Cette page dresse l'ensemble des armoiries (figures et blasonnements) des communes de Haute-Vienne disposant d'un blason connu à ce jour.
En , une commission d'héraldique a été mandatée par la préfecture pour doter d'armoiries l'ensemble des communes du département. Aussi, chaque commune a reçu un projet de blason particulier. Cependant, toutes n'ont pas accepté ces armoiries. Pour ces dernières, il n'y eut donc aucun changement concernant leur blason ou absence de blason. Celles dépourvues d'armoiries sont mentionnées ici à la fin de la section correspondant à leur initiale.
Cette commission, en théorie, n'a pas proposé d'armes enfreignant la Règle de contrariété des couleurs. Cependant, certaines communes portent des Armes à enquerre : elles sont incluses dans cet armorial, leur statut particulier étant mentionné dans la rubrique Détails.
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D'argent à un tau d'azur, au chef de gueules chargé d'une aigle d'or issant de la partition[1].
Détails
Le tau fait référence au monastère placé sous le vocable de saint Antoine qui existait au 6e siècle à Ambazac. L'aigle est quant à elle une allusion à saint Étienne de Muret dont la dalmatique est entièrement ornée d'aigles d'or. Armoiries conçues par M. Pierre FAURE, et adoptées le .
D'or à la tour fortifiée de deux ouvertures d'argent*, au chef de gueules chargé d'un cor d'argent surmonté d'un fouet de même, le tout posé en fasce.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti de gueules et de sinople, au monogramme AUGNE de gueules* brochant soutenu d'une étoile d'argent.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sinople).. Iniitalement, le monogramme de 1941 était d'or, ce qui ne constituait pas une enquerre ; la municipalité changea ces armes sans justification. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois fleurs de lys d'or (de France), à la bande abaissée de gueules chargée de trois lionceaux d'argent posés à plomb et brochant sur le tout ; à l'écusson d'argent au pal bandé d'or et de sable, brochant sur le tout en cœur.
Détails
Armoiries conçues par la Commission Départementale d'Héraldique de 1941, et adoptées.
Parti de gueules à la main de justice d'argent, et d'azur à la croix recroisetée d'or.
Détails
Armes parlantes.
(le mot "Bazeuge" se rapproche du mot "bazoche", qui désignait les gens de justice) Armoiries conçues par la Commission Départementale d'Héraldique de 1941, et adoptées.
D'argent au château d'or*, maçonné de sable, couvert d'une toiture en dos d'âne du même, flanqué de deux tours et donjonné d'une autre tour d'or, couvertes de sable et pavillonnées du champ, le tout sur une mer d'azur; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or mal ordonnées.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : or sur argent.
Le blason original de 1941 (en alias) est quant à lui sans enquerre. Le blason ci-contre, utilisé par la municipalité de nos jours.
Alias
D'argent au château de sable, couvert d'une toiture en dos d'âne, flanqué de deux tours et donjonné d'une autre tour, pavillonnées et girouettées du même, le tout sur une rivière d'azur, au chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or mal ordonnées.
D'azur à un viaduc de huit arches de deux étages d'argent, posé entre deux versants d'or, sur une rivière du champ, au chef du second chargé d'un berceau de gueules accosté de deux sacs du même.
Détails
Armes parlantes.
(berceau) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la tige de blé de trois épis d'or posée en bande, au rameau de noyer fruité d'argent posé en barre, brochant sur le tout.
Détails
Le rameau de noyer évoque la mémoire de Jean de PUYDENUS, général des dominicains du 14e siècle, natif du lieu. Armoiries conçues par la Commission Départementale d'Héraldique de 1941, et adoptées.
Parti d'or au monogramme BONNAC en lettres capitales de gueules ; et d'un coupé : au 1er d'azur à trois coqs d'argent, crêtés et membrés d'or, et au 2d de gueules à deux pals d'argent.
Détails
Reprise des armes de la famille de JOVION et du Prieuré de la Drouille Blanche. Armoiries conçues par la Commission Départementale d'Héraldique de 1941, et adoptées.
Tiercé en pairle : au 1er d'hermine plain, au 2d de sinople à un cheval contourné d'argent, au 3e d'azur à un poisson d'argent ; à l'écusson de gueules chargé des lettres gothiques S et M minuscules d'or rangées en pal, brochant sur la partition en pointe.
D'azur au templier vêtu et coiffé de mailles d'argent, croisé et ceinturé de gueules, accosté de deux rameaux de buis d'or, au chef du second chargé de trois croisettes ancrées du troisième.
Détails
Armes parlantes.
(buis) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti: au 1er de gueules à cinq châteaux d'or, au 2e d'hermine à la bordure de gueules (du Limousin); le tout sommé d'un chef fascé ondé d'argent et de gueules (de Rochechouart).
