Au Japon, le shogoun Tokugawa Yoshimune autorise l'importation des livres occidentaux traduits en chinois, sauf les écrits concernant la religion. C'est le début des « Études néerlandaises » (Rangaku)[2]. Des textes scientifiques sont traduits du néerlandais en japonais, principalement pharmacologiques et médicaux, sur des rouleaux illustrés et commentés. Certains médecins tentent des dissections, d’autres réclament plus de traduction.
L'horloger anglais Christopher Pinchbeck(en) met au point un alliage cuivre et de zinc (le Pinchbeck) qui a l'apparence de l'or[3].
Publications
Willem Jacob 's Gravesande : Physices elementa mathematica experimentis confirmata sive introductio ad philosophiam newtonianum, Leyde, Lugdini Batavorum, 1720 ; une introduction à la mécanique newtonienne.
↑Marielle Martiniani-Reber, Anne Rinuy, Annalisa Galizia, Çeyiz, broderies de l'Empire ottoman, Genève, Musée d'art et d'histoire, (ISBN9782830601183, présentation en ligne)
↑Eduard Maria Oettinger, Moniteur des dates - contenant un million de renseignements biographiques, généalogiques et historiques..., vol. 3, E. Oettinger, (présentation en ligne)