Cette page dresse l'ensemble des armoiries (figures et blasonnements) connues des communes du département français du Jura en disposant à ce jour. Les blasons héraldiquement fautifs (armes à enquerre) sont également inclus, mais les pseudo-blasons (gribouillages de comptoir dessinés par des amateurs, au mépris de toutes les règles de composition héraldique) sont volontairement exclus. Les villes concernées sont mentionnées là où elles devraient apparaitre, avec la mention "Ville X porte un pseudo-blason".
Coupé : au 1er d'azur semé de billettes d'or à un lion issant couronné du même, armé et lampassé de gueules, au 2d de sinople à un épi de blé d'or, la tige mouvant d'une divise ondée d'azur* en pointe[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur sinople). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à l'arc couché, bandé et encoché d'une flèche d'or, soutenu d'un croissant d'argent.
Détails
Blasonnement adopté par délibération du conseil municipal de la commune nouvelle d'Arinthod en date du 7 mars 2023. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé: au 1er mi-coupé d'azur semé de billettes d'or au lion couronné du même, armé et lampassé de gueules, au 2e parti au I de gueules à la façade de l'église du lieu d'argent maçonnée de sable, au II d'argent à trois fasces ondées d'azur, de largeurs différentes et décroissant du chef vers la pointe; à la divise d'argent chargée de l'inscription de sable « BAVERANS » en lettres capitales de sable, brochant sur la partition[5].
Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople à la fontaine d'or jaillissant d'argent, au 2e d'argent à la roue de sainte Catherine de gueules amputée d'un quart en chef-senestre, au 3e d'azur au cerf passant d'or accompagné en pointe d'une divise ondée d'argent[6].
D'argent à un phénix de sinople sur son immortalité de gueules, chapé ployé du même ; à dextre à la bande d'or chargée d'un sautoir du troisième, à senestre à la croix latine ancrée, ajourée en losange et anglée de quatre clous, chaque bras pommeté d'une pièce, le tout d'or.
Détails
La chape dextre est aux armes des Laborey, seigneurs du lieu au XVIIe siècle. La chape senestre évoque le hameau de Saint-Vivant. Le phénix symbolise l'union entre Biarne et Saint-Vivant. Création de Nicolas Vernot, adoptée le 28 mars 2014.
Écartelé : au 1er d'azur à une lame de scie circulaire d'or chargée d'un rabot contourné du champ, au 2d d'or à un sapin de sinople, au 3e d'or à un clocher couvert à l'impériale de sinople ajouré du champ, au 4e d'azur au skieur de fond d'or.
Parti coupé ondé : au 1er d'azur à un cerf passant d'or, au 2e de gueules au chevron d'argent, au 3e de gueules à un héron d'argent, becqué et membré d'or, au 4e d'azur à un lion d'hermine[8].
D'azur au château fort d'argent érigé sur un mont au naturel, au chef cousu* de gueules chargé d'un agneau passant aussi d'argent.
Devise
'Paissez mes agneaux'
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé de Franche-Comté et de gueules à la branche de chêne de sinople, englantée de trois pièces d'argent et posée en fasce; à la divise du même chargée de l'inscription « Champvans » de sable brochant sur la partition[4].
Détails
À moins qu'il ne s'agisse des couleurs naturelles d'une branche de chêne (auquel cas il faut la blasonner "au naturel), ce blason est fautif. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé ondé : au 1er d'azur semé de billettes d'or à un lion issant du même, au 2d parti au I de gueules à un pion d'échiquier d'argent et au II d'argent à un sapin arraché de sinople fûté de tenné[11]
Détails
Création Jean-François Binon.. Utilisée sur les documents de la mairie.
Écartelé : au 1er d’azur à la lettre capitale N d’or surmontée d’une étoile rayonnante du même, au 2d d’azur à la bande d’or, au 3e de gueules au huchet d’argent, au 4e d’or plain.
Détails
Ancien blason utilisé sur des cates postales dans les années 0950/60. Jamais officialisé
Taillé d'or à un sapin de sinople, et d'azur au château d'argent.
Détails
Conflit héraldique : le blasonnement annonce "un château d'argent" ; le dessin présente un château maçonné et ouvert de sable. Adopté le 23 janvier 1998.
