Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Aude et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : quatre sites Natura 2000 (la « mare du plateau de Vendres », la « basse plaine de l'Aude », le « cours inférieur de l'Aude » et les « collines du Narbonnais »), deux espaces protégés (le « plateau de Vendres » et la « basse plaine de l'Aude ») et huit zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vendres est une commune rurale et littorale qui compte 2 671 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Vendrois et les Vendroises.
Géographie
Vendres est une commune située dans l'ouest du département de l'Hérault, à l'embouchure de l'Aude. dans la plaine viticole du Biterrois, à 11 kilomètres au sud de Béziers. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aude.
Communes limitrophes
Les limites communales de Vendres et celles de ses communes adjacentes.
Le territoire communal comprend trois espaces nettement différenciés :
Le nord est couvert de vignes. La majorité des vignes sont exploitées par des vignerons coopérateurs. Il existe de grands domaines viticoles : La Vidalle, La Grange Basse, La Savoie Neuve, Le Puech Blanc ou encore Clapiès et Sainte-Germaine. Cet espace est dominé par des collines, les puechs en occitan, comme le puech Saint-Massal (33 mètres d'altitude) et le puech Paradis. Plusieurs de ces collines, datant du Miocène (Barre du Puech Blanc, Puech des Bains, Castelnau, Puech Massal, Puech Paris...) sont recouvertes par une végétation de garrigue typique dont l'inventaire est en cours, comme à Lespignan (voir lien externe).
A l'est, s'étend le plateau de laz Vistoule......
Le village de Vendres, construit sur une éminence, domine un vaste étang.
Au sud du village, l'étang de Vendres limité au sud par l'Aude, et plus loin le massif de la Clape. L'étang mesure environ six kilomètres du nord au sud, moins de quatre kilomètres d'ouest en est. L'altitude ne dépasse pas deux mètres et le centre de l'étang est au même niveau que la mer. C'est une vaste zone humide peuplée d'une faune particulière (nombreux canards sauvages) et colonisée par une flore qui résiste à une certaine salinité des eaux. L'étang est une zone de chasse pour les amateurs de gibier d'eau. Au nord de l'étang, des ruines antiques appelées Temple de Vénus mériteraient d'être mieux mises en valeur. L'étang communique avec la mer Méditerranée par le Grau de Vendres.
La zone littorale. Le sud-est de la commune est bordé par la mer Méditerranée. Un large cordon dunaire, dépassant parfois quatre mètres de haut, protège les terres sablonneuses situées à l'intérieur. Sur ces terres, des domaines viticoles (Le Nouveau Monde, Monplaisir, La Yole, Les Sablons…) créent des vins intéressants (surtout les rosés et les blancs). Vers l'ouest, on trouve des campings. Sur le territoire de la commune, il n'y a pas eu d'aménagement de station balnéaire. Cependant, le port du Chichoulet, situé au Grau de Vendres, à l'embouchure de l'Aude, a été dynamisé grâce à la conchyliculture.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 570 mm, avec 5,2 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lespignan à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 604,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Trois autres sites relèvent de la directive habitats[14] :
le « cours inférieur de l'Aude », d'une superficie de 5 358 ha, permet la reproduction d'espèces migratrices vulnérables (Alose feinte, Lamproie marine), en forte régression depuis la prolifération des ouvrages sur les cours d'eau[17] ;
les « collines du Narbonnais », d'une superficie de 2 149 ha, formé par une succession de reliefs qui surplombent et délimitent la plaine de la basse vallée de l'Aude, où une végétation typique méditerranéenne de garrigue et de pelouses sèches ainsi qu'un boisement de pins d'Alep se sont développés[18] ;
le « mare du plateau de Vendres », d'une superficie de 17,56 ha, cuvette inondable sur un plateau siliceux, installée au milieu des vignes, abritant l'une des six seules populations de Marsilea strigosa en France[19].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Six ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[20] :
les « collines nord de Lespignan » (81 ha), couvrant 2 communes du département[21] ;
les « collines sud de Lespignan » (116 ha), couvrant 2 communes du département[22] ;
le « Cordon dunaire des Montilles » (161 ha)[23] ;
l'« étang de Vendres » (1 647 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aude et deux dans l'Hérault[24] ;
le « plateau de Vendres » (849 ha), couvrant 2 communes du département[25] ;
la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » (7 120 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans l'Hérault[27] ;
les « collines de NIssan et Lespignan » (2 645 ha), couvrant 4 communes du département[28].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Vendres.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Vendres est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[29]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[30].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
cultures permanentes (25,9 %), zones humides intérieures (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), eaux continentales[Note 5] (8,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,9 %), prairies (4,7 %), zones humides côtières (2,7 %), zones urbanisées (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), terres arables (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %), forêts (0,5 %), eaux maritimes (0,1 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aude. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1993, 1996, 1999, 2003, 2005 et 2019[34],[32].
