Si la majorité du territoire de la ville est constituée de l'île Jésus, Laval comprend également une multitude de petites îles en son pourtour, qui font partie de l'archipel d'Hochelaga.
Sont repartis sur le territoire de Laval, en ordre d'importance : les surfaces artificielles (56,9 %), les forêts (16,6 %), les terres agricoles (16,4 %), les eaux (7,7 %) et finalement les milieux humides (2,4 %)[3].
Sa superficie s'étend sur 267 km2, dont 246 km2 qui sont terrestres[3], soit exactement 0,02 % du territoire québécois. Malgré sa très faible superficie, Laval possède tout de même le statut de « région administrative » depuis 1987. Elle est de loin la plus petite région : elle est 3 200 fois moins vaste que le Nord-du-Québec, la plus grande. En raison de sa proximité immédiate avec Montréal, elle est en processus important d'étalement urbain depuis le milieu du XXe siècle, la majorité de son territoire étant désormais urbanisé.
Située au milieu des basses-terres du Saint-Laurent, l'île Jésus possède un relief très plat. Son altitude varie entre 4 mètres (rivière des Prairies) et 65 mètres (mont Laval). L'altitude est d'à peine une dizaine de mètres dans le quartier de Saint-François, dans le secteur de la pointe est de l'île.
Hydrographie
L'île Jésus est délimitée par deux rivières se rejoignant à ses extrémités : la rivière des Mille Îles (au nord) et la rivière des Prairies (au sud). On retrouve à l’intérieur de l'île près de 70 km de ruisseaux permanents qui sillonnent le territoire[4]. Les principaux sont les ruisseaux La Pinière, Champagne, Papineau-Lavoie et Gascon. L'île ne possède aucun lac ou plan d'eau notable.
Le peuplement de l'île Jésus est amorcé en 1672 à partir de sa pointe est, mais demeure timide jusqu'à la signature de la Grande Paix de Montréal, en 1701, qui met fin à une guerre entre Français et Iroquois.
Naissance des premières paroisses
En 1702, on établit la paroisse de Saint-François-de-Sales et, en 1740, on autorise la création des paroisses de Sainte-Rose-de-Lima et de Saint-Vincent-de-Paul. La population, d'abord concentrée sur les rivages, s'étend graduellement vers le centre de l'île, comme en témoigne l'apparition d'une nouvelle paroisse, celle de Saint-Martin, en 1774. En 1681, l'île Jésus compte 24 habitants. En 1765, ce nombre passe à 2 379, pour atteindre près de 6 500 personnes en 1823.
Sous le régime seigneurial, le territoire de l'île Jésus demeure majoritairement rural. On note néanmoins le développement d'un premier village dans la paroisse de Saint-François-de-Sales dès 1753 et la création de divers chemins donnant accès, notamment, aux églises et aux moulins de l'île[5].
En 1845, on tente une première fois d’instaurer un système municipal. Devant son échec, deux ans plus tard, on proclame l'« Acte pour faire de meilleures dispositions pour l'établissement d'autorités municipales dans le Bas-Canada ».
Comté de Laval
Le régime municipal est établi de façon permanente en 1855, avec l’Acte des municipalités et des chemins du Bas-Canada.
Avec l’entrée en vigueur de ce nouveau mode de gestion du territoire, toutes les agglomérations d’une population d’au moins 300 habitants deviennent des municipalités. Ainsi, sur l’île Jésus, les municipalités des paroisses de Saint-François-de-Sales, de Saint-Martin, de Sainte-Rose-de-Lima et de Saint-Vincent-de-Paul apparaissent en 1855.
L’Acte des municipalités et des chemins du Bas-Canada prévoit également la création de corporations municipales de comté, où siègent les maires de municipalités avoisinantes pour délibérer sur des sujets d’intérêt commun. Ainsi, la Corporation du comté de Laval est également constituée ; le nom inspirera celui de la Ville de Laval, créée 110 ans plus tard[6].
