Étagnac

Étagnac
Étagnac
Le château de Rochebrune.
Blason de Étagnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Henri de Richemont
2020-2026
Code postal 16150
Code commune 16132
Démographie
Gentilé Étagnacois
Population
municipale
991 hab. (2021 en évolution de +3,01 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 44″ nord, 0° 46′ 47″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 284 m
Superficie 29,23 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Étagnac
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Étagnac
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Étagnac

Étagnac (Estanhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Étagnacois et les Étagnacoises[1].

Géographie

Localisation et accès

Étagnac est une commune de la Charente limousine limitrophe de la Haute-Vienne. Elle est située 5 km à l'est de Chabanais, chef-lieu de son canton et 56 km au nord-est d'Angoulême.

Elle est aussi située 9 km à l'ouest de Saint-Junien, 9 km au nord de Rochechouart, 16 km au sud-est de Confolens, la sous-préfecture, et 38 km de Limoges[2].

Étagnac est située au carrefour de la N 141, route d'Angoulême à Limoges et maillon de la route Centre-Europe Atlantique, et de la D 948, route de Limoges à Niort par Confolens. Le centre du bourg est cependant localisé sur cette seconde route[3].

La gare la plus proche est celle de Saillat-Chassenon à 4 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits

La commune compte de nombreuses fermes et hameaux. On peut citer : à l'est la Borderie[Note 1] les Brosses (à cheval sur la limite de département), Lussac, Rouillac, Mons, au sud : Bochefaud, Bourdicaud, Lavaud, Beaulieu, Écossas, à l'ouest : la Ribière, chez Chabaud, Lascoux, et au nord l'Age et la Maine-Joie. Enfin, le château de Rochebrune est à l'est du bourg[3].

Communes limitrophes

Géologie et relief

Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

Le sous-sol de la commune d'Étagnac se compose de gneiss, à l'est et au sud, et de granit au nord-ouest. L'extrême sud, bord de la vallée de la Vienne entre Beaulieu et la Ribière, est occupé par des alluvions plus ou moins anciennes atteignant une hauteur de 40 m[5],[6],[7].

La commune se trouve aussi dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.

Le relief est celui d'un plateau assez vallonné, incliné vers le sud qui correspond à la vallée de la Vienne.

Le point le plus bas de la commune est situé à une altitude de 150 m, le long de la Vienne en aval, et le point le plus haut est à 284 m d'latitude, situé à environ 0,7 km au nord-est du château de Rochebrune. Le bourg est situé sur une hauteur à 250 m d'altitude[3].

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Étagnac.

La commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par la Vienne, la Malicherie, l'Etang de Cacherat, l'Etang, l'Etang Bouchaud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Vienne borde la commune au sud. D'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source en Corrèze, sur le plateau de Millevaches, dans la commune de Volx et se jette dans la Loire dans la Corrèze, à Saint-Setiers, après avoir traversé 99 communes[10].

De petits affluents traversent la commune du nord au sud, dont la plupart desservent des étangs. D'ouest en est, on trouve les ruisseaux de l'Étang Bouchaud, de l'Étang de Cacherat qui passe à l'ouest du bourg, et ruisseau de l'Étang descendant de Rochebrune. Le Sauvarit borde la commune et le département à l'est[3].

La Malicherie, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Goire à Saint-Maurice-des-Lions, après avoir traversé 3 communes[11].

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

Climat

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

Végétation

Le paysage est celui d'un bocage. La forêt d'Étagnac occupe les hauteurs au nord de la commune.

Urbanisme

Typologie

Au , Étagnac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (3,7 %), eaux continentales[Note 2] (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Étagnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Malicherie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995 et 1999[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Étagnac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 562 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en aléa moyen ou fort, soit 13 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[24].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et Vassivière, des ouvrages de classes A[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Étagnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Toponymie

Une forme ancienne est Stagnaco (non daté)[29].

L'origine du nom d'Étagnac proviendrait du bas latin stannium signifiant étain, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui signifierait exploitation de plomb argentifère[30],[31]. On a constaté à Étagnac la présence d'antimoine mêlé d'argent, souvent confondu autrefois avec le plomb[32].

Langues

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[33]. Elle se nomme Estanhac en occitan[34].

Histoire

Une ancienne voie romaine de direction nord-sud allant de Poitiers à Périgueux par Chassenon est supposée traverser la commune. Une culée d'un ancien pont traversant la Vienne a été détruite en 1912 en face du lieu-dit Pilas[35],[Note 4].