Parti: au 1er coupé au I d'azur semé de billettes d'or et au lion couronné du même, au II de gueules au didelta de sinople et à la sultane voilée d'azur mouvant de la pointe et brochant sur le tout, au 2e de sable à la tour d'argent maçonnée ouverte et ajourée du champ[12].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople et azur sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti de deux traits, coupé d'un ondé d'une pièce vers le chef entre deux vers la pointe, de gueules et d'argent, le gueules chargé aux 1er et 3e d'une colonne toscane d'or et au 5e d'un calvaire du lieu légèrement patté, doté d'une niche à la croisure, le fut mouvant d'un dé trapézoïdal, lui même posé sur une meule aussi d'or; l'argent chargé d'une feuille de châtaignier de sinople, posée en pal au 2e, en bande au 4e et en barre au 6e[13].
Devise
Stant in adversis (« Elles se tiennent droites dans l'adversité »)[Note 1]
D'azur au croissant abaissé d'argent, les pointes terminées à dextre par un cheval ailé contourné et issant et à senestre par un dragon issant, le tout du même, au mont de trois coupeaux d'or sommé d'une tour du même ouverte du champ, l'ouverture haute chargée d'un gril d'or, la poignée en haut, à la fleur d'orchidée de pourpre brochant sur le tout en pointe[15].
Détails
Blason composé par Nicolas Vernot et adopté par la commune, maintenant intégrée à Arinthod.
D’azur au pont droit de trois arches d’argent mouvant des flancs, posé sur une jumelle du même dont la première pièce est ondée, surmonté d’une étoile de six rais d’or anglée de six queues de comète caudées de trois pièces du même, ployées et dextrogyres.
De gueules à une clef d'or ; au chef cousu d'azur à trois étoiles d'argent.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople au portail de la chapelle du lieu pignonné, flanqué de deux contreforts, ajouré d'un oculus du champ, au clocheton croiseté sommé d'un coq, le tout d'argent ; adextré d'un épi de maïs, senestré d'un épi de blé et soutenu d'un gland renversé tous trois tigés et feuillés d'or ; au chef ondé de Franche-Comté soutenu d'une divise ondée d'argent et adextré d'une fleur de lis d'or brochante et mouvant du flanc [16].
Détails
Création de Nicolas Vernot et Michel Prudent, adoptée le 5 février 2009.
D'azur à la croix de Lorraine fleuronnée d'argent mouvant d’un croissant du même ; enlacée d'un cep de vigne du même fruité de gueules, accosté de deux épis de blé du second, le tout mouvant du pied de la croix[4].
Parti de Franche-Comté et d'un coupé de Sinople à la fontaine du lieu d’argent, et de gueules à la pierre de taille d’argent, travaillée d’un burin de sable frappé d’un marteau aussi d’argent emmanché aussi de sable, le burin tenu par une senestre naissante, le maillet, par une dextre mouvant du flanc senestre, toutes deux aussi d’argent.
Détails
Le coupé rappelle le marbre de Damparis, qui fut utilisé pour de multiples constructions et ouvrages, ainsi que des rénovations d'ouvrages dans Paris. L'usage du sable dans le coupé est discutable : théoriquement interdit sur un champ de gueules, il reste cependant suffisamment limité pour ne pas causer d'enquerre. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à l'aigle au vol abaissé d'argent surmontée d'un lambel d'or[18],[19].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Écartelé, au premier d'azur à la lettre capitale N surmontée d'un soleil, le tout d'or, au deuxième aussi d'azur à la bande d'or, au troisième de gueules au cor de chasse d'or, au quatrième d'or plain[17].
De gueules aux deux clefs d'argent passées en sautoir.
De gueules à la barre cousue d’azur* chargée de trois tours droites d’or ouvertes et ajourées du champ posées à plomb, accompagnée en chef de deux grappes de raisin d’or et de sable*, celle d’or brochant en partie à dextre sur celles de sable*, et en pointe d’une usine aussi d’or.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D’argent à deux filets écotés de sinople passés en sautoir, cantonnés en chef d’une vouivre au vol de dragon éployé de gueules, ayant pour unique œil une escarboucle de même rayonnante d’or reliée à sa tête par un appendice de gueules ; aux flancs, de deux filets écotés passés en sautoir écotés et cantonnés en chef, à senestre et en pointe de trois feuilles, leur pétiole mouvant de la pointe de leur quartier, le tout de sinople ; à senestre, aussi d’un filet en bande brochant sur un filet en barre, écotés et cantonnés en chef, à dextre et en pointe de trois feuilles, leur pétiole mouvant de la pointe de leur quartier, le tout de sinople ; en pointe, d’un fanum octogonal de gueules ouvert et ajouré d’or, sur un mont de sinople mouvant de la pointe[4].
Détails
Conflit héraldique : le dessin ne montre pas le "filet en bande" et le "filet en barre". Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au dextrochère habillé, posé en pal, la main bénissante, le tout d'argent, accompagné à dextre d'une feuille de chêne d'or et à senestre d'une cruche à anse du même[9].
De gueules à la croix fleuronnée d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois cœurs d'or.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé : au 1er d'azur semé de billettes d'or, à un rencontre de vache du même, au 2d parti au I de gueules à trois meules de fromage (comté) d'or, au II d'or à un fayard (hêtre) de sinople sur un mont du même[20].
Devise
Fay ne t'y frotte
Détails
Le premier est aux armes de la Franche-Comté où le lion a été remplacé par un rencontre de bœuf afin d'évoquer l'activité du village centrée sur l'élevage bovin. Les trois meules rappellent la fabrication du comté au sein de la fruitière du village. Le fayard sur un mont est une allusion au nom de la commune.
Armes parlantes. Adopté le .
Parti: au 1er d'argent au chêne arraché de sable; au 2e d'or à la fontaine d'or jaillissant d'argent; le tout au chef d'azur semé de billettes d'or au lion couronné issant du même, armé et lampassé de gueules[21]
De sinople à la barre ondée d’argent chargée d’une roue de moulin de gueules posée à plomb, accompagnée d’un soleil d’or en chef et d’une enclume du même en pointe.
D'or au cerf passant sur une terrasse isolée parsemée de touffes d'herbe sèche, le tout au naturel, au chef d'azur à quatre marteaux d'argent affrontés et passés en sautoir deux à deux.
Détails
Les marteaux évoquent les célèbres forges de Fraisans et le cerf s'inspire des armes d'une ancienne famille locale portant le nom de Fraisans. Adopté le 28 janvier 2010.
Divisé en chevron : au 1er de gueules chargé à dextre d'un soleil d'or et à senestre d'une cloche du même, au 2d du même au casque de centurion romain au naturel* soutenu de deux flèches de gueules, ferrées d'argent*, posées en fasce l'une au-dessus de l'autre, la première contournée ; au chevron d'argent bordé crénelé d'azur en chef, brochant sur la partition.
Détails
Tel que décrit ci-dessus, le heaume romain peut être teint soit d'argent, soit d'acier. On cherchera à privilégier l'acier pour éviter une enquerre. Pour les flèches cependant, le blasonnement d'argent constituerait une faute.
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (chevron d'argent sur champ d'or, bordé en chef au lieu d'en pointe). Création de Romain Bey, adoptée le 16 décembre 2014.
Écartelé, le trait du coupé ondé : au 1er d'azur à un monoplan contourné en vol d'or, au 2e de sinople à une tour masurée d'argent, ouverte et ajouré du champ, maçonnée de sable, au 3e de sinople à une gerbe de blé d'or liée de gueules, au 4e d'azur à un héron cendré d'argent, becqué et membré d'or, accompagné en pointe d'un roseau à massette d'or[22]
Détails
.
Différences entre dessin et blasonnement : Il est dit "un roseau à massette" mais le dessin en présente trois. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De pourpre semé de grappes de raisin d'argent, au lion couronné d'or armé et lampassé de gueules brochant, soutenu du château du lieu d'argent essoré de tenné ; à la filière de sinople[4].
Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à la fleur de saxifrage [Saxifraga giziana] au naturel, au 2e d'or au hibou grand-duc de gueules, au 3e d'azur à la truite d'argent[23].
Détails
Le 1er représente la fleur de Saxifraga giziana, espèce endémique protégée, sur un champ de sinople représentant l’agriculture. Le 2e évoque la présence du hibou grand-duc sur la commune. Enfin, la truite représente la rivière Gizia, prenant sa source dans la commune. Armoiries composées par Jean-François Binon et adoptées le .
Tranché d'azur à l'arbre au naturel soutenu d'un vol d'or, et du même au cerf passant au naturel ; à la bande de sable chargée de deux fois isolées d'argent, brochant sur la partition.
Détails
Création de Messieurs Charlie Escarbelt, Julien Manna, Cyril Piroux et Frédéric Luz, adoptée le 12 décembre 2008.
Coupé ondé : au 1er d'azur semé de billettes d'or à un lion issant, couronné d'or, armé et lampassé de gueules, au 2d de sinople à deux clés d'argent passées en sautoir et à une volute de crosse de gueules brochant sur les clés[24].