Au cours des siècles, des agriculteurs français s'installèrent sur l'île Jésus. Plusieurs maisons centenaires sont encore habitées. Les sols très fertiles de la région firent de l'agriculture une activité très répandue. Tout comme à Montréal, on retrouvait sur le territoire lavallois une végétation douce et un milieu humide favorisant la croissance de plusieurs forêts de feuillus. Une biodiversité très développée y régnait. Laval est aujourd'hui une banlieue très étendue, fortement résidentielle et légèrement industrielle. Le gouvernement du Québec y a protégé 30 % du territoire pour conserver les terres agricoles. Les bois qui ont survécu témoignent de l'industrialisation du territoire et rappellent des fragments de l'histoire de l'île Jésus, comme le bois de Sainte-Dorothée, le bois de l'Équerre, le bois Papineau et le bois Duvernay.
Urbanisation et développement
En 1961, la cité de Saint-Martin et la ville de Renaud sont annexées à la ville de l'Abord-à-Plouffe pour créer la cité de Chomedey. Le projet initial prévoyait également la fusion de la Ville de Laval-des-Rapides, mais celle-ci se retira rapidement du projet[7].
Le , le ministère des Affaires municipales du Québec annonce la tenue d'une Commission d'étude sur les problèmes intermunicipaux de l'île Jésus, qui est présidée par le juge Armand Sylvestre et lancée parallèlement à une commission portant sur le même sujet pour l'île de Montréal, présidée par Camille Blier. En , la conclusion de la commission d'étude est annoncée au public : « une île, une ville ! »[8] Le , le gouvernement du Québec fusionne les 14 municipalités qui constituaient le comté de Laval et crée ainsi la Ville de Laval[6] :
Ces anciennes municipalités sont encore les dénominations des quartiers de la ville de Laval dans le langage usuel de la population.
Par la suite, l'étalement urbain et le développement de la banlieue font en sorte que Laval connaît un essor certain et devient la troisième ville la plus peuplée du Québec. Son poids démographique est certainement la principale justification de son élévation en région administrative le .
D'argent à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d'or cantonnée de seize alérions d'azur.
L'écu de la ville de Laval ainsi que celui de l'Université Laval sont inspirés de celui du Monseigneur François de Montmorency-Laval. L'Université Laval a été instituée à partir du Petit Séminaire de Québec qui avait été fondé par Monseigneur de Laval et auquel ce dernier a cédé ses droits sur l'île.
Drapeau
L’emblème de Laval, adopté le , illustre le modernisme d’une collectivité en pleine expansion. Le jeu des cubes symbolise le développement de Laval. Les cubes tracent le « L » de Laval de telle sorte que l’emblème constitue également un sigle. Les couleurs utilisées ont également une signification importante. Le pourpre symbolise traditionnellement la richesse ; par extension, il représente, dans l’emblème, le grand potentiel économique de Laval. Le bleu symbolise la qualité de vie et l’aménagement d’une ville humaine. Les lettres de la signature Laval sont liées l’une à l’autre pour rappeler la fusion des municipalités de l’île en 1965[10]. Le logo a été créé par un peintre-sérigraphe de Laval, monsieur Guy Gagné.[réf. nécessaire]
Afin d'éviter les dédoublements, l'offre de services en culture, loisirs, activités physiques et vie communautaire ont été regroupés en six secteurs ou bureaux municipaux lavallois (BML).
BML-1 : Duvernay, Saint-Francois et Saint-Vincent-de-Paul
BML-2 : Pont-Viau, Renaud-Coursol et Laval-des-Rapides
BML-3 : Chomedey (excluant Renaud-Coursol)
BML-4 : Sainte-Dorothée, Laval-Ouest, Les Îles-Laval, Fabreville-Ouest et Laval-sur-le-Lac
De service 24 heures sur 24, le service de police compte plus de 250 policiers et officiers qui travaillent avec le 911 pour répondre aux urgences. Ils veillent à la sécurité des citoyens par l'application du Code criminel, du Code de la sécurité routière et des règlements municipaux, en plus d'assurer la sécurité des stations de métro de Laval (selon le site internet municipal).
