Jacques Lestrille

Jacques Lestrille
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Naissance
Décès
Sépulture
cimetière de Passy (10e division), Paris
Nom de naissance
Jacques Luc Henri Lestrille
Nationalité
Française
Activité
Mouvement
Influencé par
Père
Henri Louis Charles Lestrille (1864-?), architecte, maire d'Ault de 1920 à 1922
Distinction
Prix Blumenthal 1938

Jacques Lestrille est un artiste peintre et lithographe français né à Ault (Somme) le 26 août 1904 et mort à Clichy (Hauts-de-Seine) le 4 juin 1985.

Biographie

Un père maire à Ault

Ault au début du XXe siècle.
Ault, le monument aux morts

Jacques Lestrille naît à Ault (Somme) au cœur de l'été 1904, « par hasard » écrit Raymond Cogniat, parce que ses parents - un père, Henri Louis Charles Lestrille (1864-?), architecte formé aux Beaux-Arts de Paris par Honoré Daumet et Pierre Esquié, et une mère, née Lucile Justine Verangat (1869-1922), « très musicienne » - s'y trouvent alors en vacances[1].

La consultation des registres d'état civil invite à relativiser nettement le « hasard » ainsi énoncé quant à la naissance aultoise de l'artiste : Henri Louis Charles Lestrille, bien qu'exerçant sa profession d'architecte au 5, rue Eugène-Delacroix à Paris[2], y est bien dit propriétaire domicilié à Ault[3] dont il sera même le maire de 1920 à 1922[4] : c'est ainsi lui qui, en novembre 1920, confiera à Paul Landowski la commande du monument aux morts d'Ault qu'il inaugurera onze mois plus tard[5] ; dans son journal, en date du 23 janvier 1921, le sculpteur évoque sa visite en son atelier de Boulogne-Billancourt pour la remise des noms des soldats à graver sur les stèles[6]

Un peintre du 16e arrondissement de Paris

René Huyghe
Bernard Dorival

Postimpressionniste « dans la foulée de Pierre Bonnard et Édouard Vuillard »[7], alors encore installé dans l'appartement parental du 6, boulevard Flandrin dans le 16e arrondissement de Paris[8], Jacques Lestrille reçoit les conseils de Maurice Brianchon et Jean Aujame. Les historiens de l'art René Huyghe et Bernard Dorival vont ainsi pleinement s'accorder à le situer, en même temps que les deux précités mais aussi que Balthus, Yves Brayer, Christian Caillard, Jules Cavaillès, Roger Chapelain-Midy, François Desnoyer, Jacques Despierre, Raymond Legueult, Roger Limouse, Marguerite Louppe, Roland Oudot, Jean Pougny, Émile Sabouraud, Kostia Terechkovitch et Charles Walch, dans cette « génération de 1930 », constituée de peintres tous nés autour de 1900, « la plupart d'entre eux servant un idéal figuratif et puisant dans le domaine traditionnel leurs sujets, faits pour séduire et non pour surprendre »[9]. Pour Bernard Dorival, cette nouvelle génération à laquelle appartient donc Jacques Lestrille prend de la sorte la relève des « néo-réalistes qui firent florès de 1920 à 1930 » (tels Maurice Asselin, André Dunoyer de Segonzac ou Henry de Waroquier) et propose, dans le même esprit qu'eux, « un juste milieu » entre la peinture officielle du Salon des artistes français et celle, jugée trop difficile par son irréalisme, des Fauves et des Cubistes[10].

Château de Rochefort-en-Terre.

Ce sont les premiers travaux connus de Jacques Lestrille, situés dans le Morbihan, que semble évoquer Daniel Le Meste lorsqu'il restitue que le jeune artiste (il n'a alors pas encore vingt ans) travaille en 1923 à Rochefort-en-Terre et au Faouët, présentant ainsi dès 1924 des vues des deux localités au Salon des indépendants[8], puis au Salon d'Automne. Jacques Lestrille reviendra du reste régulièrement à Rochefort-en-Terre pendant une grande partie de sa vie, s'y liant d'amitié avec le peintre américain Alfred Partridge Klots (1875-1939) qui y fit l'acquisition du château en 1907[11] et faisant des paysages côtiers du Morbihan un thème très récurrent dans son œuvre.

C'est un autre de ses thèmes, celui des Fleurs, que révèle en 1925 sa participation au Salon des indépendants[12], où il reviendra ensuite avec des sujets festifs comme Jour de fête en 1930[13], Le banquet en 1931[14] ou L'arbre de Noël en 1932[15]. Puis, au Salon des Tuileries de 1932, il présente un Nu que le critique d'art Michel Florisoone remarquera comme « fin et harmonieux »[16].

Jacques Lestrille quitte le boulevard Flandrin pour s'installer au 30, rue de Passy, également dans le 16e arrondissement, en 1933[17].

Les expositions qui, en avril 1933 puis en janvier 1934 à la Galerie Simonson, réunissent cinq jeunes artistes que Germain Bazin dit « liés par un commun sentiment de retour à l'objet »[18] en un groupe baptisé N.G.S. (Nouvelle Galerie Simonson), se composent de Jacques Lestrille, Roger Chapelain-Midy, Adrien Holy, André Planson, et Maurice Georges Poncelet. René Huyghe pour sa part définit alors leur singularité par « la pratique d'un art moins précieux, mais plus volontaire. Le souci des vérités essentielles de l'art, d'un métier solide et sûr aboutit chez eux à un art plus positif, moins proche de la rêverie »[19].

Commandes officielles

Exposition universelle de 1937, Paris
Institut national agronomique, Paris

En 1937, Jacques Lestrille, qui est gratifié d'une commande de l'État pour l'Exposition universelle[1], est également appelé à brosser les grandes peintures murales de l'amphithéâtre Tisserand de l'Institut national agronomique, rue Claude-Bernard à Paris, où l'exécution de celles de l'amphithéâtre Risler est confiée à André Planson[20],[21]. Michel Florisoone situera de la sorte Jacques Lestrille et André Planson, avec Maurice Georges Poncelet (qui œuvre alors à trois grandes créations pour le palais de la Découverte), Jean Aujame (qui intervient au lycée de jeunes filles - aujourd'hui lycée Antoine-Watteau - de Valenciennes), Charles Dufresne (qui terminera juste avant sa mort en 1938 les peintures murales de l'amphithéâtre de la Faculté de pharmacie de Paris), et Francis Gruber, parmi les peintres qui, par leur confrontation aux problèmes de la décoration murale contemporaine, se doivent de « retrouver les règles nécessaires de la composition », voire même les renouveler, et il écrira ainsi : « Lestrille et Planson, pour l'Institut agronomique, ont cherché, semble-t-il, moins à décorer le mur qu'à l'habiller à la façon d'une tapisserie qui meuble un fond, s'y superpose, mais ne veut pas faire corps avec lui. C'est une "parure cossue", sans éclat inutile, mais riche. Dans le cadre etroit, tout s'entasse, un peu mêlé, mais selon de grandes lignes bien lisibles qui conduisent du fond de la vie campagnarde, par les arbres et les plantes, à la vie libre de l'air »[22]. En 2022, le déplacement de l'institut (rebaptisé entretemps AgroParisTech) de Paris à Saclay entraînera le transfert des fresques dans les réserves du Fonds national d'art contemporain.

Les arts décoratifs et la lithographie

Une certaine proximité entre la peinture de Jacques Lestrille et la composition de la tapisserie est déjà remarquée dès 1937 par le critique d'art Raymond Lécuyer : « Lestrille fait de la tapisserie » observe ce dernier lors de sa visite du Salon d'Automne[23]. L'intérêt de l'artiste pour la tapisserie se vérifie de fait dans les collections du Mobilier national où est toujours conservé un important carton, La Nature, qu'il peint en 1941, qui ne sera cependant jamais tissé[24]. Une courte collaboration (décors de vases) à la Manufacture nationale de Sèvres est centrée sur l'année 1950 : deux dessins gouachés portant témoignage de cette relation sont conservés par l'établissement[25]. Dans les années qui suivent, il se réinvestit concrètement dans la conception de cartons de tapisseries pour la manufacture des Gobelins et le Mobilier national[26],[27],[28].

