La ville du Chesnay-Rocquencourt est située à 17 km à l'ouest de Paris, moins de 4 km au nord de Versailles.
La ville appartient à la plaine de Versailles, à une altitude moyenne de 130 mètres, adossé au nord au relief couvert par la forêt de Marly. Il est occupé au sud-ouest par le domaine de Chèvreloup, contigu au parc de Versailles et qui héberge l'arboretum du même nom, couvrant environ la moitié de la commune ; au nord, il englobe la marge sud de la forêt de Marly, tandis que l'espace situé à l'est de la D186 est couvert par les grands ensembles résidentiels du Domaine et de Parly 2.
La partie ouest de la commune est drainée par le ru de Chèvreloup, affluent du ru de Gally, qui prend sa source dans le domaine de Chèvreloup.
Une grande partie du nord-est de la commune est couverte par le bois des Fonds-Maréchaux (chênes et châtaigniers).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 658 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Le Chesnay abrite, avec les logements de Parly 2 construits au début des années 1970, une partie de la plus grande copropriété de France[9]. Cette copropriété, comprenant 7 500 lots d'habitation allant du simple studio au 6 pièces, et organisée en 37 résidences, héberge plus de la moitié des habitants de la commune.
Un projet de nouvelle médiathèque, bibliothèque, salle multifonctions a été lancé en 2007. L'ensemble a ouvert courant 2009.
L'inauguration de l'ensemble culturel était prévue le , suivie par une semaine de spectacles tous les soirs et une journée portes ouvertes le dimanche .
La municipalité a engagé en 2013 la restructuration du vieux bourg, en vue de la construction de 300 nouveaux logements, dont plus de 80 sociaux sous l’égide de Versailles Habitat, ainsi que 4 500 m2 d’équipement et de commerces de proximité, permettant d'accroître le taux de logements sociaux, qui n'était alors que de 7 %, en violation des dispositions de la Loi SRU[10].
La commune a lancé en 2017 en vue de réurbanisation du site de 12 de l'INRIA, en vue d'y réaliser des bureaux paysagers, des logements et un petit dépôt pour les bus Phébus[11].
Typologie
Au , Le Chesnay-Rocquencourt est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Voies de communications et transports
Réseau routier
Le territoire communal est traversé, dans sa partie nord et selon un axe est-ouest, par l'autoroute A13 (6) ainsi que, en son centre et selon un axe nord-sud, par la D321 qui mène à La Celle-Saint-Cloud et Bougival vers le nord et à Versailles vers le sud. Il est bordé, en guise de limites sud-ouest et sud avec Versailles, par la D186 qui mène dans la direction de Saint-Germain-en-Laye vers le nord et à Versailles vers le sud et, en guise de limites nord avec La Celle-Saint-Cloud, par la route départementale D307, axe est-ouest menant à Vaucresson et Saint-Cloud vers l'est et Bailly et Noisy-le-Roi vers l'ouest.
Les lignes 426 et 6246 desservent également la commune, avec un arrêt au Bel Air.
Toponymie
Le nom Chesnay est attesté sous les formes latines Canoilum en 1122, Chesneium, Chesnetum au XIIIe siècle[16] et Le Chenay en 1793[17].
Le toponymeLe Chesnay est une forme archaïque pour « la Chênaie » en ancien français. Le suffixe gallo-roman -ETU(m) a abouti à -ey/-ay, masculin, et -ETA > -aye > -aie, féminin. Ce suffixe à valeur collective, sert à désigner un « ensemble d'arbres appartenant à la même espèce ». Le mot chêne (anciennement chaisne > chesne) est issu du gauloiscassanos[18].
Le nom Rocquencourt est attesté sous les formes latinisées Rocconis curtum en 678[19], Rocconcurtis en 691[20], Rocconis Curtis[21] en 862, au VIIe siècle (le « domaine de Roccon », feudataire de Thierry III, roi de Neustrie, de Bourgogne et d'Austrasie), Rocencort en 1209[20], Roquencort en 1230[20], Rocancourt au XVIIIe siècle.
Sens incertain, mais il pourrait s'agir d'un nom de personne d'origine germanique, Roccon (racine hrok = corneille).
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans les Yvelines[24], la liste menée par Philippe Brillault (LR), maire de la commune nouvelle depuis sa création, et ancien maire du Chesnay, est battue de 76 voix par celle du MoDem Richard Delepierre, qui a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, la première ayant obtenue 4 250 voix et 49,56 %, et la seconde 4 326 voix et 50,44 %, lors d'un scrutin marqué par une abstention de 61,16 %[25]
Au terme des élections municipales de 2020 dans les Yvelines, le maire sortant, battu de 76 voix par son unique opposant, conteste les résultats de l'élection alléguant des irrégularités[26]. En première instance, le tribunal administratif de Versailles a annulé l'élection en raison d'affichage sauvage et d'allégations de campagne tardifs dans la campagne électorale, qui n'ont pas permis au candidat battu de répliquer, ainsi que de l'importance de l'abstention liée au contexte sanitaire[27]. Richard Delepierre et le ministre de l'Intérieur — qui souhaitait voir juger que toutes les mesures « ont été prises pour permettre à tout électeur d’exercer son droit de vote dans les meilleures conditions, eu égard au contexte inédit de la propagation du Covid-19 — ont fait appel de ce jugement devant le conseil d'État[28],[29] ». Le Conseil d’État a néanmoins confirmé le la régularité de l'élection de 2020 et donc la défaite définitive de Philippe Brillault[30],[31].
Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2008
2013
2020
15 070
26 815
31 681
33 413
31 748
32 582
31 856
31 057
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : Insee[I 2])
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,9 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (38 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,9 %) est supérieur au taux départemental (21,7 %).
En 2018, la commune comptait 14 506 hommes pour 16 800 femmes, soit un taux de 53,66 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 3]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,1
90 ou +
2,5
9,0
75-89 ans
12,1
15,4
60-74 ans
19,0
21,5
45-59 ans
18,4
17,8
30-44 ans
16,9
16,2
15-29 ans
16,0
18,9
0-14 ans
14,9
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,4
6
75-89 ans
7,8
13,5
60-74 ans
14,8
20,7
45-59 ans
20,1
19,6
30-44 ans
19,9
18,5
15-29 ans
16,8
21,2
0-14 ans
19,2
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On peut noter à Rocquencourt :
La période médiévale est uniquement représentée par deux fours culinaires postérieurs au Xe siècle, relevant d’un usage communautaire[36].
Rocquencourt abrite l'arboretum de Chèvreloup sur 150 ha (les 50 ha restants du domaine sont sur la commune de Versailles), dont l'entrée se trouve au no 30 de la route de Versailles (RN 186), c'est le plus grand parc botanique de France.
Rocquencourt abrite, dans le camp Voluceau, dans les anciens bâtiments du quartier-général des Forces Alliées en Europe (SHAPE), le siège de l'INRIA ainsi que, depuis 1967, les services techniques de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris.
Avec un effectif total de deux-cent-vingt-deux personnes, ces services techniques ont pour mission de maintenir dans leur forme opérationnelle les huit-cents véhicules de la brigade. Ils ont aussi la mission de gérer, entretenir, réparer, contrôler, tester, stocker, répertorier, réformer et remplacer la multitude de matériels divers, tuyaux, échelles, lances, extincteurs, appareils respiratoires, pompes, pièces détachées, carburants, armes et munitions, outillage et machines, moteurs divers, produits d'extinction, oxygène, gaz carbonique et produits médicaux, matériel nucléaire et de décontamination, bref tout ce qui est indispensable à la brigade pour le bon accomplissement de sa mission.
Le blason en marbre à l'entrée de l'hôtel de ville.
Le monument aux morts du Chesnay et de Rocquencourt.
Au Chesnay, on notera :
L'église Saint-Germain, la plus ancienne, date de 1805. Elle est située dans le nord de la commune, en limite de Rocquencourt, et est flanquée du cimetière communal. Dans ce dernier, a été installé le monument aux morts commun aux communes du Chesnay et de Rocquencourt.
Temple mormon dit "de Paris" : autorisé en , débuté en 2013. Inauguré en 2017, il est depuis le premier temple de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours en France métropolitaine et l'un des plus grands en Europe. Il est situé au 46 du boulevard Saint-Antoine, artère limitrophe de Versailles ; il comprend un jardin ouvert au public, des bâtiments administratifs et hôteliers, outre le lieu de culte lui-même.
Le château du haut Bel-Air, situé 156 rue de Versailles, était à l'origine une maison de fontainier élément du système hydraulique du parc et du château de Versailles en liaison avec la machine de Marly, qui fut vendue comme bien national sous la Révolution. Il fut l'objet ainsi que son parc, de divers agrandissements par ses divers propriétaires, dont le docteur Philippe Ricord qui y recevait ses amis et s'y livrait à la culture des fleurs. Acquis en 1891 par le comte Edmond de Martimprey, il resta dans sa famille jusqu'en 1947, date de son acquisition par la Versailles pour en faire une colonie de vacances jusqu'à son achat par la ville du Chesnay en 1981. Il accueille actuellement un Institut médico-éducatif (I.M.E.) Le parc est ouvert au public. On note la présence à côté du château, qui est une demeure composite, d'un pigeonnier ornemental hexagonal dont la restauration a été décidée.
