James Mattis (général)

James Mattis
Illustration.
Portrait de James Mattis en 2017.
Fonctions
26e secrétaire à la Défense des États-Unis

(1 an, 11 mois et 12 jours)
Président Donald Trump
Gouvernement Administration Trump
Prédécesseur Ashton Carter
Successeur Patrick M. Shanahan (intérim)
Mark Esper
11e commandant du Commandement central des États-Unis

(2 ans, 7 mois et 11 jours)
Président Barack Obama
Prédécesseur David Petraeus
Successeur Lloyd Austin
5e commandant du Commandement des forces interarmées des États-Unis

(9 mois et 30 jours)
Président George W. Bush
Barack Obama
Prédécesseur Lance L. Smith
Successeur Raymond T. Odierno
Biographie
Nom de naissance James Norman Mattis
Date de naissance (74 ans)
Lieu de naissance Pullman (État de Washington, États-Unis)
Nationalité Américaine
Parti politique Indépendant
Diplômé de Columbia High School
Central Washington University
National War College

Signature de James Mattis

James Mattis (général)
Sceau du département de la Défense
Secrétaire à la Défense des États-Unis

James N. Mattis
James Mattis (général)
Le général James Mattis en 2007.

Surnom Chaos (indicatif)[1]
Warrior Monk
Mad Dog Mattis[2]
Origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Arme United States Marine Corps
Grade Général
Années de service 1969 – 2013
Commandement
Conflits Guerre du Golfe
Guerre d'Afghanistan
Guerre d'Irak
Faits d'armes Opération Liberté irakienne
Première bataille de Falloujah
Deuxième bataille de Falloujah
Distinctions

James Norman Mattis, né le à Pullman (État de Washington), est un général américain issu du Corps des Marines, en service actif entre 1969 et 2013. Il sert notamment lors de la guerre du Golfe, de la guerre d’Afghanistan et de la guerre d'Irak où il commande la 1re division des Marines et la I Marine Expeditionary Force. Il occupe également plusieurs grands commandements au sein des Forces armées des États-Unis (United States Joint Forces Command entre 2007 et 2010 et United States Central Command, responsable des opérations militaires américaines au Moyen-Orient, Afrique du Nord et Asie centrale, de 2010 à 2013) et de l'OTAN (commandement allié Transformation, de 2007 à 2009).

Il est secrétaire à la Défense des États-Unis et membre du cabinet de 2017 à 2019, durant la présidence de Donald Trump.

Biographie

Carrière militaire

Études et début de carrière

James Mattis naît le à Pullman dans l'État de Washington[3]. Il sort diplômé de la Columbia High School (en) de Richland en 1968 et s'engage l'année suivante à 19 ans dans l'United States Marine Corps[4]. Plus tard , il obtient un BA en histoire à la Central Washington University[5] et il est nommé au grade de second lieutenant dans le ROTC le [6].

Mattis est également diplômé de l'US Marine Corps Amphibious Warfare School, de l'US Marine Corps Command and Staff College, et du National War College. Considéré comme un intellectuel dans les rangs de l'armée, Mattis est connu pour son intérêt de l'histoire militaire et de l'histoire globale[7],[8]. Il dispose d'une bibliothèque personnelle de plus de 7 000 volumes[1], et impose des listes de lecture aux Marines sous son commandement[9],[10]. Il a également toujours avec lui un exemplaire des Pensées pour moi-même de Marc Aurèle lors de ses déploiements. Mattis est aussi un admirateur de Barbara W. Tuchman et de son livre The Guns of August (Les Canons du mois d’août), qui décrit le déclenchement de la Première guerre mondiale à la suite d'un enchaînement d’événements non maîtrisés[11].

Le major-général Robert H. Scales (en), l'a décrit comme « [...] l' un des hommes les plus courtois et polis que je connais[n. 1]. »[12]. Mattis est célibataire[13] ; il ne s'est jamais marié et n'a pas d'enfants[1]. Il est surnommé « Le Moine Guerrier » à cause de sa vie de garçon et de son dévouement à l'étude de la guerre[14]. Il est connu pour la rigueur intellectuelle qu'il instille à ses Marines, et il exige de ces derniers qu'ils se familiarisent avec la culture et l'histoire des régions du monde où ils sont déployés. Avant de se déployer en Irak, Mattis a notamment organisé une formation de sensibilisation culturelle pour ses Marines[8]. Surnommé également le « chien fou »[4], il est connu pour certains de ses commentaires polémiques notamment quand il affirme en 2005 trouver « sympa de tirer sur des gens [qui battent leurs femmes][n. 2] »[4],[15].

En tant que lieutenant, Mattis sert comme commandant de peloton dans la 3e division des Marines, puis en tant que capitaine, il est affecté à la Naval Academy Preparatory School. Il est ensuite nommé major et sert dans le Marine Corps Recruiting Command à Portland. Après avoir été promu au grade de lieutenant-colonel, Mattis commande le 1er bataillon (en), 7e régiment de Marines, une des bataillons d'assaut de la Task Force Ripper pendant la guerre du Golfe.

