La commune de Bellac est labellisée Village étape depuis 2010. C'est une station verte de vacances, station touristique, cité de caractère.
Géographie
Localisation
La ville de Bellac se situe près des monts de Blond, dans le Nord-Ouest de la Haute-Vienne et dans le nord du Limousin. La ville bénéficie d'un environnement préservé fait de paysages pastoraux et de forêts, traversé par de nombreux cours d'eau dont les plus importants sont la Bazine, le Vincou (affluent de la Gartempe et apprécié pour la pêche).
Toutes ces routes sont desservies par la déviation contournant la ville de Bellac (mise en circulation en janvier 2007) et permettent donc de rejoindre le centre-ville. La ville est également desservie par l'aéroport de Limoges-Bellegarde grâce à la présence de cars assurant la navette entre l'aéroport et la ville et par une gare SNCF en correspondance avec celles de Limoges et Poitiers (TER).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1996 à 2012 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records BELLAC (87) - alt : 246 m 46° 07′ 12″ N, 1° 03′ 06″ E Statistiques établies sur la période 1996-2010 - Records établis sur la période du 01-11-1996 au 31-12-2012
Source : « Fiche 87011006 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Au , Bellac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bellac[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 5],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bellac, dont elle est la commune-centre[Note 6],[11]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65,7 %), forêts (16,2 %), zones urbanisées (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d'être affectées par le risque d'inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Vincou et la Bazine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vincou/Gartempe », approuvé le [18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 11,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bellac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].
Il existe plusieurs hypothèses fantaisistes sur l'étymologie du nom de lieu Bellac : bella (la guerre), bel (le lieu) et acum (élevé), Bella aqua : un lieu arrosé par de belles eaux, et pourquoi pas le beau lac ? ou encore 'bella' en dialecte marchois : en utilisant les monèmes du parlé ancien, bella peut dire 'bel' (fort) et 'la' (lieu) qui a muté en belle cité (bellac).
Toutes ces hypothèses, énoncées au XIXe siècle avec imagination, ne tiennent plus aujourd’hui. La toponymie possède ses règles et seules les formes anciennes peuvent donner la clé : Belac, vers 1175 ; de Bellaco, 1185 ; de Belaco, vers 1315 (pouillés de la province de Bourges, chronique d'Adémar de Chabannes). Au-delà du folklore, nous ne devons retenir que son étymologie gallo-romaine formée du nom d'homme latin Bellus et du suffixe -acum signifiant « le domaine (agricole) de Bellus ». Cette étymologie suggère que le site était occupé dès l'antiquité.
Ce nom de personne est peut-être un nom d'origine gauloise ou du moins un calque du gaulois belo, bello qui signifie « fort », « puissant », ce qui peut s'appliquer à un personnage (Belisama = « La très puissante », avec suffixe superlatif -sama) ou à la géographie (Bellodunon = « la muraille, ou forteresse, puissante » pour la chaîne alpine de Belledonne)[22].
Dans la première moitié du Xe siècle, le comte de la Marche, Boson le Vieux fonde sur un éperon rocheux au-dessus du Vincou, un château de bois aujourd’hui disparu.
La bourgade se développe grâce aux échanges commerciaux qui font du site de Bellac un carrefour entre le Limousin, la Marche, le Poitou et le Berry. Au milieu du XIIe siècle, Aldebert III, descendant direct de Boson, donne aux bourgeois de la cité une charte de libertés qui accélère le développement du commerce et la diversification des produits vendus. Un siècle plus tard, des tanneurs s’installent au bord du Vincou.
En 1531, Bellac est rattachée définitivement à la Couronne. Un an plus tard, François Ier autorise les bourgeois à établir quatre foires par an et un marché hebdomadaire, confirmant ainsi le destin commercial de la ville. À la même époque est fondé un hôtel-Dieu. Un siècle plus tard les Pères jésuites installent un collège.
Du 6 au , les Ligueurs assiègent sans succès la ville, puis se retirent.
