Cet espace économique européen a permis de diminuer les craintes des souverainistes islandais tout en permettant une hausse des échanges économiques. En 2005, l'Union fournissait 69 % des importations islandaises et représente 77 % de ses ventes[1].
La lettre de candidature est datée du [2]. Le , la candidature islandaise à l'UE fut remise au gouvernement suédois, lequel était chargé de la présidence du Conseil de l'Union européenne, par l'ambassadeur d'Islande à Stockholm[3]. La demande fut de nouveau remise au ministre des Affaires étrangères suédois lors d'une cérémonie à Stockholm le [4].
« The Government of Iceland has the honour to present hereby, in conformity with Article 49 of the Treaty on European Union, the application of the Republic of Iceland for membership of the European Union. »
— Jóhanna Sigurðardóttir, demande officielle d'adhésion de l'Islande à l'Union européenne[2]
Celle-ci fut reconnue par le Conseil de l'Union européenne le de cette même année[5].
Le , l'Islande annonce le retrait de sa candidature à l'entrée dans l'Union européenne[6].
Relations depuis le gel des négociations et possible reprise
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Le , une coalition composée des partis de l'Indépendance, Avenir radieux et Viðreisn est formée à la suite des élections législatives d'. Composée de deux partis souhaitant l’adhésion de l'Islande à l'Union (Avenir radieux et Viðreisn) et d'un parti s'y opposant (le parti de l’Indépendance), l'accord de coalition prévoit la tenue d'un référendum sur l'adhésion à l’Union européenne[7].