Il est nommé en attaché commercial d'Espagne en Bolivie et au Pérou. Il est promu l'année qui suit au poste de vice-secrétaire général technique du ministère du Commerce. Relevé de ses fonctions deux ans plus tard, il devient en secrétaire général de l'entreprise publique Renfe.
Il perd son poste au profit de Luis Gámir le mais se trouve rappelé au sein du cabinet dès le suivant, en tant ministre de l'Économie et du Commerce. Il est confirmé le par le nouveau président du gouvernement, Leopoldo Calvo-Sotelo.
Il est promu deuxième vice-président du gouvernement, tout en conservant la direction de son ministère, le . Le , il devient vice-président du gouvernement, chargé des Affaires économiques.
Après le gouvernement
Il ne se présente pas aux élections législatives anticipées du , quitte l'UCD et se met en retrait de la vie politique. Il prend en la présidence de l'entreprise Uralita.
Il postule aux élections législatives anticipées du dans la circonscription de Madrid sur la liste du Parti réformateur démocratique (PRD), mais le parti n'obtient aucun élu. Il renonce définitivement à son engagement politique et occupe plusieurs responsabilités dans le secteur privé. Il entre notamment en 1997 au conseil d’administration du groupe pétrolier Repsol[1].
Mort
Il meurt le à l'âge de 57 ans à la clinique La Fraternidad de Madrid, des conséquences d'une cirrhose provoquée par une hépatite C contractée après une opération de l'estomac 20 ans auparavant[2].