De gueules à l'église romane fortifiée d'argent essorée d'or, posée dans un ancien cimetière du second, au franc-canton cousu d'azur semé de fleurs de lys aussi d'or, aux trois tours d'argent brochant sur le semé.
Détails
Le franc-canton, composant pourtant une enquerre, est valable en le sens qu'il s'agit d'une reprise d'armoiries existantes, en l’occurrence de celles de la famille de LASTOURS. Armoiries établies par la Commission Départementale d'Héraldique de , et adoptées.
De sinople à l'arc couché de gueules*, cordé de sable*, à la flèche ajustée du même, le tout soutenu d'une boule aussi de sable et environné de neuf quilles d'or posées en orle.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable et gueules sur sinople). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'or au lion d'azur, lampassé et couronné de gueules et à la champagne de sinople ; et du second billeté du premier au lion du même brochant ; le tout sommé d'un chef d'azur à la feuille de châtaignier d'or posée en fasce, le pétiole à dextre.
Parti d’azur à un fer à cheval d’or ajouré du champ et soutenu d’un besant du même, et du même à la crosse contournée du premier ; le tout sommé du chef du Limousin.
Détails
Saint Éloi est natif du lieu. C'est en son honneur que la commune arbore cette crosse d'azur. L'armorial de france donne la bordure engrelée[3] Armoiries établies par la Commission Départementale d'Héraldique de , et adoptées .
Écartelé de gueules à un château de trois tours d'or, ouvert du champ et ajouré de sable ; et d'azur à la croix ancrée d'argent ; sur le tout, de sable au lion d'or.
Détails
Reprise des armes de la famille de CHÂTEAUNEUF. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tiercé en fasce : au 1er d'or chargé d'un buste d'évêque d'argent vêtu et mitré de gueules, accosté des lettres onciales S et M de sable entre deux clefs affrontées de gueules ; au 2d d'argent à un cheval galopant de sable, au 3e de sinople plain.
Écartelé d'azur au sautoir d'or cantonné de quatre tours d'argent ouvertes et ajourées du champ ; et d'or à trois pals de gueules, chacun chargé de trois étoiles d'argent ; à l'estrez d'argent brochant sur la partition.
Détails
Reprise des armes des familles MAUMONT DE SAINT WITTE et de MEILHARDS. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à une bogue de châtaignier d'or, au 2d du même à une quenouille de sinople, au 3e d'azur à trois fasces ondées d‘argent ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de deux fasces ondées d'argent.
Détails
Le bogue de châtaignier rappelle l'arbre emblématique du pays des Feuillardiers dont Cussac dépend, la quenouille évoque l'élevage ovin et l'industrie qui lui est associée, les trois fasces ondées représentent les bonnes fontaines, et les deux fasces ondées du chef sont issues des armes de la famille de SELVES DE CROMIÈRES. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople à un châtaignier d'or fruité du même ; mantelé d'azur, à une plane d'argent emmanchée au naturel, posée en fasce les poignées vers la pointe.
Devise
"Crubi nuri" (j'abrite et je nourris)
Détails
Armoiries conçues et dessinées par Jean-Pierre Lhomme, habitant de Dournazac, adoptées en .
Écartelé : au 1er d'argent au chef de gueules, au 2d d'azur à trois lions léopardés d'or, lampassés d'argent passant l'un sur l'autre, au 3e d'azur à la tour d'argent ouverte, maçonnée et ajourée de sable, au 4e de gueules à la fasce d'or.
Détails
Le 1er est de l'ordre de Gramont, fondateur de l'Abbaye de Chatenet vers 1120. Le 2d reprend les armes de la famille MALDENT DE FEYTIAT, les 3e et 4e celles des MARTIN DU PUYTISON. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à la tour d'argent maçonnée, ouverte et ajourée de sable, terrassée de sinople, adextrée d'une crosse d'or et senestrée d'une rose du même ; à la bordure cousue d'azur*.
Devise
"Insula non submersa" (l'île ne coule pas)
Détails
La tour représente le château des évêques, la roue d'engrenage symbolise quant à elle l'industrie isloise, notamment les usines du bord de Vienne (* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules).) adoptées au cours du XIXe siècle.
Parti de sinople et de gueules, à deux dextrochères d'argent mouvant des flancs dextre et senestre de l'écu et tenant chacun une épée d'argent garnies d'or passées en sautoir et surmontées de la date 1590 d'argent, le tout brochant sur la partition[5].
Détails
Création de la commission héraldique départementale de 1941, adoptée.
De gueules au buste de saint Martial d'argent, habillé et nimbé d'or, accosté en chef des lettres onciales S et M du même ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or[7].
