Le 9e régiment d'artillerie coloniale à tracteurs tous terrains (9e RAC TTT) est créé à Rueil-Malmaison le pendant la bataille de France. Il comprend deux groupes de canons de 75 tractés tous terrains et une batterie antichar à six canons de 25. Il combat autour de Paris puis sur la Loire, le Cher et l'Indre. Séparés, les deux groupes du régiment se rejoignent en Dordogne à l'armistice[1].
Le , ce groupe devient 9e groupe d'artillerie de marine par changement de nom[réf. nécessaire]. Il stationne à Maison Carrée avec comme chef de corps le lieutenant-colonel Guelton. Le il fait mouvement sur la métropole et embarque à Alger à bord du S/S Kairouan. Le , il rejoint à Melun le 1er RAMa et est dissout le [réf. souhaitée].
AFN 1952-1962 Cette inscription n'a jamais figuré sur la soie du Drapeau. La Commission des emblèmes de 2004 a décidé que seuls quarante-trois Drapeaux reçoivent l'inscription AFN 1952-1962. Les Formations dissoutes ne reçoivent pas cette inscription, l'âge et l'état de la soie ne permettant pas une application.
L'inscription est inscrite au patrimoine des Unités.
↑ ab et cJ.-J. Marquet et R. Villeminey, Insignes et Historiques des Formations de l' Artillerie Coloniale et de Marine, Chateau-Chinon (Nièvre), Armée De Terre, , 335 p.
↑ a et b« 9ème R.A.M.A., la pointe Nord des T.D.M. », L'Ancre d'Or « Bazeilles », no 215, (lire en ligne)
↑Décision no 12350/SGA/DMPA/SHD/DAT relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées (no 27), (lire en ligne), p. 117-118