H300 : Mortel en cas d'ingestion H310 : Mortel par contact cutané H330 : Mortel par inhalation H373 : Risque présumé d'effets graves pour les organes (indiquer tous les organes affectés, s'ils sont connus) à la suite d'expositions répétées ou d'une exposition prolongée (indiquer la voie d'exposition s'il est formellement prouvé qu'aucune autre voie d'exposition ne conduit au même danger) H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme P260 : Ne pas respirer les poussières/fumées/gaz/brouillards/vapeurs/aérosols. P320 : Un traitement spécifique est urgent (voir … sur cette étiquette). P361 : Enlever immédiatement les vêtements contaminés. P301+P310 : En cas d'ingestion : appeler immédiatement un CENTRE ANTIPOISON ou un médecin. P405 : Garder sous clef. P501 : Éliminer le contenu/récipient dans …
Numéro ONU : 2025 : COMPOSÉ DU MERCURE, SOLIDE, N.S.A. à l’exception du chlorure mercureux et de cinabre Classe : 6.1 Étiquette : 6.1 : Matières toxiques Emballage : Groupe d'emballage II : matières moyennement dangereuses ;
Le fluorure de mercure(I), ou fluorure mercureux, est un composé chimique de formule Hg2F2. Il s'agit d'un solide jaune à cristaux cubiques, qui vire au noir lorsqu'il est exposé à la lumière[3]. La molécule Hg2F2 est linéaire, à l'instar des autres composés mercureux de la forme X–Hg–Hg–X. La liaison Hg–Hg a ici une longueur de 251pm (contre 300pm dans le mercure métallique) tandis que les liaisons Hg–F ont une longueur de 214pm, avec quatre autres atomes de fluor à 272pm[4]. La géométrie de coordination des atomes de mercure est ainsi un octaèdre déformé. Le composé est souvent écrit sous la forme Hg22+2F−[5].
↑ a et b
(en) Dale L. Perry et Sidney L. Phillips, Handbook of Inorganic Compounds, CRC Press, 1995, p. 256. (ISBN0-8493-8671-3)
↑
(en) A. F. Wells, Structural Inorganic Chemistry, Oxford Science Publications, 5e édition, 1984. (ISBN0-19-855370-6)
↑
(en) F. Albert Cotton, Geoffrey Wilkinson, Carlos A. Murillo et Manfred Bochmann, Advanced Inorganic Chemistry, Wiley-Interscience, 6e édition, New York, 1999. (ISBN0-471-19957-5)
↑
(en) Hans Beyer, Wolfgang Walter et Douglas Lloyd, Organic Chemistry, Horwood Publishing, 1997, p. 136. (ISBN1-898563-37-3)