Il est membre de la section régionale des avocats à Sousse chargé de l'activité scientifique et des séminaires, ainsi que de la commission juridique de la Ligue du centre de football[1].
Le , il est nommé par le président Kaïs Saïed comme président du Comité supérieur des droits de l'Homme et des libertés fondamentales[4].
Le , il revient à la tête du ministère de l'Intérieur dans le gouvernement de Najla Bouden[5]. Il annonce sa démission le après la mort de sa femme en juin 2022[6]. La veille de sa démission, il fustige lors d'un discours les « traîtres », « mercenaires des médias, hommes d’affaires, syndicalistes et partis qui ont vendu la patrie » et appelle les Tunisiens à soutenir le chef de l'État, « un homme honnête et patriote ». Son discours est dénoncé par l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) et la Ligue tunisienne des droits de l'homme[7].