Guerre d’Afghanistan

En tant que colonel, Mattis commande le 7e régiment de Marines. Il dirige la 1re brigade expéditionnaire des Marines avant sa promotion comme brigadier général. Au cours de la planification initiale de la guerre en Afghanistan, Mattis dirige la Force opérationnelle 58[n. 3] dans les opérations au sud du pays[16], devenant ainsi le premier officier du corps des Marines à avoir jamais commandé une force opérationnelle navale au combat[6]. Lors de son service en Afghanistan, son commandement et sa présence sur le terrain sont reconnus et appréciés par ses hommes[17].

Guerre d'Irak

En tant que major-général, Mattis commande la 1re division des Marines au cours de l'opération Liberté irakienne en 2003 et les opérations de stabilisation ultérieures au cours de la Guerre d'Irak[7].

Mattis joue un rôle clé dans les opérations de combat à Falloujah, y compris la négociation avec les insurgés pendant la Première bataille de Falloujah en , ainsi que dans la participation à la planification de la deuxième bataille de Falloujah en novembre. En , Mattis ordonne le bombardement d'une maison près de la frontière syrienne suspectée d'abriter l'ennemi. Cette action est connue comme le massacre du mariage de Mukaradeeb (en), et entraîne la mort de 42 civils, hommes, femmes et enfants qui assistaient à une célébration de mariage. Mattis déclare qu'il lui a fallu 30 secondes pour prendre la décision de bombarder l'endroit[18]. Il déclare également dans un discours à ses soldats en 2003 : « Il y a des trous du cul dans ce monde qu'il faut juste tuer »[19].

Après une enquête du département de la Défense qui met en exergue des mauvais traitements à l'encontre des civils par des soldats américains, Mattis déclare aux Marines américains en  : « Chaque fois que vous montrez de la colère ou du dégoût envers les civils, c'est une victoire pour Al-Qaïda et les autres insurgés[n. 4] » et les exhorte à faire preuve de respect envers les civils et de retenue dans l'utilisation de la force[20]. Mattis popularise également la devise de la 1re division des Marines « no better friend, no worse enemy », une paraphrase de la célèbre épitaphe du dictateur romain Sylla[21], dans sa lettre ouverte à tous les hommes de sa division pour leur retour d'Irak. Cette phrase est largement reprise au cours de l'enquête sur la conduite du lieutenant Ilario Pantano (en), un commandant de peloton servant sous le commandement de Mattis et accusé du meurtre de deux prisonniers irakiens[22],[23],[24],[25],[26],[27],[n. 5].

Durant son commandement en Irak, Mattis n'a pas hésité à relever de leur fonction des officiers à une période où l'armée américaine semble incapable ou peu disposée à remplacer les officiers peu performants ou incompétents. Notamment lors de la poussée sur Bagdad, Mattis relève le commandant du 1er régiment des Marines, le colonel Joe D. Dowdy (en) ; un événement rare dans l'armée moderne qui fait la première page des journaux. Mattis a refusé de commenter publiquement la question autrement qu'en précisant que cette pratique demeure vivante, ou du moins « nous le faisons dans les Marines[n. 6] »[17]. Des interviews ultérieures des officiers et des hommes de Dowdy révèlent que le colonel a été condamné en partie car il donnait priorité à ses hommes quitte à prendre le risque de ralentir l'opération alors que Mattis insistait pour que la mission — la prise de Bagdad — soit exécutée rapidement[28].

Commandements majeurs

Après être promu lieutenant-général, Mattis prend le commandement du Marine Corps Combat Development Command (en). Le , parlant ad libitum lors d'un forum à San Diego, il dit : « En Afghanistan, vous avez des gars qui tapent les femmes pendant cinq ans parce qu'elles ne portent pas de voile. Vous savez, des gars comme ça, n'ont aucune virilité. C'est donc très amusant de les tuer. En fait, c'est un grand plaisir de se battre. Vous savez, c'est vraiment drôle. C'est amusant de tirer sur certaines personnes. Je vais être franc avec vous, j'aime me bagarrer[n. 7]. ». Les remarques de Mattis suscitent des controverses ; le général Michael Hagee (en), commandant du corps des Marines, publie une déclaration suggérant que Mattis aurait dû choisir ses mots plus attentivement, mais qu'il ne serait pas sanctionné[15].

Avec David Petraeus, il a co-écrit le Manuel de contre-insurrection, devenu un ouvrage incontournable des interventions militaires américaines à partir de 2006[29].