De 1923 à 1928, au 4bis de la rue Denfer-Rochereau, des ateliers du garagiste Louis Jousset sortiront une douzaine de voitures, conçues et construites à Bellac (aucun exemplaire ne subsisterait aujourd'hui)[23].
En matière de sécurité, la ville possède une brigade de gendarmerie nationale et une police municipale.
Concernant la justice, un Tribunal d'instance existait jusqu'au 31 décembre 2009 dans le centre-ville. Rayé de la carte judiciaire, il laisse place au niveau territorial à une simple médiation judiciaire organisée sous forme de permanences. Pour accéder aux tribunaux du ressort, il faut donc se rendre à Limoges. Les locaux de l'ancien Tribunal, qui datent du XIXe siècle, ont été reconvertis depuis septembre 2012 en une médiathèque intercommunale donnant accès à tous les supports les plus complets en termes de références comme de qualité technologique, tout en ayant soin de préserver les qualités architecturales du bâti.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 3 596 habitants[Note 8], en évolution de −12,44 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
lycée d'enseignement général et technologique (public) Jean-Giraudoux classé dans les trois premiers lycées du limousin obtenant les meilleures notes au baccalauréat.
lycée d'enseignement professionnel et technique (public) Martin-Nadaud (spécialisé dans les métiers du bâtiment et de l'énergétique)
centre de formation professionnelle agricole
Santé
La ville est dotée d'un hôpital sur le site Jolibois (hôpital intercommunal du Haut Limousin), d'un laboratoire d'analyses, de kinésithérapeutes, d'infirmiers, de dentistes, médecins et pharmacies... Il y a également un centre pour handicapés adultes : l'A.R.E.H.A (Association Rééducation Éducation Handicapés Adultes) ainsi qu'une clinique vétérinaire.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
L'église Notre-Dame-de-Bellac (XIIe au XIVe siècle), classée à l'inventaire des monuments historiques depuis le 6 février 1926 : initialement chapelle du château des Comtes de la Marche. Elle a été agrandie par une nef à chevet plat et un gros clocher carré (XIVe siècle) puis par deux chapelles latérales (XVe siècle). L'église combine art roman et gothique avec des colonnes torsadées et un baptistère roman soutenu par trois lions.
La chasse du XIIe siècle (vers 1130) en cuivre doré avec des émaux incrustés réalisés par les ateliers d'émaux de Limoges. Cette chasse est le plus vieux reliquaire du Limousin.
Chapelle des Pénitents (Bellac) Chapelle des Pénitents anciennement chapelle de Saint-Jean-Baptiste construite en 1711 et où les sœurs de Croix pratiquèrent leurs exercices de piété tout le temps qu'elles habitèrent Bellac.
La chapelle Notre-Dame-Lorette (Bellac) | Chapelle Notre-Dame-Lorette dans le village de Saint-Sauveur construite au XVIIe siècle (1621), détruite en 1805 puis reconstruite en 1843, Saint-Sauveur fut à l'origine le siège de la paroisse de Bellac. Elle a ensuite été restylée entre 1863-65 dans un style néo-XIIIe siècle.
Le Vieux Pont de la pierre (XIIIe siècle) : il a été construit sur le Vincou près d'un ancien passage à gué afin de faciliter les échanges commerciaux vers le sud et l'ouest de la ville.
L'ancien séchoir à peaux (XVe siècle) ; Bellac possède des tanneries depuis le XIIIe siècle.
La sous-préfecture (XVIIIe siècle) : cet ancien hôtel appartenait à la famille des Mallebay puis a été acheté par la sous-préfecture par Louis Charles Emmanuel (comte de Coëtlogon, préfet de la Haute-Vienne) en 1860 pour devenir sous-préfecture (c'est donc à cette époque que Bellac devient l'une des sous-préfectures de la Haute-Vienne).
L'hôtel de ville : ancien castel des Barthon de Montbas (XVIIe siècle), cet hôtel a été construit à l'extérieur de la ville murée dans le quartier Saint-Michel-hors-les-Murs.
