Hérault (département)

Hérault
Blason de Hérault Drapeau de Hérault
Hérault (département)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Création du département

(234 ans)

Chef-lieu
(Préfecture)
Montpellier
Sous-préfectures Béziers
Lodève
Président du
conseil départemental
Kléber Mesquida (PS)
Préfet Francois-Xavier Lauch
Code Insee 34
Code ISO 3166-2 FR-34
Code Eurostat NUTS-3 FR813
Démographie
Gentilé Héraultais
Population 1 201 883 hab. (2021)
Densité 197 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ nord, 3° 15′ est
Superficie 6 101 km2
Subdivisions
Arrondissements 3
Circonscriptions législatives 9
Cantons 25
Intercommunalités 16
Communes 342
Liens
Site web herault.fr

L'Hérault (/e.ʁo/[1] ; en occitan : Erau [e'raw]) est un département français de la région Occitanie qui tire son nom de l'Hérault, un fleuve côtier qui le traverse. Les habitants sont nommés les Héraultais. L'Insee et La Poste lui attribuent le code 34. Sa préfecture est Montpellier.

Géographie

Situation

Le département de l'Hérault est situé dans le Sud de la France et fait partie de la région Occitanie. Il est limitrophe des départements de l'Aude au sud-ouest, du Tarn et de l'Aveyron au nord-ouest et du Gard au nord-est, et est bordé par la Méditerranée au sud-est.

Pour définir l'Hérault, on a souvent tendance à comparer son territoire à un amphithéâtre ouvert face à la mer[2]. La géographie de l'Hérault est marquée par la diversité de sa géologie et de ses paysages. Ceux-ci s'étagent des contreforts sud du Massif central et des Cévennes jusqu'à la mer Méditerranée à l'est ou au sud (sur une longueur importante d'aspect diagonal et de longitude croissante), en passant par les zones de garrigues et la basse plaine du Languedoc viticole. L'Hérault est baigné par un climat méditerranéen.

Points extrêmes du département de l'Hérault :

Population

  • Commune la plus peuplée : Montpellier (302 454 habitants en 2021) ;
  • Commune la moins peuplée : Romiguières (21 habitants en 2021).

Superficie

  • Commune la plus étendue : Béziers (9 548 hectares) ;
  • Commune la moins étendue : Jonquières (205 hectares).

Classement

Liste des communes les plus étendues du département :

Géologie

Relief

Le littoral

Ses plages de sable s’étendent de la Petite Camargue (La Grande-Motte et l’embouchure du Vidourle) à l’est, jusqu’à Vendres-plage, à l’embouchure de l’Aude à l’ouest. Soit 87 kilomètres de littoral. Seules la Corniche de Sète et la Grande-Conque du Cap d'Agde se distinguent par leurs falaises rocheuses.

Ce cordon littoral est bordé d'étangs et de salins, écosystèmes protégés où nichent de nombreux oiseaux migrateurs : flamants roses, aigrettes, hérons cendrés et cigognes. La végétation s'adapte à l'atmosphère marine : joncs, salicornes, saladelles et oyats. Les réserves naturelles du Bagnas[3] ou des Orpellières[4] et la Maison de la Nature du Méjean[5] donnent un aperçu de ce milieu protégé. On dénombre ainsi deux grands ensembles lagunaires : entre l'ancien volcan d'Agde et le mont Saint-Clair de Sète, le bassin de Thau est la plus grande lagune de la région Languedoc-Roussillon, avec 7 500 hectares. Le chapelet des étangs palavasiens (de Mauguio jusqu'à Sète) relie le versant Est de Sète à l’extrémité Est de l’Hérault, soit l’entrée en Grande Camargue. Ces lagunes sont reconnues pour leur patrimoine par la convention de Ramsar et on dénombre une dizaine de sites classés Natura 2000.

Vignobles et garrigues

Le proche arrière-pays que constituent les plaines du Bas-Languedoc est progressivement vallonné. C’est le territoire du vignoble, des oliveraies, des vergers et des garrigues. Oléiculture et viticulture symbolisent une part importante du patrimoine et de l’art de vivre méditerranéen.

La moyenne montagne

Au nord-ouest, le parc naturel régional du Haut-Languedoc[6] regroupe notamment les massifs du Caroux et de l'Espinouse (1 091 m et 1 124 m). Le climat est influencé par la Méditerranée mais aussi par l'Atlantique. C'est la ligne de partage des eaux qui marque un changement profond dans la végétation. Mouflons, chevreuils et sangliers cohabitent dans les châtaigneraies. Au nord-est, en bordure du parc national des Cévennes se dressent le plateau du Larzac et la montagne Séranne. Ces lieux ventés sont parfois des zones d'élevage de moutons. L’espace Causse et Cévennes[7] est maintenant inscrit au Patrimoine Mondial de l'UNESCO.