Devise
Dieu garde la ville et saint Martial la population
Écartelé d'hermine à la bordure de gueules et d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bande de gueules chargée de trois lionceaux d'argent brochante ; sur le tout d'argent à trois merlettes de sable.
Écartelé du Limousin et de la Marche, sur le tout de Lignaud de Lussac[8].
Écartelé: aux 1er et 4e de gueules à trois bandes d'or, au 2e d'azur à la tour donjonnée de trois pièces d'argent, ouverte du champ, au 3e d'azur au chevron d'argent accompagné de trois croisettes d'or.
D'argent au soleil couchant d'or sur lequel broche un dextrochère armé d'argent et d'or brandissant une épée d'or, posé en barre et mouvant de l’angle senestre du chef, accompagné en pointe à dextre de trois quartefeuilles de sinople mal ordonnées, le tout enfermé dans une bordure réduite de gueules.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour différencier la famille de Mortemart de celle de Rochechouart (dont elle descend), celle-ci orne sa seconde fasce d'argent d'une belette de sable. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la cotice en barre de gueules chargée de 8 feuilles d'or posées en fasce et accompagnée, en chef, de l'église du lieu d'argent mouvant de la cotice, et, en pointe, d'un annelet sur lequel broche une roue dentée, le tout du même mouvant du canton senestre.
D'or à la croix alésée haussée de sable mouvant d'un brasier de gueules lui-même mouvant de la pointe, cantonnée en chef de deux dagues de gueules garnies de sable, posées l'une en bande, l'autre en barre, la pointe vers le centre de la croix.
Parti de sinople et de gueules au château couvert et flammé d’argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, brochant et posé sur une champagne d’or chargée de trois burelles ondées aussi de sinople, surmonté d’un besant aussi d’argent chargé d’une croisette pattée au pied fiché aussi de gueules, adextré d’une roue de moulin aussi d’or et senestré d’une roue d’horloge de seize dents du même.
De sinople à l’écusson cousu d’azur aux deux chevrons d’or, accompagné de trois besants d’argent.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur sinople. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à deux chevrons ondés d'or, enté ondé en pointe du même chargé d'une tour d'azur ouverte et ajourée de trois pièces rangées en barre à dextre d'or; à la filière d'or[9].
Parti de sable à un cochon d'argent, et d'un tranché d'azur et d'or à l'ombre d'étoile de huit rais contenant une croisette de gueules brochante; au franc-canton du même chargé de deux épées d'argent passées en sautoir et accostées des chiffres 15 et 90 d'argent.
Détails
La date 1590 rappelle le combat de Champvert, qui opposa les troupes de ligueurs du Vicomte de Pompadour à celles fidèles à Henri IV.
D'azur à trois bandes d'argent chargées de huit charbons de sable enflammés de gueules 3, 2 et 3, la bande du milieu chargée en cœur des lettres S et B capitales de gueules entrelacées en pal; au pont de quatre arches d'argent, maçonné de sable et brochant en pointe.
Détails
Reprise partielle des armes de la famille du lieu, les CARBONNIÈRES, qui portaient les charbons ardents présents dans ces armes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé: au 1er d'azur à l'église du lieu d'argent, au 2d fascé ondé d'argent et de gueules (de Rochechouart), au 3e de gueules à la main senestre d'argent appaumée en pal, au 4e d'azur à la bande d'argent chargée de trois étoiles de gueules.
De pourpre à saint Georges équestre d'or tenant un bouclier d'argent chargé d’une croix de gueules, terrassant de sa lance d'or un dragon de même.
Détails
Armes parlantes. Armoiries conçues par M. Jean-François BINON d'après le projet de la Commission Départementale d'Héraldique de 1941 (qui prévoyait un champ de sinople plutôt que de pourpre), et adoptées en .
De gueules au clocher du lieu d'argent mouvant de la pointe, accosté des lettres S et G du même; au franc-canton d'argent à la bande d'azur accompagnée de six roses de gueules posées en orle.
Détails
Le blason en alias a été attribué à la commune par D'HOZIER. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé: au 1er d'or à deux bourdons de prieur de sable passés en sautoir et cantonnés des lettres S au flanc dextre, H en chef et B au flanc senestre, les trois lettres du même, au 2e d'or au bœuf paissant de sable.
D'argent à la tierce ondée d'azur accompagnée des lettres gothiques d'or S en chef dextre, H en chef senestre et P en pointe, cette dernière soutenue d'une burelle d'azur; au chef d'argent chargé d'une branche de pommier posée en barre et accostée de deux fleurs à quatre pétales, tigées et feuillées, le tout de sinople; sur le tout, brochant sur la tierce et le chef, de sinople au buste de saint Hilaire d'or mouvant de la pointe.