Démographie
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Courbe d'évolution démographique de Laval depuis 1871
Depuis quelques années, Laval déploie beaucoup d'efforts pour redéfinir un territoire marqué par la séparation des usages et un certain morcellement à cause de son réseau routier. Son centre-ville, caractérisé par une faible densité, est actuellement mal défini mais fait l’objet d’un vaste plan de consolidation et de revitalisation. En 2020, la Place Bell, sa place publique et d’autres équipements culturels et sportifs se seront ajoutés au Centropolis et aux autres grands centres commerciaux, pour former un centre-ville mixte et moderne.
La société de développement économique Laval Technopole soutient six axes de développement : la Cité de la biotech, le pôle industriel, l'agropôle, le e-pôle, le pôle récréotourisme et le pôle entreprises de services et sièges sociaux. La réussite de ces pôles résulte des liens étroits entre les centres de recherche, les universités, les entreprises et les services publics.
En , 12 021 entreprises étaient établies à Laval et employaient 140 000 personnes. Seulement 40 % des Lavallois travaillent à Laval[21].
A-440 (Autoroute Jean-Noël-Lavoie) - De l'A-25 à l'A-13 à Laval. Le gouvernement projette depuis des années de prolonger cette autoroute vers l'ouest pour rejoindre l'A-40 à Montréal.
Le , pendant des rénovations sur le viaduc du Souvenir surplombant l'autoroute 15, le tablier sud du viaduc s'est écroulé sur l'autoroute causant la mort d'une personne[23],[24].
Le , le viaduc de la Concorde qui passe au-dessus de l'autoroute 19 (Papineau) s'est soudainement écroulé, tuant ainsi cinq personnes[25].
En , le prolongement du métro de Montréal jusqu'à Laval est inauguré avec trois nouvelles stations. La construction débuta en 2003 et fut achevée en au coût de 745 M$, entièrement assumé par le gouvernement du Québec, soit une économie de 58,6 M$ par rapport au budget autorisé. À cette somme s'ajoutent 12,4 M$ pour la construction d'un deuxième édicule à la station Cartier. Ce nouvel édicule a été complété en 2009 et se situe au coin nord-est de l'intersection Cartier-des Laurentides, dans le petit parc des Libellules, appartenant à la ville de Laval. Cet édicule est relié au premier édicule situé au coin sud-ouest de l'intersection par un passage piétonnier de 120 mètres de long sous les boulevards Cartier et des Laurentides et permet ainsi aux habitants du quartier Pont-Viau de rejoindre la station Cartier à pied sans à avoir à traverser la dangereuse intersection Cartier-des Laurentides[26]. Bien que le projet fut caractérisé par de nombreux dépassements de coûts, son budget étant passé de 179 M$ en 1998 à 803,6 M$ en 2006, la somme représente 143 M$/km, soit 22 % moins cher que la moyenne internationale pour des projets de même envergure[27].
Les stations du métro de Montréal à Laval sont Cartier, de la Concorde et Montmorency. L'arrivée du métro était longuement attendue depuis que ce prolongement fut promis dans les années 1960.
Les utilisateurs du transport en commun doivent se procurer soit une carte TRAM (Zone 3) de 132 $ pour accéder au métro à partir des stations de Laval, soit payer 3,50 $ par voyage vers Montréal. Le métro de Montréal à Laval est une entité complètement séparée de la Société de transport de Laval. Bien que les opérations régulières de la ligne dépendent de la Société de transport de Montréal, son développement s'est effectué sous la supervision de l'Agence métropolitaine de transport. C'est pour cette raison que contrairement à la Société de transport de Montréal, il n'est pas possible de transférer dans le métro à partir d'une correspondance de la STL ou de prendre le métro de Montréal à Laval avec un abonnement mensuel ou des billets de Montréal.
Train de banlieue
Exo gère deux lignes de trains de banlieue sur l'île Jésus. Les lignes Saint-Jérôme et Deux-Montagnes font le lien entre Laval et le centre-ville de Montréal en moins de 40 minutes. Au total, 5 gares sont situées sur l'île Jésus.