Hydrographie

Les fleuves

Les 87 km de littoral de l’Hérault ont la particularité d’être le point où se concentrent de nombreuses embouchures de fleuves côtiers. Des versants des Pyrénées, à la partie méridionale du Massif central, les eaux coulent et se jettent dans la Méditerranée sur une étroite bande littorale. D’ouest en est, l'on peut ainsi citer l’Aude, l’Orb, l’Hérault, le Libron, la Mosson (via l’étang de l’Arnel), le Lez, le Vidourle. Ces fleuves ont souvent tracé des gorges sinueuses, marquant ainsi le paysage de leurs empreintes. Certains ont été entravés de barrages, de manière à limiter les crues ou à produire de l’électricité. Les lacs de barrage ainsi créés sont aujourd’hui de remarquables sites touristiques permettant souvent la pratique des loisirs nature et nautiques en particulier.

Le climat

La grande majorité du département peut être caractérisée par un climat méditerranéen. Pourtant, les zones montagneuses du nord-ouest connaissent une influence océanique. Certains secteurs du nord de l’Hérault peuvent quant à eux connaitre une influence continentale tempérée.

L'ensoleillement

Comme dans l’ensemble du Midi méditerranéen, l’ensoleillement est important dans l’Hérault et relativement régulier au cours de l’année. On atteint 2 828 heures de moyenne par an[8], pour une moyenne nationale inférieure à 2 000 heures annuelles[8].

Les températures

Une des caractéristiques spécifiques du climat méditerranéen est la douceur de ses saisons hivernales. Il reste néanmoins marqué par de grands excès ponctuels (à Montpellier-Fréjorgues, en hiver on a noté comme record minimal absolu : −17,8 °C en [9], et en été une maximale journalière record : 43,5 °C en , à cause de la proximité de la mer)[10].

La moyenne des températures des mois d’été est proche des moyennes maximales françaises. Néanmoins, la mer protège les secteurs littoraux des extrêmes que constituent les canicules en été, mais aussi les gelées en hiver. Elles vont d'environ 27 °C sur le bord de mer à 3132 °C dans l'intérieur des terres. Les températures minimales moyennes sont aussi très variées, en allant d'environ 1920 °C sur le littoral à 15 °C dans l'intérieur des terres.

En hiver, il gèle rarement sur le littoral proche, et quasiment 1 jour sur 2 dans l'intérieur. Les moyennes minimales vont de 4 °C au bord de l'eau à 0 °C voire −1 °C dans les terres. Les maximales moyennes sont assez homogènes, 1011 °C dans les terres et sur le littoral à 1213 °C sur la zone centrale.

Concernant les records absolus dans le département, ils sont de −29 °C à Saint-Martin-de-Londres en 1963 et de 46 °C à Vérargues lors de la canicule européenne de juin 2019 dans l'est de l'Hérault.

Affecté par l'évolution des températures, le département de l'Hérault totalise, en 2017, 236 journées avec des températures au-dessus des normales saisonnières, représentant 65 % d'élévation des températures sur l'année[11]. Le , il a été enregistré un pic exceptionnel d'élévation de température, depuis 1948, avec 43,5 °C aux stations de Montpellier-Fréjorgues, dont le début des relevés date de 1974.

Les pluies

Les précipitations sont plutôt rares sur le département et surviennent en grande majorité au printemps, en automne et en hiver. Elles prennent parfois un caractère violent, notamment pendant les épisodes cévenols. L'été est généralement sec. Montpellier possède une pluviométrie d'environ 760 mm/an, sur la base des relevés effectués entre 1900 et 2009[12], ce qui est supérieur à Paris[13]. Mais ces précipitations se concentrent uniquement sur 90 jours[14],[15]. Si le nombre de jours pluvieux est relativement équivalent entre l'arrière-pays et le littoral, c’est la hauteur des précipitations qui diffère : elle peut atteindre 1 200 mm. La neige est relativement rare.

Les vents

On distingue quatre vents dominants principaux. Mistral (extrême-est du département) et Tramontane sont des vents secs, respectivement de secteur nord-nord-est et nord-ouest, que l'on peut observer en toute saison. Ils dégagent le ciel, assèchent l’air et peuvent être très violents. Le mistral et la tramontane sont responsables en grande partie de l'ensoleillement remarquable du département. Lorsque ces vents soufflent en hiver, les températures ressenties peuvent être négatives. Le Marin, soufflant du sud-est, et le Grec, soufflant d’est, plus rares, sont des vents souvent violents associés à des passages perturbés en Méditerranée. Ils sont accompagnés d'un temps couvert et de pluies importantes.

Histoire

Préhistoire : L'occupation d'humains et avant eux d'hominidés y est très ancienne, puisque c'est dans ce département, à Lézignan-la-Cèbe, qu'ont été trouvées les traces les plus anciennes d'activités d'hominidés connues (1,57 million d'années, faciès culturel de l'Oldowayen avec galets taillés - choppers pour les anglophones)[16]. Pour ce qui est de l'art, un ensemble de représentations datant de l'Aurignacien a été découvert à la grotte d'Aldène. Un important corpus de coquillages de couleur ocre a également été exhumé à l'abri Rothchild près de Cabrières.

