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Lionel Jospin lui ayant aussitôt remis sa démission, il nomme un membre de Démocratie libérale, Jean-Pierre Raffarin comme Premier ministre, lequel gouverne par ordonnances pendant quelques semaines. Chirac est investi pour un second mandat le 16 mai 2002, la veille de son début officiel.
L'UMP, alors créée par l'association du RPR, de Démocratie libérale et d'une large partie de l'UDF, remporte largement les élections législatives suivantes, et obtient la majorité absolue à l'Assemblée nationale, avec 365 des sièges. Jacques Chirac peut à nouveau s'appuyer sur une majorité parlementaire. Il s'appuie également sur un groupe de députés UDF réduit à 30 membres, et nomme un seul ministre issu de ce parti, Gilles de Robien, député-maire d'Amiens.
Jean-Pierre Raffarin entame la mise en œuvre de certaines des promesses de la campagne : baisse de l'impôt sur le revenu et multiplication d'actions ciblées contre la délinquance, avec son très médiatique et populaire ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, et contre l'insécurité routière, avec le ministre des transports Gilles de Robien. Viendront ensuite l'assouplissement des 35 heures, la réforme des retraites et de la sécurité sociale, la décentralisation.
Au lendemain d'une défaite massive aux élections cantonales et régionales de 2004 (20 des 22 régions de France métropolitaine passent ou repassent à gauche), il nomme Nicolas Sarkozy ministre d'État, ministre de l'Économie, des finances et de l'industrie : la plupart des éditorialistes politiques (dont ceux du Canard enchaîné, du Nouvel observateur et de l'Express) y voient un moyen de contrer sa popularité toujours aussi forte (contrairement à celle du Premier ministre, au plus bas dans les sondages). Face aux ambitions présidentielles affichées par Nicolas Sarkozy, il le met en demeure, lors de son allocution du , de choisir entre son fauteuil et le poste de président de l'UMP. En novembre, Nicolas Sarkozy est élu président du parti et quitte son ministère, alors confié à Hervé Gaymard. En , celui-ci est contraint à la démission à la suite d'un scandale très médiatisé et est remplacé par le PDG de France Télécom, Thierry Breton.
La situation internationale, marquée par l'attentat du 11 septembre, voit l'intensification de la politique étrangère du président des États-Unis, George W. Bush, avec qui Jacques Chirac s'entend mal. S'il l'avait soutenu lors de l'intervention en Afghanistan, il place la France, aux côtés de l'Allemagne dirigée par Gerhard Schröder, la Russie dirigée par Vladimir Poutine et la Chine Populaire de Hu Jintao, comme l'opposante principale des États-Unis contre l'invasion de l'Irak. Épaulé par son ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, il obtient que les États-Unis passent par l'ONU avant toute intervention. Profitant d'un large consensus national sur la question, Jacques Chirac se fait le chantre d'un « monde multipolaire ». Soutenu par les opinions publiques européennes mais seulement par quelques dirigeants (le belge Guy Verhofstadt et l'allemand Gerhard Schröder), il s'oppose aux États-Unis, soutenus par huit gouvernements ouest-européens (dont le Royaume-Uni, l'Italie et l'Espagne) et dix pays est-européens et laisse entendre qu'il utilisera son droit de veto au Conseil de sécurité des Nations unies tant que la situation n'évoluera pas. Cette annonce lui vaut une campagne hostile, notamment dans une partie des médias anglo-saxons (The Sun titre alors « Chirac is a worm » — « Chirac est un ver »). Les relations avec les États-Unis deviennent exécrables, ne commençant à se normaliser qu'à partir de la commémoration du débarquement en Normandie, quinze mois plus tard[réf. nécessaire]. Pour les politologues Bertrand Badie et Christian Lequesne, la France se rapproche des États-Unis dès 2003, selon le premier pour « préserver les intérêts économiques et politiques de la France qui souffraient, surtout aux États-Unis, du French bashing » ; selon le second parce que, après les attentats du 11 septembre 2001, « Chirac a eu la conviction que face au modèle de démocratie qu’incarnaient les États-Unis comme la France, se dressait désormais une menace commune : l’islamisme »[3].
L'ami libanais
L'assassinat de Rafiq Hariri, riche homme d'affaires et ancien premier ministre libanais, le 14 février 2005, est vécu comme un drame personnel par Jacques Chirac : il existait une amitié de longue date entre les deux hommes. Rafiq Hariri avait contribué au financement des campagnes électorales de Jacques Chirac depuis 1981 et il semble avoir exercé une influence importante sur la politique étrangère de la France au Moyen-Orient. Jacques Chirac contribue à la création du Tribunal spécial des Nations unies pour le Liban destiné à poursuivre les assassins de Rafic Hariri, initiative qui ne se concrétisera que peu après la fin de son mandat, le . Après son départ de l'Élysée en 2007, le couple Chirac s'installera dans un appartement parisien prêté par la famille Hariri[4],[5],[6],[7] qu'il échangera plus tard contre un hôtel particulier du même quartier prêté par l'homme d'affaires français François Pinault[8].