Vendres est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 136 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 002 sont en aléa moyen ou fort, soit 47 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Toponymie
La commune de Vendres tire son nom du génitif de Venus en latin, soit Veneris, c’est-à-dire littéralement « de Vénus », référence au culte à cette déesse qui y était particulièrement pratiqué.
La commune a été connue sous les variantes : portum quæ Narbo ad Veneris nutrit (Ausone, Épitre V), villa Veneris, 991, via de Veneris (avant 1100), castello.. in terminio de Veneris (vers 1140), parrochia St Stephani de Venres (1210), in loco regio de Venere (1378), Vendres (1571). Lieu de culte gallo-romain qui tire son nom d'un temple dédié à Vénus[39].
Histoire
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[40],[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].
En 2022, la commune comptait 2 671 habitants[Note 7], en évolution de −0,82 % par rapport à 2016 (Hérault : +7,49 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Fin 1967, plusieurs scènes du film Le Petit Baigneur de Robert Dhéry (avec comme vedette Louis de Funès) sont tournées en face des Cabanes de Fleury (commune de Fleury dans l'Aude) dans la maison de la famille Rossignol située au lieu-dit Chichoulet (commune de Vendres dans l'Hérault), avec de nombreux figurants de la région comme Roger Vidal et Louis Vié, véritable pêcheurs interprétant deux pêcheurs à la ligne dans une barque au bord de l'Aude ; dans la scène du kayak dans l'Aude, Louis de Funès est suppléé par un Valrassien[53],[54].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 573 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (63 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 1 348 emplois en 2018, contre 1 073 en 2013 et 648 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 019, soit un indicateur de concentration d'emploi de 132,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,9 %[I 11].
Sur ces 1 019 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 337 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
446 établissements[Note 11] sont implantés à Vendres au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
446
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
61
13,7 %
(6,7 %)
Construction
74
16,6 %
(14,1 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
176
39,5 %
(28 %)
Information et communication
8
1,8 %
(3,3 %)
Activités financières et d'assurance
9
2 %
(3,2 %)
Activités immobilières
16
3,6 %
(5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
55
12,3 %
(17,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
15
3,4 %
(14,2 %)
Autres activités de services
32
7,2 %
(8,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 39,5 % du nombre total d'établissements de la commune (176 sur les 446 entreprises implantées à Vendres), contre 28 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :
Avidoc, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits surgelés (20 362 k€) ;
EURL Distribution Du Midi, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits à base de viande (11 709 k€) ;
Belectric France, ingénierie, études techniques (11 255 k€) ;
Boul'pat Littoral, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits surgelés (9 194 k€) ;
Audie Boissons Distributions, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (5 450 k€).
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 114 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 72 en 2000 puis à 47 en 2010[58] et enfin à 52 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[59],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1270 ha en 1988 à 3239 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 11 à 62 ha[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église de l'Invention-de-Saint-Étienne de Vendres (XIVe siècle)
Le vieux village.
Le Temple de Vénus, en réalité les vestiges du complexe thermal d'une grande villa maritime romaine, situé au nord de l'étang[60].
Les ruines d'une villa romaine (entre La Vidalle et la Savoie Neuve).
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
↑La prononciation actuelle est restée proche de la prononciation occitane.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Édouard Baret, « Un village du pays biterrois au XIVe siècle : Vendres, 1373-1384 », Cahiers d'histoire et d'archéologie, t. 6, , p. 383-394
Monique Bourin et Vincent Challet, « Temps, lieux et supplices : les mémoires paysannes à l'épreuve de l'enquête (Vendres, fin du XIIIe siècle) », Annales du Midi, t. 125, no 282, , p. 239-262
Simone Garraud, Histoires d'eaux Montady, Capestang, Vendres : étangs et canaux, coll. « Mémoire d'Oc » (no 73), , 75 p.
Histoire et histoires : Vendres en Languedoc, S.l., s.n., , 44 p.
Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Vendres, Montpellier, Mission Archives 34, , 117 p.
P. Salmon, Vendres, village du biterrois au XVe siècle d'après un terrier de 1446, S.l., s.n., , 81 p.