D'azur au sapin arraché d'argent dont le tronc est une épée pommetée sans garde du même, au chef cousu de gueules* chargé d'une fleur de souci d'or.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'azur semé de billettes d'or, à un lion du même brochant, au 2e d'argent à une grappe de raisin feuillée de sinople et tigée de tenné, au 3e de gueules à une volute de crosse d'or[28].
Détails
Armes parlantes.
(vigne) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Taillé abaissé à senestre, haussé à dextre ; d’argent à l’ombre d’une montagne de sinople chargée de sapins du même en nombre, et d’azur à la cascade d’argent coulant d’un rocher isolé de sable[4].
Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à la gerbe de blé d'or liée de gueules, au 2e d'or au gril de gueules posé en pal, la poignée en bas, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent.
D’or à une potence de sinople à dextre, à laquelle est appendu un chaudron de tenné surchargé d’un bourg d’argent, à deux sapins de sinople mouvant du flanc senestre et brochant l’un sur l’autre[4].
Parti d'azur et de gueules, au coq de clocher du lieu d'argent, barbé et crêté de gueules, son axe issant d'un soleil non figuré d'or mouvant de la pointe, chargé d'un sabot de sable et bordé d'un disque d'argent componé de cinq pièces, le tout brochant sur la partition[35].
Devise
Tenax omnia domet (Celui qui est tenace vient à bout de tout)
Détails
Les couleurs républicaines bleu, blanc & rouge renvoient à Jules Grévy, président de la République de 1879 à 1887, né, mort, et enterré à Mont-sous-Vaudrey. Le coq est celui du clocher locale et symbolise également la communauté villageoise. Le sabot évoque les activités économiques d'autrefois mais est aussi un hommage à Jean Bavilley, qui monta à pied et en sabots à Paris afin de demander la restitution, qu'il obtint, d'une partie des bois communaux que l'ancienne famille seigneuriale Domet s'était appropriée. Le soleil est pour la connaissance et le progrès partagé, qu'ont incarné de nombreux natifs de la commune, comme Léon Guignard. Enfin l'arche d'argent évoque la forme du monument funéraire de Jules Grévy. Création Nicolas Vernot, adoptée en .
Taillé d'or à un viaduc de ??? en perspective, et du même à un sapin de sinople stylisé mouvant du flanc senestre, chargé d'un fer à cheval d'argent versé en bande ; à la barre de ??? chargée de huit besants d'or brochant sur le taillé[36].
Détails
Tel quel, le blason est fautif. Mais les couleurs sont incertaines, et peuvent donc être erronées.
D'argent au cavalier gaulois au naturel, accompagné de trois fleurs de daphné de pourpre boutonnées du champ ; au comble du même chargé de l'inscription « NEY » de sable[4].
D’azur au mont haussé à trois coupeaux unis, le deuxième d’un diamètre double des deux autres et sommé d’une ombre de clocher du lieu ajourée du champ, mouvante de et unie à lui, le tout d’or; le mont chargé d’une croix de calvaire légèrement pattée d’azur, au pied fiché dans une meule de même et chargée d’un filet en croix recroisetée d’argent, le calvaire accosté de deux grappes de raisin d’azur tigées et vrillées de gueules; le clocher accosté de deux lions naissants et adossés, ailés et couronnés d’or, armés et lampassés de gueules[4].
Parti de gueules à l'épée d'argent garnie d'or, aux deux clefs du même passées en sautoir, les pannetons vers l'intérieur, brochant sur la lame de l'épée ; et de sinople à la campenne (cloche) d'or ; à la fasce ondée abaissée d'argent brochant en pointe sur le parti.
Coupé emmanché de deux pièces engrêlées d'azur sur une et deux demies de sinople, au filet sur le trait de partition, d'argent, tréflé de même aux pointes des deux pièces d'azur : au 1er chargé d'une couronne de huit épis de millet d'or, ployés sur leur dextre et adossés, la tige de chaque épi brochant sur celle de l'épi qui le précède, la couronne mouvant de la pointe de sinople, au 2e chargé d'une serpette de vigneron d'argent emmanchée d'or, ayant pour poinçon un flanchis de sable.
Devise
Pax Nobiscum « La paix soit avec nous. »
Détails
Création de Nicolas Vernot, adoptée le 24 mai 2012.
D'azur à une rose d'or accompagnée de trois croissants d'argent.
Détails
L'Armorial de France distingue ce blason (celui de la famille de Patornay) de celui de la ville, qu'elle considère comme un pseudo-blason. Prudence avant d'utiliser ce blason comme source !
