Cet armorial peut être amélioré car il comporte les défauts suivants :
il comporte peu ou pas de sources.
il reste des blasons à dessiner dans cet armorial.
certaines figures sont encore dans un format bitmap et doivent être vectorisées.
certaines figures ne sont pas accompagnées de leur blasonnement.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations du Projet Blasons.
Blason officiel du Territoire de Belfort : D'azur à trois jumelles d'or, à une tour crenelée et couverte du même ouverte et ajourée du champ, maçonnée de sable et sommée d'une bannière du second, brochant sur le tout.
Cette page dresse l'ensemble des armoiries (figures et blasonnements) des 102 communes du Territoire de Belfort disposant à ce jour d'un blason connu. Les communes dotées d'armes à enquerre (dont le blason ne respecte pas la Règle d'alternance émail/métal) sont maintenues dans cet armorial, mais celles dotées d'un pseudo-blason (dessin d'amateur ressemblant vaguement à un blason, mais ne respectant aucune règle de construction héraldique de base) et celles dépourvues d'un blason, en sont volontairement exclues. Leur statut est mentionné à la fin de la section correspondant à leur initiale.
D'argent à un tau d'azur, à la bordure de gueules.
Détails
Le tau évoque Saint Antoine. Les membres de l'Ordre de Saint Antoine portaient un habit noir sur lequel était cousu un large tau bleu. L'héraldique interdisant la superposition bleu/noir, le noir fut remplacé par l'argent. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la fasce d'or accompagnée de trois coquilles du même.
Détails
Différences entre dessin et blasonnement : La commune porte des coquilles d'or et une fasce ondée (ci-contre), alors que le blasonnement original indique des coquilles d'argent sur une fasce droite standard. Aucune référence concernant la modification faite par la commune. Armes attribuées en par D'HOZIER sous Louis XIV, mais les coquilles y étaient d'argent. La date de la transition argent→or est inconnue.
La commune est née le de la fusion des villes d'Eschène-Autrage et de Rechotte, qui portaient les deux armes ci-contre. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'or à trois bandes de gueules, et de sable au lion d'argent couronné du premier, armé et lampassé du second[3].
Détails
"Le lion représente la force, la confiance et la foi; les trois bandes sont l’emblème de la noblesse, de la richesse et du bon vouloir. Ces armes sont celles des sires d’Auxelles, de la Seigneurie de Faucogney aux XIIIe et XVIe siècles, puis des comtes de Ferrette seigneurs d’Auxelles." Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois barres échiquetées à plomb d'or et de gueules[5].
Détails
Les armes à dextre sont celles de la famille de BREITLANDENBERG, celles à senestre de la famille de ROPPACH (ROPPE). La dernière descendante de la famille du premier ayant épousé un membre de celle du second en . Armoiries proposées par la Commission Nationale d'Héraldique le , et adoptées le .
D'azur à la barre de gueules*, au lion d'or surmonté de l'inscription BAVILLIERS en lettres capitales d'argent et soutenu d'une fleur de lis du même, tous enfermé dans une filière de gueules et l'ensemble brochant sur le tout [7].
Écartelé : au 1er parti d'or à trois demi-ramures de cerf de sable, et de gueules à deux bars adossés d'or ; au 2d parti de sable et d'or, au 3e d'argent à la croix d'azur cantonnée de quatre échiquetés* de trois tires d'azur et d'argent, au quatrième de sinople à la roue d'or[8].
D’azur à la tour crénelée et couverte d’or, ajourée et ouverte du champ, maçonnée de sable et girouettée d’argent, accostée des lettres B à dextre et F à senestre capitales aussi d'or.
D'argent au pal d'azur chargé de trois cailloux d'or.
Détails
L'argent symbolise la rivière du lieu. L'azur la vertu de justice. Les trois cailloux (autrefois besants ?) évoquent l'Histoire qui opposa au 18e siècle les paroissiens du lieu à leur curé. Un procès dura 30 ans, qui fût finalement gagné par les paroissiens. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à trois croissants d'argent, au chef cousu de sinople.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : Les chefs sont tout autant soumis à la Règle d'alternance émail/métal que le reste des éléments d'un écu. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Les armes sont identiques à la commune voisine de La Chapelle-sous-Chaux, ce qui laisse supposer un passé féodal commun. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
La commune utilise une version accompagnée de l'inscription "CHAVANATTE" en fasce et d'une fleur de lys d'or (en hommage au retour du lieu à la France à la suite de la guerre de Trente Ans en pointe, toutes deux d'or. Mais rien ne source ces éléments. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois besants ovales d'argent, ceux du chef posés en chevron renversé, celui de la pointe couché; au chef du même chargé de deux fleurs de lis d'or* ; le tout enfermé dans une bordure réduite d'argent[11].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Ecartelé : au premier et au quatrième de gueules plain, au deuxième d'argent à la branche de cornouiller tigée et feuillée de sinople, fruitée de gueules, en bande, au troisième d'argent au brin de sarriette de sinople fleuri de gueules en bande ; sur le tout de sinople au lièvre en forme d'argent[13].
Détails
Armes parlantes (Le radical CUNEL pourrait venir de CUNICULUS, lapin, d'où l'on aurait fait CUNICULARIERAE, CUNELIERES). Officiel.
D'or à deux loups d'azur passant l'un sur l'autre.
Détails
Les armes de Danjoutin datent, comme d'autres, de Louis XIV : devant préparer en plein hiver le siège d'une zone acquise aux frondeurs, les habitants de Danjoutin ont aidé les soldats de l'armée royale à saper la zone, "à pas de loup"... Armoiries concédées par le roi Louis XIV, par lettres patentes de .
D'or à une touffe de joncs de sinople mouvant de la pointe.