Référendum européen
Pour impliquer les Français dans la Constitution européenne, Jacques Chirac décide qu'un référendum sera organisé pour la ratification de celle-ci, à organiser au plus vite afin de remporter le scrutin. Désormais favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne (son « vœu le plus cher »), il voit une partie de sa majorité s'opposer à cette perspective, ce qui vient brouiller les cartes du référendum : le , les Vingt-cinq décident l'ouverture de négociations avec la Turquie. Le projet de directive Bolkestein détourne une partie de l'inquiétude sociale grandissante sur l'Europe, malgré les tentatives de désamorçage du président. Dans un contexte de quasi-unanimité en faveur du « oui » des partis de gouvernement et des médias, les sondages s'inversent trois fois, le débat enflamme les Français et mobilise les médias jusqu'au jour du référendum.
Le , après une campagne référendaire marquée par l'implication personnelle du président, le « non » l'emporte avec 54,68 % des voix et avec une forte participation de 69,74 %. Le surlendemain, Jean-Pierre Raffarin démissionne ; Jacques Chirac annonce son remplacement par un duo formé par Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy : l'un comme Premier ministre, l'autre comme ministre d'État, rejoignant le ministère de l'Intérieur. La presse se déchaîne contre le peu de changement des membres du gouvernement mais est intriguée par la « cohabitation » des deux (on parle de « vice-Premier ministre »). Jean-Louis Borloo, un temps pressenti, élargit son ministère en devenant ministre de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement.
Jacques Chirac entame alors un bras de fer avec Tony Blair (qui prend la présidence de l'Union), sur le budget de l'Union. Cette confrontation s'étend à la candidature de Paris et Londres pour les Jeux olympiques d'été de 2012 où les deux hommes s'impliquent personnellement. Les Français partent favoris et espèrent contrer la morosité qui s'abat sur le pays, mais, le 6 juillet, Londres est choisie par le CIO.
Le , lors d'un sommet franco-italien, Jacques Chirac reproche à la Commission européenne de ne pas s'opposer aux licenciements chez Hewlett-Packard : selon lui, cette indifférence de Bruxelles en matière sociale est « l'une des raisons qui expliquent le désaveu actuel de l'Europe », ce qui fait réagir José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, qui qualifie cette accusation de « populisme ». Beaucoup de politiciens français, même de droite comme Nicolas Dupont-Aignan ou Dominique Paillé, reprochent à Jacques Chirac de se défausser de ses responsabilités et d'alimenter l'europhobie en imputant à l'Europe une question de compétence nationale[9],[10].
Problèmes de santé et rumeurs de démission
Le , il est hospitalisé à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, pour un accident vasculaire cérébral (ou attaque cérébrale) ayant entrainé un léger trouble de la vision qui disparaît en quelques jours[11]. Il en sort le , mais ne doit pas prendre l'avion pendant quelques semaines. Le Premier ministre Dominique de Villepin représente alors la France au sommet de l'ONU le . Il peine à masquer la rivalité qui l'oppose à Nicolas Sarkozy, rendue plus aigüe depuis l'accident du président. Fin 2005, selon un sondage[12], 1 % des Français souhaitent que Jacques Chirac soit le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle de 2007. En outre, un Français sur trois déclare souhaiter que le chef de l'État démissionne de l'Élysée pour provoquer une présidentielle anticipée[13]. La plupart des éditorialistes affirment que Jacques Chirac ne se représentera pas en 2007 mais Patrick Devedjian pense le contraire[14]; Jacques Chirac demande au début de l'année 2006 à Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, « de la retenue » en attendant que la question de sa succession vienne à l'ordre du jour.
Crise sociale
À partir de la fin du mois d', à la suite de la mort de deux jeunes Bouna Traoré (15 ans) et Zyed Benna (17 ans) et un troisième Muhittin Altun (17 ans) grièvement brûlé à Clichy-sous-Bois électrocutés en se réfugiant de la police dans un transformateur EDF[15], puis à des déclarations du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, les actes de violence se multiplient les nuits suivantes, et se propageant dans de nombreuses banlieues en France (des milliers de voitures brûlées, des entreprises et bâtiments publics détruits, etc.) - les médias finissant par parler d'émeutes de 2005 dans les banlieues françaises. Le 8 novembre, Jacques Chirac décrète en Conseil des ministres l'état d'urgence (qui sera levé environ 2 mois plus tard, le ), les préfets pouvant déclarer le couvre-feu dans tout ou partie du territoire. Jacques Chirac s'adresse pour la première fois sur ces émeutes en banlieues directement aux Français via la télévision et la radio le lundi 14 novembre, regardé par plus de vingt millions de téléspectateurs[16].