Taillé-abaissé à senestre d'or à une grappe de raisin de gueules tigée d'azur, à l'inscription « JURA » du même en chef senestre, et de gueules à deux roues dentées d'or percées d'azur et engrenées en barre, accompagnées en pointe d'une losange d'azur sommée de flammes de sable bordées d'or et au petit listel du même chargé de l'inscription « Per Ignis » de sable, brochant sur la losange ; le tout sommé d'un comble d'azur chargé de l'inscription « PERRIGNY » en lettres capitales d'or[4].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (Losange azur sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à un sapin de sinople enneigé d'argent, au chef de Franche-Comté.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules (écrit d'argent futé de sinople serait non fautif)). Adopté le 19 avril 2002.
De gueules à saint Antoine de carnation vêtu d'argent, senestré d'un cochon du même à ses pieds et accosté en chef des lettres capitales S à dextre et A à senestre d'or ; au chef cousu d'azur* chargé d'un puits d'or maçonné de sable.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules).
Différences entre dessin et blasonnement : l'auréole d'or non précisé. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au pont de trois arches d'argent, les arches remplies du même, maçonné de sable et surmonté au canton senestre du chef d'une étoile du second posée en barre[4].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Barré d'azur et d'or, à deux poissons ployés de sinople l'un au-dessus de l'autre, celui de la pointe contourné et renversé, accompagnés en chef d'un pont droit de quatre arches de gueules, lui-même surmonté de l'inscription "PONT DU NAVOY" de sable[4].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or à la bande d'azur chargée de trois cristaux de neige d'argent, accompagnée en chef d'un coq de bruyère contourné de sable et en pointe d'un sapin de sinople.
De gueules au chevron ondé cousu d'azur*, chargé d'un chevronnel d'argent surchargé d'un étai d'or, le tout accompagné de trois fleurs de lis d'argent, la traverse et les arêtes d'or[4].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules, or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tranché : au 1er de gueules à la tête de cheval coupée et contournée d'argent, au 2e de sinople semé de feuilles de chêne d'argent alternant avec d'autres plus petites et versées du même ; à la cotice d'argent brochant sur la partition.
Taillé-ondé de sinople au viaduc d’or de trois arches et une demie à dextre, le tablier mouvant du chef et les piles mouvant du trait de partition ; et du premier à l’abeille d’argent au trait du second ; à la traverse ondée d’azur soutenue d’un filet ondé d’argent brochant sur la partition ; le tout sommé d’un comble d’or chargé de l’inscription REVIGNY en lettres capitales d’azur et d’une filière du premier.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sinople pour les lettres et trait d'or pour une abeille d'argent.). Création de Marie-Hélène Kaslauskas, adoptée le 2 juin 2008.
Tiercé en pairle renversé: au 1er d'azur semé de billettes d'or au lion couronné du même, armé et lampassé de gueules, au 2e d'argent à l'épée basse d'or posée en bande et supportant un manteau de gueules, au 2e de sinople au chêne d'or[40].
Parti d'un coupé de gueules à la croix alésée d'argent et d'un tiercé en pal d'azur, d'argent et de gueules ; et d'azur à la tête de loup de sable allumée d'argent, surmontée de deux monts du même.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti de sinople à saint Germain évêque de carnation, habillé d'argent, paré d'or, et d'argent au sapin au naturel ; le tout sommé d'un chef d'or chargé de l'inscription de sable « St GERMAIN-en-MONTAGNE » posée en arc de cercle[4].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tranché: au 1er d'azur à l'étoile de huit rais d'argent, au 2e d'or plain au sapin arraché de sinople brochant ; à la cotice d'argent brochant sur le tout.
D’or à deux étais de gueules rangés en fasce, la jambe senestre du premier et la jambe dextre du second passées en sautoir et unis à la croisure, la cime du 1er terminée par une croisette pattée, celle du 2d par une tour ajourée du champ ; la croisure cantonnée aux flancs et pointe de trois flammes du même, et en chef d’un écusson coupé de gueules à la fleur de souci d’or, et d’azur à l’épée d’argent.
Tiercé en pairle renversé: au 1er d'azur semé de billettes d'or et au lion du même brochant, au 2e d'argent à la grappe de raisin pamprée de sinople, au 3e de gueules à l'ermite d'argent vêtu d'or[42].
