Valras-Plage est une commune urbaine et littorale qui compte 4 300 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Sérignan et fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Valrassiens ou Valrassiennes.
Traditionnellement, Valras-Plage est la plage de Béziers. La commune est située à l’embouchure de l’Orb et se trouve à 11 km de Béziers, à 30 km de Narbonne.
L'altitude de la commune varie entre 0, au niveau de la mer, et 10 mètres[2].
Hydrographie
L'embouchure de l'Orb se situe à Valras-Plage, séparant le territoire de la commune en deux, entre la partie urbanisée au sud et la partie rurale ou naturelle au nord.
Voies de communication et transports
Voies routières
La D 19 traverse la partie septentrionale de la commune. Elle rejoint plus loin la D 64 en direction de Vendres à l'ouest ou de Sérignan au nord ;
La D 37E10 traverse la commune dans presque toute sa longueur et rejoint au sud-ouest la partie littorale de Vendres.
Un espace protégé est présent sur la commune :
« Les Orpellières », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 171,8 ha[5],[6].
« les Orpellières », d'une superficie de 143 ha, un ensemble représentatif des côtes languedociennes avec un long cordon dunaire ininterrompu constitué de dunes blanches et de dunes grises, protégeant des prés salés (jonchaies, pannes dunaires, sansouires et localement des formations de steppes salées à Limonium ferulaceum[9]
« est et sud de Béziers », d'une superficie de 6 102 ha, constituée d'une vaste mosaïque de zones cultivées ponctuées de haies et de petits bois et la proximité de zones humides littorales de grande étendue, favorable à de nombreuses espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale : le Rollier d'Europe, l'Outarde canepetière, le Circaète Jean-le-Blanc, le Milan noir et le Bruant ortolan[10].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] :
le « domaine des Orpellières » (200 ha), couvrant 2 communes du département[12] et
« l'Orb entre Béziers et Valras » (82 ha), couvrant 4 communes du département[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Valras-Plage est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Sérignan[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (57,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (14,3 %), zones humides côtières (13,7 %), eaux continentales[Note 6] (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), eaux maritimes (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Béziers-Agde, regroupant 15 communes autour des bassins de vie de Béziers et d'Agde, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[19], retenu au regard des submersions marines et des débordements de cours d’eau, notamment d'ouest en est, de l'Orb, du Libron et de l'Hérault. Les crues historiques antérieures à 2019 les plus significatives sont celles du , un épisode généralisé sur la quasi-totalité du bassin, et du , un épisode cévenol en partie supérieure du bassin. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1992, 1993, 1995, 1996, 1997, 2003, 2014 et 2019[21],[17].
Valras-Plage est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 3,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 820 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 149 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 8] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].
Toponymie
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Vers la fin de l'âge du bronze dans le sud de la France, c'est-à-dire vers 850 avant J.-C., des habitants vivent sur le plateau dominant l'Orb, où des outils préhistoriques ont été retrouvés[27],[réf. nécessaire]. Ce peuplement ne se fixe pas sur le littoral, alors insalubre, mais sur le coteau qui domine la plaine littorale[28],[réf. nécessaire].
La villa romaine nommée Villa Juxta Mare (littéralement : « villa près de la mer ») était une propriété de Valerius, un vétéran de la VIIelégion romaine ; le nom du propriétaire de cette villa pourrait être à l'origine de celui de la ville[27],[réf. nécessaire].
Moyen Âge
En 878, un écrit relate l'existence de Valras. C'est un document de l'évêché de Saint-Nazaire de Béziers, mentionnant un « petit village niché autour de son église dédiée à Saint Martin, ou sont venus s'installer quelques religieux ». Valras est à cette époque sous la protection de l'évêque de Béziers[réf. nécessaire].
En 1286, à l'issue de la « Croisade d'Aragon », la flotte d'Alphonse III commandée par l'amiral Roger de Lauria remonte l'Orb jusqu'à Sérignan. Les maisons de Valras, l'église Saint-Martin, l'abbaye de Saint-Geniés[Note 9] et Sérignan sont pillés et détruits. Les habitants de Valras se replient plus loin dans l'intérieur des terres. Un poste de garde est établi en 1331 pour surveiller la côte[28],[réf. nécessaire].
Époque moderne
En raison de diverses invasions maritimes et de la piraterie, le littoral reste peu peuplé jusqu'en 1630 lorsque cette côte est sécurisée par une redoute construite a Sérignan[27],[réf. nécessaire].
XIXe siècle
Au XIXe siècle, les terres fertiles des coteaux permettent la culture de la vigne au profit de petits propriétaires. Il existe également des pâturages pour l'élevage des bovins et des chevaux, ainsi que quelques terres de labour[27],[réf. nécessaire].
La création d'une ligne de chemin de fer en 1846 popularise l'attirance des baigneurs pour Valras. Les Biterrois et Sérignanais sont les premiers adeptes des bains de mer dès 1855.
XXe siècle
C’est en 1901 qu’arrive le tramway électrique, ainsi que la multiplication des équipements d’accueil (hôtels, chalets et cafés). Valras devient alors une station balnéaire.
