Maurice Asselin est surtout connu pour ses natures mortes et ses nus. Un autre thème récurrent dans son travail est la maternité, qui a atteint de rares niveaux de délicatesse. Il se consacra également avec habileté à l'aquarelle et à la peinture de paysages de sa bien-aimée Bretagne.
Maurice Asselin naît le à Orléans où ses parents — le père est cocher, la mère tient le débit de tabac La Pipe d'or à l'angle de la rue Sainte-Catherine et de la rue Jeanne-d'Arc — vont bientôt reprendre un restaurant appelé à connaître une certaine réputation, l'auberge de la rue Sainte-Catherine. Après des études secondaires à l'école Sainte-Croix qui s'arrêtent en classe de seconde, il est placé en 1899 comme apprenti calicot dans la maison de tissus Aux Travailleurs, place de la République à Orléans, puis, en 1900, dans une maison de textiles du Sentier à Paris[1]. « Employé distrait »[2], il revient passer les années 1901-1903 à Orléans (son père meurt en 1902) — sur son carnet de dessins, dont en fait il ne s'est jamais séparé depuis l'enfance, il saisit des vues d'Orléans, de Tigy, de Saint-Hilaire-Saint-Mesmin — avant de s'en retourner à Paris où il est l'élève de Fernand Cormon à l'École nationale supérieure des beaux-arts. Cet enseignement académique qu'il n'aime pas — compensé par une observation approfondie de Paul Cézanne et des impressionnistes au musée du Luxembourg et au musée du Louvre — est interrompu par une tuberculose gagnée sans doute dans la chambre mal chauffée qu'il occupe sous des toits du 15e arrondissement pour le conduire à une hospitalisation dans un sanatorium auvergnat[1].
La Bretagne, l'Italie, les premières expositions
Maurice Asselin découvre la Bretagne en 1905, année où, à Moëlan-sur-Mer — il y reviendra en 1906 et 1907 — il fait la connaissance du peintre Jacques Vaillant[3]. Après ses premières participations aux salons parisiens — Salon des indépendants en 1906[4], Salon d'automne en 1907 (il devient sociétaire et membre du jury du second en 1910[2]) — il part pour l'Italie où, de mai à , il va, à bicyclette, de Rome à Florence en s'attardant à Anticoli Corrado, Assise, et Sienne[1]. Maurice Asselin renoue avec l'Italie en 1910 où, depuis Gênes, il va jusqu'à Naples en s'attardant à Rome, pour finalement louer, durant tout l'été à Anticoli Corrado, un petit atelier où sont à situer ses premières œuvres sur le thème du nu[1].
La première rencontre, qui sera suivie d'une longue amitié, entre Maurice Asselin et Pierre Mac Orlan se produit, selon le livre de mémoires de ce dernier, en 1910 à Moëlan-sur-Mer[5], l'écrivain évoquant les habitudes estivales de Maurice Asselin et de ses amis peintres Ricardo Florès, Émile Jourdan et Jacques Vaillant à Brigneau-en-Moëlan chez La mère Bacon[6], « une petite auberge de pêcheurs posée sur le roc, située à l'entrée de la jetée qu'elle dominait »[7]. « Maurice Asselin ramène alors chaque été de Concarneau de délicates aquarelles » confirme un autre ami de l'artiste, Roland Dorgelès[8]. Revenus à Paris, Maurice Asselin, Pierre Mac Orlan, Roland Dorgelès et bien d'autres Montmartrois parmi lesquels Francis Carco et Maurice Sauvayre vont alors se retrouver dans de truculentes évasions dominicales à l'auberge de l'Œuf dur et du Commerce de Saint-Cyr-sur-Morin[9], puis, de nouveau dans le sud du Finistère, le , c'est ensemble que Maurice Asselin, Jacques Vaillant et Pierre Mac Orlan entendent le tocsin annonçant l'entrée de la France dans la Première Guerre mondiale[10].