Sous l'Ancien Régime, il accueille quelque temps au XVIIe siècle les Petites écoles de Port-Royal qui seront fermées sur ordre royal. Parmi les élèves, avait figuré le jeune Jean Racine. Il sera ensuite la propriété de commis de la monarchie, tels qu'Antoine de Ratabon ou Louis de Verjus comte de Crécy. Rebâti, il appartiendra à Jean-Baptiste Caruel puis à son fils, Paul Caruel de Saint-Martin. Lors de la Belle époque, il est un des éléments du Salon musical de Madame Maurice Sulzbach. Son dernier châtelain est Pierre Aubert, cofondateur en 1907 de la société Aubert et Duval. Après son décès en 1965, ses descendants habitent le domaine quelques années, mais font l'objet d'une expropriation pour permettre la création de l'hôpital André-Mignot inauguré en 1981. En hommage à la famille Aubert, le nom de celle-ci a été donné à la partie subsistante du parc, ouverte au public, ainsi qu'à la crèche édifiée dans l'ancienne Orangerie des communs. Renommé le pavillon Aubert, il accueille le service de psychiatrie et le service de biologie médicale.
Le centre de transfusion sanguine a notamment été bâti à l'emplacement du potager du château.
Le château est en forme de fer à cheval, autour de la cour d'honneur de forme octogonale, fermée par une grille et un portail en fer forgé. Le château comprend deux niveaux. La partie centrale comporte un troisième niveau, ce qui en fait la partie principale.
La cour des Communs accédant à la cour d'honneur par un porche se situe entre le château, l'emplacement du potager et l'église Saint-Germain.
Le château a été restauré, est entretenu et permet de disposer d'un monument préservé dans son parc.
Les accès au parc et au château présentent encore de magnifiques portails en bois.
Le parc du château, présentant deux perspectives de part et d'autre du corps principal du château, comporte un jardin à la française, avec à l'extrémité d'une des perspectives, un bassin, dit, bassin de Neptune.
Ce parc est ouvert au public, et en raison de sa proximité, aux convalescents de l'hôpital.
Dans ce parc, comportant des chênes, des marronniers et des châtaigniers, s'élevait un immense cèdre du Liban, plusieurs fois centenaire, qui servait de point de repère aux pilotes d'avion.
Dans les années 1960, on pouvait apercevoir en hiver des renards qui braconnaient parfois les poules de la ferme voisine. Le parc y accueillit également, après la guerre, un élevage de bergers allemands.
Gilbert Bécaud (1927-2001), y acquit en 1956 une propriété, avec un jardin et un petit parc, où il vécut recevant ses nombreux amis et paroliers. Il y composa certaines de ses 400 chansons, dont Nathalie ou Et maintenant. Il quitta la ville vers 1972[38].
Valérie Bénaïm (née en 1969), animatrice télévisée scolarisée en primaire et au collège au Chesnay[39].
C'est dans la partie ancienne du cimetière communal qu'est inhumé le colonel d'aviation Pierre Clostermann, un des as de la 2e Guerre mondiale (33 victoires homologuées), homme d'affaires de l'industrie aéronautique.
Jean-Louis Forain (1852-1931), peintre et dessinateur français, enterré au cimetière communal.
Pierre Gabelle (1908-1982), personnalité politique française, est décédée dans la commune[40] ;
Martin Garat (1748-1830) caissier du Trésor national y possédait une maison.
Théodore Géricault (1791-1824) séjourne au Chesnay de 1812 à 1818[41]. Il vit alors chez son oncle maternel Jean-Baptiste Caruel, un grand bourgeois normand ayant fait fortune dans les manufactures de tabac. Ce dernier avait acquis le château du Chesnay en 1802 et est nommé maire de la commune. En 1807, Géricault assiste au mariage de son oncle quinquagénaire avec la jeune Alexandrine de Saint-Martin dans ce qui est probablement son premier séjour au Chesnay[41]. Son oncle l'aide en finançant ses cours auprès du peintre Carle Vernet. En 1809, Géricault est le parrain du fils de son oncle, Paul Caruel de Saint-Martin, qui est plus tard maire du Chesnay. Durant cette période, Géricault séjourne par intermittence au Chesnay et a une relation avec sa tante par alliance, Alexandrine d'où nait un fils caché, Georges Hippolyte, en 1818. Un carnet de dessins qu'il a faits du Chesnay de l'époque se trouve à l'Art Institute of Chicago[41]. Certains des sujets des dessins non légendés, de cet album, ont fait l'objet d'une identification en 2018[42]. Vers 1813, Géricault peint une enseigne pour le maréchal-ferrant de Rocquencourt Joseph Fouré (1777-1867). L’œuvre appartient de nos jours au Kunsthaus de Zurich[43].