Histoire : Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d'une partie de l'ancienne province de Languedoc. Il comprend les pays du Biterrois, de l'Espinouse, du Lodèvois, du Montpelliérain et une partie du Larzac.

Le département de l'Hérault a connu un effondrement de son industrie viticole au début du XXe siècle ; la mévente du vin, alliée à une maladie des vignes (phylloxéra) a poussé à la révolte des milliers de vignerons modestes. Le mouvement a été durement réprimé par le gouvernement de Georges Clemenceau (1907).

Le gel catastrophique de l'hiver 1956 a ruiné la culture de l'olive, qui ne redevint prospère qu'à partir de la fin des années 1980. Les coopératives oléicoles de Lodève, de Pignan, d'Aniane et bien d'autres fermèrent leurs portes, seule celle de Clermont-l'Hérault resta en activité.

Depuis la deuxième moitié du XXe siècle, le bassin de Montpellier connaît l'une des plus fortes croissances démographiques en France.

Au , la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartenait le département, fusionne avec la région Midi-Pyrénées pour devenir la nouvelle région administrative Occitanie.

Environnement

Le département abrite de nombreux espaces naturels préservés. Certains d’entre eux bénéficient d’une politique de valorisation en Grands Sites (Saint-Guilhem-le-Désert et gorges de l'Hérault, cirque de Navacelles, vallée du Salagou). Cette valorisation et l’action du conservatoire du littoral font de l’Hérault un département où la protection de l’environnement est importante.

Preuve de la richesse de la faune : le loup et la genette étaient encore présents au premier quart du XIXe siècle. Une présence (bien qu'improbable) de loup de l'Est (Canis lycaon) serait aussi à signaler. Linn (le Loup noir nord-américain) est cité dans l'inventaire « Statistique du département de l'Hérault »[17] par Hippolyte Creuzé de Lesser qui écrivait en 1824 que « selon quelques chasseurs, se serait trouvée dans des bois de chêne vert ou d'yeuse, qui croissent sur les montagnes de calcaire compacte, soit à l'ouest, soit au nord du département de l'Hérault ». « Je suis loin d'assurer ce fait » précise-t-il. Il n'émet par contre aucun doute sur la disparition du cerf élaphe, et insiste sur la très grande richesse du département en oiseaux, et notamment en rapaces à cette époque :

« […] Ces nombreux végétaux qui couvrent notre sol comme la grande quantité d'insectes que fait naître la chaleur active de notre climat, favorisent singulièrement la propagation des Oiseaux, en leur procurant une nourriture abondante ; et cette cause a sans doute la plus grande influence sur le nombre et la multiplicité de nos espèces ; de même le voisinage où nous sommes des Pyrénées et des montagnes des Cévennes, attire dans notre département une infinité d'Oiseaux de proie, particuliers à des latitudes plus élevées que les nôtres, ou, pour mieux dire, d'une élévation bien supérieure à celle de nos montagnes. »

Économie

Agriculture

La surface agricole utilisée du département est de 185 048 hectares soit près de 30 % du département. La viticulture est importante avec 85 525 hectares, les autres terres arables sont utilisées pour les vergers (olives, châtaignes, noix, prunes et pommes) avec 3 400 hectares, les prairies artificielles avec 7 090 hectares, la culture de légumes avec 3 788 hectares, la culture des céréales avec 20 095 hectares et les jachères avec 4 991 hectares.

La surface agricole utile déclarée en production bio est de 17 939 hectares, positionnant le département derrière le Gard avec 18 146 hectares et l'Aude avec 23 705 hectares[18]. De ce fait entre 2004 et 2011, la part de surface en bio est passée de 2.6 à 9.3 % de la surface agricole utile du département[18].

Hors surface agricole, la part de landes représente 122 915 hectares, soit près de 20 % du département. La part de surfaces boisées est importante avec 217 050 hectares soit 35 % du département[19].

Le cheptel bovin compte 12 358 têtes[20].

Chiffres clés Hérault [21]
2010 2020 évolution
nombre total d'exploitations 9 929 7 891 −20,5 %
Surface agricole utile (SAU) totale (ha) 184 973 175 790 −5,0 %
SAU moyenne (ha) 18,6 22,3 19,6 %
Production brute standard (PBS) totale (k€) 761 703 670 948 −11,9 %
total Unités de gros bétail (UGB) 26 982 26 710 −1,0 %
travail total Equivalent temps plein (ETP) 11 277,1 10 799,4 −4,2 %
nombre de chefs d'exploitation1 10 814 8 964 -17 %
 └─ dont femmes 28 % 29 % +1 point
âge moyen des chefs d'exploitation1 54 54

Viticulture

Fête du centenaire de la société d'agriculture de l'Hérault en 1899.