Les vestiges des remparts (XIIIe siècle) avec la tour du consul Genebrias (XVIe siècle) à l'ombre de l'ancien Grand Portail disparu, une des trois entrées de la ville médiévale avec la porte Trilloux et la porte de la Prade.
Les maisons anciennes du XVe au XVIIIe siècle, ainsi que quartiers et rues pittoresques : les maisons à pans de bois de l'ancien fort entourent l'église sur l'emplacement de l'ancien château dans un dédale de ruelles serrées.
Le Palais de Justice du XIXe siècle.
Le monument aux morts. Monument d'inspiration pacifiste dont la sculpture est du limougeaud Henri Coutheillas (1862 - 1928).
Ancienne chapelle de l'hôpital et maternité, Rue Vergniaud.
Chapelle à La Gasne, route de la Gasne.
Chapelle au Gui Noir, route de la Gasne.
L'église Notre-Dame et l'ancien séchoir à peaux.
L'ancienne tour Genebrias.
La médiathèque Jean-Giraudoux.
Espaces verts
Rives du Vincou : aménagées pour la pêche (accès handicapés), la détente (tables et bancs), le sport (panier de basket), les promenades (sentiers sécurisés), les enfants (espace jeu: toboggan...) et lieu chargé d'histoire (pont de la pierre ainsi que vue sur l'église)...
Parc Charles-Silvestre : situé au cœur de la ville ; doté d'un kiosque.
Parc Jolibois ou parcours du Cœur : parc arboré et aménagé de sentiers goudronnés et de nombreuses installations en bois (poutre...) pour pratiquer des activités physiques détaillées par des panonceaux. Le parc est situé dans le quartier Jolibois et permet aussi le repos (nombreux bancs) et les loisirs (toboggan).
Parc Guy-Boussely ou parc de la Mairie : petit parc situé à l'entrée de l'hôtel de ville où est dressé un monument à l'effigie de l'œuvre de Jean Giraudoux.
Square Wassertrüdigen : situé dans le vieux Bellac.
Plusieurs sentiers pédestres : annoncés par des balises de couleurs.
Équipements culturels
La ville est dotée depuis 2002 d'un théâtre créé sous l'impulsion du festival de Bellac[35].
marchés tous les mercredis (place du Champ-de-Foire), les jeudis (ancienne place du Marché) et les samedis (marché le plus important de la semaine, sur le champ de foire).
foire locale le 1er de chaque mois
foire nationale de reproducteurs ovins (septembre)
marchés de Noël (décembre)
marchés d'été (juillet-août)
Évènements et fêtes
Nocturne de Bellac (septembre) : elles permettent de découvrir le patrimoine historique de la ville.
Tech Ovin (tous les deux ans, les années impaires en septembre): salon professionnel du mouton qui rassemble tous les deux ans 330 exposants pour 13 000 visiteurs.
Fête de l'agneau (juin-juillet)
Tournois de tennis (juillet)
Festivals
Le festival de Bellac est un festival de théâtre et d'arts de la scène, créé en 1953 en mémoire de Jean Giraudoux, natif de la ville. Il présente de nombreux spectacles de théâtre, de marionnettes, de cirque et d'arts de la scène[36].
Pierre Robert, sieur de Saint-Sornin-la-Marche et de Villemartin (Dinsac) (1589-1658), député du Tiers État pour la sénéchaussée de la Basse Marche aux États Généraux de 1614, lieutenant général de cette sénéchaussée de 1614 à 1647.
Marie-Noëlle Agniau (1973-), poète et philosophe, y a enseigné la philosophie au lycée.
D'argent au château d'or, maçonné de sable, couvert d'une toiture en dos d'âne du même, flanqué de deux tours et donjonné d'une autre tour d'or, couvertes de sable et pavillonnées du champ, le tout sur une mer d'azur ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or mal ordonnées.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
↑L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
↑Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bellac comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l'étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )