Le Ballet des ombres est repris, transposé en ré mineur par Berlioz, à la fin du Carnaval romain de Benvenuto Cellini[5], où il apporte sa « touche sautillante » au tourbillon — « et quel tourbillon ! » s'écrie Pierre-René Serna[6] — du saltarello lancé Presto scherzando[7] à .
Cette version est abandonnée à nouveau lorsque Berlioz reprend ce passage du Ballet des ombres dans le Scherzo de la reine Mab de Roméo et Juliette, pour orchestre seul[8].
Analyse
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Dans sa version originale, « dont l'intérêt est manifeste[9] », le compositeur âgé de 25 ans laisse déjà « une page étourdissante de verve, sur des harmonies déroutantes, un rythme souple et léger comme une menace[3] ».
Discographie
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David Cairns (trad. de l'anglais), Hector Berlioz : la formation d'un artiste (1803-1832), Paris, Fayard, , 710 p. (ISBN2-213-61249-8), traduit de l'anglais par Dennis Collins.