LettMotif, 2021.
- Étienne Sorin, « Amélie Poulain, vingt ans de bonheur », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous », 3-4 avril 2021, p. 30.
Conférences
- Forum des images : Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet, analysé par Alexandre Tylsk le . Vidéo.
Articles connexes
Liens externes
- (en) Site officiel
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