Le Pentagone annonce le que le lieutenant-général Mattis est choisi pour prendre le commandement de la I Marine Expeditionary Force (MEF), basée au camp de Pendleton[30]. Le , le secrétaire à la Défense, Robert Gates, annonce que le président George W. Bush va proposer la promotion de Mattis au grade de général afin de lui attribuer le commandement de la United States Joint Forces Command (JFCOM) à Norfolk, en Virginie. L'OTAN accepte de nommer Mattis comme commandant suprême du Commandement allié Transformation (SACT). Le , le Sénat des États-Unis confirme la nomination de Mattis et ce dernier laisse le commandement de la MEF le au lieutenant-général Samuel Helland. Mattis est officiellement promu général quatre étoiles et prend le contrôle du JFCOM/SACT le . Il laisse le poste de SACT au général français Stéphane Abrial le , mais conserve le commandement du JFCOM[31].

Mattis avec le général Martin Dempsey, en 2011.

Au début de 2010, Mattis est sur la liste des généraux des Marines pressentis pour remplacer James T. Conway (en) en tant que commandant du corps des Marines des États-Unis[32],[n. 8]. En juillet, il est recommandé par le secrétaire à la Défense, Robert Gates, pour remplacer David Petraeus à la tête du United States Central Command (CENTCOM)[33], avant d'être formellement nommé par le président Barack Obama le [34]. Sa confirmation par le Comité des forces armées du Sénat des États-Unis marque la première fois qu'un Marine occupe le poste de commandant d'un Unified Combatant Command[35]. La cérémonie de prise de commandement se déroule à la base aérienne de MacDill le [36],[37],[38]. En tant que chef du CENTCOM, Mattis supervise les guerres en Irak et en Afghanistan et il est responsable d'une région qui comprend également la Syrie, l'Iran et le Yémen[39]. L'administration Obama ne se montre pas particulièrement confiante envers Mattis, car il est perçu comme favorable à un affrontement militaire avec l'Iran[40]. Il prend sa retraite du Corps des Marines le .

Carrière civile

Depuis sa retraite de l'armée, Mattis travaille pour FWA Consultants et fait également partie du conseil d'administration de General Dynamics[41]. Depuis , il est membre et professeur invité à la Hoover Institution[42],[43]. Mattis est également membre depuis 2013 du conseil d'administration de la société de biotechnologie de la Silicon Valley, Theranos dont les pratiques ont été critiquées[44],[45] et qui se retrouve sous le coup d'une enquête fédérale[46], avant que ses dirigeants ne soient lourdement condamnés, et la société dissoute, en 2018.

En , Mattis rejoint le conseil consultatif de Spirit of America (en), une organisation à but non lucratif[n. 9] qui fournit une assistance aux Américains servant en Afghanistan, en Irak et en Afrique et qui vient en aide aux habitants de ces régions[47].

Il est le co-auteur du livre Warriors & Citizens : American Views of Our Military avec Kori Schake, publié en [48].

Carrière politique

En , Donald Trump annonce son intention de le nommer secrétaire à la défense de sa future administration[49]. Comme il a quitté l'armée depuis moins de sept ans, il doit toutefois obtenir une autorisation particulière du Congrès avant de pouvoir entrer en fonction[50],[n. 10]. Il est confirmé le par le Sénat par 98 voix pour et une voix contre[52].

Le , il se rend à Kaboul pour rencontrer le secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg et le président afghan Ashraf Ghani afin d'annoncer l'envoi de 3 000 militaires supplémentaires en Afghanistan[53]. Et ceci dans le but de renforcer les 13 000 hommes des troupes de l'OTAN et les 11 000 hommes des troupes de l'opération Inherent Resolve déjà présents[53]. Lors de la visite, il sort indemne d'une tentative d'assassinat revendiquée à la fois par les talibans[53] et par Daech[54].

Le , le président américain Donald Trump annonce le retrait militaire de Syrie, considérant que l'État islamique est vaincu[55]. Le lendemain, James Mattis démissionne, soutenant des points de vue différents sur la situation et le contexte[56],[57]. Il atteste que la protection des intérêts de la nation n'est pas possible sans entretenir des alliances fortes et un respect envers ses alliés[56],[58]. Sa démission devait être effective le [59] mais Patrick M. Shanahan le remplace par intérim dès le 1er janvier[60].

Il se montre par la suite ouvertement critique des décisions prises par le locataire de la Maison-Blanche. Commentant sa gestion des manifestations de mai et juin 2020, il déclare : « De mon vivant, Donald Trump est le premier président qui n’essaie pas de rassembler les Américains, qui ne fait même pas semblant d’essayer. Au lieu de cela, il tente de nous diviser. (...) Nous payons les conséquences de trois années sans adultes aux commandes. » Donald Trump réagit en le qualifiant de « général le plus surestimé du monde » et de « chien fou »[61].

Vues politiques

Mattis pense que l'Iran est la principale menace pour la stabilité du Moyen-Orient, devant Al-Qaïda et l'État islamique. Il avance ainsi : « Je considère l'État islamique comme rien de plus qu'une excuse pour l'Iran pour continuer son méfait. L'Iran n'est pas un ennemi de l'État islamique, ils ont beaucoup à gagner à la tourmente dans la région que l'État islamique crée. Pour ce qui est de l'accord nucléaire avec l'Iran, bien qu'il considère qu'il s'agit d'un accord médiocre, il croit qu'il n'existe actuellement aucun moyen de le déchirer en disant: « Nous allons simplement reconnaître que nous avons un accord imparfait sur le contrôle des armements. Ce que nous avons accompli, c'est une pause nucléaire, et non un arrêt nucléaire »[62]. Mattis soutient que les inspections nucléaires pourraient ne pas empêcher l'Iran de chercher à développer des armes nucléaires, mais que «si rien d'autre, au moins nous aurons de meilleures données de ciblage pour un futur combat »[62]. Il critique le président Barack Obama d'une part, l'estimant naïf quant aux intentions iraniennes, et le Congrès d'autre part, qu'il accuse d'être « à peu près absent » sur les enjeux de cet accord nucléaire[63]. D'après les spéculations de la presse, ce seraient les vues de Mattis sur l'Iran qui auraient constitué le motif de son renvoi par le président Obama[64].

Par ailleurs, Mattis loue l'amitié des alliés américains régionaux tels que la Jordanie et les Émirats arabes unis[65]. En 2012, Mattis a plaidé pour fournir des armes aux rebelles syriens, comme un moyen de lutter contre les forces alliées à l'Iran en Syrie[66].

Lors d'une conférence parrainée par The Heritage Foundation à Washington en 2015, Mattis a déclaré qu'il croyait que l'intention du président russe Vladimir Poutine était de « briser l'OTAN »[67]. Mattis s'est aussi exprimé contre ce qu'il décrit comme étant les politiques expansionnistes ou belliqueuses de la Russie en Syrie, en Ukraine et dans les pays baltes[50]. Mattis pense également que les déclarations conciliatrices de Donald Trump envers la Russie sont mal informées[50].

Comme Michael T. Flynn, Mattis considère qu'au Moyen-Orient la menace principale contre la sécurité des États-Unis émanerait de l'Iran, ce qui inquiète l'éditorialiste Mehdi Hasan qui considère que l'attitude imprudente de Mattis vis-à-vis de l'Iran pourrait déboucher, même involontairement, sur un conflit armé[68].

Dans ses mémoires, il critique les décisions politiques américaines prises lors des conflits irakiens, afghans et syriens. Il conclut : « Nous avons mené des guerres que nous aurions dû éviter, et nous nous sommes à demi engagés dans les guerres que nous devions gagner »[69].

Récompenses et décorations

Militaires

Les décorations, les récompenses et les insignes de James Mattis incluent :

Bronze oak leaf cluster
 ribbon ribbon
ribbon
V
Gold star
Gold star
ribbon
ribbon ribbon ribbon
ribbon ribbon
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
ribbon
ribbon
Bronze star
Silver star
Bronze star
Bronze star
ribbon
ribbon ribbon
 
1re rangée Defense Distinguished Service Medal avec une feuille de chêne Navy Distinguished Service Medal Defense Superior Service Medal
2e rangée Legion of Merit Bronze Star avec "V" Device Meritorious Service Medal avec deux 516" Gold Stars Navy and Marine Corps Achievement Medal
3e rangée Combat Action Ribbon Navy and Marine Corps Presidential Unit Citation Joint Meritorious Unit Award Navy Unit Commendation
4e rangée Meritorious Unit Commendation (Navy et Marine Corps) Marine Corps Expeditionary Medal National Defense Service Medal avec deux 316" bronze stars Southwest Asia Service Medal avec deux 316" bronze stars
5e rangée Afghanistan Campaign Medal avec une 316" bronze star Iraq Campaign Medal avec une 316" bronze star Global War on Terrorism Expeditionary Medal avec 1 316" bronze star Global War on Terrorism Service Medal
6e rangée Humanitarian Service Medal Sea Service Ribbon avec une 316" silver star et deux 316" bronze stars Marine Corps Recruiting Service Ribbon (en) avec une 316" bronze star Médaille de l'armée polonaise en or
7e rangée Médaille du service méritoire de l'OTAN[31] Médaille de l'OTAN pour son service avec l'ISAF[31] Kuwait Liberation Medal (Saudi Arabia) (en) Kuwait Liberation Medal (Kuwait) (en)
Rifle Expert Badge (4th award)[n. 11] Pistol Expert Badge (2d award)[n. 12]

Civils

Les prix civils de James Mattis incluent :