L'Angleterre
1912 est l'année où André Salmon voit en Maurice Asselin « l'un des jeunes peintres les plus susceptibles de haut développement »[11], celle aussi du premier des nombreux voyages de l'artiste à Londres, sa première exposition personnelle s'y tenant en . Il y est entre 1914 et 1916 le plus proche ami de Walter Sickert, partageant un temps l'appartement de ce dernier, situé Red Lion Square[12]. Dans la chronique mensuelle que tient alors Sickert dans The Burlington Magazine, on trouve sous sa plume, en , une étude comparative des peintures de Maurice Asselin et de Roger Fry[13] dont la conclusion énonce la supériorité du premier[12]. Chacun des deux artistes peint le portrait de l'autre, le portrait d'Asselin brossé en 1915 par Sickert[14] se trouvant aujourd'hui dans les collections du Potteries Museum & Art Gallery(en) de Stoke-on-Trent[15] tandis qu'Asselin conservera chez lui, à Montmartre puis à Neuilly, son Portrait de Walter Sickert[16]. On voit également en 1915 Maurice Asselin à Ashford chez un autre ami peintre, Ludovic-Rodo Pissarro.
Mission d'artiste aux armées
Sous l'impulsion du général Niox, directeur des musées des armées à Paris, et par décret du , « le sous-secrétariat d'état aux beaux-arts, avec l'autorisation du ministre de la Guerre, peut confier à des artistes des missions aux armées ». Une commission où l'on trouve Léonce Bénédite, François Thiébault-Sisson et Arsène Alexandre a charge de sélectionner les dossiers envoyés par des artistes non mobilisés, étant stipulé que la finalité est « la véritable peinture d'histoire », par opposition à des intentions idéalistes ou symbolistes, à toute imagerie patriotique ou cocardière. Les peintres « modernes » ainsi retenus, exposants du Salon d'automne et du Salon des indépendants, vont des anciens nabis (Pierre Bonnard, Édouard Vuillard, Félix Vallotton, Maurice Denis) aux « nouveaux paysagistes post-cézanniens » que sont alors Maurice Asselin, Louis Charlot, Henri Lebasque, Henry Ottmann, Gaston Prunier, Jules-Émile Zingg, missionnés de la sorte de documenter une histoire non encore écrite. La présence de Maurice Asselin dans les collections du musée de la Guerre fait mémoire de son engagement dans Les missions d'artistes aux armées en 1917[17].
Les exodes de la Seconde Guerre mondiale conduisent Maurice Asselin et sa famille à Chalonnes-sur-Loire où le docteur Plessis l'accueille jusqu'à l'armistice de juin 1940. Les souffrances tant psychologiques (l'artiste supporte mal la défaite et l'Occupation) que physiques (un rhumatisme articulaire à la hanche rend sa marche pénible) se ressentent dans sa peinture : dans cette période des Nus rouges et des petits bouquets, « sa palette se durcit » restitue Georges Asselin[1]. En 1945, il se rend en Bretagne, chez les Correlleau à l'hôtel de la Poste de Pont-Aven, pour la dernière fois. Admis à l'hôpital Saint-Antoine en 1947, il est opéré par le professeur Bergeret le lundi et meurt le samedi .
Postérité : « la réaction réaliste »
Bernard Dorival a situé Maurice Asselin, avec Edmond Ceria, André Dunoyer de Segonzac, Charles Dufresne, Paul-Élie Gernez, Louise Hervieu, Maurice Loutreuil et Henry de Waroquier, parmi les peintres de la « réaction réaliste » qui, à « l'idéalisme et au vérisme photographique » de la tradition académique du XIXe siècle, « préfèrent le franc réalisme des Impressionnistes et la sincérité avec laquelle ceux-ci interrogeaient la nature. Contre l'irréalisme des cubistes, ils se posent en héritiers des maîtres indépendants du troisième quart du XIXe siècle, au premier chef de Gustave Courbet, père spirituel de leur mouvement » et ouvrent la voie à cette « génération des années 1930 », constituée de jeunes peintres tels Jules Cavaillès, François Desnoyer, Jacques Lestrille, Roger Limouse ou Roland Oudot qui vont s'engager dans un « juste milieu » entre l'art officiel du Salon des artistes français et celui, alors encore jugé trop inaccessible des Fauves et des Cubistes. Et Bernard Dorival appuie significativement son propos en citant Maurice Asselin : « si vous aimez vraiment la peinture, vous ne lui demanderez pas seulement d'être une décoration pour les murs de votre logis, mais d'abord d'être un aliment pour votre vie intérieure », professe ainsi l'artiste qui poursuit : « aucune combinaison cérébrale, aucune théorie ne peut faire naître une œuvre d'art… L'art jaillit de l'amour émerveillé de la vie »[21].