Après le Contrat nouvelle embauche (CNE), Dominique de Villepin décide, au début de l'année 2006, de lancer un nouveau contrat de travail similaire, pour les jeunes, baptisé Contrat première embauche (CPE). La mobilisation syndicale et étudiante contre ce projet en particulier, et contre la dite loi pour l'égalité des chances plus généralement, se met lentement en place mais finit par prendre des proportions très importantes, et le Premier ministre est mis en difficulté. Jacques Chirac prend plusieurs fois la parole pour le soutenir, mais n'intervient pas avant le , où, dans une allocution devant 21 millions de téléspectateurs, il annonce la promulgation de la loi qui contenait le CPE mais demande de ne pas appliquer cette mesure en attendant une nouvelle loi sur le sujet, confiant le dossier à l'UMP, ce qui fait dire à un proche de Nicolas Sarkozy : « en réalité, le CPE est bel et bien suspendu, mais on ne le dit pas pour ne pas vexer Villepin »[17]. La presse se montre très critique sur ces demi-mesures et le , le Premier ministre annonce le remplacement rapide du CPE par une autre loi.
En visite le à l'Île Longue, base opérationnelle des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) français, Jacques Chirac y réaffirme les principes de la politique de dissuasion nucléaire française, marquant une inflexion de la doctrine nucléaire du pays : ne plus raisonner « du faible au fort » mais « du fort au fou », dans une période marquée par le terrorisme et les ambitions nucléaires de pays comme l'Iran et la Corée du Nord. Si les États-Unis et le Royaume-Uni réagissent positivement à cette annonce, la classe politique allemande s'inquiète de cette position alors que l'Iran proteste.
L'affaire Clearstream 2 vient ensuite bousculer l'emploi du temps du gouvernement. Dominique de Villepin, mais aussi Jacques Chirac, sont soupçonnés par la presse d'avoir commandité des enquêtes confidentielles sur des hommes politiques français, entre lesquels Nicolas Sarkozy, Jean-Pierre Chevènement et Alain Madelin, qui ont été accusés anonymement et faussement d'avoir profité de rétrocommissions en marge de l'affaire des frégates de Taiwan. Nicolas Sarkozy porte plainte contre X en janvier2006 pour « dénonciation calomnieuse », rapidement rejoint par une série d'autres personnalités françaises.
L'affaire Clearstream 2 dévie par la suite vers l'affaire du compte japonais de Jacques Chirac, puisque le Canard enchaîné affirme dans son édition du que le procès-verbal du général Rondot, membre de la DGSE, indiquait aussi que Jacques Chirac aurait détenu un compte de 300 millions de francs (45 millions d'euros) au Japon, à la Tokyo Sowa Bank appartenant à Soichi Osada, un ami de Jacques Chirac (fait chevalier de la Légion d'honneur en 1994), arrêté en 2000 au Japon pour faillite frauduleuse. Le général ajoutait que ce compte avait été ouvert en 1992 mais il s'est rétracté par voie de presse. Jacques Chirac a nié aussitôt détenir tout compte au Japon, affirmant que le Canard faisant référence à une enquête ouverte par la DGSE en 2000 (juste avant la présidentielle) au sujet de comptes supposés qu'il aurait détenus au Japon, enquête qui elle-même aurait été ouverte sur la base d'un article dans la presse japonaise. Le , est publié dans un livre la note interne de la DGSE du parlant de ce compte bancaire japonais, Gilbert Flam ayant enquêté autour de cette affaire a déclaré que cette histoire de compte bancaire secret était une manipulation de la presse japonaise. Dans son édition du , le Canard Enchaîné affirme que les juges chargés de l'affaire Clearstream ont des preuves concrètes (telle que des relevés de comptes) de l'existence de ce compte bancaire japonais de Jacques Chirac[20]. Les déclarations de patrimoine de Jacques Chirac publiées en 1995 et en 2007 ne mentionnent pas la détention de compte bancaire à l'étranger. S'il a menti dans ces déclarations, Jacques Chirac pourrait être poursuivi fausse déclaration en 1995, puisque la Cour de cassation a considéré que la prescription de trois ans est suspendue pendant l'exercice de son mandat présidentiel. À noter que cette banque japonaise ayant fait faillite en 1999, Jacques Chirac a pu y perdre beaucoup, s'il avait réellement un compte dans cette banque[21],[22],[23].
Dominique de Villepin lui remet la démission de son gouvernement le à la veille de la passation de pouvoir entre le président sortant et Nicolas Sarkozy.