Le service d'autobus sur l'île Jésus est assuré par la Société de transport de Laval (STL). Ce service est constitué au total de 44 lignes d'autobus[28], dont quatre lignes express (901, 902, 903 et 925), deux lignes trainbus (402 et 404), trois lignes d'heures de pointe (36, 41 et 252), une ligne de nuit (2) et plusieurs lignes scolaires en plus des lignes de taxis collectifs. Les différentes lignes parcourent des trajets qui desservent tous les quartiers de Laval, mis à part Les Îles-Laval. Des taxis collectifs sont offerts en complémentarité au service régulier et desservent les secteurs moins populeux de la ville. Le service de trainbus permet de relier les quartiers avoisinants à une gare de train à celle-ci. Il est à noter que le service de nuit à Laval est pratiquement inexistant ; seule une ligne dessert un secteur très circonscrit du sud de la municipalité.
En été 2015, une nouvelle ligne d'autobus voit le jour: la ligne 36, qui part aussi du métro Montmorency et fait presque le même début de trajet que les lignes 26 et 46.
Projet de trolleybus
Le , le président de la Société de transport de Laval, Jean-Jacques Beldié, a annoncé, en partenariat avec Hydro-Québec et Transports Québec, un investissement de 600 000 $ dans une étude de faisabilité pour la réintroduction des trolleybus au Québec sur le territoire lavallois. Les trolleybus avaient circulé à Montréal entre 1937 et 1966. Le projet initial comprendrait quatre lignes : sur les boulevards des Laurentides (bleu), de la Concorde (rose), Notre-Dame (rouge) et Curé-Labelle (vert). L'étude, livrée par la firme d'ingénierie SNC-Lavalin, est terminée le [29],[30].
Bien que le projet soit jugé réalisable et peu risqué, les coûts d'implantation frôlant les 300 millions de dollars, dont 106 millions de dollars seulement pour les installations électriques, sont jugés trop importants pour le peu de retombées engendrées. Le directeur général de la STL, Pierre Giard, estimait que seulement 15 % des besoins en transport en commun de la ville seraient comblés par le projet de trolleybus.
Projet d'autobus électrique
Après l'étude de faisabilité du trolleybus, la Société de transport de Laval a décidé d'explorer la possibilité d'implanter un réseau d'autobus électrique à recharge rapide d'ici l'année 2030[31]. Afin de se familiariser avec la technologie électrique, la STL a lancé un appel d'offres international pour l'achat d'un prototype d'autobus électrique. Le gagnant de l'appel d'offres fut la compagnie américaine DesignLine. Le prototype acheté par la STL a été livré à Laval à la mi-[32].
Projet de tramway aérien à Laval-des-Rapides
Dans le cadre du développement économique de la région de Laval, la ville de Laval a créé un organisme parapublique nommé ÉvoluCité. Cet organisme avait pour but d'améliorer le développement urbain à Laval en formant de nouveaux quartiers ayant une densité plus forte que les quartiers traditionnels de Laval afin de favoriser l'utilisation des transports publics. Un nouveau quartier, le quartier de l'Agora, était alors projeté à l'ouest de l'autoroute 15, entre le boulevard Notre-Dame au sud et le boulevard Saint-Martin au nord, et à l'est du boulevard Chomedey. Pour y accéder, la ville de Laval aurait souhaité le prolongement du métro de Montréal plus loin à Laval. Toutefois, la décision de prolonger le métro est de la juridiction du gouvernement du Québec. Historiquement, il peut s'écouler plusieurs années avant qu'un projet de métro puisse se réaliser. C'est pourquoi la Société de transport de Laval avait décidé de réaliser une autre étude de faisabilité pour un nouveau système de transport de tramway aérien téléphérique entre le terminus Le Carrefour et le terminus Montmorency via le quartier de l'Agora. Le projet de tramway aérien (téléphérique) a été mis sur la glace à la suite du déménagement du projet de la place Bell du quartier de l'Agora Nord à celui du pôle de la station Montmorency, limitant ainsi le besoin supplémentaire d'une ligne de tramway aérien[33].