Citations
Dits de Maurice Asselin
« Une belle œuvre doit, par son ordonnance, son rythme, le choix des éléments qui la composent, satisfaire l'homme raffiné, et, par l'impression de vie qu'elle dégage, émouvoir l'homme le plus simple. » - Maurice Asselin[22]
Réception critique
« Il est merveilleux de voir tout ce qu'Asselin peut enclore dans quelques traits de fusain rehaussés d'aquarelle. Plutôt que les tons de la nature, il exprime les nuances de lumière ; et c'est d'une délicatesse extrême, sans jamais tomber dans la fadeur. » - François Fosca[23]
« Peinture sobre, un peu froide, solide, aux dessous géométriquement construits... En vérité elle est volontairement prolétarienne, mais la sincérité de l'artiste éclate, frise, transparaît à chaque touche. Avec Maurice Asselin, pas d'intérieurs riches, cossus, bourgeois, remplis de clinquants, mais des studios de poètes, de comédiens, d'artistes, des chambres de travailleurs, modestes, simples, d'un décor un peu fruste, des fleurs belles et fraîches, bien en valeur sur des tables rudes. Le peintre nous présente des portraits d'une ressemblance parfaite, et sa préférence va aux écrivains, aux poètes, aux artistes qu'il surprend dans leur intimité... Jules Romains médite sur son balcon, forge peut-être quelque enthousiaste poème unanimiste. Derrière lui la ville, avec sa dégringolade de toitures rousses et bleues, ses cheminées rouges, flambe sous le soleil. Asselin a réussi là un de ses plus heureux contre-jours. Paul Bour, allongé dans un rocking-chair, lit un livre. Émile Jourdan, le feutre gris sur l'oreille, semble un mousquetaire moderne. Son profil aquilin se découpe, net, clair, cursif, bien en valeur... Maurice Asselin aime la beauté des profils de femmes. Ses nus bien dessinés s'offrent à nos yeux sans frivolité aucune. Leur plasticité et leur tonalité font parfois songer à Félix Valloton ; ce n'est pas un mince hommage que je rends ainsi à l'artiste. » - Georges Turpin[24]
« Maurice Asselin, qui nous montre des figures paysannes dans leur décor familier, s'élève par un effort suivi jusqu'à la plus pure tradition. Devant ses toiles graves, solides, sans faux effet, on songe involontairement aux frères Le Nain, encore que la couleur du peintre moderne soit plus vive et plus fleurie. » - Jean Mériem[25]
« Chez Asselin, l'intimisme a un sens plus étroit que chez Georges d'Espagnat. C'est la poésie du milieu familial dans lequel il vit. Élevé dans une calme atmosphère provinciale, Asselin était peut-être porté par atavisme et éducation à cette expression de charme domestique. Certes il a peint des paysages et des natures mortes, mais, le plus fréquemment, ce qui revient dans son œuvre, c'est l'enfant, la femme s'adonnant au travail domestique, la maternité. La femme a chez lui cette gravité un peu triste qui est bien dans la tradition française et qui fait penser aux Le Nain dont les femmes d'Asselin ont la robustesse. Ses nus ont aussi cet accent d'intimité, de réserve, qui est la note particulière du nu dans la peinture française. En ce qui concerne sa technique, très sobre d'effets, Asselin ne doit rien au fauvisme, mais beaucoup à Cézanne. Sans qu'on retrouve dans sa peinture tous les procédés du maître d'Aix-en-Provence comme dans la peinture de Simon-Lévy, on ne peut s'empêcher de penser que c'est l'esprit de Cézanne qui anime ses toiles dont les passages de plans sont si nettement délimités de manière à mettre en parfaite valeur les volumes lumineux. » - Germain Bazin[26]
