Beaulieu (Côte-d'Or)

Beaulieu
Beaulieu (Côte-d'Or)
L'entrée du village côté ouest.
Blason de Beaulieu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Châtillonnais
Maire
Mandat
Laurence Toulouse
2023-2026
Code postal 21510
Code commune 21052
Démographie
Population
municipale
26 hab. (2021 en évolution de −13,33 % par rapport à 2015)
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 43′ 41″ nord, 4° 43′ 43″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 425 m
Superficie 6,6 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châtillon-sur-Seine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Seine
Législatives 4e circonscription de la Côte-d'Or
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Beaulieu
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Beaulieu
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Voir sur la carte topographique de la Côte-d'Or
Beaulieu
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Beaulieu
Liens
Site web https://mairiedebeaulieu.com/

Beaulieu est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

Localisation

Beaulieu est un village bourguignon rural du Châtillonnais situé à 19 km à vol d'oiseau au sud-est de Châtillon-sur-Seine, 47 km de Langres, 51 km au nord-ouest de Dijon et 7 km au nord d'Aignay-le-Duc

Il se trouve dans l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Seine ainsi que dans son bassin de vie, et dans la zone d'emploi de Dijon[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Montmoyen, Rochefort-sur-Brévon, Essarois et Mauvilly.

Rose des vents Rochefort-sur-Brévon Essarois Rose des vents
N Montmoyen
O    Beaulieu    E
S
Mauvilly

Géologie et relief

Beaulieu est une petite commune de 6,60 km2[1] posée sur le sillon que creuse le Brévon dans le plateau du Châtillonnais, prolongement ouest du plateau de Langres. Comprenant environ 3 km du cours de la rivière avec ses deux versants, elle se destine surtout à l'activité forestière, elle s'inscrit d'ailleurs dans la partie sud de la grande forêt de Châtillon.

Le fond de la vallée et des combes laisse la place aux pâturages, et des champs agricoles occupent le bord du plateau au nord au-delà des bois (lieu-dit Champs-de-la-Montagne). C'est en cet endroit que se trouve le point culminant de la commune à 425 m au lieu-dit les Vieux Essarts, le point le plus bas est logiquement au point aval du Brévon à 313 m[1].

Hydrographie

Carte hydrographique de la commune.

Le Brévon, le premier affluent de la Seine, draine Beaulieu. Il lui reste à Beaulieu une quinzaine de kilomètres à parcourir avant sa confluence dans la Seine.

Plusieurs sources apparaissent sur le finage sans former de ruisseaux, mais le sol calcaire en ces lieux est à l'origine d'un réseau karstique dans lequel disparaissent les eaux de pluie qui réapparaissent en exsurgences, nommées douix dans la région. Une douix située au sud de l'agglomération est actuellement captée[2].

Le Brevon est un cours d’eau classé en première catégorie catégorie piscicole[3].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

Typologie

Au , Beaulieu est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Seine, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,5 %), terres arables (21,2 %), prairies (17,3 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts

La population est regroupée dans le village, la commune n'a pas de hameaux rattachés ni d'habitations isolées.

Lieux-dits d'intérêt local : côte Junot, vallon du puits de Précuse, sur la Douix, plusieurs combes ont un nom (combe d'Enveuliot, combe Vaubrolles…).

Habitat et logement

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 41, alors qu'il était de 38 en 2016 et de 34 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 38,4 % étaient des résidences principales, 38,5 % des résidences secondaires et 23,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaulieu en 2021 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,5 %) supérieure à celle du département (5,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Beaulieu en 2021.
Typologie Beaulieu[I 3] Côte-d'Or[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 38,4 85,8 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 38,5 5,7 9,7
Logements vacants (en %) 23,1 8,5 8,1

Voies de communication et transports

Le village est installé au centre du territoire communal, sur la rivière, au croisement de la D 16 (Châtillon/Seine Aignay-le-Duc par la forêt de Châtillon) avec la D 29 qui rejoint Recey-sur-Ource. Il se situe à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Châtillon-sur-Seine et une cinquantaine au nord-ouest de Dijon (à vols d'oiseaux).

La station de chemin de fer la plus proche se trouve à Thenissey (27 kilomètres), desservie par des trains du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté qui effectuent des missions entre les gares de Dijon-Ville et Les Laumes - Alésia ou Auxerre-Saint-Gervais.

Toponymie

Beaulieu vient du latin « bellus locus », « lieu beau », endroit agréable à habiter.

De nombreuses communes portent ce nom unique. Pour éviter les confusions, on indique le département entre parenthèses: ce sont Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation : Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay.

