Broyes (Oise)

Broyes
Broyes (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Thierry Vandeputte
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60111
Démographie
Gentilé Broyens, Broyennes
Population
municipale
148 hab. (2021 en évolution de −18,23 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 45″ nord, 2° 27′ 28″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 156 m
Superficie 4,8 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Broyes
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Broyes
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Broyes
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Broyes
Liens
Site web https://broyes-oise.fr/fr/

Broyes est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Broyens et les Broyennes.

Géographie

Description

Broyes est un village rural du Santerre dans l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à 8 km au sud-est de Montdidier (Somme), 36 km au nord-est de Compiègne et au nord-est de Beauvais et 32 km au sud-ouest d'Amiens.

Il est desservi par l'ancienne route nationale 30.

Au début du XIXe siècle, on indiquait que « le territoire de faible étendue, traversé de l'ouest à l'est par le vallon du Cardonnoy, comprend vers le nord Io mont-Soufflard, ce qui imprime à l'ensemble du pays un aspect montagneux[1] ».

Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Broyes[Note 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Au , Broyes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (10,8 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 68 en 2013 et de 60 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 6 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Broyes en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Broyes en 2018.
Typologie Broyes[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 84,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 624, 6122 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[12].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Broiæ[1] et Broioe (1103)[13] ; Broyoe (1104) ; apud Broyas (1164) ; sel jehan de broies (XIVe) ; Breex (1476) ; Broies (XVe) ; Broye[1] (vers 1515)[13] ; le Brouey (1667) ; Broyes (1840)[13].

Le pluriel du gaulois -briga-, « mont, forteresse »[14].

Histoire

Louis Graves relate que « la terre de Broyes fut donnée en 1476, avec celles du Cardonnoy et de Sourdon, à Jean d'Estouteville, grand-maître des arbalétriers, malgré l'opposition du vidame d'Amiens[1] ».

En 1843, la commune était propriétaire d'une école, ainsi que du presbytère, qui lui avait été donnée en 1809 par M. Renard. On comptait sur l'étendue du territoire communal deux moulins à vent et une cendrière[1].

Le village a subi d'importantes destructions lors de la Première Guerre mondiale[15] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [16].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Breteuil[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[19], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[20].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[21], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [22].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 2 décembre 2020)
Thierry Vandeputte DVD[23] Agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Équipements et services publics

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Bacouël, Plainville, Le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérévillers et Tartigny au sein d'un regroupement pédagogique concentré dont l'école située à Bacouël porte le nom de La Malvina[26]. Certains vont aux écoles privées de Breteuil ou de Montdidier.

Ils poursuivent leur scolarité au collège Compère Morel à Breteuil puis au lycée Jean Racine à Montdidier.

La salle associative.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 148 habitants[Note 2], en évolution de −18,23 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
458428443415377381367381378
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
358305302293260235221219182
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
201190175103161133134137177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
170130149145124112128134157
2014 2019 2021 - - - - - -
180153148------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 74 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 54,32 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,2 
2,9 
75-89 ans
6,0 
15,7 
60-74 ans
10,8 
20,0 
45-59 ans
14,5 
27,1 
30-44 ans
20,5 
12,9 
15-29 ans
20,5 
21,4 
0-14 ans
26,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Nicolas : le portail, et le lambris de la nef, qui ne comporte qu'un seul bas-côté, au sud, avec lequel elle communique par trois arcades qui retombent par pénétration dans les piles circulaires, datent de 1534. Le clocher-porche, légèrement antérieur, a été restauré par la suite avec des briques. La nef est dotée d'une charpente en carène de bateau, et, à son 'extrémité nord se trfouve une arcade, qui communique aujourd'hui avec la sacristie, mais était reliée autrefois à une chapelle seigneuriale
    Détruit pendant la Première Guerre mondiale, le chœur a été reconstruit en brique et pierre entre 1924 et 1927 en s'inspirant du précédent, qui était du XVIe siècle, mais avec des fenêtres de style gothique rayonnant. Les vitraux, réalisés en 1927, sont de Raoul Lefèvre
    L'autel du chœur est de style néo-gothique et celui du bas-côté, date du XVIIIe siècle[32].
    Une croix de procession et un ensemble de chasubles et de cinq chables se trouvant dans l'édifice y sont classés monument historique.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Broyes » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. Insee, « Métadonnées de la commune de Broyes ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Broyes » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Broyes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Broyes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]), p. 64-65.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Broyes et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun à Broyes », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. a b et c Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 97.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 149.
  15. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  16. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  19. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  20. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  21. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  22. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  23. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 54.
  24. Réélu pour le mandat 2014-2020 ; « Broyes », Cartes de France (consulté le ).
  25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Ecoles maternelle et primaire », Scolarité, sur broyes-oise.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Broyes (60111) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Dominique Vermand, « Broyes, église Saint-Nicolas : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).