« Asselin reste toujours dans la même note sobre qui donne à ses scènes d'intérieur leur belle simplicité. » - Raymond Cogniat[27]
« Nus, fleurs, paysages, figures sont peints dans la lumière avec cette sobriété, cette solidité qui donnent de la force à tout ce que peint Asselin. Mais le côté dépouillé de sa peinture n'en exclut pas la richesse, dans la lumière où, sur un fond de grisaille, le plumage d'un faisan ou la somptuosité d'une fleur apparaissent dans toute leur magnificence, et c'est un enchantement. » - Le Figaro, rubrique « Courrier des arts »,
« Pour Asselin, la sensibilité doit être la raison même de l'art. » - Gaston Diehl[28]
« Je remercie Maurice Asselin, peintre de la lumière spirituelle des hommes et des choses, car ces paysages déjà abolis, ces personnages devenus des fantômes littéraires demeurent dans la réalité de ces témoignages dont l'ensemble fit notre personnalité et notre raison d'exister honorablement. » - Pierre Mac Orlan[29]
« Intimiste raffiné, Maurice Asselin savait irradier d'une lumière subtile ses personnages représentés dans des attitudes de la vie quotidienne, peints d'une pâte claire et délicate, soutenue par un trait léger et précis ; ils vivent d'une vie à la fois secrète et naturelle. Quant à ses aquarelles, baignées d'une lumière limpide, juste avec ce qu'il faut de couleur et de blancs, elles placent Maurice Asselin parmi les meilleurs aquarellistes de l'époque. » - Pierre Imbourg[30]
« La subtilité de ses demi-tons compose un univers rêveur. » - René Huyghe et Jean Rudel[31]
« Il reste un des représentants les mieux doués du réalisme propre à l'École de Paris, qui fit la synthèse de toutes les disciplines antérieures. » - Gérald Schurr[32]
« C'est bien en restant proche de la vie qu'il peint des scènes intimistes, chaleureuses, faisant les portraits des membres de sa famille, plus particulièrement de sa femme, et de ses amis. C'est avec émotion qu'il rend des paysages, surtout lorsqu'il s'agit d'aquarelles aux traits rapides et lumineux. » - Alain Pizerra[2].
Œuvres
Contributions bibliophiliques
Francis Carco, Rien qu'une femme, 13 eaux-fortes de Maurice Asselin, Paris, Éditions Georges Crès, 1923.
Essai sur l'histoire de la lithographie en France - Les peintres lithographes de Manet à Matisse, portfolio de 16 lithographies dont Maternité de Maurice Asselin. Paris, Edmond Frapier, Galerie des peintres-graveurs, 1924[33].
Jules Romains, Mort de quelqu'un, 24 eaux-fortes de Maurice Asselin, 350 exemplaires numérotés, Paris, Éditions Georges Crès, 1927.
Tristan Corbière, La Rapsode foraine et le Pardon de Sainte-Anne, lithographies de Maurice Asselin, Paris, Éditions Georges Crès, 1929.
Ouvrage collectif, Paris, 1937, soixante deux lithographies par soixante deux artistes dont Maurice Asselin et Max Savin pour Belleville à vol d'âne de Charles-Henry Hirsch, cinq cents exemplaires numérotés, Imprimerie Daragnès pour la ville de Paris, Exposition universelle de 1937.
Galerie André Maurice, Paris, juin-juillet 1950, 1953, décembre 1954 - janvier 1955, octobre 1957 (rétrospective, dixième anniversaire du décès de l'artiste)[30].
↑Pierre Mac Orlan, Le mémorial du petit jour (mémoires), Gallimard, 1955.