Détails
La commune, suivie à tort en ce sens par l'Armorial des Communes de France, a converti son ancien blason en un logo, ce qui n'invalide pas le blason historique attribué par d'HOZIER. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la fasce haussée échiquetée d'or et de gueules de deux tires[15]
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
D'argent à un chêne de sable, ses feuilles parties du même et d'or, et englanté du même ; au chef de France[14],[15].
Le blason en alias est non-officiel, et de création récente (2015). De plus il arbore le Chef de France, ce qui ne pourrait être valide puisque la ville n'a pas reçu le Chef de France des mains du Roi.
D'azur à la chapelle d'argent, essorée de gueules, ouverte et ajourée de sable, accompagnée en chef d'un coeur croiseté d'or à dextre et d'une coquille d'argent à senestre, posée sur une champagne d'or chargée de dix tourteaux de sable, 5, 4 et 1[16].
Coupé d'or à un mont de trois coupeaux de sinople mouvant des flancs et de la partition, et d'azur à trois canettes d'argent nageant chacune sur une onde du même ; à la divise du même brochant sur la partition[1].
D'or à une gerbe de joncs de sinople mouvant de la pointe et surmontée de deux fleurs de lis de gueules[18].
Détails
Les lys de gueules évoquent les deux seigneuries du lieu : les Mazarin et les Bardaud. Les joncs évoquent le canton de Delle. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à l'aigle bicéphale d'argent, becquée et membrée d'or.
Détails
Après le retour de l'Alsace à la France en 1648, le fief devint seigneurie et la famille seigneuriale du lieu, les REINACH-FOUSSEMAGNE, firent inscrire dans l'armorial général de France les armes suivantes pour la seigneurie : «De gueules à un aigle à deux têtes d'argent, becqué et membré d'or». Armoiries attribuées à la commune par D'HOZIER en 1696, adoptées depuis à une date inconnue.
D’or au lion de sable lampassé de gueules et chaperonné d’azur.
Détails
L'Armorial des Communes de France annonce d'argent à un lion de sable lampassé d'azur ; le tout chaperonné de gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'azur à l'épée basse d'or, et de gueules à la clé renversée d'argent[19].
Détails
L'épée rappelle que Grosne possédait en 1665 son propre tribunal. La clé représente le pouvoir de Grosne sur Grosne, Boron, Recouvrance, Vellescot, Nermanible. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé de gueules à deux hachettes d'argent emmanchées d'or posées en sautoir et adossées, et d'or à une touffe de joncs de sinople mouvant de la pointe[20].
Détails
Armes parlantes.
(joncs) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à un clocher d'or posé sur une terrasse rocheuse de sinople ; chapé d'azur chargé de deux étoiles de six rais du second.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules).
Conflit héraldique : la tour apparaît ouverte et ajourée de sable. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sable à une roue de moulin de huit rais d’argent, accompagnée à chaque canton de deux épis de blé aux tiges passées en sautoir, ceux de dextre en barre, ceux de senestre en bande, surmontée d’un casque italo-celtique du même et soutenue d’une fleur de lys, le tout d’or.
De gueules à un mont de trois coupeaux de sinople* mouvant de la pointe, surmonté de deux marteaux de carrier d'argent passés en sautoir.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé de bleu céleste à trois jumelles d'or, à deux lettres capitales M entrelacées brochantes, l'une de gueules l'autre d'azur ; et d'un parti du même à trois pommes de pin versées du second, et du troisième à trois besants du second.
Détails
Le bleu céleste, non reconnu par l'héraldique française, rend la validité de cette création discutable. Armoiries conçues par l'ensemble des habitants de la commune, et adoptées le .
Écartelé : au 1er d'azur à deux bars adossés d'or ; au 2d de gueules à un marteau et une pince d'or posés en chevron renversé ; au 3e de gueules à trois grenades d'or tigées et feuillées de sinople ; au 4e d'azur semé de billettes d'or à un lion couronné d'or armé et lampassé de gueules brochant: à la croix d'argent brochant sur l'écartelé et à une maison d'or essorée de gueules brochant sur la croix[23].
D'azur à la fontaine du lieu d'or(une fontaine carrée sommée d'une flèche pommetée de deux pièces l'une sur l'autre, le bassin rectangulaire à senestre, le tout d'or en perspective cavalière), soutenue d'une divise ondée d'argent[22].
Détails
Armes parlantes.
(fontaine) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople au berger contourné de sable, habillé d'une cape et d'un capuchon du même, tenant une houlette de gueules de sa main senestre, accompagné à senestre de trois brebis dispersées d'argent, celle de la pointe buvant dans une mare d'azur mouvant de la pointe senestre ; au chef parti, les deux champs d'or à la roue de moulin de huit rais de sable sur une rivière d'azur mouvant de la pointe ; le contour de l'écu et traits de partition rehaussés d'un filet d'azur[26].
D'azur à une fleur de lys d'or surmontée de la couronne des fils de France du même.
Détails
Les deux attributs de la Royauté rappellent l'attachement et la fidélité des habitants de la commune à la France et à sa cour. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au sautoir d'or accompagné en chef d'un peigne de même.
Détails
Le peigne évoque Saint Blaise, saint patron de la paroisse du lieu. Armoiries adoptées le , en remplacement des armoiries à enquerre proposées par M. Camille HEIDET.
Parti de gueules au lion de sable*, et d'argent à trois roses de gueules rangées en pal, accompagnées de six besants d'or* ordonnés 2-2-2 et intercalés entre les roses[22].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules + or sur argent).
Conflit héraldique : le 2 ne montre que deux roses et trois besants. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Armes similaires à celles de Méroux (désormais Méroux-Moval), ce qui laisse présager d'un passé Historique commun. Armoiries attribuées à la commune par D'HOZIER en 1696, et portées depuis par la municipalité.