Notes et références

Notes

  1. Citation originale :« ....one of the most urbane and polished men I have known. »
  2. Citation complète originale :« You go into Afghanistan, you got guys who slap women around for five years because they didn't wear a veil. You know, guys like that ain't got no manhood left anyway. So it's a hell of a lot of fun to shoot them. Actually, it's a lot of fun to fight. You know, it's a hell of a hoot. It's fun to shoot some people. I'll be right upfront with you, I like brawling. »
  3. La Task Force 58.
  4. Citation originale : « Whenever you show anger or disgust toward civilians, it's a victory for al-Qaeda and other insurgents. ».
  5. Les poursuites contre Ilario Pantano ont par la suite été abandonnées.
  6. Citation originale :« We are doing it in the Marines ».
  7. Citation originale : « You go into Afghanistan, you got guys who slap women around for five years because they didn't wear a veil. You know, guys like that ain't got no manhood left anyway. So it's a hell of a lot of fun to shoot them. Actually, it's a lot of fun to fight. You know, it's a hell of a hoot. It's fun to shoot some people. I'll be right upfront with you, I like brawling ».
  8. C'est finalement James F. Amos (en) qui est nommé commandant du Corps des Marines le .
  9. Une organisation à but non lucratif de type 501c3.
  10. Cette disposition est imposée par le National Security Act de 1947 ; Mattis est le deuxième secrétaire à la Défense à être exempté de ce délai après le général George Marshall[51].
  11. Voir Marksmanship Badges (United States) (en).
  12. Voir Marksmanship Badges (United States) (en).