Après avoir appartenu à la commune de Sérignan jusqu’au [29], Valras devient une commune indépendante avec la création du premier conseil municipal. La commune de Valras s'étend sur 235 hectares ; Sérignan a conservé 2 751 hectares. Le , le premier maire Alfred Panis, instituteur retraité, est élu lors de la première réunion du conseil municipal[30]. Le , Valras-la-Plage devient Valras-Plage.
Dans la décennie qui suit la création de la commune, plan d’urbanisme et d’adduction d’eau sont les deux priorités de l’action municipale. La station se développe selon une structure en « T », la voie principale étant donnée par l’axe de communication qui relie le village à l’arrière-pays.
Autrefois village de pêcheurs, la ville en a gardé les caractéristiques traditionnelles tout en se modernisant à partir notamment des années 1960-70, se voulant ainsi une ville attractive tout au long de l’année.
La construction du port de plaisance date des années 1971-72. Cela correspond au début du déclin de la pêche et des métiers associés. Le port de plaisance de Valras-Plage comptait en 2012 220 anneaux, complétés par 130 anneaux sur les berges de l’Orb.
XXIe siècle
Le , un grave accident aérien est évité de peu, lorsqu'un avion publicitaire s'abîme en mer[31].
Héraldique
Les armes de Valras-Plage se blasonnent ainsi :
« de gueules à un demi soleil d'or au naturel mouvant d'une champagne d'azur, à deux hippocampes affrontés d'argent brochant sur le tout »[32].
Cadre, ancien premier adjoint Réélu pour le mandat 2020-2026[38]
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2022, la commune comptait 4 300 habitants[Note 10], en évolution de +2,58 % par rapport à 2016 (Hérault : +7,49 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 893 personnes, parmi lesquelles on compte 64,1 % d'actifs (48,1 % ayant un emploi et 16,1 % de chômeurs) et 35,9 % d'inactifs[Note 13],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 823 emplois en 2018, contre 920 en 2013 et 917 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 937, soit un indicateur de concentration d'emploi de 87,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 32,3 %[I 12].
Sur ces 937 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 349 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 16,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
597 établissements[Note 14] sont implantés à Valras-Plage au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
597
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
21
3,5 %
(6,7 %)
Construction
49
8,2 %
(14,1 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
287
48,1 %
(28 %)
Information et communication
11
1,8 %
(3,3 %)
Activités financières et d'assurance
10
1,7 %
(3,2 %)
Activités immobilières
57
9,5 %
(5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
52
8,7 %
(17,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
50
8,4 %
(14,2 %)
Autres activités de services
60
10,1 %
(8,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 48,1 % du nombre total d'établissements de la commune (287 sur les 597 entreprises implantées à Valras-Plage), contre 28 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
Valras Plage Loisirs, organisation de jeux de hasard et d'argent (5 775 k€) ;
Le Phare, restauration traditionnelle (886 k€) ;
Dix Immobilier, agences immobilières (616 k€) ;
Le Petit Four A Bois, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (494 k€) ;
Au début du XXe siècle, Valras-Plage s'ornait, au bord de l'Orb, d'un groupement de grandes cabanes en roseaux servant d'habitations à des pêcheurs. En forme de nefs bi-absidiales (terminées par une abside et une croupe aux deux extrémités), avec pour charpente deux poteaux montant de fond et portant une panne faîtière, ces cabanes de pêcheurs figurent sur une carte postale des années 1900.
Jean Bousgarbiès (1889-1947) : homme politique mort à Valras-Plage ;
Joan Casanovas (1890-1942) : homme politique catalan mort à Valras-Plage ;
Jean Gau (1902-1979) : navigateur lié au port de Valras auquel il a donné son nom ;
Michel Fabre (1956-) : joueur de rugby devenu propriétaire d'un bar à Valras-Plage.
Valras-Plage dans la littérature
Jacques Loar : Sur les routes de France, éditions Maréchal, Liège, Belgique, 1943. Pages 105 à 187. Récit autobiographique d'un réfugié belge à Valras-Plage au début de la seconde guerre mondiale.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Sérignan, il y a trois villes-centres (Sauvian, Sérignan et Valras-Plage).
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
↑Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN1264-5354), p. 72.
Gilbert Abbal, Valras à travers les siècles, Béziers, Imprimerie du Sud, , 48 p.
Philippe Marassé, « A l’origine du développement de Valras-Plage : le tramway de Béziers à la mer (1864-1948) », Bulletin de la Société Archéologique, Scientifique et Littéraire de Béziers, 2009-2010, p. 66-80
Yvette Maurin, Valras-Plage : d'hier à aujourd'hui, Montpellier, Yvette Maurin, , 270 p.
Mission Archives 34, Archives communales de Valras-Plage : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 136 p.
Brigitte Simon, « Le littoral biterrois : à l'embouchure de l'Orb, Valras-Plage, station du tourisme traditionnel », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, t. 20, no 4, , p. 559-571