La datation des lithographies de Jacques Lestrille conservées en musées (le musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole et surtout le Beffroi Musée Boucher-de-Perthes - Manessier d'Abbeville où se trouve la plus importante collection recensée) semble relier l'approche de l'estampe par l'artiste aux années 1950-1954[29],[30].

Jacques Lestrille épouse Pauline Mintzker (1925-1993) le 27 février 1950 à Paris[3]. De cette union naîtra un fils, Marc-Henri Lestrille (1952-2004).

Outre sa fidélité au Morbihan, sa peinture va alors également énoncer des villégiatures allant de la Côte d'Azur (Vue sur le Cap Martin, 1953[31]) à la Normandie (Les planches à Deauville, vers 1963[1]), mais aussi, à travers la vie parisienne, la persistance de son attachement, déjà remarqué dans les années 1930, aux sujets festifs (Kermesse aux étoiles dans le jardin des Tuileries, printemps 1955[32] ; Nuit de la Saint-Sylvestre place Blanche en 1963[1]). En 1964, soit en sa soixantième année, un hommage lui est rendu par une exposition personnelle en la Galerie André Weil à Paris[1].

Mort et postérité

Se faisant discret au soir de sa vie, Jacques Lestrille meurt le 4 juin 1985 et est inhumé au cimetière de Passy, dans la 10e division[33].

Il demeure parmi les quelques noms dont se souvient Pierre Cabanne à propos de cette « génération de 1930 » qui, ennemie des excès d'alors, assuma cette difficulté existentielle de « porter le poids d'être née d'une lassitude »[34], que citent également René Huyghe et Jean Rudel lorsqu'ils évoquent ces mêmes artistes qui « parurent d'abord les continuateurs des peintres nabis, dont l'idéal redonnait à l'homme une valeur permanente, à côté de celle de la nature, parvenant à fixer la réalité à travers les jeux de la lumière, devenue aussi image de la spiritualité, soulignant l'action, creusant des perspectives, animant les visages et révélant l'âme. Quelques peintres reprirent à leur compte ces points de vue, au cours d'une expérience qui, entre les deux guerres, n'avait pas son orthodoxie, tels Raymond Legueult, Maurice Brianchon, Jules Cavaillès, Roger Limouse et Jacques Lestrille qui ajoutent à la vision de Pierre Bonnard une exquisité nouvelle. Ce sont des maîtres sans doctrine qui, contrairement à la majorité des peintres contemporains peignant à partir d'idées, d’a priori, œuvrent en regardant – comme les impressionnistes »[35].

Expositions

Expositions personnelles

Galerie Simonson, Paris, 1930, 1931, 1932, 1933, 1934

Expositions collectives

Affiche du Salon d'Automne, 1937.