D'azur au lion cousu de gueules, armé, lampassé et couronné d'or, accompagné de huit fleurs de lis du même, quatre de chaque côté posées en orle.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à une crosse d'or et une épée d'argent passées en sautoir, accompagnées en chef d'une mitre d'argent croisée d'or et en pointe d'une croisette pattée d'or, le monogramme SLM en lettres majuscules d'or brochant sur le tout en abîme.
Deux écus accolés : à dextre, d’azur à trois fasces d’argent; à senestre : parti au I d'azur à trois fasces d'argent; au II coupé: au 1) cinq points d'azur équipolés à quatre d'argent; au 2) d'azur à la croix d'argent.
Coupé : au 1er d'azur à une croix archiépiscopale d'or accostée des lettres (gothiques) S et O du même, au 2d de gueules à la fasce ondée d'argent[10].
Détails
La fasce ondée représente la Gartempe. Adopté avant la proposition de la commission héraldique départementale de 1941.
D’or à la halle du lieu de gueules accostée de deux arbres de sinople et soutenue d'une mer d'azur ; au chef du Limousin.
Détails
La halle est l'élément patrimonial emblématique de la commune, les arbres rappellent le caractère verdoyant de la commune, la mer d'azur fait référence au lac du même nom, site touristique majeur de la région et le chef rappelle l'appartenance au Limousin. Armoiries conçues par M. Xavier LANSADE, adoptées le .
Parti de gueules à l'épée d'argent garnie d'or, et de sable au lion du second, armé et lampassé du premier. Différences entre dessin et blasonnement : le lion est dit "du second", donc d'argent, mais est dessiné d'or.
Détails
Armoiries conçues par le Dr Jean EYBERT, et adoptées le .
De sinople à la cotice en barre d'or chargée d'une cotice en barre de gueules surchargée de l'inscription en capitales aussi d'or SAINT SULPICE LAURIERE et accompagnée, en chef, de 3 vaches couchées d'argent, 2 contournées, la troisième plus grosse brochant en partie sous celle de dextre, et, en pointe, de l'église du lieu aussi d'argent ; au chef cousu d'azur chargé de 3 feuilles de ginkgo biloba d'or penchées à dextre.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur sinople. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois feuilles de chêne versées de sinople, la nervure principale d'or, réunies par leur pétioles, la première posée en fasce, la seconde en pal et la troisième en bande, chargées de 2 glands de gueules à la cupule d'or posés en barre l'un sur l'autre ; au chef rompu d'or.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur azur).. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sinople au buste de Saint Victurnien chevelé et barbé d’argent, habillé de sable, posé sur une champagne d’or chargé de trois trangles ondées du champ, adextré d’une roue de moulin de dix-huit aubes aussi d’or et senestré d’une harpe du même.
Ornements extérieurs
Deux branches de châtaignier fruitées aux flancs, liées en pointe et chargées du listel orné de la devise, couronne murale de trois tours en chef.
Taillé : au 1er de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 2d de sinople à un vase à parfum d'or ; à la barre d’argent chargée de trois mouchetures d'hermine de sable posées à plomb, brochant sur la partition[12].
Taillé de gueules et de sinople, à la crosse d'abbé d'argent brochante, à l'abbaye du lieu du même, essorée d'or, ajourée de sable, brochant sur le tout.
Détails
Armoiries établies par la Commission Départementale d'Héraldique de , et adoptées.
Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à une couronne de laurier d'or, au 2e d'argent à trois mouchetures d'hermine de sable, au 3e de sinople à un châtaignier d'or accompagné en pointe d'une divise ondée d'argent chargée d'une divise ondée d'azur[13].
D'azur à deux tours d'argent ouvertes de gueules, accostant une fleur de lys d'or et soutenues d'un besant du même chargé de l'inscription de sable sur trois lignes.
Détails
Les tours évoquent les deux châteaux de la commune, et la date rappelle le jour où Charles VII visita la commune.
Parti d'or au monogramme VAULRY en lettres capitales d'azur, et de gueules au chandelier d'argent allumé d'or.
Détails
Les armoiries actuelles figurent (par erreur) un chandelier alors qu'initialement le meuble était une lampe de mineur en référence aux mines d'étain présentes sur la commune. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules au monogramme VICQ en lettres capitales d'argent posé entre deux chênes d'or sur une terrasse du même sur laquelle coule une rivière d'azur, au franc-canton bandé d'or et de sable de six pièces.
Mi-parti d'argent à trois pals de sable, à un chevron du même brochant sur le tout ; et du premier à la fasce de gueules accompagnée de trois aiglettes d'azur.