Histoire

Ancien Régime

Jusqu'à la Révolution française, Beaulieu n'est qu'un village de la commune de Mauvilly qui comporte un prieuré bénédictin rattaché à l'abbaye de Flavigny[2].

Époque contemporaine

Un camp de l'armée allemande, installé sur une hauteur à 1 km du village au cours de la Seconde Guerre mondiale, a été incendié à la Libération[14].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montbard du département de la Côte-d'Or[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aignay-le-Duc[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Châtillon-sur-Seine[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Côte-d'Or.

Intercommunalité

Beaulieu est membre de la communauté de communes du Pays Châtillonnais[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Gérard Defer    
2014 juillet 2020[15] Jean-Louis Lamey    
juillet 2020[16] octobre 2022[17] Gérard Defer   Cadre retraité
février 2023[18] En cours
(au 30 novembre 2023)
Laurence Toulouse   Profession intermédiaire administrative de la fonction publique

Équipements et services publics

La mairie se trouve dans l'ancienne école communale. Un lavoir fermé et couvert occupe l’aile droite du bâtiment[19].

Population et société

Les habitants de la commune sont des Leurs gentilés sont les « Bellibrevaines » et « Bellibrevains »[3].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 26 habitants[Note 2], en évolution de −13,33 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
156201199214242275257229235
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
214193192203172154160152147
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1441351179510184747055
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
645239383733302934
2017 2021 - - - - - - -
2726-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

En 2016, la commune n'a pas de monument classé à l'inventaire des monuments historiques, elle compte 8 monuments ou édifices[23] et 12 objets[24] répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel.

  • L'église Saint-Georges située sur un tertre, sans enclos, rebâtie au XIXe siècle[25] qui renferme deux peintures murales anciennes et une très riche statutaire[24]. Son chemin de croix a été créé par Linette Andréa[26] ;
  • La mairie-lavoir[27] ;
  • Deux maisons, une du XIXe siècle[28] et une du XVIe siècle[29] ;
  • Une ferme[30] ;
  • Une croix de chemin du XVIIIe siècle[31] et une croix de parvis du XVIe siècle[32].

On peut également signaler six fontaines, un four à pain dans l'ancien bûcher, où se trouve également un micro-musée consacré à la boulangerie[33], ainsi que des chemins de randonnée.

Héraldique

Blason de Beaulieu (Côte-d'Or) Blason
Parti : au 1er d'azur à une tour et demie mouvante du parti, les deux d'argent, au 2e d'or à un lion de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • René Paris, A la rencontre du Châtillonnais : Aignay-le-Duc, Baigneux-les-Juifs, Laignes, La Bourgogne, Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b René Paris 1986, p. 32.
  3. a et b « Bienvenue en pays châtillonais ! », sur https://mairiedebeaulieu.com/ (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Beaulieu et Bure-les-Templiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Seine », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. René Paris 1986, p. 33.
  15. « Beaulieu : Jean-Louis Lamay n’a pas été réélu », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Beaulieu : Gérard Defer de retour au poste de maire », Le Bien public,‎ 4/4/2020 mis à jour le 6/7/2020 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  17. A. G., « Beaulieu : lassé, Gérard Defer, maire, a démissionné », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Beaulieu, village situé en plein cœur du Châtillonnais, Gérard Defer, le maire, a démissionné, fin octobre. Un nouveau premier édile sera élu début février ».
  18. Michele Pielin, « Laurence Toulouse élue maire de la commune », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Seule candidate, elle a obtenu cinq voix. À noter qu’il y avait deux bulletins blancs à l’issue du dépouillement ».
  19. « La mairie », Vie municipale, sur https://mairiedebeaulieu.com (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Liste des lieux et monuments de la commune de Beaulieu à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. a et b « Liste des objets de la commune de Beaulieu à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  25. « église », notice no IA00054312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Beaulieu : à la découverte du patrimoine local avec l’office de tourisme », Le Bien public,‎ 23/7/2016 mis à jour le 13/7/2019 (lire en ligne, consulté le ).
  27. « mairie et lavoir », notice no IA00054313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « maison », notice no IA00054316, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « maison », notice no IA00054317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « ferme », notice no IA00054311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « croix », notice no IA00054314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « croix », notice no IA00054315, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Michèle Pielin, « Beaulieu : un micromusée et un Fab Lab au Bûcher », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Le bâtiment communal du Bûcher vient d’être rénové. Il accueille désormais un four à pain, un micromusée et un Fab Lab ».