Réception critique

  • « Une toile de Jacques Lestrille représente deux enfants perdus dans un champ de fleurs : êtres, animaux, nature, tout se place pour ce peintre au même plan, un plan confus, mêlé en apparence, le premier plan. Une fraternité unit toute la création, et son coloris, où la dominante est le brun, en lie toutes les parties dans une couleur de terre. Mais rien dans Lestrille n'est vulgaire ni grossier, son dessin révèle au contraire une élégance native, une distinction originelle ; elle se combine avec un sérieux, une gravité qui cache mal une inquiétude distante, un souci profond, tenace des problèmes vitaux. En cela, Lestrille, héritier assombri de Pierre Bonnard, se distingue de quelques uns de ses camarades avec qui il faisait équipe et qui montrent une puissante joie présente de vivre, tandis que lui semble plutôt méditer sur la présence emprisonnante de la vie. Sa façon de traiter un tableau dans l'esprit d'une fresque - et sa manière concourt à cette impression - confirme les désirs et les recherches de Lestrille. » - Michel Florisoone[38]
  • « Type idéal de l'artiste sincère et discret, Jacques Lestrille n'offre pas à ses biographes les beaux thèmes romanesques des peintres maudits si en faveur dans l'histoire de l'art moderne. Il ne se distingue ni par ses vices, ni par ses scandales, ni même par une vocation contrariée, car non seulement il n'a trouvé autour de lui aucune hostilité contre son désir d'être artiste, aucune réticence, mais au contraire un milieu favorable à ses aspirations et à sa vocation. Il appartient à une famille de bonne bourgeoise cultivée et raffinée, ayant le respect des arts… Il s'inscrit donc dans cette génération venue un peu trop tard pour participer aux grands mouvements révolutionnaires du début du siècle. Lorsque, ayant dépassé l'adolescence, il prend une plus lucide conscience des problèmes artistiques, les temps héroïques sont terminés ; les hommes de son âge sont les témoins d'un accomplissement, d'une mise en place de ce qui fut scandaleux. Le fauvisme et le cubisme relèvent déjà du passé, un passé tout proche, riche de leçons extrêmement vivantes, mais qui sont déjà des leçons… Les jeunes sont obligés de se tourner vers autre chose, vers une autre expérience qui n'ignore pas celles qui viennent de se dérouler mais qui ne cherche pas à les imiter. » - Raymond Cogniat[1]
  • « Aimable artiste de cette génération qui prétendit, vers les années 1930, à une crise de l'art révolutionnaire et revint à une conception humaniste dépourvue de toute ambition. » - Dictionnaire Bénézit[59]

Collections publiques

Drapeau de l'Algérie Algérie

Drapeau de la Finlande Finlande

France

Prix et distinctions

  • Prix Blumenthal 1938[1].