Références

  1. a b et c (en) Gretel C. Kovach, « Just don't call him Mad Dog », San Diego Union Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. (en) Max Boot, « The Corps should look to its small-wars past », Armed Forces Journal, (consulté le ).
  3. a b et c (en) « Nominations before the Senate Armed Services Committee, Second Session, 111th Congress », U.S. Government Printing Office (consulté le ).
  4. a b et c Juliette Duclos, « C'est sympa de tirer sur des gens" : Qui est James Mattis, le futur patron du Pentagone sous Donald Trump ? », sur lci.fr, (consulté le ).
  5. (en) « Official website », United States Joint Forces Command.
  6. a et b Reynolds 2005, p. 4–5.
  7. a et b Ricks 2006, p. 313.
  8. a et b (en) John Dickerson, « A Marine General at War », Slate,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. (en) « LtGen James Mattis' Reading List », Small Wars Journal, .
  10. Ricks 2016, p. 317.
  11. Woodward, Bob, 1943- auteur. (trad. de l'anglais), Peur : Trump à la Maison-Blanche, Paris, Seuil, 525 p. (ISBN 978-2-02-141772-2 et 2021417727, OCLC 1077384997, lire en ligne), p. 419
  12. (en) Thomas E. Ricks, « Fiasco », Armed Forces Journal,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. (en) Christopher Cooper, « How a Marine Lost His Command In Race to Baghdad », The Wall Street Journal,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. (en) Oliver North, « Gen. Mattis: The Warrior Monk », Fox News Insider,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. a et b (en) Guardiano, John R., « Breaking the Warrior Code », The American Spectator, .
  16. (en) Gal Perl Finkel, « General Mattis : A warrior diplomat », The Jerusalem Post,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. a et b Ricks 2012, p. 405.
  18. West 2008, p. 245.
  19. Thomas Liabot, « James Mattis, un "enragé" au Pentagone », leJDD.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. (en) Tony Perry, « General Urges Marines To Add A Friendly Wave To Their Arsenal », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Durant 2012, p. 131.
  22. (en) « Top 10 Stories of 2005: Pantano, roads, Olchowski are 10-7 », Star News Online,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. (en) Quinn-Judge, Paul, « Did He Go Too Far? », Time (magazine),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. (en) Phillips, Stone, « Marine charged with murders of Iraqis: Lieutenant claims self-defense in shooting of detainees », MSNBC,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. (en) Jeff Schogol, « Marine acquitted in Iraqi shootings will publish a book », Stars and Stripes (newspaper),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. (en) Walker, Mark, « Pantano case has parallels to Hamdania incident », North County Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. (en) Charen, Mona, « Is the Marine Corps P.C.? », townhall.com, (consulté le ).
  28. (en) Cooper, Christopher, « How a Marine Lost His Command In Race to Baghdad », Wall Street Journal, (consulté le ).
  29. Philippe Gélie, « James Mattis, un "chien enragé" au Pentagone », Le Figaro,‎ samedi 3 / dimanche 4 décembre 2016,, p. 9 (lire en ligne).
  30. (en) Christian Lowe, « Popular commander to lead I MEF », Marine Corps Times,‎ , p. 24.
  31. a b et c (en) « French general assumes command of Allied Command Transformation », USS George Washington (CVN-73), NATO, (consulté le ).
  32. (en) Anne Gearan, « Gates announces nomination of Amos for CMC », Marine Corps Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. (en) Gina Cavallaro, « Pentagon picks Mattis to take over CENTCOM », Marine Corps Times, (consulté le ).
  34. (en) « Obama backs Mattis nomination for CENTCOM » [archive du ], Marine Corps Times, (consulté le ).
  35. (en) « Petraeus' replacement at Central Command confirmed », The Fayetteville Observer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. (en) « Mattis takes over Central Command, vows to work with Mideast allies in Afghanistan, Iraq », Fox News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. (en) Robbyn Mitchell, « Mattis takes over as CentCom chief », Tampa Bay Times, (consulté le ), p. 1.
  38. (en) « Mattis assumes command of CENTCOM », U.S. Central Command, (consulté le ).
  39. (en) Michaels Jim, « Mattis interview : Syria would fall without Iran's help », USA Today,‎ (lire en ligne).
  40. Panetta et Newton 2015.
  41. a b et c (en) « About General James Mattis », FWA Consultants (consulté le ).
  42. (en) « General Jim Mattis, Annenberg Distinguished Visiting Fellow », Hoover Institute (consulté le ).
  43. (en) « General Jim Mattis », Hoover Institution (consulté le ).
  44. (en) « A singular board at Theranos », Fortune, (consulté le ).
  45. (en) Carolyn Y. Johnson, « E-mails reveal concerns about Theranos's FDA compliance date back years », The Washington Post, (consulté le ).
  46. (en) Christopher Weaver, John Carreyrou et Michael Siconolfi, « Theranos Is Subject of Criminal Probe by U.S. », Wall Street Journal,‎ (ISSN 0099-9660, lire en ligne).
  47. (en) James Mattis, « Why I’m Joining Spirit of America », Spirit of America (consulté le ).
  48. (en) Jim Mattis et Kori Schake, Warriors and Citizens : American Views of Our Military, Stanford, California, Hoover Institution, , 360 p. (ISBN 978-0-8179-1934-4, lire en ligne).
  49. (en) Bill Chappell, « Trump Picks Gen. James Mattis As His Defense Secretary », sur National Public Radio, (consulté le ).
  50. a b et c (en) Michael R. Gordon et Eric Schmitt, « James Mattis, Outspoken Retired Marine, Is Trump’s Choice as Defense Secretary », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. (en) Dan Lamothe, « Trump has chosen retired Marine Gen. James Mattis for secretary of defense », Washington Post,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. « Le Sénat américain confirme le général Mattis comme secrétaire à la Défense », sur Radio-Canada, (consulté le ).
  53. a b et c « En visite à Kaboul, le Pentagone et l’OTAN réaffirment leur engagement en Afghanistan », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  54. « Le tir de roquettes sur Kaboul revendiqué par Daesh — Afghanistan », sur topactu.net, (consulté le ).
  55. Gilles Paris et Allan Kaval, « Etats-Unis : Donald Trump annonce le retrait militaire américain de Syrie », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  56. a et b Le secrétaire à la défense américain Mattis démissionne, en désaccord avec le retrait militaire de Syrie, Le Monde avec AFP, 21 décembre 2018.
  57. Gilles Paris, « Aux Etats-Unis, la surprise et le choc après la démission du secrétaire à la défense James Mattis », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  58. Philippe Gélie, « En désaccord avec Trump, le général Mattis démissionne du Pentagone », sur Le Figaro, (consulté le )
  59. (en) David Welna, « Pentagon Confirms Mattis Resigns Effective Feb. 28 », sur npr.org, (consulté le )
  60. Reuters, « Donald Trump nomme Patrick Shanahan chef par intérim du Pentagone », sur lemonde.fr, (consulté le )
  61. Le Figaro avec AFP, « Jim Mattis, l'ex-ministre de la Défense, accuse Donald Trump de «diviser» l'Amérique », sur Le Figaro.fr,
  62. a et b (en) Jamie McIntyre, « Mattis: Iran is the biggest threat to Mideast peace », Washington Examiner,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. (en) Leo Shane III, « General Mattis wants Iran to be a top focus for the next president (whoever it is) », Military Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  64. (en) Daniel Halper, « Obama Fires Top General Without Even a Phone Call », Weekly Standard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. (en) Hope Hodge Seck, « Mattis: 'I Don't Understand' Speculation about Presidential Run », military.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  66. (en) Spencer Ackerman, « Military’s Mideast Chief Sounds Ready to Aid Syria’s Rebels », Wired,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  67. (en) « General stating Russian aggression in Ukraine "much more severe" than U.S. treats it may become Defense Secretary », sur UNIAN, (consulté le ).
  68. (en) Mehdi Hasan, « Trump’s “Moderate” Defense Secretary Has Already Brought Us to the Brink of War », sur The Intercept, .
  69. Nathalie Guibert, Trump et la Syrie : une sérieuse crise de la relation politico-militaire, Le Monde, 24 octobre 2019.
  70. (en) « Convocation Will Honor Marine General James Mattis », Washington College (consulté le ).

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Articles

Ouvrages

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes

Read other articles:

Coordenadas: 45° 7' N 8° 48' E Lomello    Comuna   Localização LomelloLocalização de Lomello na Itália Coordenadas 45° 7' N 8° 48' E Região Lombardia Província Pavia Características geográficas Área total 22 km² População total 2 377 hab. Densidade 108 hab./km² Altitude 96 m Outros dados Comunas limítrofes Ferrera Erbognone, Galliavola, Mede, Ottobiano, San Giorgio di Lomellina, Semiana, Velezzo Lomellina, Villa Biscos...