Le vignoble est très ancien et date d'avant la fondation de la Gaule narbonnaise. Après avoir privilégié la productivité au cours du XIXe et au début du XXe siècle, les vignerons héraultais ont réalisé que leur salut viendrait de la qualité. Les rendements ont donc été réduits, l'encépagement modifié et un fort investissement dans du matériel de pointe a été effectué. Désormais, leurs vins rivalisent avec les plus grands crus français.[réf. nécessaire]

L'Hérault est aujourd'hui le deuxième département viticole français devant l'Aude et derrière la Gironde, représentant 14 % de la surface totale du département[22],[23].

Le département dispose à la fois d'un climat favorable, d'une excellente exposition, d'une grande diversité de sols et d'une vaste gamme de cépages : tous les atouts sont réunis pour produire des vins généreux, parfois robustes, avec une large palette aromatique.

Les AOC : Saint-Chinian, Faugères, Minervois, Languedoc, Clairette du Languedoc, muscat de Frontignan, muscat de Lunel, muscat de Mireval, muscat de Saint-Jean-du-Minervois et Picpoul de Pinet.

À ces appellations s'ajoutent aussi les vins de Pays d’Oc IGP produits à partir de cépages traditionnellement méditerranéens.

Oléiculture

Les variétés

La culture de l’olivier a une forte valeur identitaire et culturelle. Plusieurs variétés (ou cultivars) sont cultivées dans l’Hérault comme variétés principales :

Il faut y ajouter de nombreuses variétés secondaires d'origine locale ou importées. Parmi les variétés locales, il convient de citer :

Les moulins et coopératives

Conchyliculture

La conchyliculture représente dans l’Hérault 8 300 tonnes d’huîtres (10 % de la production nationale) et 5 900 tonnes de moules par an[22]. Le bassin de Thau est un haut lieu de l'élevage des moules et des huîtres en Méditerranée. L’élevage des huîtres de Bouzigues se pratique sur tables d’élevage en suspension et généralement en immersion permanente.

Revenus et fiscalité

Le taux horaire moyen en 2010 est de 12,7 . Il était de 8,9  pour les ouvriers non qualifiés, de 10,4  pour les ouvriers qualifiés, de 9,6  pour les employés, de 13,8  pour les professions intermédiaires et de 21,4  pour les cadres[24].

En 2010, le niveau de vie moyen d'un ménage du département est à 18 213 , tandis que les revenus disponibles sont de 26 458 . La moyenne nationale étant de 19 271  pour le niveau de vie et de 29 065  pour les revenus disponibles.

Un écart de niveau de vie se vérifie entre les communes rurales et urbaines. Le niveau de vie moyen dans une commune rurale est de 18 316  contre 18 195  pour une commune urbaine, les revenus moyens disponibles sont de 28 060  pour une commune rurale tandis qu'ils sont de 26 224  pour une commune urbaine[25]. Cette différence se ressent avec un taux de pauvreté des communes urbaines qui est de 19 % contre 17 % pour une commune rurale[26].

Le taux moyen d'intensité de pauvreté est à 21.4 %, le niveau de vie médian des personnes sous le seuil de pauvreté est de 9 086 , soit l'un des plus bas de France. Les catégories de ménages les plus touchés sont les familles monoparentales avec un taux de pauvreté de 37.6 %, ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui est de 31.5 % mais reste inférieur à la moyenne du Languedoc-Roussillon avec 39.9 %.

Les catégories des moins de 30 ans sont plus touchés par la pauvreté avec un taux de 28.9 %, supérieur à la moyenne nationale qui est de 20.5 % mais légèrement inférieur à la moyenne du Languedoc-Roussillon avec 29.1 %[26].

Emplois

La part de la population active ayant un emploi est de 57 %. Le taux d'emploi chez les femmes est de 53.5 % tandis qu'il est de 61.1 % chez les hommes[26].

La part du secteur des transports, commerces et services représentent 46.5 % des emplois, le secteur de l'administration publique, enseignement et santé représentent près de 35 % des emplois, l'industrie et la construction 15.5 %, l'agriculture (dont la pêche, sylviculture, vigne et arboriculture) un peu moins de 3 %[27].

Chômage

Les données de statistiques de l'INSEE fournissent pour l'année 2015, un taux de chômage de 17.6 % dans la tranche d'âge des 15 à 64 ans[28]. Au deuxième trimestre 2018, les données semi-définitives fournis par l'INSEE indique une valeur de 12.6 %[29].

Entreprises et commerces

Chambre de commerce et d'industrie de Béziers Saint-Pons, chambre de commerce et d'industrie de Montpellier et Chambre de commerce et d'industrie de Sète - Frontignan - Mèze.

Grandes entreprises

Au , le département compte 197 entreprises publiant un chiffre d'affaires annuel de plus de 20 millions d'euros[30].

Transports

Les principales infrastructures de transport du département sont :

Tourisme

Cirque de Mourèze « le Sphynx »
Garrigue, dans l'Hérault.

Les sites touristiques

Les chiffres du tourisme

Le département de l’Hérault est le premier département touristique de la région Languedoc-Roussillon et se classe au 4e rang des départements français en nombre de nuitées touristiques, avec 40 millions de nuitées annuelles.

On estime le chiffre d’affaires du tourisme à 1,7 milliard d’euros et à 52 000 le nombre d’emplois touristiques, dont 26 000 emplois salariés directs, soit 6.8 % des emplois salariés du département[32].

L'activité touristique connaît logiquement des fluctuations saisonnières : 59 % de la fréquentation annuelle se fait pendant l’été, 21 % au printemps, 12 % en automne et 8 % en hiver.

80 % de la clientèle touristique provient de France tandis que 20 % est étrangère (majoritairement d’Europe du Nord, d’Espagne et d’Italie)[32].

Pour accueillir les nombreux touristes qui choisissent l’Hérault comme destination de vacances, le département offre 182 000 lits en hébergements marchands classés et/ou labellisés et compte 130 000 résidences secondaires, dont 10 % appartiennent à des résidents étrangers[32].

Les sites, musées et monuments touristiques accueillent chaque année plus de 4 millions de visiteurs[32].

Les résidences secondaires

Selon le recensement général de la population du , 20.4 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires. Ce tableau indique les principales communes de l'Hérault dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux en 2008[33].

Commune Population SDC Nombre de logements Résidences secondaires % résidences secondaires
La Grande-Motte 8 352 21 183 16 280 76,85 %
Vias 5 422 9 653 7 123 73,78 %
Valras-Plage 4 485 7 426 6 435 72,85 %
Agde (Cap d'Agde) 22 487 43 640 30 349 69,54 %
Avène 293 475 314 66,06 %
La Salvetat-sur-Agout 1 219 1 594 1 013 63,55 %
Portiragnes 3 098 4 036 2 537 62,86 %
Vendres 2 110 2 274 1 378 60,60 %
Ceilhes-et-Rocozels 307 420 251 59,70 %
Marseillan 7 738 9 448 5 526 58,49 %
Fraisse-sur-Agout 352 420 244 58,01 %
Sérignan 6 584 7 405 4 070 56,67 %
Palavas-les-Flots 6 034 7 811 4 389 56,19 %
Balaruc-les-Bains 6 376 6 635 3 584 54,03 %
Lamalou-les-Bains 2 280 1 832 875 47,74 %
Saint-Gervais-sur-Mare 824 677 286 42,22 %
Vic-la-Gardiole 2 820 2 335 937 40,12 %
Mons 567 551 214 38,76 %
Riols 705 593 202 34,07 %
Mauguio (Carnon Plage) 15 833 11 114 3 510 31,59 %
La Tour-sur-Orb 1 172 760 200 26,29 %
Frontignan 23 169 12 702 2 818 22,18 %
Loupian 2 085 1 152 237 20,58 %
Sète 42 786 29 466 5 819 19,75 %
Pomérols 2 089 1 204 231 19,22 %
Magalas 2 692 1 333 203 15,21 %
Bessan 4 435 2 399 352 14,69 %
Mèze 10 507 5 617 733 13,05 %
Villeneuve-lès-Béziers 3 806 1 998 230 11,53 %
Clapiers 5 073 2 189 245 11,19 %

Démographie

Sa population a fortement augmenté, passant de 471 429 en 1954 à 896 441 en 1999, et elle a dépassé les 1 000 000 en . La projection moyenne du nombre d'habitants en 2030 est de 1 350 000.

En 2021, le département comptait 1 201 883 habitants[Note 1], en évolution de +7,29 % par rapport à 2015 (France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
-275 449299 882324 126339 445346 207357 846367 343386 020
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
389 286400 424409 391427 245429 878445 053441 527439 044461 012
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
469 684489 421482 779480 484488 215500 575514 819502 043461 100
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
471 429516 658591 397648 202706 499794 603896 4411 001 0411 062 036
2016 2021 - - - - - - -
1 132 4811 201 883-------
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[34] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[35] puis population municipale à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Communes les plus peuplées

Liste des quinze communes les plus peuplées du département
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Modifier
Montpellier 34172 Montpellier Méditerranée Métropole 56,88 302 454 (2021) 5 317 modifier les donnéesmodifier les données
Béziers 34032 CA Béziers Méditerranée 95,48 80 341 (2021) 841 modifier les donnéesmodifier les données
Sète 34301 CA Sète Agglopôle Méditerranée 24,21 44 712 (2021) 1 847 modifier les donnéesmodifier les données
Agde 34003 CA Hérault Méditerranée 50,81 29 103 (2021) 573 modifier les donnéesmodifier les données
Lunel 34145 CA Lunel Agglo 23,90 26 185 (2021) 1 096 modifier les donnéesmodifier les données
Castelnau-le-Lez 34057 Montpellier Méditerranée Métropole 11,18 24 888 (2021) 2 226 modifier les donnéesmodifier les données
Frontignan 34108 CA Sète Agglopôle Méditerranée 31,72 23 808 (2021) 751 modifier les donnéesmodifier les données
Lattes 34129 Montpellier Méditerranée Métropole 27,83 17 544 (2021) 630 modifier les donnéesmodifier les données
Mauguio 34154 CA du Pays de l'Or 49,56 16 596 (2021) 335 modifier les donnéesmodifier les données
Juvignac 34123 Montpellier Méditerranée Métropole 10,83 12 783 (2021) 1 180 modifier les donnéesmodifier les données
Mèze 34157 CA Sète Agglopôle Méditerranée 34,59 12 664 (2021) 366 modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Jean-de-Védas 34270 Montpellier Méditerranée Métropole 12,89 12 570 (2021) 975 modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Gély-du-Fesc 34255 CC du Grand Pic Saint-Loup 16,51 10 537 (2021) 638 modifier les donnéesmodifier les données
Villeneuve-lès-Maguelone 34337 Montpellier Méditerranée Métropole 22,70 10 405 (2021) 458 modifier les donnéesmodifier les données
Pérols 34198 Montpellier Méditerranée Métropole 6,01 9 561 (2021) 1 591 modifier les donnéesmodifier les données

Culture et patrimoine

Littoral.

Héraldique

Blason Blasonnement :
De gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or.

Langue

La langue historique est l'occitan (dialecte languedocien).

Gastronomie

Sport

Il se pratique dans l'Hérault plusieurs sports assez spécifiques : le tambourin (85 % de joueurs français), la joute nautique (principalement à Sète) ainsi que la course libre (ou course camarguaise). Par ailleurs, l'été, lors des fêtes votives des villages, s'est développée la pratique du toro-piscine ou taureau-piscine.

Carte tambourin 34.
Tambourin à Pézenas.
Saint Louis.
Course camarguaise.

Patrimoine

Fêtes

À Pézenas et Cournonterral, les animaux totémiques de l'Hérault sont typiques. Lors de manifestations culturelles ou de fêtes votive locales, beaucoup de villes ou villages font défiler dans les rues un animal totémique représentant leur commune. Souvent le son des instruments traditionnels du hautbois languedocien ou du fifre accompagnent ces défilés. Le Poulain de Pézenas et la fête des pailhasses à Cournonterral font partie de ces animations. Le Poulain de Pézenas a été déclaré parmi le patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'Unesco, celui-ci faisant partie des Géants et dragons processionnels de Belgique et de France.

À Bessan, fête de l'âne (début août).

À Béziers :

À Lamalou-les-Bains, festival lyrique[38].

À Lodève, Résurgence, festival des arts vivants (arts de la rue, contes et musiques), prend la suite en 2015 des Voix de la Méditerranée (1997-2014) (2e quinzaine de juillet)[39],[40].

À Marseillan, le jeu du capelet[41].

À Mèze, fête au mois d'août avec sortie du Bœuf et du Chevalet.

À Montpellier :

À Pézenas :

  • Les rencontres cinématographiques (février ou mars)[44] ;
  • Le Printival Boby Lapointe : festival de chanson française, en hommage à Boby Lapointe natif de Pézenas (avril) ;
  • La Mirondela dels Arts (juillet, août) dans le centre historique[45] ;
  • Pézenas enchantée : festival d'art lyrique (octobre)[46].

À Saint-Jean-de-Védas, Festin de Pierres (fin septembre)[47].

À Sérignan, festival de bande dessinée ou festival BD[48].

À Sète :

  • Festival de photos documentaires « imagesingulieres »[49] ;
  • Festival de jazz Jazz à Sète ;
  • Festival de chansons françaises « Quand je Pense à Fernande »[50] ;
  • Festival de musiques actuelles « Worldwide »[51] ;
  • Festival de poésies « Voix Vives de Méditerranée en Méditerranée »[52] ;
  • Festival « Fiest'à Sète »[53] ;
  • Fête de la Saint-Louis[54].

Personnalités

Politique et administration

Politique locale

Les 3 arrondissements de l'Hérault.

Conformément aux distinctions classiques entre la notion de décentralisation et de déconcentration en droit français, le département de l'Hérault est à la fois une circonscription déconcentrée de l’État, mais aussi une collectivité territoriale. Les deux entités étant bien distinctes.

La préfecture de l'Hérault est Montpellier ; ses sous-préfectures sont Béziers et Lodève.

De 1945 à 1979, le conseil général (rebaptisé « conseil départemental » depuis[55]) a été présidé par Jean Bène (PS). Par la suite, la majorité de gauche du conseil général a longtemps été dirigée par Gérard Saumade (1979-1998), puis André Vezinhet (1998-2015) et Kléber Mesquida (depuis 2015) lui ont succédé.