Choix pour l'élection présidentielle de 2007
Le il annonce lors d'un discours télévisé qu'il ne se présentera pas à l'élection présidentielle de 2007 et que par conséquent il ne briguera pas de troisième mandat : « Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat », ajoutant : « Au terme du mandat que vous m'avez confié, le temps sera venu pour moi de vous servir autrement ». Le 21 mars suivant, il dit « donner son vote et son soutien à Nicolas Sarkozy » dans le cadre de cette élection[24]. L'ancien président accorda ce soutien au nom du parti qu'il a créé, à savoir l'UMP (aujourd'hui rebaptisé LR). « Cette formation politique [l'UMP] a choisi de soutenir la candidature de Nicolas Sarkozy [...]. C'est donc tout naturellement que je lui apporterai mon vote et mon soutien ». Le , Nicolas Sarkozy est élu président de la République et la passation des pouvoirs a lieu le 16 mai.
Dernière allocution présidentielle de Jacques Chirac le 15 mai 2007
« Mes chers compatriotes de métropole, de l'outre-mer et de l'étranger,
Demain, je transmettrai les pouvoirs que j'ai exercés en votre nom à Nicolas Sarkozy, notre nouveau président de la République. Je le ferai avec la fierté du devoir accompli et aussi avec une grande confiance dans l'avenir de notre pays.
Nous sommes les héritiers d'une très grande nation, une nation admirée, respectée et qui compte en Europe et dans le monde. Vous avez des capacités immenses de créativité et de solidarité. Grâce à vous, grâce à votre engagement, nous avons modernisé notre pays pour l'adapter aux profonds changements de notre temps et nous l'avons fait dans la fidélité à notre identité et en portant haut les valeurs de la République.
Mes chers compatriotes,
Une nation, c'est une famille. Ce lien qui nous unit est notre bien le plus précieux. Il nous rassemble. Il nous protège. Il nous permet d'aller de l'avant. Il nous donne les forces nécessaires pour imprimer notre marque dans le monde d'aujourd'hui.
Restez toujours unis et solidaires. Bien sûr, nous sommes profondément divers. Bien sûr, il peut y avoir des différences de conception, des divergences de vue. Mais nous devons, dans le dialogue, dans la concorde, nous retrouver sur l'essentiel. C'est comme cela que nous continuerons à avancer.
Dans l'union, dans le respect de notre diversité et de nos valeurs, dans le rassemblement, nous pouvons nourrir toutes les ambitions. Unis, nous avons tous les atouts, toutes les forces, tous les talents pour nous imposer dans ce nouveau monde qui se dessine sous nos yeux. Unie, et en poursuivant sur la voie engagée, la France s'affirmera comme une terre exemplaire de progrès et de prospérité. La patrie de l'égalité des chances et de la solidarité. Une nation moteur de la construction européenne. Une nation généreuse, aux avant-postes des défis du monde que sont la paix, le développement, l'écologie.
Dès demain, je poursuivrai mon engagement dans ces combats pour le dialogue des cultures et pour le développement durable. Je le ferai en apportant mon expérience et ma volonté d'agir pour faire avancer des projets concrets en France et dans le monde.
Ce soir, je veux vous dire le très grand honneur que j'ai eu à vous servir. Je veux vous dire la force du lien qui, du plus profond de mon cœur, m'unit à chacune et à chacun d'entre vous. Ce lien, c'est celui du respect, c'est celui de l'admiration, c'est celui de l'affection pour vous, pour le peuple de France et je veux vous dire à quel point j'ai confiance en vous, à quel point j'ai confiance en la France.
Je sais que le nouveau président de la République, Nicolas Sarkozy, aura à cœur de conduire notre pays plus avant sur les chemins de l'avenir et tous mes vœux l'accompagnent dans cette mission, qui est la plus exigeante et la plus belle qui soit, au service de notre nation. Cette nation magnifique que nous avons en partage. La France, notre nation, mes chers compatriotes, nous devons toujours en être profondément fiers.
Vive la République !
Vive la France ! »
Gouvernement et représentation parlementaire
Parlement
Assemblée nationale
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Sénat
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* Les personnes notées d'un astérisque sont celles ayant eu une ou plusieurs fonctions ministérielles avant la seconde présidence de Jacques Chirac (avant le 7 mai 2002).
Membres du gouvernement sous la seconde présidence de Jacques Chirac (6 mai 2002 - 16 mai 2007)
↑« Bernadette Chirac (90 ans) très affaiblie : voici l'hôtel particulier dans lequel elle veut passer ses derniers instants », Pleine Vie, (lire en ligne)
↑« Face aux accusations de Jacques Chirac, la Commission européenne refuse de jouer le rôle de "bouc émissaire" », Le Monde, (lire en ligne)
↑Antoine Guiral, « Chirac charge seul contre Bruxelles », Libération, (lire en ligne)
↑Jean-Dominique Merchet, « Pour la sortie d'«Indigènes», Chirac harmonise les pensions des anciens combattants coloniaux », Libération, (lire en ligne)