Activités et loisirs
Sur le territoire de la municipalité, plusieurs activités ou lieux de loisirs sont offerts aux touristes et aux résidents de Laval, par exemple :
9 patinoires intérieures ; plusieurs centres sportifs et communautaires ;
Musée Armand-Frappier, offre des activités éducatives pour favoriser la compréhension d'enjeux scientifiques reliés à la santé humaine, animale et environnementale[38].
Sky Venture, dans le Centropolis, expérience de chute libre à l'intérieur[39].
Centres commerciaux : le Carrefour Laval, Centropolis, Centre Laval, Centre Duvernay, Galeries Laval, Quartier Laval, etc.
Maison des arts de Laval - Le théâtre des Muses, une salle de 335 places, accueille une sélection des meilleurs spectacles de l'heure en théâtre, en danse et en musique. La salle Alfred-Pellan est un espace de production et de diffusion en art contemporain et actuel.
Théâtre de la Grangerit - Ce théâtre d'été accueille des productions et ateliers de troupes lavalloises.
Escalade Clip 'n Climb Laval, dans le Centropolis, centre d'escalade pour tous les âges
Illumi, à côté de l'A-15, à visiter avant le 7 janvier 2023[40]
Espaces verts et parcs
Plusieurs espaces verts permettent aux citoyens comme aux visiteurs d'observer la nature lavalloise. En voici une liste :
bois Chomedey ;
bois Papineau ;
bois de la Source :
bois de l'Équerre :
bois Duvernay ;
bois Sainte-Dorothée ;
boisé de l'Orée-des-Bois ;
parc de la Rivière-des-Mille-Îles ;
parc Bernard-Landry (anciennement parc des Prairies) ;
centre de la nature.
Sports
Laval a accueilli les Jeux du Québec durant l'été 1991[41] et le Championnat canadien junior de taekwondo, en .
Laval est aussi une ville de football canadien ; son équipe, les Sabercats de Laval, évolue dans la ligue de football junior du Québec[43].
La ville a aussi une équipe de la Ligue Baseball Élite du Québec (LBEQ), les Pirates de Laval, et une équipe de hockey-balle (ou hockey cosom), le club Barbe Bleue.
Elle a également l'un des plus importants clubs de vélo de compétition sur route et sur piste au Canada : le Club Cycliste Espoirs de Laval.
Le FC Laval et l'AS Laval se disputent le Derby de Laval dans la Ligue1 Québec, la première division de soccer au Québec et la troisième au Canada.
Étant l'un des plus importants centres de services scolaires du Québec, il dessert une population scolaire variée de 56 000 élèves par l’entremise de son réseau d’établissements, composé de[44] :
58 écoles primaires
14 écoles secondaires
8 centres de formation professionnelle
4 centres d’éducation des adultes
Avant le , le centre de services scolaire était connu sous le nom de Commission scolaire de Laval.
Le Centre de services scolaire de Laval compte en 2020 :
28 484 élèves au préscolaire et au primaire
15 140 élèves au secondaire
5 852 élèves à l’éducation des adultes
6 711 élèves à la formation professionnelle
638 élèves à la formation à distance assistée
Il compte près de 6 500 employés, dont 3 600 enseignants.
INRS-Institut Armand-Frappier (2e et 3e cycle universitaire en santé humaine, animale et environnementale, membre du réseau de l'Université du Québec)[46]
Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval a vu le jour le à la suite de l'entrée en vigueur de la Loi modifiant l'organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux. La majorité des services de santé et de services sociaux au cœur du réseau territorial de services de Laval sont issus du CISSS de Laval.
Établissements fusionnés au CISSS de Laval :
hôpital de la Cité-de-la-Santé ;
hôpital juif de Réadaptation (installation regroupée) ;
centre de services ambulatoires de soins psychiatriques ;
centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) de Laval ;
centre jeunesse de Laval (CJL) ;
centre de réadaptation en dépendance Laval.
Jumelages et ententes
La ville de Laval entretient des liens culturels et commerciaux, tant au niveau national qu'international avec six villes[47]. Elle a également signé des accords de coopération économique et culturelle avec douze villes[47].