↑Roland Dorgelès, Bouquet de bohème, Albin Michel, 1947, p. 301.
↑Les petits livres du terroir, Montmartre à la campagne : l'Auberge de l'Œuf dur et de l'Amour à Saint-Cyr-sur-Morin, Éditions Terroirs.
↑Jean-Claude Lamy, Pierre Mac Orlan, l'aventurier immobile, Albin Michel, 2002.
↑ André Salmon, La jeune peinture française, Société des Trente, Albert Messein, Paris, 1912.
↑ a et bWendy Baron, Sickert - Paintingd and drawings, Yale University Press, 2006.
↑Texte intégralement repris sous le titre Roger Fry, Maurice Asselin dans : (en) Walter Sickert, The complete writings on art, édité par Anna Gruetzner Robins, Oxford University Press, 2000, p. 396-399.
↑(en) Christopher Wright, Catherine Gordon et Mary Peskett Smith, British and Irish paintings in Public Collections, Paul Mellan Centre for studies in British art/Yale University Press, 2006, p. 722-724.
↑Delorme et Collin du Bocage, commissaires-priseurs, 17, rue de Provence, Paris, Catalogue de l'atelier Maurice Asselin, 9 mars 2017 (Portrait de Walter Sickert : n°120 du catalogue).
↑Bernard Dorival, « La réaction réaliste et ses conséquences », in Les peintres du XXe siècle du cubisme à l'abstraction - 1914-1957, Éditions Pierre Tisné, Paris, 1957, p. 20-33.
↑ Maurice Asselin, cité par Gaston Poulain, « Histoire de l'art contemporain - Le réalisme poétique », L'Amour de l'art, janvier 1934, p. 299.
↑ a et b François Fosca, « Chroniques - Asselin, Galerie Druet », L'Amour de l'art, n°3, mars 1929, p. 110.
↑ a et b Georges Turpin, « Maurice Asselin, un jeune peintre moderne d'avant-garde, expose à la Galerie Eugène Druet », Lutetia, revue artistique, littéraire, théâtrale, janvier 1918.
↑ Jean Mériem, « L'actualité - Une première visite au Salon d'automne », L'Art et les Artistes, tome IV, 1921, p. 79.
↑ abc et d Germain Bazin, « Le réveil des traditions sensibles - D'Espagnat, Asselin, Quelvée, Ottmann », L'Amour de l'art, n°1, janvier 1933.
↑ Raymond Cogniat, « Le Salon d'automne », Art & Décoration, 1933, tome LXII, page 353.
↑Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.
Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Éditions Arts et Images du Monde, 1992.
Jean-Jacques Lévêque, Les années folles, 1918-1939 : le triomphe de l'art moderne, ACR Édition, 1992.
Henri Belbeoch (préface de Jacques Foucart), Les peintres de Concarneau, Éditions Palatines, 1993.
Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre, Éditions André Roussard, 1999.
Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999 (article d'Alain Pizerra).
(en) Walter Sickert, The complete writings on art, Anna Gruetzner, Oxford University Press, 2000.
Séverine Palmade, L'Hôtel de la Poste - Au rendez-vous des artistes, chez Ernest et Julia Correlleau, Éditions de la Société des amis du Musée de Pont-Aven, 2000.
Georges Asselin, Pierre Mac Orlan et Catherine Puget, Maurice Asselin et la Bretagne, musée des beaux-arts de Pont-Aven, 2002.
(en) Wendy Baron, Sickert - Paintings and drawings, New Haven et Londres, Yale University Press, 2006.
Les petits livres du terroir, Montmartre à la campagne : l'Auberge de l'Œuf dur et de l'Amour à Saint-Cyr-sur-Morin, éditions Terroirs (extrait en ligne).
Michel Charzat, La Jeune Peinture française, édition Hazan, 2010.
Pierre Ponia, « Pierre Mac Orlan et les peintres à Saint-Cyr-sur-Morin », Lectures de Pierre Mac Orlan, n°3 : « Pierre Mac Orlan et les peintres », .