François Gernelle (né en 1945), a inventé le premier micro-ordinateur à microprocesseur, le Micral N.
Elizabeth Ann Haryett dite Miss Howard (1823-1865), comtesse et châtelaine de Beauregard, (le château de Beauregard se situait à la Celle-Saint-Cloud, sur le sommet de la colline la séparant du Chesnay sur l'actuel domaine de Beauregard), enterrée au Chesnay aux côtés de son fils Martin-Constantin Haryett, comte de Béchevet (1842-1907). Elle fut la maîtresse et le soutien financier de Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III).
Jean Merrien, écrivain et nationaliste breton né dans la commune en 1905.
Les princes Murat habitaient le château de Rocquencourt, hérité des Furtado et des Ney d'Elchingen. Ils sont enterrés au cimetière du Chesnay, au chevet de l'église. C'est la mère adoptive de Paule Ney d'Elchingen, MmeCécile Furtado-Heine (1821-1896), qui a offert plusieurs vitraux à l’église Saint-Germain du Chesnay, dont un saint Napoléon. Mme Furtado-Heine a été une grande philanthrope, elle a créé des fondations d'aides aux personnes âgées et fait de nombreux dons. Une rue porte son nom à Paris 14e.
Marie-Amélie-Louise-Hélène d'Orléans (Amélie d'Orléans), reine du Portugal et des Algarves (° à Twickenham UK ; † à son château de Bellevue au Chesnay) enterrée très officiellement avec tous les honneurs dus à son rang à Lisbonne dans un tombeau juste en face de celui de son époux le roi Charles Ier de Portugal et de leur fils Louis-Philippe de Bragance, morts lors du régicide du ).
Phoenix, groupe de pop/rock dont les membres fondateurs sont originaires du Chesnay.
Philippe Ricord (1800-1889), médecin et chirurgien y a habité.
Jean-Paul Rouland (né en 1928), homme de radio, de télévision et écrivain français.
Marcel Rohrbach, né le à Molles (aujourd'hui rattachée à Ahun) dans la Creuse, mort le au Chesnay (Yvelines) est un coureur cycliste français.
Joséphine Sébille, Yves Sébille, Colette Sébille Zimmerman (fille des Sébille), ont reçu le titre de Juste parmi les nations par le Comité pour Yad Vashem, dont les noms figurent sur le Mur d'honneur du Jardin des Justes à Jérusalem, mais également à Paris, dans l'Aalée des Justes, près du mémorial de la Shoah, rue Geoffroy-l'Asnier[Note 4].
Kevin Staut (né en 1980), champion d'Europe de saut d'obstacles à Windsor en 2009 et numéro 1 mondial ( - ).
Jérôme Touzalin, auteur dramatique français, né à Tours, Chesnaysien depuis 1993[44].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Madame Rossler née Zuckermann a trouvé en la personne de Madame Sebille, une habitante du Chesnay, une porte grande ouverte pour accepter de prendre en charge son fils Richard alors âgé de trois ans ; La famille Sébille s’est occupée de ce petit garçon comme s’il faisait partie de leur propre famille. Le petit Richard est resté chez les Sebille de 1942 à 1947, époque à laquelle il a été repris par sa mère. Pendant ces 5 années, le petit garçon n’a manqué de rien. Les liens ont perduré après la guerre.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
↑Jean-Jacques Bros, « Arrêté préfectoral n°
78-2018-11-29-005 portant création de la commune nouvelle "Le Chesnay-Rocquencourt" par fusion des communes du Chesnay et de Rocquencourt », Recueil des actes administratifs spécial n°78-2018-173, , p. 18-22 (lire en ligne).
↑ a et bCercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
↑Laurent Mauron, « Municipales au Chesnay-Rocquencourt : l’opposition en ordre serré contre le maire DVD : Philippe Brillault, maire (DVD) depuis 31 ans du Chesnay, brigue un sixième mandat sur la ville qui a fusionné avec Rocquencourt. Richard Delepierre (MoDem) a mobilisé toute l’opposition derrière lui », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le )« Ce sera à quitte ou double. Les électeurs du Chesnay-Rocquencourt n'auront, sauf surprise de dernière minute, qu'un tour pour s'exprimer, le 15 mars prochain, car seules deux listes ont prévu à ce jour de s'affronter. Celle de Philippe Brillault, 68 ans, le maire sortant DVD depuis 1989, qui tente d'obtenir son sixième mandat, et celle de Richard Delepierre (MoDem), 50 ans, qui cherche à détrôner son inamovible adversaire. La gauche ne sera a priori pas présente. Une situation jamais vue dans cette commune de 31 000 habitants qui touche Versailles ».
