Née à Newcastle (Nouveau-Brunswick)[3] (maintenant Miramichi) et élevée à Robertville, Jocelyne Roy-Vienneau est la quatrième des neuf enfants de Léon T. Roy, bûcheron, et de Mélanie (Morris) Goyette[4]. En 1995, elle épouse Ronald Vienneau de Pointe-Verte avec lequel elle aura deux enfants, Isabelle et Cédric[5].
Elle est titulaire d'un baccalauréat en sciences appliquées avec spécialisation en génie industriel et d'une maîtrise en administration publique de l'Université de Moncton[6]. Elle est la première femme vice-rectrice d'un campus à l'Université de Moncton, la première femme à diriger un collège communautaire francophone au Nouveau-Brunswick, et une des premières femmes diplômées de la Faculté de génie à l'Université de Moncton.
↑« Aucun des partis n'obtient la majorité au Nouveau-Brunswick », sur Ici Nouveau-Brunswick, Radio-Canada, (consulté le ) : « "Pour la première fois en près de 100 ans, un gouvernement minoritaire dirigera la province. Mais l'incertitude persiste, car Brian Gallant a annoncé son intention de rester au pouvoir." ».
↑Mathieu Roy-Comeau, « Higgs et Gallant veulent tous les deux gouverner », sur Acadie Nouvelle, (consulté le ) : « "Même si les libéraux ont remporté un siège de moins que les progressistes-conservateurs, M. Gallant compte tout de même se présenter chez la lieutenante-gouverneure pour lui demander le feu vert afin de tenter de continuer à gouverner." ».
↑Pierre-Alexandre Bolduc, « Le gouvernement libéral défait, Brian Gallant remet sa démission à la lieutenante-gouverneure », sur Ici Nouveau-Brunswick, Radio-Canada, (consulté le ) : « C’est la première fois dans l’histoire politique du Nouveau-Brunswick qu’un vote de confiance fait tomber le gouvernement en poste." ou "J’ai rencontré le premier ministre, Brian Gallant, et j’ai accepté sa démission. J’ai donc demandé à Blaine Higgs de former le prochain gouvernement, et il m’a assuré qu’il pouvait former un gouvernement qui recevra la confiance de l’Assemblée législative." ».