Halaman ini berisi artikel tentang tokoh. Untuk the USNS General Hoyt S. Vandenberg, lihat USS General Harry Taylor (AP-145). Hoyt VandenbergKetua Staf Angkatan UdaraMasa jabatan30 April 1948 – 29 Juni 1953PresidenHarry TrumanDwight EisenhowerWakilMuir S. FairchildNathan F. TwiningPendahuluCarl SpaatzPenggantiNathan TwiningWakil Ketua Staf Angkatan UdaraMasa jabatan1 Oktober 1947 – 30 April 1948PresidenHarry TrumanPendahuluJabatan dibentukPenggantiMuir S. FairchildDirekt...

Sierra de Castelltallat Localización geográficaCordillera Montañas de la provincia de BarcelonaCoordenadas 41°48′19″N 1°39′35″E / 41.805201, 1.659856Localización administrativaPaís España EspañaDivisión BagesLocalización Sant Mateu de Bages, Pinós, La Molsosa, Sant Pere Sallavinera Cataluña CataluñaCaracterísticas generalesTipo CalizaAltitud 936,0 mMapa de localización Sierra de Castelltallat Ubicación en España. [editar datos en Wikida...

Дідьє Маруаніфр. Didier Marouani Основна інформаціяДата народження 14 липня 1953(1953-07-14)[1][2] (70 років)Місце народження МонакоРоки активності 1970 — тепер. часГромадянство ФранціяПрофесії композитор, клавішникІнструменти синтезатор, фортепіано, keytard і вокодерЖанр...

Kalksteinrelief der Wiener Neustädter Judensau (Judenspott) aus dem 15. Jahrhundert. Dargestellt sind Juden, die aus den Zitzen einer Sau trinken, ein verhöhnendes judenfeindliches Motiv. Die Geschichte der Juden in Wiener Neustadt beginnt mit ihrer ersten urkundlichen Erwähnung im Jahre 1239. Schon am Beginn des 13. Jahrhunderts bestand in der „Neustadt“ eine Gemeinde, sie war neben Wien einer der ältesten und ein Zentrum jüdischer Bedeutsamkeit in Österreich. Nach der Vertreibung ...

2013 song by Linked Horizon Guren no YumiyaCover for the three-track single Jiyū e no Shingeki, within which the song was releasedSingle by Linked HorizonLanguageJapaneseGermanA-sideJiyū no Tsubasa (double A-side, part of Jiyū e no Shingeki three-track single)B-sideMoshi Kono Kabe no Naka ga Ikken no Ie da to ShitaraReleased10 July 2013Recorded2013Length5:17LabelPony CanyonComposer(s)RevoLyricist(s)RevoProducer(s)RevoTrack listingTrack list A-side Guren no Yumiya Jiyū no Tsubasa B-side Mo...

This article has multiple issues. Please help improve it or discuss these issues on the talk page. (Learn how and when to remove these template messages) This article relies excessively on references to primary sources. Please improve this article by adding secondary or tertiary sources. Find sources: Time's List of the 10 Best Graphic Novels – news · newspapers · books · scholar · JSTOR (May 2020) (Learn how and when to remove this template message) T...

Ukrainian government ministry Ministry for Veterans AffairsUkrainian: Міністерство з питань ветеранівDepartment overviewFormed22 November 2018[1]JurisdictionGovernment of UkraineHeadquartersKyiv, UkraineMinister responsibleYulia Laputina[2]Websitemva.gov.ua The Ministry for Veterans Affairs (Ukrainian: Міністерство з питань ветеранів) is a government ministry in Ukraine. The ministry was officially established on 22 Novem...

American neurologist and epidemiologist This article is an orphan, as no other articles link to it. Please introduce links to this page from related articles; try the Find link tool for suggestions. (March 2021) Tatjana RundekBornZagreb, CroatiaAcademic backgroundEducationMS, Columbia University PhD, Ludwig Maximilian University of Munich MD, School of Medicine, University of ZagrebAcademic workInstitutionsLeonard M. Miller School of Medicine Columbia University Tatjana Rundek is an American ...

Artikel ini tidak memiliki referensi atau sumber tepercaya sehingga isinya tidak bisa dipastikan. Tolong bantu perbaiki artikel ini dengan menambahkan referensi yang layak. Tulisan tanpa sumber dapat dipertanyakan dan dihapus sewaktu-waktu.Cari sumber: SMK Negeri 2 Surakarta – berita · surat kabar · buku · cendekiawan · JSTORSMK Negeri 2 SurakartaInformasiDidirikan1 Juli 1952JenisNegeriNomor Pokok Sekolah Nasional321036105001MotoBisa Kerja, Bisa Kuliah...