↑Laurent Mauron, « Municipales au Chesnay-Rocquencourt : Philippe Brillault ne lâche rien malgré la défaite : Richard Delepierre (MoDem) a été élu avec 76 voix d’avance dès le 1er tour mais le maire sortant envisage un recours », Le Parisien, édition des yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laurent Mauron, « 76 voix d’écart : dans les Yvelines, le tribunal annule les élections municipales au Chesnay-Rocquencourt : Les juges relèvent des irrégularités qui auraient entaché la campagne, donnant raison au maire DVD sortant (et battu) », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laurent Mauron, « Élections annulées au Chesnay-Rocquencourt : Richard Delepierre fait appel : Le maire MoDem de la ville a décidé de saisir le Conseil d’État à la suite de l’annulation des élections municipales de mars dernier par le tribunal administratif de Versailles », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑François Desserre, « Yvelines. Élection annulée au Chesnay-Rocquencourt : Richard Delepierre soutenu par le ministère de l'Intérieur : Nouvel épisode dans la saga de l’élection municipale annulée au Chesnay-Rocquencourt (Yvelines). Le ministère de l’Intérieur a décidé d’entrer dans la partie », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stéphane Corby, « Elections au Chesnay-Rocquencourt : la victoire de Delepierre validée, « une décision politique » pour Brillault : L’élection du candidat MoDem avait été annulée par le tribunal administratif en novembre dernier. Le tombeur du maire (DVD), en poste depuis 1989, s’était pourvu en appel devant le Conseil d’Etat qui lui a donné raison ce mardi soir. Au grand dam de l’élu battu », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑Florie Cedolin, « Yvelines. Municipales : au Chesnay-Rocquencourt, le Conseil d'Etat confirme l'élection de Richard Delepierre : Après plusieurs semaines d'attente, le Conseil d'Etat a validé l'élection municipale de mars 2020 au Chesnay-Rocquencourt (Yvelines). Richard Delepierre reste maire », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑François Desserre, « Fusion : le nouveau maire du Chesnay-Rocquencourt a été élu : Le Chesnay et Rocquencourt ont achevé leur fusion, ce mercredi 2 janvier 2019. Le nouveau maire a été élu ainsi que les adjoints. Philippe Brillault a obtenu une large majorité », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑François Desserre, « Election du maire du Chesnay-Rocquencourt : une passation dans la douleur : Ces dernières semaines, la tension politique a été extrême au Chesnay-Rocquencourt (Yvelines). La passation entre le maire sortant et le maire élu s'est faite dans la douleur », 78actu, (lire en ligne, consulté le )« Après plus de 30 ans de mandat, Philippe Brillault avait subi une défaite qu’il ne semblait pas envisager, au soir du dimanche 15 mars. Son ancien adjoint, Richard Delepierre, l’avait emporté d’une courte tête : 50,44 % des suffrages et seulement 76 voix d’écart ».
↑Laurent Mansart, « Le Chesnay-Rocquencourt : le nouveau et l’ancien maire gardent leurs distances : Richard Delepierre (MoDem) a succédé ce jeudi à Philippe Brillault (DVD) à la tête de la ville, dans une ambiance qui s’est tendue en toute fin de conseil », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Hommage à Pierre clostermann, article paru dans la revue « Azur & Or » éditée par l'Association nationale des officiers de réserve de l'Armée de l'air (ANORAA), no 220, , page 23.
↑Annie et Bernard Reval, Gilbert Bécaud, jardins secrets, Editions France-Empire, 2001
↑ ab et cJean-Louis Berthet Géricault au Chesnay, imprimé pour l'association Le Chesnay d'hier à aujourd'hui, 1991.
↑Denis Michel-Dansac, Quand Géricault dessinait Le Chesnay Revue de l'histoire de Versailles et des Yvelines, Tome 100, 2018, publiée par l'Académie des sciences morales et des lettres et des arts de Versailles et d'Île-de-France,
↑Germain Bazin, Théodore Géricault, Étude critique et catalogue raisonné. Tome III, la gloire de l’empire et la Première Restauration, La Bibliothèque des Arts, Paris, 1989.
↑Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français comprenant tous les membres des assemblées françaises et tous les ministres français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, vol. 1, Paris, Bourloton, , 622 p. (lire en ligne), p. 26.