Droits des femmes et de l'égalité

La politique publique s'organise à trois niveaux[56] :

  • national : le service des droits des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes de la direction générale de la cohésion sociale (DGCS).
  • régional : la direction régionale aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les hommes (DRDFE Occitanie)[Note 2]
  • départemental : les missions départementales aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les hommes (DDETS Hérault). Elles sont menées sous la direction de Stéphanie Canovas (mai 2022).

Enseignement

Les deux lycées d'État dont l'enseignement remonte au Moyen Âge sont : le lycée Joffre à Montpellier et le lycée Henri-IV à Béziers.

L'Hérault comporte deux universités : l'Université de Montpellier et l'Université Paul-Valéry-Montpellier-III. La première est issue dans sa forme actuelle d'une fusion entre l'Université Montpellier-I (économie,droit,santé,sport) et l'Université Montpellier-II (sciences) dont dépendent notamment les IUT de Montpellier-Sète et de Béziers. L'Université Paul-Valéry est elle spécialisée en lettres,langues et sciences humaines.

Montpellier compte par ailleurs trois écoles d'ingénieur : Polytech'Montpellier, l'École nationale supérieure de chimie de Montpellier (ENSCM) et l'Institut Agro Montpellier, ainsi qu'une école de commerce, la Montpellier Business School.

Santé

Sécurité et justice

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. La Délégation régionale aux droits des femmes et à l’égalité en Languedoc-Roussillon est absorbée dans la DRDFE Occitanie du fait de l'entrée en vigueur de la réforme territoriale de 2014.