Références

  1. a b c d e f g h i j k l et m Raymond Cogniat, Jacques Lestrille, éditions de la Galerie André Weil, Paris, 1964.
  2. Edmond Delaire, Louis David de Pénanrun et François Roux, Les architectes élèves de l'École des beaux-arts, 1793-1907, Librairie de la construction moderne, Paris, 1907, p. 327
  3. a et b Hôtel de ville d'Ault, registres d'état civil, acte de naissance n°29 du 27 août 1904.
  4. Jean Monborgne, Histoire du Bourg d'Ault, éditions Bertout, Luneray, 1989, p. 429.
  5. Les monuments aux morts 1914-1918 de la Somme, Le monument aux morts d'Ault, mars 2017
  6. Paul Landowski, Journal, cahier n°9, 23 janvier 1921
  7. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains
  8. a b et c 35e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, février 1924, n°1879 et 1880, p. 147
  9. Sous la direction de René Huyghe de l'Académie française, L'art et l'homme, Librairie Larousse, Paris, 1961, vol.3, p. 453.
  10. Bernard Dorival, Les peintres du XXe siècle - Du Cubisme à l'abstraction, 1914-1957, éditions Pierre Tisné, 1957, pp. 28-29.
  11. a et b Daniel Le Meste, Billet du comité, Association des amis de Marius Borgeaud, mars 2014, p. 3
  12. a et b 36e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, mars 1925, n°2085 et 2086, p. 197
  13. a et b 41e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1930, n°2582 et 2583 p. 220
  14. a et b 42e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1931, n°2461 et 2462 p. 194
  15. a et b 43e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1932, n°2381 et 2382 p. 193
  16. a et b Michel Florisoone, « L'art et la curiosité - À travers le Salon des Tuileries », L'art et les artistes, mars 1932, p. 352
  17. a et b 45e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, février 1934, n°2725 et 2726 p. 197
  18. a et b Germain Bazin, « Les expositions », L'Amour de l'art, avril 1933, p. 6.
  19. René Huyghe, « Les tendances actuelles », L'Amour de l'art, janvier 1934, p. 356
  20. a et b « L'Institut national agronomique », Paris-bise-art, juin 2017
  21. a et b « Que deviennent les objets et papiers de mémoire du 16, rue Claude-Bernard ? », AgroParisTech Alumni, 15 novembre 2023
  22. Michel Florisoone, « La peinture contemporaine et les problèmes de la décoration murale », L'Amour de l'art, février 1938, pp. 167-174
  23. a et b Raymond Lécuyer, « Le Salon d'Automne », Le Figaro, 29 octobre 1937.
  24. a et b Mobilier national, "La Nature", carton de tapisserie dans les collections
  25. a et b Sevres Manufacture et Musée nationaux, Jacques Lestrille dans les collections
  26. a et b Mobilier national, "La Terre" dans les collections
  27. a et b Mobilier national, "L'éveil de la nature", carton de tapisserie dans les collections
  28. a et b Mobilier national, "L'éveil de la nature", tapisserie de lice dans les collections
  29. a et b Le Beffroi Musée Boucher-de-Perthes - Manessier, Abbeville, Jacques Lestrille dans les collections
  30. a et b Musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, Jacques Lestrille dans les collections
  31. a et b Musée d'art moderne de la ville de Paris, "vue sur le Cap Martin" dans les collections
  32. a et b Musée Carnavalet, Jacques Lestrille dans les collections
  33. « Cimetière de Passy, la 10e division », Landru cimetières
  34. Pierre Cabanne, « Du néo-humanisme à "Forces nouvelles" : le malaise français », L'art du vingtième siècle, éditions Aimery Somogy, 1982, p. 141.
  35. Refé Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, L'art et le mone moderne, Larousse, 1970, vol.2, pp. 128-129.
  36. « Les expositions - Galerie Simonson », L'art et les artistes, mars 1930, p. 357
  37. « Les expositions - Quelques bonnes expositions particulières… », L'art et les artistes, mars 1932, pp. 285-286
  38. a et b Michel Florissoone, « Les expositions : Jacques Lestrille, Galeries J. Allard », L'Amour de l'art, janvier 1936, p. 80.
  39. R.-J., « Quelques petites expositions », Le Monde, 19 avril 1947.
  40. 40e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1929, n°2707 et 2708 p. 223
  41. « L'actualité et la curiosité - À travers le Salon des indépendants », L'art et les artistes, janvier 1933, p. 172
  42. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Art & Images du Monde, 1992, p. 306.
  43. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, pavillon des Salons de l'esplanade des Invalides, Paris, octobre 1936, n°825-828 p. 159
  44. André Dennery, « Sur quelques exposants du Salon d'Automne », L'Amour de l'art, 1937, p. 308
  45. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, palais de Chaillot, Paris, novembre 1938, n°951-952 p. 176
  46. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris, septembre 1949, n°893-894 p. 55
  47. Yvonne Mareschal, « Â travers musées, galeries, ateliers - Galerie Armand Drouant », La Semaine à Paris, 18 février 1926, p. 60
  48. Yvonne Mareschal, « Le Groupe des Onze expose Galerie Drouant », La Semaine à Paris, 17 février 1928, p. 58
  49. « Les expositions », La Semaine à Paris, 13 juin 1930, p. 95]
  50. Yvonne Mareschal, « À travers musées, galeries, ateliers - Galerie Simonson », La Semaine à Paris, 27 février 1931, p. 7
  51. Raymond Bouyer, « Les expositions », La Revue de l'art ancien et moderne, janvier 1934, p. 203
  52. Charles Fegdal, « À travers les expositions - Groupe de la N.G.S. », La Semaine à Paris, 20 avril 1934, p. 43
  53. « L'actualité : les expositions », L'art et les artistes, mars 1936, p. 214
  54. Rosendo Lozano Moya, Irrupció de les avantguardes a Sabadell (1939-1959), Université de Barcelone, 2003, pp. 305-306
  55. a et b Musée d'art Ateneum, Jacques Lestrille dans les collections
  56. René Huyghe, Pittore francese d'oggi, ville de Turin, 1947.
  57. Luca Pietro Nicoletti, Parigi a Torino - Storia delle mostre "Pittori d'oggi - Francia-Italia", thèse de doctorat, Universita degli studi di Milano, 2011-2012, pp. 21-22
  58. « À travers les galeries », Les Lettres françaises, 13 décembre 1951, p. 9.
  59. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.8, p. 575.
  60. Centre national des arts plastiques, "Les étangs de la reine Blanche dans la forêt de Chantilly" dans les collections
  61. Centre national des arts plastiques, "Automne" dans les collections
  62. Centre national des arts plastiques, "Le temps des nids" dans les collections
  63. Centre national des arts plastiques, "Bourrasque d'automne dans les collections
  64. Centre national des arts plastiques, "Histoire naturelle" dans les collections
  65. Centre national des arts plastiques, "Fleurs" dans les collections
  66. Moblier national, "Fleurs", modèle pour tissage dans les collections
  67. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Composition" dans les collections
  68. Musée national d'art moderne, Jacques Lestrille dans les collections
  69. Fonds national d'art contemporain, "Cour de ferme" dans les collections
  70. « Dans les musées : les nouvelles acquisitions du Musée du Luxembourg », L'art et les artistes, janvier 1933, p. 175
  71. Fonds national d'art contemporain, "Paysage" dans les collections
  72. Fonds national d'art contemporain, "Le verger" et "La ferme" dans les collections
  73. Fonds national d'art contemporain, "Le verger" dans les collections
  74. Fonds national d'art contemporain, "La ferme" dans les collections
  75. Fonds national d'art contemporain, "Nature morte aux fraises" dans les collections
  76. Fonds national d'art contemporain, "Nature morte aux asperges" dans les collections
  77. Fonds national d'art contemporain, "Le jardin au lys" dans les collections
  78. Fonds national d'art contemporain, "Dahlias rouges" dans les collections
  79. Fonds national des arts plastiques, "L'amour" dans les collections
  80. Fonds national d'art contemporain, "Rêve d'enfant" dans les collections
  81. Fonds national d'art contemporain, "Le bouquet blanc" dans les collections
  82. Fonds national d'art contemporain, "Oiseaux chantant dans deux arbres en fleurs" dans les collections
  83. Centre national des arts plastiques, "Fleurs" dans les collections
  84. Centre national des arts plastiques, "Bouquet de fleurs" dans les collections
  85. Centre national des arts plastiques, "Coup de vent" dans les collections
  86. Centre national des arts plastiques, "Cour de ferme" dans les collections