Teluk Lalong terletak di pusat kota Luwuk, Kabupaten Banggai, Sulawesi Tengah. Memiliki luas ±700-850 m.[1] Merupakan tempat berlabuhnya kapal dari beberapa Kabupaten hingga Provinsi.[2] Tempat bersantai untuk kalangan muda hingga dewasa pada sore hingga malam hari. Disekitar teluk berjejer kafe-kafe yang menjual makanan ringan hingga makanan berat.[3] Terdapat RTH (Ruang Terbuka Hijau) yang di bangun oleh pemerintah setempat sekitar tahun 2016. Catatan kaki ^ Sabhan,...

منافسة إيه سي ميلان ويوفنتوس الموقع إيطاليا (شمال إيطاليا)الفرق المتنافسة إيه سي ميلان يوفنتوسأول لقاءيوفنتوس 2–3 إيه سي ميلان (الدوري الإيطالي 1901) (28 أبريل 1901)عدد المواجهاتالرسمية: 235 الودية: 58 المجموع: 293الأكثر فوزاالرسمية: يوفنتوس (92) الودية: إيه سي ميلان (27) المجموع: يوف�...

Shahi QilaPart of Forts in IndiaJaunpur, Uttar Pradesh,  India Inner gate of the Shahi Qila, JaunpurShahi QilaLocation in Jaunpur, Uttar Pradesh, IndiaShow map of Uttar PradeshShahi QilaShahi Qila (India)Show map of IndiaCoordinates25°44′59″N 82°41′19″E / 25.749619°N 82.688506°E / 25.749619; 82.688506TypeRiver side fortSite informationOwnerGovernment of IndiaControlled byTughlak's Lodi dynasty Mughal emperors Humayun and Akbar  India (1947-Pr...

Direktorat JenderalKekuatan Pertahanan Kementerian Pertahanan Republik IndonesiaSusunan organisasiDirektur JenderalBambang IrwantoSitus webkuathan.kemhan.go.id Direktorat Jenderal Kekuatan Pertahanan biasa disingkat Ditjen Kuathan adalah unit eselon I di bawah Kementerian Pertahanan. Tugas dan Fungsi Direktorat Jenderal Kekuatan Pertahanan memiliki tugas menyelenggarakan perumusan kebijakan umum dan kebijakan pelaksanaan, serta menyelenggarakan pembinaan kekuatan komponen kekuatan pertah...

Cet article est une ébauche concernant le cricket et les Bermudes. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Équipe des Bermudes de cricketPrésentationType Équipe nationale (en)LocalisationLocalisation  Bermudesmodifier - modifier le code - modifier Wikidata Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus. Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 202...

Pour les articles homonymes, voir Astérix (homonymie).   Liste des listes de jeux vidéo  La liste de jeux vidéo Astérix répertorie les jeux vidéo basés sur la franchise Astérix, personnage principal de la série de bande dessinée éponyme. Liste de jeux 1983 : Astérix sur Atari 2600[1] 1983 : Obélix sur Atari 2600[2] 1986 : Astérix et la Potion magique sur Amstrad CPC, Amstrad PC-1512, PC et Thomson[3] 1986 : Astérix and the Magic Cauldron sur...

Newhaven Tunnel was a railway tunnel located on the Cromford and High Peak Railway near the village of Newhaven in Derbyshire. Mostly used for moving mineral and quarry traffic. It closed in 1967 along with the rest of the line. And today, the tunnel and trackbed form part of the High Peak Trail.[1][2] References ^ The Newhaven Tunnel on The Cromford and High Peak Railway. Picture the Past. ^ Newhaven Tunnel - Parsley Hay, UK - Abandoned Train Tunnels on Waymarking.com. www.wa...

Football stadium in Oxford, United Kingdom This article needs additional citations for verification. Please help improve this article by adding citations to reliable sources. Unsourced material may be challenged and removed.Find sources: Kassam Stadium – news · newspapers · books · scholar · JSTOR (December 2019) (Learn how and when to remove this template message) Kassam StadiumFull nameKassam StadiumLocationGrenoble Road, Littlemore, Oxford, England,...

Species of grass Koeleria delavignei Scientific classification Kingdom: Plantae Clade: Tracheophytes Clade: Angiosperms Clade: Monocots Clade: Commelinids Order: Poales Family: Poaceae Subfamily: Pooideae Genus: Koeleria Species: K. delavignei Binomial name Koeleria delavigneiCzern. ex Domin Koeleria delavignei is a species of grass in the family Poaceae.[1] Its native range is Eastern Europe to Siberia.[1] References ^ a b Koeleria delavignei Czern. ex Domin | Plants of ...

American screenwriter Kay AldenAlden (left) with daughter, Conci NelsonBornPriscilla Kay Alden (1946-10-24) October 24, 1946 (age 77)Hutchinson, Kansas, USOccupationScreenwriterYears active1974–presentChildren3 Priscilla Kay Alden (born October 24, 1946) is an American television writer and the former head writer for the soap opera, The Young and the Restless. Career Alden began writing for The Young and the Restless as a script writer in 1974 while researching her dissertation at...