Le , il devient chef du conseil consultatif technico-juridique syndical et, à ce titre, membre de droit des Cortes franquistes (Procurador en Cortes). Reconduit au commencement de la nouvelle législature, quelques mois plus tard, il démissionne en pour être aussitôt renommé, mais cette fois-ci par le général Franco.
Il change une nouvelle fois de siège en 1967, étant élu par 540 voix sur 554 par l'ordre des conservateurs des hypothèques. À la fin de son mandat, quatre ans plus tard, il obtient un mandat du « tiers familial », c'est-à-dire élu par les chefs de famille, dans la province de Pontevedra.
Au gouvernement
Il occupe un temps le poste de sous-secrétaire du ministère de l'Information et du Tourisme pendant le mandat de Manuel Fraga, entre 1962 et 1969, puis est nommé à la tête du ministère le , dans le gouvernement dirigé par Carlos Arias Navarro. Ses tentatives d'approfondir la liberté de la presse conduit à sa destitution le par Franco lui-même.
Malgré le fait que l'UCD n'ait conservé qu'une dizaine de députés, contre plus de cent cinquante auparavant, il parvient à conserver son mandat de membre du Congrès des députés aux élections anticipées de 1982. Il se retire de la vie politique quatre ans plus tard, puis adhère en 1989 au Parti populaire (PP). Il est alors élu député européen et reste en poste jusqu'à son décès, en 1991.