Le régiment reçoit son numéro par décret du . Il doit être formé à Perpignan en cas de mobilisation[1]. Il est mis sur pied à la mobilisation d'août 1914, à deux bataillons. Deux autres bataillons (3e et 4e) sont mis sur pied en février 1915[2].
Le régiment est dissous le [3]. Le 2e bataillon, devenu indépendant, est dissous en janvier 1919[4].
Chefs de corps
août 1914 - octobre 1915 : lieutenant-colonel Olive[5]
octobre 1915 - mai 1917: lieutenant-colonel Virey[6],[3]
Historique des garnisons, combats et batailles
Première Guerre mondiale
Affectations
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Le , le 136e RIT quitte Saint-Gaudens, arrive à Marseille de et est chargé de la défense du secteur Nord de la Ville en prévision d'une attaque de l'Italie qui est encore incertaine sur sa position.
Le régiment commence des travaux de défense sur Le Rove et occupe également l'île du Frioul.
Fin août, l'Italie ayant décidé de sa neutralité, le régiment assure le service de la ville et du port.
Fin novembre, l'Italie ayant choisi de rejoindre le camp allié, le 2e bataillon du 136e RIT est envoyé dans le camp retranché de Paris.
À partir de cette date, l'histoire du 136e régiment d'infanterie territoriale se sépare, Le 2e bataillon étant séparé définitivement durant la guerre du reste du corps.
Le , le bataillon va cantonner à Drancy; il y restera jusqu'au 12 décembre.
Le , il passe à la 6e armée et est envoyé aux gares régulatrices du Bourget et de Noisy-le-Sec.Pendant trois ans le 2e bataillon sera chargé de réguler, d'assurer et d'envoyer le ravitaillement en vivres et munitions pour les unités combattantes des 3e, 5e et 6e armées
1916
1917
1918
1919
: 2e bataillon, après avoir servi 3 ans aux gares régulatrices du Bourget et de Noisy-le-Sec.
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[10] :
Historique du 136e régiment territorial d'infanterie : Guerre 1914-1918, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, , 48 p., lire en ligne sur Gallica.