Des traces d'occupation romaine ont aussi été trouvées près de l'Age : camp, pavés, site à tegulae[35].

Au XIVe siècle, les moines de l'ordre de Grandmont, dont la maison mère était à Limoges, ont acquis le prieuré d'Étricor près de la Vienne et en ont fondé l'abbaye, dont il ne reste aujourd'hui que l'église[36]. Une statue de saint Pardoux y est conservée, qui donnait lieu jusqu'au début du XXe siècle à des pèlerinages chaque mois de septembre, afin de guérir les animaux malades[32].

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1706[32].

Depuis avant la Révolution jusqu'à 1932, l'antimoine était exploité à Lussac[37].

Au XIXe siècle, le château de Rochebrune dont les douves et les quatre tours étaient anciennes appartenait au comte Dupont de l'Étang, qui l'a reconstruit et a consacré une partie de son domaine à une maison de retraite pour les prêtres âgés ou infirmes[32].

Les Plument de Bailhac étaient une ancienne famille noble limousine implantée dès le XVIIe siècle à Écossas[38]. Claude-François Plument de Bailhac fut maire au XIXe siècle; sa demeure était le logis d'Écossas qui existe encore. Paul-Louis Plument de Baillac fut exilé par Napoléon III[réf. nécessaire].

Politique et administration

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1993 En cours Henri de Richemont UMP puis LR Député de la 3e circonscription de la Charente (1993-1997)
Sénateur de la Charente (1998-2008)
Conseiller régional de Poitou-Charentes (1986-2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[39].

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 991 habitants[Note 5], en évolution de +3,01 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 2911 2601 3051 4121 4711 4441 5201 6051 522
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4731 5601 5121 4341 5301 5261 5351 5511 506
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4681 4001 2321 1681 1651 0391 0071 041987
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
950910966949981986987945991
2021 - - - - - - - -
991--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 471 hommes pour 520 femmes, soit un taux de 52,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,9 
90 ou +
7,1 
11,3 
75-89 ans
16,8 
21,7 
60-74 ans
21,0 
19,8 
45-59 ans
16,5 
17,6 
30-44 ans
14,6 
12,3 
15-29 ans
12,1 
15,4 
0-14 ans
11,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école est un RPI entre Étagnac et Saulgond. Étagnac accueille l'école primaire et Saulgond l'école élémentaire. Le secteur du collège est Chabanais[46].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Le château de Rochebrune, situé à l'est du bourg et enrouté de douves, date des XVIe et XVIIe siècles[47].
  • Un ancien camp qui serait d'origine romaine est situé en limite nord de la commune et de la forêt d'Étagnac, sur un point culminant[3].
  • La chapelle d'Étricor est un ancien prieuré grandmontain situé au bord de la Vienne. Il est inscrit monument historique depuis 1987[48].
  • Différents anciens logis des XVIIe et XVIIIe siècles, pour la plupart remaniés à différentes époques : Écossas, Maine Joie, les Brosses, Lascoux[49]

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Étagnac Blason
D'or à trois bandes de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. La Borderie s'appelait autrefois la Borderie d'Aunat / Le Mas de Champeaux, c'était une tenure de la Commanderie de Champeaux[4].
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
  4. Sur la carte IGN, deux lieux-dits de ce nom existent en vis-à-vis de part et d'autre de la rivière et du pont actuel.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Étagnac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  4. Tibor Pataki, « L'ordre de Malte en Bas-Limousin », Bulletin de la société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze, t. 93,‎ , p. 88-89
    Détail des tenures de Champeaux. Voir aussi la suite de cet article t. 95, p. 153-169
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Rochechouart », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1687-6, consulté le ).
  8. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  9. « Fiche communale d'Étagnac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. Sandre, « la Vienne »
  11. Sandre, « la Malicherie »
  12. « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  13. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Étagnac », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Étagnac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  26. Article R214-112 du code de l’environnement
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  29. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 28
  30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 275.
  31. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  32. a b c et d Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 158-159
  33. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  34. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  35. a et b Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 100
  36. Michel Fougerat, « Abbaye d'Étricor », (consulté le ).
  37. Catillus Carol, « Mines d'Étagnac », (consulté le ).
  38. Guy Bachelier, « Famille de Plument, ou de Plumant », (consulté le ).
  39. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Étagnac (16132) », (consulté le ).
  45. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  46. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  47. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 23
  48. « Chapelle d'Étricor », notice no PA00104365, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  49. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 331-332

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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