Annexes

Bibliographie

  • Artistas franceses contemporáneos - Pintura, escultura, ilustracion del libro, éditions de l'Institut français de Barcelone, 1945.
  • René Huyghe, Pittore francese d'oggi, éditions de la ville de Turin, 1947.
  • Bernard Dorival, Les peintres du XXe siècle - Du Cubisme à l'abstraction, 1914-1957, éditions Pierre Tisné, Paris, 1957.
  • George Besson, « Lestrille », Les Lettres françaises, n°662, 14 mars 1957, p. 11.
  • Sous la direction de René Huyghe de l'Académie française, L'art et l'homme, Librairie Larousse, Paris, vol.3; 1961.
  • Raymond Cogniat, Jacques Lestrille, éditions Galerie André Weil, Paris, 1964.
  • René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, L'art et le monde moderne, vol.2, Larousse, 1970.
  • Pierre Cabanne, L'art du vingtième siècle, éditions Aimery Somogy, Paris, 1982.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'Automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde éditeur d'art, Paris, 1992.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.8, Gründ, 1999.
  • Pierre Sanchez, Chantal Bovalot et Josiane Sartre, Dictionnaire du Salon des Tuileries - Répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, 1923-1962, L'Échelle de Jacob, Dijon, 2007.

Liens externes

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