De gueules à deux filets en fasce abaissée, enserrant cinq filets en bande brochant sur cinq filets en barre, chaque filet d’argent chargé d’un filet de sable, le tout surmonté d’une tour hexagonale non-crénelée d’argent ajourée et couverte de sable, mouvant d’un mur alésé d’argent maçonné de sable, l’édifice accosté de deux branches, à dextre de pommier, à senestre de chêne, fruitées chacune d’une pièce et affrontées, d’or ; en pointe, à une trangle ondée d’argent, surmontée de trois gouttes de même[4].
Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à un cerf passant d'or, au 2e d'argent à un chêne coupé de sinople, fûté de tenné et englanté d'or, au 3e d'azur à un pont droit de deux arches, alésé, d'argent, maçonné de sable et soutenu d'une trangle ondée d'argent[43].
Parti d'or et de sinople, à l'arbre ramé de deux branches, l'une d'érable, l'autre de sapin, passées en sautoir, de l'un en l'autre , soutenant chacune un écureuil assis de gueules, brochant sur la ramure, celui de dextre tenant une pomme de pin d'or, celui de senestre, contourné, tenant une disamare d'or, l'arbre posé sur un mont de trois coupeaux mouvant de la pointe, vidé de l'un en l'autre et sommé d'un chevreuil passant de gueules brochant sur le fût de l'arbre[4].
Taillé: au 1er mi-taillé d'azur semé de billettes d'or, au lion du même brochant, armé et lampassé de gueules, au 2e de gueules à l'épi de blé d'or brochant sur une cornue contournée d'argent[45].
De sinople à saint Christophe d'or issant, d'une bande ondée d'argent abaissée et surchargée d'une bande d'azur ; au franc quartier de gueules chargé d'une tour d'argent[46].
Détails
La tour évoque la première partie du nom de la commune, Saint Christophe est le saint patron de la commune et les ondes représentent l'Ain qui arrose la commune. Création de Jean-François Binon adoptée le 12 novembre 2015.
Parti d'un coupé émanché de gueules et d'argent de deux pièces, et d'azur à la fasce d'or accompagnée en chef d'un croissant cousu* de sable.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople à une grappe de raisin de pourpre ; chaussé d'or; à la roue de moulin d'argent mouvant d'une fasce ondée d'azur brochant sur le tout[4].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (pourpre sur sinople). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople à trois cannes de verrier à l'embouchure de chacune desquelles est fixé un clavelin, le tout d'argent, posées l'une en pal et les deux autres, renversées, en sautoir, toutes trois feuillées de deux pièces sous le manche, celle en pal de chêne, celle en bande de hêtre et celle en barre de charme ; à l’étoile à six rais anglée d'autant de rais flamboyants, le tout d'or liseré de même, brochante en cœur.
Devise
De la matière à la lumière
Détails
Son créateur, Nicolas Vernot, l'explique ainsi : L’étoile à douze branches au centre d’un écu vert symbolise cette clairière lumineuse qui est à l’origine du village et qui en fait aujourd’hui encore toute l’originalité (la Vieille-Loye est un des seuls villages de France à se trouver intégralement dans une clairière). Les feuilles de chêne, de charme et de hêtre figurent les trois essences dominantes. La Vieille-Loye abrite les bâtiments d’une des plus anciennes verreries de France, réputée dans tout le pays et même au-delà pour la qualité de ses produits et notamment ses bouteilles qui permirent, en Franche-Comté, la conservation du vin du Jura. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à la champagne ondée fascée d'argent et d'azur de six pièces, à l'épi de blé d'or mouvant de la champagne, accosté de deux demi-vols adossés d'argent en chef, à l'agneau pascal aussi d'argent tenant de sa patte dextre une bannière du même chargée d'une croisette de sable, la hampe croisée du même en barre, brochant sur le tout.
D’azur à la représentation de la ville d’or à dextre et d’argent à senestre, essorée de gueules, à la champagne crénelée d’or, les merlons coupés d’argent et d’or, les créneaux coupés et remplis du champ et d’argent, le champagne chargée de l’inscription « VINI CELLA » de sable[4].
↑Nicolas Vernot, héraldiste à l'origine du blason et de sa devise, explique cette dernière comme suit : « La devise se réfère aux colonnes et signifie: « elles se tiennent droites dans l'adversité ». Elle rappelle le courage du docteur Girod et des habitants du village lors des épreuves des siècles passés (guerres, destructions, épidémies…), tout en constituant un écho à la devise de la Franche-Comté : « Comtois rends-toi, nenni ma foi ! ». »
↑Blasonnement hypothétique, car uniquement visible sur des images de mauvaise qualité et blason fleuri devant la mairie de la commune (cf. références sur la page Commons du fichier).