Références

  1. Prononcation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. « L'organisation des paysages de l’Hérault », sur paysages.languedoc-roussillon.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ) : « L’Hérault fait partie du grand amphithéâtre régional tourné vers la Méditerranée et organisé en trois paliers successifs : la montagne, les garrigues, les plaines. Mais cette vision schématique ne suffit pas à recouvrir la réalité des grands ensembles paysagers du département »
  3. Réserve naturelle du Bagnas à Agde, publié sur le site herault-tourisme.com (consulté le 20 décembre 2018).
  4. Les Orpellières à Sérignan-Plage, publié sur le site herault-tourisme.com (consulté le 20 décembre 2018).
  5. Maison de la Nature du Méjean à Lattes, publié sur le site herault-tourisme.com (consulté le 20 décembre 2018).
  6. Haut-Languedoc, publié sur le site herault-tourisme.com (consulté le 20 décembre 2018).
  7. Gouvernance de l’espace Causse et Cévennes, publié sur le site des causses-et-cevennes.fr (consulté le 20 décembre 2018).
  8. a et b « Climat en France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), publié sur le site de Météo France (consulté le 22 décembre 2018).
  9. Normales et records météorologiques, Infoclimat.fr (consulté le 22 décembre 2018).
  10. Climat et historique météo de Montpellier, publié sur le site de L'Internaute (consulté le 22 décembre 2018).
  11. [PDF] Annales climatologiques et hydrologiques 2017, page 22/125, publié le par le Conseil départemental de l'Hérault (consulté le 22 décembre 2018).
  12. [PDF] Entité 143E : Contexte géographique et géomorphologique, page 1/4, publié le sur le site rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le 22 décembre 2018).
  13. Tableau regroupant les informations de pluviométrie moyenne actuelle pour 46 grandes agglomérations françaises pour la période de 1961-1990, publié sur le site sciences.gloubik.info (consulté le 22 décembre 2018).
  14. « Hérault : Données essentielles » (version du sur Internet Archive), publié le sur le site du Ministère de l'intérieur (consulté le 22 décembre 2018).
  15. ach34.fr, association climatologique de l’Hérault.
  16. Jean-Yves Crochet, Jean-Loup Welcomme, Jérôme Ivorra, Gilles Ruffet, Nicolas Boulbes, Ramon Capdevila, Julien Claude, Cyril Firmat, Grégoire Métais, Jacques Michaux et Martin Pickford, « Une nouvelle faune de vertébrés continentaux, associée à des artefacts dans le Pléistocène inférieur de l’Hérault (Sud de la France), vers 1,57 Ma », Comptes Rendus Palevol, vol. 8, no 8,‎ , p. 725-736 (DOI 10.1016/j.crpv.2009.06.004, résumé).
  17. « Statistique du département de l'Hérault » (1824).
  18. a et b « Production agriculture biologique en 2012 », sur insee.fr via Wikiwix (consulté le ).
  19. http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=1&ref_id=agrtc10201
  20. http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=99&ref_id=t_3504D
  21. Recensement agricole 2020, Agreste, Etudes, Hérault, juillet 2022 n°15
  22. a et b [1], Conseil général de l'Hérault - Chiffres clés de l'économie locale.
  23. Recensement général agricole (RGA) 2010 - voir la page Ministère de l'Agriculture (France).
  24. « Salaire net horaire moyen 2020 », sur Insee (consulté le ).
  25. « Inégalités de revenus et niveau de vie en 2010 », sur Insee (consulté le ).
  26. a b et c « Taux de pauvreté en 2010 », sur Insee (consulté le ).
  27. http://www.insee.fr/fr/themes/tableau_local.asp?ref_id=ACT4&millesime=2010&niveau=2&nivgeo=DEP&codgeo=34
  28. Département de l’Hérault (34) : Emploi - Chômage (version du sur l'Archive.is), publié le sur le site de l'INSEE (consulté le ).
  29. Taux de chômage localisé pour le département de l'Hérault (version du sur l'Archive.is), identifiant no 001515899, publié le sur le site de l'INSEE (consulté le ).
  30. « Créer des listes personnalisées d'entreprises », sur verif.com (consulté le ).
  31. « Monuments historiques classées et inscrits par département » (version du sur Internet Archive), page 3/14, publié le sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
  32. a b c et d « L'Hérault en chiffres » (version du sur Internet Archive), publié sur le site du adt-herault.fr (consulté le ).
  33. Source INSEE, chiffres au .
  34. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
  35. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  36. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  37. Radio Peinard Skyrock Béziers, publié sur le site de SchooP.fr (consulté le 20 décembre 2018).
  38. Festival d'Opérettes, publié en 2013 sur le site de la Mairie de Lamalou-les-Bains (consulté le 20 décembre 2018).
  39. « Lodève : Des Voix de la Méditerranée à Résurgence, un festival renaît », publié le par Isabelle Bris, sur le site de France 3 Occitanie (consulté le 21 décembre 2018).
  40. « Lodève : La fin des Voix de la Méditerranée ? », publié le sur le site de Midi-Libre (consulté le 21 décembre 2018).
  41. Les victorieux du Capelet, publié le sur le site de la Mairie de Marseillan (consulté le 20 décembre 2018).
  42. Festival Saperlipopette, publié sur le site du Château d'Ô (consulté le 20 décembre 2018).
  43. Organisation du Festival des Fanfares de Montpellier, publié sur le site festivalfanfare.free.fr (consulté le 20 décembre 2018).
  44. Rencontre Cinéma de Pézenas, publié sur le site de la Fédération des ciné-clubs de la Méditerranée (consulté le 21 décembre 2018).
  45. Spectacles, publié sur le site de l'association Mirondela Dels Arts (consulté le 21 décembre 2018).
  46. Programmation des spectacles, publié sur le site de pezenasenchantee.fr (consulté le 21 décembre 2018).
  47. Festin de pierres, publié sur le site de la Mairie de Saint-Jean-de-Védas (consulté le 21 décembre 2018).
  48. Temps forts : Festival BD, publié sur le site de la Mairie de Sérignan (consulté le 19 décembre 2018).
  49. Site officiel du Festival ImageSingulières de Sète (consulté le 21 décembre 2018).
  50. Présentation du festival, publié sur le site de festival-fernande.com (consulté le 21 décembre 2018).
  51. Site officiel du Worldwide Festival (consulté le 21 décembre 2018).
  52. Présentation du festival, publié sur le site de sete.voixvivesmediterranee.com (consulté le 21 décembre 2018).
  53. Présentation du festival, publié sur le site de Fiest'à Sète (consulté le 21 décembre 2018).
  54. Fête de la Saint-Louis, publié sur le site de l'Office de tourisme de Sète (consulté le 21 décembre 2018).
  55. « Le conseil général devient départemental », sur liberation.fr, (consulté le ).
  56. « L'organisation régionale | La préfecture et les services de l'État en région Occitanie », sur www.prefectures-regions.gouv.fr (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • [Bonnet 1905] Émile Bonnet, Antiquités et monuments de l'Hérault, Montpellier, imprimerie Ricard frères, , 558 p. (lire en ligne).
  • [Martin 1989] Martin, Philipot, Rouquette, Baby, Cornu et al. (préf. Gérard Saumade, ill. Évelyne Richard), La naissance de l’Hérault, Montpellier, Axone, , 232 p. (ISBN 2-905900-18-0) Document utilisé pour la rédaction de l’article
    Ouvrage détaillant la naissance du département depuis 1789, sous la direction de M. Peronnet, Professeur à l'Université Montpellier III, avec la collaboration des Universités du Tiers-temps, de Béziers, des Archives départementales et du Comité du Bicentenaire.
  • [Ambert 2010] Martine Ambert, Françoise Besset, Paul Le Strat et Frédéric Rossi, Hérault miroir de la Terre, Nouvelles Presses du Languedoc, , 158 p. (ISBN 978-2-85998-286-7 et 2-85998-286-8)
    Géologie de l'Hérault.

Articles connexes

Liens externes

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