Il est « supprimé » en 2015, en attendant une réorganisation, notamment financière[2]. Soutenu par la seule ville de Deauville, le festival veut « chercher d'autres partenaires » et « se réorganiser » pour trouver le « bon concept » [2].
Lotus Air France (prix de la critique internationale) : Han Gong-Ju (A Cappella) de Lee Su-jin (Corée du Sud)
Le prix du public de la ville de Deauville : Han Gong-Ju (A Cappella) de Lee Su-jin (Corée du Sud) D'après le site du Festival du film asiatique de Deauville[3].
Statistiques
La compétition :
De l'Iran au Japon, la sélection asiatique représente désormais 17 pays. Japon, Corée du Sud et Chine sont les plus constants. La Corée du Sud domine nettement le palmarès avec notamment 6 Grand prix sur 15 (la compétition n'est apparue que lors de la deuxième édition, en 2000).
La section Action Asia a été organisée de 2004 à 2012.
Comme pour la compétition, la Corée du Sud se taille la part du lion. À noter la forte participation de Hong Kong.
Le festival coûte entre 500 000 € et 600 000 € par édition au Centre international de Deauville et à la société Public Système, auxquels s'ajoutent diverses prestations en nature, comme celle, notamment, du Groupe Lucien Barrière (hôtellerie, restauration), d'Air France (déplacements) et de Mazda (transports)[5].